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    -> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté en 13 juillet 2022.

    Le professionnel que nous Ă©coutons dans cet Ă©pisode ne vous est sĂ»rement pas Ă©tranger. Michel Poivert est historien-chercheur en histoire de la photographie et vous avez pu croiser son travail au travers d’un livre, d’une exposition ou d’une confĂ©rence. Dans cet Ă©change, nous sommes revenus sur son mĂ©tier d’enseignant-chercheur en histoire de la photographie et sur les diffĂ©rents courants de pensĂ©e dans cette discipline, mais aussi l’organisation de ses projets : la recherche, l’enseignement et le dĂ©veloppement de projets liĂ© Ă  ses sujets de recherche (expositions, livres 
). Nous avons aussi abordĂ© un projet ambitieux qui lui tient particuliĂšrement Ă  cƓur : le CollĂšge Internationale de photographie qui a pour ambition de mettre en relation la crĂ©ation expĂ©rimentale, les savoir-faire des mĂ©tiers de la photographie et le grand public. Bonne Ă©coute !


    1’50 – Sa formation d’histoire de l’art et la rĂ©daction d’une thĂšse sur les rapports entre la peinture et la photographie

    07’30 – Les Ă©volutions de son mĂ©tier d’enseignant-chercheur en histoire de la photographie

    10’20 – Comment enseigne-t-on l’histoire de la photographie en fonction des pays

    14’30 – L’articulation de ses projets : la recherche, l’enseignement et le dĂ©veloppement de projets liĂ©s Ă  ses sujets de recherche (expositions, livres 
) et la question du rĂ©seau professionnel 

    25’ – Le projet du collĂšge international de photographie : une structure mettant en relation la crĂ©ation expĂ©rimentale, les savoir-faire des mĂ©tiers de la photographie et le grand public

    36’30 – Les Ă©volutions dans le milieu de la photographie

    44’ - Le politique nous a fait croire que la photographie est un art dĂ©mocratique, que c’est simple et facile. Les images ce ne sont pas toujours des photographies. Abus culturel de langage de confondre image et photographie

    49’ – Ses conseils : Se donner du temps, car le risque en photo c’est la surproduction. Ne pas faire des belles images, mais de la photographie.


    Le LinkedIn de Michel Poivert : https://www.linkedin.com/in/michel-poivert-4b949b37/

    L'Instagram de Michel Poivert : https://www.instagram.com/michelpoivert/


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    -> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté le 6 juin 2023.

    PGI in Tokyo is the second-oldest photography gallery in Japan and in this episode, the actual director of this gallery, Sayaka Takahashi explains to us the evolution of her work as a gallerist for 20 years. When she started her main thought was to attract more people to come to the gallery and now she participates in photo art airs such as AIPAD in NY, portfolio reviews and organized talks. One of her new goals is to sell the work of the artists represented by the gallery to the right institutions. I hope you will like this second episode in English!

     

    1’30- Her studies at Waseda University in Literature with her professor and photography critic Osamu Hiraki, her work experience at the Higashikawa International Photography Festival in Hokkaido and her encounter with Hiroaki Yoshino, the director of PGI Shibaura.

    3’30- PGI is a gallery specializing in photography with a labo for preservation and framing. She started to work for PGI as a part-timer in 1998 and became the director in 2010. When he was 18 years old, she heard about the “Onnanoko Shashin” movement (Onnanoko means female and shashin photography) and she was inspired by these female photographers.

    8’ – PGI opened in 1979 as a place to look at the physical print. The first commercial photo gallery in Japan is Zeit-Foto Salon which was owned by Etsuro Ishihara and PGI was the second one. The owner of the PGI studied medicine in California and met the photographer Ansel Adams here and he decided to open a gallery when he was back in Tokyo.

    10’- When she started as a gallerist her main thought was how to get more people to visit the gallery. They did 10 exhibitions per year, and now 6/8. They started to hold gallery talks, participate in portfolio and events to meet emerging artists, and participated in photo fairs (Tokyo Photo and AIPAD from 2013). After participating in AIPAD, now she has a new goal to place the work of the artists she works with within the right institutions. She learned a lot about photography when speaking with other dealers during AIPAD.

