Spelade
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L’amour courtois est une façon de se comporter se rapportant au Moyen Âge. Il consiste en une attitude conventionnelle qui conduit à agir avec élégance et raffinement avec celle pour qui on nourrit des sentiments. Il se vit hors mariage et évoque un amour total.
Il s’agit donc d’une conception particulière et médiévale de l’amour qui repose sur la notion de courtoisie, qui comprend des valeurs et du savoir-vivre, pratiquée en particulier dans la noblesse. Cet amour donne une place prépondérante à la parole, au serment, à la noblesse des sentiments, la conduite généreuse, la politesse dans le langage et les manières, et plus que tout la primauté à l’amour. La dame est suzeraine (toujours issue de la catégorie sociale la plus élevée), méprisante et semble inaccessible. Le chevalier lui, n’est que son vassal. Pour la séduire, il se montre brave, en particulier au combat.
Mais cet amour idéalisé est ambigu car frustré. Il mêle désir et désespoir, plaisir et souffrance. En effet la plupart du temps il s’applique à un amour impossible, vécu de façon secrète. La relation courtoise est donc par essence adultère, même si la consommation n’en est pas une condition.
L’amour courtois comprend aussi l’art de maîtriser la poésie, la politesse et les bonnes manières. Et quand la belle succombe alors l’homme se soumet totalement à la femme, et assouvit tous ses désirs.
Cependant il s’agit surtout d’une forme littéraire plutôt que d’une façon de véritablement aimer dans la réalité. Dès le XIIe siècle, la poésie et les troubadours du sud de la France en traitent. On le retrouve par exemple dans des poèmes comme celui de Tristan et Yseult ou dans l’histoire célèbre de Lancelot et Guenièvre, dans le roman courtois de Chrétien de Troyes.
Cette conception de l’amour d’un homme pour une femme s’est éteinte au 13e siècle.
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On trouve dans le célèbre livre de recette l’« Almanach gourmant » de Grimod de la Reynière, célèbre dandy de la gastronomie française, un de ses pères fondateurs, ouvrage publié en 1807, une recette singulière: le « rôti sans pareil ».
Singulière car elle consiste à réussir un tour de force: imbriquer telles des poupées russes, 17 oiseaux, les uns dans les autres.
Il s’agit et dans l’ordre (de l’extérieur vers l’intérieur) de faire rentrer dans une dinde, une oie, dans laquelle on a introduit un faisant, puis un poulet, dans lequel on a fourré un canard, une pintade, une sarcelle, une bécasse, une perdrix, un pluvier, un vanneau, une caille, une grive, une alouette, un ortolan, une fauvette et avec cœur de celle-ci : « une superbe olive farcie aux anchois et aux câpres ».
Il s’agit donc bien d’imbriquer les uns dans les autres 17 volatiles désossés puis de passer le tout au four.
Si vous voulez réaliser chez vous un « rôti sans pareil » commencer par désosser tous ces volailles très minutieusement, car ensuite il est assez difficile de terminer le travail ! Il faut se débarrasser des pattes et des ailes car sinon l’imbrication est impossible.
Il convient aussi de confectionner une farce avec de la chair à saucisse pour combler les espace laissés entre chaque animal dus à leur différentes tailles. Enfin mettez au four à moins de 100 degrés pendant 12 heures, tout en arrosant l’ensemble très régulièrement.
Si cette recette forcément sanguinolante lors de sa réalisation vous dégoûte que dire de cette pratique au 19e siècle en Angleterre. A cette époque on pouvait en effet se rendre dans les boucheries pour y consommer un verre de sang chaud. Comme ça, tel quel ! Les amateurs pensaient ainsi se guérir de la tuberculose.
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