    13’34 – In 2022, she sold the work “The map” of Kikuji Kawada to the Museum of Fine Arts, Boston (an exceptionally large collection of negatives, contact sheets, 87 prints from 1989, plus vintage prints and a first edition from 1965 of the photographic book).

    15’ – Another example of a project is the exhibition and the book of Tokuko Ushioda “My Husband” which were released in 2022.

    20’- Her pieces of advice for young gallerists are to stay curious and interested in artists and to know their works perfectly to be able to introduce their works to more people.


    PGI website : https://www.pgi.ac/en/


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  • -> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.

    Sylvie LĂ©callier, responsable de la collection photographique au Palais Galliera, revient sur son parcours, de ses Ă©tudes Ă  Arles Ă  la gestion de collections photographiques. Elle nous parle des Ă©volutions dans les pratiques musĂ©ales, des Ă©tapes de crĂ©ation d’expositions, comme celle dĂ©diĂ©e au photographe de mode Paolo Roversi en 2024, et partage ses conseils pour travailler dans le dĂ©partement photo d’un musĂ©e et pour les photographes de mode. Bonne Ă©coute !


    Le LinkedIn de Sylvie LĂ©callier : https://www.linkedin.com/in/sylvie-l%C3%A9callier-481aa9b0/

    Le site du Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/


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  • Sylvie LĂ©callier, chargĂ©e de la collection photographique au Palais Galliera, revient sur son parcours, de ses Ă©tudes Ă  Arles Ă  la gestion de collections photographiques. Elle nous parle des Ă©volutions dans les pratiques musĂ©ales, des Ă©tapes de crĂ©ation d’expositions, comme celle dĂ©diĂ©e au photographe de mode Paolo Roversi en 2024, et partage ses conseils pour travailler dans le dĂ©partement photo d’un musĂ©e et pour les photographes de mode. Bonne Ă©coute !


    3’45 – À 20 ans, Sylvie LĂ©callier est encouragĂ©e par le photographe Marc Riboud d’intĂ©grer l’école d’Arles malgrĂ© un parcours initial en lettres classiques.

    5’50 – Sa dĂ©couverte des mĂ©tiers de la conservation photographique durant ses Ă©tudes Ă  Arles. Elle rĂ©alise qu’elle souhaite ĂȘtre passeur et valoriser les images plutĂŽt que de les produire.

    7’00 – Sa premiĂšre expĂ©rience professionnelle grĂące Ă  une bourse de recherche sur des collections photographiques conservĂ©es par le ministĂšre de la Culture.

    8’45 – Ses expĂ©riences multiples au musĂ©e Galliera, puis Ă  la bibliothĂšque nationale des Ponts et ChaussĂ©es oĂč elle inventorie des albums photographiques du 19ᔉ siĂšcle.

    18’00 – Son arrivĂ©e au Palais Galliera grĂące au legs du photographe Henri Clarke en 1998.

    23’10 – PrĂ©sentation du Palais Galliera en tant que musĂ©e de la mode, avec une collection de 40 000 costumes, accessoires, dessins et photographies.

    34’00 – Étapes de crĂ©ation d’une exposition au Palais Galliera, illustrĂ©es par celle dĂ©diĂ©e Ă  Paolo Roversi en 2024. La premiĂšre du musĂ©e avec un artiste vivant.

    46’40 – Les Ă©volutions dans l’organisation des expositions : des Ă©quipes plus nombreuses et professionnelles, permettant des Ă©changes en amont et une meilleure coordination.

    48’30 – Conseils pour travailler dans un musĂ©e : ĂȘtre passionnĂ© par son sujet, vouloir partager ses connaissances, et apprendre sur le terrain.

    50’30 – Conseils pour les photographes de mode : suivre sa propre vision, Ă©viter de produire des images normĂ©es, et ouvrir son regard en explorant des domaines hors de la mode.

    53’00 – Importance des dons dans l’enrichissement des collections : des contributions 


    Le LinkedIn de Sylvie LĂ©callier : https://www.linkedin.com/in/sylvie-l%C3%A9callier-481aa9b0/

    Le site du Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    In this episode, we talk with Emanuele Amighetti, an italian creative director whose journey began in Como, Italy, influenced by a love of punk music and literature. Initially studying classical and Middle Eastern studies, he transitioned to photography, telling stories of marginalized communities. After working with international press, he moved into art direction, collaborating with his wife and embracing new media. We discuss his time at Esquire and Hearst, his creative process, and the evolving challenges in photography today. He is now the Executive Image Director at Harper’s Bazaar Italia. Enjoy listening!


    Emanuele Amighetti's Instagram: https://www.instagram.com/emanueleamighetti/


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  • In this episode, we talk with Emanuele Amighetti, an italian creative director whose journey began in Como, Italy, influenced by a love of punk music and literature. Initially studying classical and Middle Eastern studies, he transitioned to photography, telling stories of marginalized communities. After working with international press, he moved into art direction, collaborating with his wife and embracing new media. We discuss his time at Esquire and Hearst, his creative process, and the evolving challenges in photography today. He is now the Executive Image Director at Harper’s Bazaar Italia. Enjoy listening!


    1’30 - Grew up in Como with parents in banking; father loved music (punk), mother literature. Both passions influenced him.

    3’15 - Initially studied classical and Middle Eastern studies.

    4’30 - Drawn to photography by his artistic interests and desire to tell stories of marginalized communities. Worked with American and French press.

    7’15 - Transitioned to art direction after losing motivation in photography. Influenced by social media and collaborations with his wife, an artist.

    9’20 - Joined Esquire Italy as Image Director, later Creative and Art Director at Hearst. Expanded the magazine’s vision beyond photography.

    12’35 - Described his role as a curator, conceptualizing ideas, forming teams, and translating concepts into practice.

    14’45 - Inspiration comes from daily life, travel, technology, and his team. Works with photographers globally, emphasizing teamwork.

    16’30 - Ensures coherence in projects, working with large teams and celebrities to create meaningful work with feeling.

    18’15 - Sees art direction as collaborative, a dialogue between artists, photographers, and his vision.

    19’30 - Noticed photography’s crisis due to social media and AI. Emphasizes the need for photography to evolve and integrate other media.

    23’00 - Believes photography still provides a unique sensation, necessary to visualize and capture the world.

    23’50 - Advice: Trust your vision, be passionate, and avoid imitation. For photographers, focus on storytelling and authenticity. Stay open to change.


    Emanuele Amighetti's Instagram: https://www.instagram.com/emanueleamighetti/


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  • -> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.

    Caroline Stein, responsable du mĂ©cĂ©nat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses dĂ©buts en tant qu’éditrice chez Somogy jusqu’à son rĂŽle actuel oĂč elle gĂšre une collection d'entreprise de plus de 1000 Ɠuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions d’art, des expositions qu’elle organise, et de son soutien Ă  des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne Ă©coute !


    Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/


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  • Caroline Stein, responsable du mĂ©cĂ©nat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses dĂ©buts en tant qu’éditrice chez Somogy jusqu’à son rĂŽle actuel oĂč elle gĂšre une collection d'entreprise de plus de 1000 Ɠuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions d’art, des expositions qu’elle organise, et de son soutien Ă  des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne Ă©coute !


    1’30 – Caroline Stein Ă©voque son parcours initial en littĂ©rature.

    8’00 – Caroline raconte sa premiĂšre embauche chez les Ă©ditions Somogy, travaillant sur des catalogues d'expositions et son introduction au milieu musĂ©al.

    9’53 – Elle dĂ©crit son immersion dans les institutions culturelles et les festivals Ă  travers ses projets, dont Chroniques Nomades Ă  Honfleur.

    11’00 – Caroline parle de son travail avec le collectif Planches Contact et sa collaboration avec des photographes sur des projets comme Made in China et Made in France.

    19’50 – Caroline explique la dynamique de Tendance Floue, un collectif inspirĂ© par Magnum.

    23’30 – Elle dĂ©crit sa rencontre avec Jean-François Camp au festival photo de Vannes et son travail sur une exposition rĂ©alisĂ©e dans des conteneurs puis ses annĂ©es chez le laboratoire Dupon.

    30’00 – Son arrivĂ©e chez Neuflize OBC en 2017, oĂč elle intĂšgre la banque pendant sa rĂ©organisation et participe Ă  la cĂ©lĂ©bration des 20 ans de la collection d'art.

    39’00 – Caroline explique la vision derriĂšre la collection Neuflize OBC, centrĂ©e initialement sur le portrait, puis Ă©voluant vers des thĂšmes comme la figure humaine et la mĂ©moire.

    45’00 – Elle partage son expĂ©rience sur le renouvellement des accrochages dans le cadre de la collection Neuflize OBC.

    52’00 – Caroline offre des conseils aux photographes sur la maniĂšre de soumettre un dossier Ă  la fondation, avec des recommandations pratiques pour ĂȘtre efficace et pertinent.

    54’00 – Elle mentionne son implication dans le collectif Les Filles de la Photo et l’ouvrage Y voir clair dans l’écosystĂšme de la photographie.

    55’30 – Caroline discute des mĂ©cĂ©nats et de l’importance des programmes pĂ©dagogiques dans le cadre de ses soutiens culturels Ă  des institutions comme Jeu de Paume et La MEP.

    1’02’15 – Elle aborde les dĂ©fis de travailler dans un Ă©tablissement bancaire, notamment le lien Ă  crĂ©er entre l’art et des collaborateurs souvent Ă©loignĂ©s de ce milieu.

    1’04’00 – Caroline revient sur la mĂ©diation qui reprĂ©sente 80 % de son travail, un rĂŽle clĂ© pour valoriser la collection Ă  la fois en interne et auprĂšs des partenaires.

    1’06’00 – Elle conclut avec des conseils sur la gestion d'une collection d’entreprise, insistant sur l’importance de l’équilibre entre l’interne (collaborateurs) et l’externe (partenaires et publics).


    Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    Mara Weiss is the lead curator of the Victoria & Albert Photography Centre, completed in 2023 in London. In this episode, we talked about her studies at Harvard and Princeton and her projects as Curator of Photography at the Victoria and Albert Museum in London since 2007. We discussed developments she has observed in the field of museum photography, such as the integration of photography into permanent spaces like at MoMA, but not yet at the V&A, and the importance of the acquisition group, which not only enables more acquisitions but also takes on new roles, such as organizing events and travels with patrons. She also gave us some advice for people who want to become curators in a museum like her. I hope you enjoy this episode!


    Victoria and Albert Museum Photography Centre: https://www.vam.ac.uk/info/photography-centre?srsltid=AfmBOoqZSZoHt_zH-w0WkTrxPvSA0vbM_JfMgzoZeuYPCyhXZDN2IUl7


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  • Marta Weiss is the lead curator of the Victoria & Albert Photography Centre, completed in 2023 in London. In this episode, we talked about her studies at Harvard and Princeton and her projects as Curator of Photography at the Victoria and Albert Museum in London since 2007. We discussed developments she has observed in the field of museum photography, such as the integration of photography into permanent spaces like at MoMA, but not yet at the V&A, and the importance of the acquisition group, which not only enables more acquisitions but also takes on new roles, such as organizing events and travels with patrons. She also gave us some advice for people who want to become curators in a museum like her. I hope you enjoy this episode!


    1:44 – Her childhood and her love of visiting museums. 

    4:15 – Her studies at Harvard in art and her internships in museums in the USA and Europe. 

    10:15 – Her job as a photo editor for a graphic design company and her dissertation at Princeton on 19th-century British photography, staged photography, and photo albums from the late 1830s to 1870. She spent two years in the UK for her PhD and conducted archival research at the V&A in the print room. 

    14:20 – Her job at the V&A, the V&A Photography Centre, and the projects she undertakes as a curator of this center. 

    18:15 – Her team: three people when she arrived, now seven permanent positions, and the other roles at the V&A (conservators, loans, art handlers, interpretation team, web team, programming team
) = 700 people work at the V&A. 

    21:50 – Developments she has observed in the field of museum photography since she began:

    -         Photography has been integrated into permanent spaces (like at MoMA, but not at the V&A).

    -         The importance of the photography acquisition group, an increasingly significant aspect of her work. 

    25:30 – Advice for curators: Take every opportunity to examine photographs as objects, study photo books. 

    28:30 – She feels fortunate to have focused on early photography at the beginning of her studies, as having a deep understanding of the history of photography makes it easier to build upon that to engage with the present. 

    29:15 – It is valuable to have some hands-on experience, to know how things are made. This includes making photographs, both digital and analog.  


    Victoria and Albert Museum Photography Centre: https://www.vam.ac.uk/info/photography-centre?srsltid=AfmBOoqZSZoHt_zH-w0WkTrxPvSA0vbM_JfMgzoZeuYPCyhXZDN2IUl7


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    Patrick Delat a Ă©tĂ© le directeur du Centre d’art contemporain photographique – Villa PĂ©rochon depuis sa crĂ©ation jusqu’à 2024 et dans cet Ă©pisode on est revenu sur les projets photographiques qu’il a menĂ©s Ă  Niort depuis les annĂ©es 80. Il nous a expliquĂ© l’histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menĂ©e par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles et de passionnĂ©s depuis trente ans. On a parlĂ© des enjeux et de l’importance de fĂ©dĂ©rer le collectif autour d’un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultĂ©s qu’il a pu rencontrer en tant qu’association Ă  financement public. Merci Ă  lui, longue vie au CACP-Villa PĂ©rochon et bonne Ă©coute !


    Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/


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  • Patrick Delat a Ă©tĂ© le directeur du Centre d’art contemporain photographique – Villa PĂ©rochon depuis sa crĂ©ation jusqu’à 2024 et dans cet Ă©pisode on est revenu sur les projets photographiques qu’il a menĂ©s Ă  Niort depuis les annĂ©es 80. Il nous a expliquĂ© l’histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menĂ©e par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles et de passionnĂ©s depuis trente ans. On a parlĂ© des enjeux et de l’importance de fĂ©dĂ©rer le collectif autour d’un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultĂ©s qu’il a pu rencontrer en tant qu’association Ă  financement public. Merci Ă  lui, longue vie aux Rencontres de la jeune photographie internationale et bonne Ă©coute !


    2’35 - Son parcours en tant qu’animateur puis directeur de centre socioculturel et sa rencontre avec la photographie.

    7’50 – Animateur d’un atelier photo et sa participation avec la crĂ©ation d’un collectif Ă  L’Europe D’art d’Art en 1989 pendant quelques annĂ©es.

    12’ – Envie de continuer son projet autour d’un collectif avec le soutien de la ville et la crĂ©ation d’une association en 1994, Pour l’Instant.

    13’ – La rĂ©sidence comme pĂ©riode protĂ©gĂ©e pour s’interroger sur sa pratique avec 8 rĂ©sidents autour d’une personnalitĂ© de la photographie.

    14’- Un format qui Ă©volue sur la pĂ©riode et la durĂ©e et la crĂ©ation de la Villa Perochon, un centre d’art dĂ©diĂ© Ă  la photo en 2013 puis premier centre photo d’intĂ©rĂȘt national en 2018.

    17’30 – Un financement public de la ville, de la Drac et de la rĂ©gion 

    23’50 – Durant les 15 ans premiĂšres annĂ©es uniquement des bĂ©nĂ©voles dont lui et il est salariĂ© Ă  mi-temps en 2012. Avant l’ouverture de la Villa Perrochon, il avait deux vies : directeur de centre socioculturel et bĂ©nĂ©vole de l’association Pour l’Instant. 

    27- Les Ă©tapes de crĂ©ation d’une association comme la sienne : 

    _ proposer une idĂ©e et aller vers les gens qui sont intĂ©ressĂ©s de tous niveaux sociaux et professionnels pour crĂ©er un collectif et fĂ©dĂ©rer les Ă©nergies. 

    _ l’animer en gardant des contacts frĂ©quents et construire le projet ensemble. 

    _ structurer petit Ă  petit et se donner des objectifs sans contrainte de temps. 

    32’ – L’ancrage territorial l’a protĂ©gĂ© des changements de municipalitĂ©s. 

    34’20 – Les rĂ©sidences des Rencontres de la jeune photographie internationale. 

    41’20 – Son conseil pour les photographes qui postulent aux rĂ©sidences : ĂȘtre sincĂšre dans ce que l’on propose et ne pas suivre les tendances. Oser prĂ©senter ce que l’on est, ce qu’on veut ĂȘtre et ce qu’on veut dire.

    44’30 – Il a des projets aprùs la Villa Perochon, mais c’est trop tît pour en parler.

    46’ – Ses conseils pour des personnes qui souhaitent crĂ©er une association comme la sienne : l’attention doit ĂȘtre portĂ©e au projet, car le projet fait le lien entre tout ce qu’on peut mettre en place. 

    Il est important de mesurer le projet et les moyens que l’on dispose au quotidien. Aujourd’hui plein de dispositifs financiers peuvent dĂ©tourner le projet. Il est important de se tenir Ă  son projet politique et sincĂšre, mais ce n’est pas la chose la plus simple Ă  faire. 

    48’30 - Il a Ă©tĂ© tentĂ© de faire une carriĂšre de photo, mais il a fait le choix de travailler sur un projet photo collectif. On doit faire des choix douloureux en se demandant oĂč on veut aller et pourquoi.


    Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive. 


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  • In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive. 


    1'40 - Born in the late '60s, he was influenced by TV culture and movies by Fellini, Godard, etc.  

    6' - He quickly realized that he wanted to be involved with images because he found pleasure in looking at them and thinking about how they fit into the world.  

    9' - After his graduation, he was invited to curate shows and write texts. He became known for making unexpected connections between things. For example: an exhibition at Le Bal about Anonymous Americans in film.  

    19' - Why it is important to write to a writer if you think their work is good.  

    20'30 - Writing as an addiction.  

    23'10 - Juggling multiple projects: working on 3 shows and 8 books at the same time. He does not support repetition.  

    27'30 - The first text he wrote as a professional and his book for Phaidon, "Photography and Art."  

    32'10 - The magazines he created with the auction house Christie's and the collector Christina Belker.  

    37' - His experience in NY at the ICP, managing the program for 5-6 years.  

    45' - Now, exhibitions are collaborations between photographers and curators because, most of the time, the photographer has an idea of what the show will look like. Making exhibitions is part of their work.  

    47'40 - Advice for curators: you need to go beyond your ego in helping the artist create the work they can't do on their own. It’s tempting to say, "I will do it like this." But it is important to move past that phase.  

    51'30 - Advice for writers: just write, whether it will be published or not, and your writing will improve. Don’t be afraid to approach people you admire. Stay interested and aware of the possibilities. There is no formal career path.  

    53'15 - Now, he says yes to only 10% of the proposals he receives. If his heart is not in it, he cannot say yes. He cannot do something he is not interested in because it would kill the thing he loves. One important thing is to keep your curiosity alive.


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  • -> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.

    Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !


    Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it


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  • Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !


    2’ – IntĂ©ressĂ©e par la littĂ©rature italienne, assistante du photojournaliste Federico Patellani, professeur dans une Ă©cole de photo et sa premiĂšre collaboration dans la presse hebdomadaire en tant qu’éditrice photo.

    9’12 – Son expĂ©rience au Corriere della Sera, puis chez CondĂ© Nast.

    11’10 – Son expĂ©rience en tant que directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998 suite Ă  l’invitation de Bernard Millet et sa famille française, qui a commencĂ© avec la rencontre de Christian Caujolle.

    17’30 – Commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002 et dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014.

    22’20 – Son mĂ©tier d’éditrice photo chez Glamour pendant deux ans, puis Ă  la Gazzetta dello Sport pendant douze ans, l’arrivĂ©e des banques d’images et sa derniĂšre expĂ©rience dans la presse chez Famiglia Cristiana pendant quatre ans.

    37’ – La crise de la presse italienne avec la baisse des budgets et l’arrivĂ©e des agences en ligne. Il n’y a plus d’éditeurs photo, ce sont maintenant des iconographes.

    42’ – L’arrivĂ©e de l’IA l’enthousiasme, mais il faut protĂ©ger les auteurs en trouvant des rĂšgles.

    47’40 – Elle travaille pour les archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico depuis 2013 avec l’assistant du photographe et son Ă©quipe. Elle fait des expositions, des livres et a crĂ©Ă© un site avec un ancien collĂšgue.

    50’ – Son conseil pour de futurs Ă©diteurs photo : frĂ©quenter le milieu de la photo en se dĂ©plaçant physiquement et en allant Ă  Arles, Perpignan... et lire.

    53’ – Elle lit LibĂ©ration, L’Ɠil de la photographie, le Guardian et parfois la presse italienne.

    53’30 – Son conseil pour de futurs photographes : il est important de rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu’on aime vraiment. On peut ĂȘtre un excellent photographe tout en ayant un autre emploi comme banquier ou mĂ©decin.


    Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.


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  • With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.


    3’11 – He worked as a coordinator in a photo co-op and was part of a socialist community.

    10’30 – Started working for Magnum as a salesperson with Neil Burgess.

    17’15 – Became the director in London when Neil Burgess went to NY.

    19’10 – Went to NY to find economic routes.

    21’56 – The first book he worked on was a history of Georges Rodger.

    30’50 – He returned to London, worked for Phaidon, created many books, and stayed for 10 years.

    36’45 – In 2000, he started his own publishing house.

    46’ – When he started at Aperture, they were considering stopping the publication of magazines and books, but he doubled the price of the magazine, made it more luxurious, with themes, and focused on social justice. It was a gamble.

    54’ – He aimed to create a more inclusive company, both in the magazine and in the company itself.

    56’30 – Income at Aperture at that time: 10% from exhibitions, 30% from sponsorships and grants (individual gifts), and the remaining from book and magazine sales.

    59’25 – He moved back to London, got ill, and continued to work on books.

    1’01 – Evolution in photography: social media. Before, there were no emails. You did things with people you could meet in person. Now it’s a tyranny.

    1’04’10 – His advice for photographers and publishers: Clarify the purpose and narrative. If you find that clarity, nothing can stop you.


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  • Pour la troisiĂšme confĂ©rence rĂ©alisĂ©e devant un public durant les Rencontres d’Arles 2024, je suis entourĂ©e d’Urs Stahel, conservateur Ă  la fondation MAST Ă  Bologne et Arthur Mettetal, historien des chemins de fer et spĂ©cialiste du patrimoine ferroviaire et industriel. Dans cette conversation on est revenu sur les enjeux et leurs rĂŽles de commissaires Ă  travers les exemples des expositions dont ils sont les commissaires aux Rencontres d’Arles cette annĂ©e : « Quand les images apprennent Ă  parler Â» et « Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire Â». Un grand merci Ă  l'interprĂšte Anita Saxena et trĂšs bonne Ă©coute !


    3’30 - Urs Stahel : son travail Ă  la fondation MAST et sa rencontre avec la collectionneuse Astrid Ullens de Schooten Whettnall.

    8’10 – La genĂšse de l’expo « Quand les images apprennent Ă  parler Â» et la construction de la collection A.

    12’50 – Le choix de sĂ©lection des photographies de cette collection composĂ©e de diffĂ©rentes Ă©crire qui rendent compte de la rĂ©alitĂ© des sociĂ©tĂ©s et d’histoires industrielles.

    19’10 – Cette exposition est le travail d’une toute petite Ă©quipe composĂ©e de trois personnes.

    22’ – Arthur Mettetal : dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du fonds de dotation Orient Express et historien. Son rapport Ă  la photo est venu avec un projet, en 2010-2011, sur l’usine Metal Europe, dans le Pas de Calais. Puis rĂ©alisation d’une thĂšse sur l’histoire de l’Orient Express. RĂ©flexions sur l’utilisation de photos pour documenter et crĂ©er de l’archive, mais aussi l’utilisation d’images comme source de l’histoire. RĂ©alisation d’une premiĂšre expo Ă  Arles en 2021, intitulĂ©e : « Orient express & cie. Â»

    25’55 –Valorisation d’une recherche historique en la partageant au plus grand nombre.

    27’21 – La genùse de l'exposition.

    30’ – Comment il a sĂ©lectionnĂ© les Ɠuvres et documents Ă  inclure : un coup de foudre visuel avec une sĂ©rie. Ce n’est pas une histoire exhaustive de la nourriture dans les diffĂ©rentes mobilitĂ©s, mais partir de sĂ©rie d’images et crĂ©er un cheminement intelligible. Histoire des innovations, des chemins de fer, et de la maniĂšre dont les entreprises utilisent la photo pour se crĂ©er une culture de marque.

    32’30 – L’envers du dĂ©cor de l’exposition : Il est tout seul sur le fonds de dotation et il s’est entourĂ© de l’éditeur Textuel pour faire un livre et l’exposition est co-produite par les Rencontres d’Arles. Ils travaillent sur le fonds depuis 6 ans et ils ont eu trois mois pour ce projet.

    36’45 - Arthur Metttal : ses conseils pour des personnes qui souhaitent devenir commissaire d’exposition :

    - Se confronter à des fonds d’entreprises, car ils sont magnifiques et certains sont en danger.

    - Dans une pratique historique, ne restons pas dans les archives papier classiques, mais utilisons l’image comme source de l’image en allant sur le terrain.

    38’30 – Urs Stahel : ses conseils pour de futurs commissaires : On a l’idĂ©e qu’il y a une seule histoire de la photographie, mais il y a une histoire oubliĂ©e de l’histoire, il s’agit de l’histoire de la production et des industries.


    Quand les images apprennent Ă  parler : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1548/quand-les-images-apprennent-a-parler

    Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1550/wagon-bar


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  • Pour la deuxiĂšme conversation enregistrĂ©e en public durant les Rencontres de la Photographie Ă  Arles, j’ai Ă©tĂ© invitĂ©e par la Galerie Triangle Ă  Ă©changer sur la thĂ©matique des rĂ©flexions Ă©cologiques dans le milieu de la photographie. Avec Jean-Matthieu Gautier de la revue EPIC et NadĂšge Tixier-Lamaison de la galerie Triangle nous avons explorĂ© leurs parcours, leurs projets et leurs conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans une revue ou exposĂ©s dans une galerie.


    À travers leurs expĂ©riences, nous avons parlĂ© des rĂ©flexions qu’ils ont pour faire des projets plus Ă©cologiques avec du cĂŽtĂ© de la revue EPIC : ne pas avoir de publicitĂ© pour ne pas pousser Ă  la consommation, imprimer en France et ne pas ĂȘtre disponible en kiosque pour Ă©viter d’envoyer des exemplaires au pilon. Et du cĂŽtĂ© de la Galerie Triangle : essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois, utiliser des papiers et cartels moins chimiques et se dĂ©placer en transport en commun.


    Ce qu’on peut retenir de cette discussion, c’est que personne n’est irrĂ©prochable, mais qu’il est important de faire au mieux avec ses propres contraintes en se posant des questions pour chercher des alternatives plus Ă©cologiques en demandant des conseils autour de soi.


    1’50 – Jean-Matthieu Gautier : sa formation de journaliste, ses premiĂšres expĂ©riences professionnelles puis sa rencontre avec Ambroise Touvet de l’agence Oblique.

    La relance de la revue EPIC et son format de présenter des séries photo au long cours avec la parole des photographes.

    5’15 – Son rĂŽle chez EPIC et le reste de son Ă©quipe.

    6’50 – Ses conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans EPIC.

    11’ - La genĂšse et les Ă©volutions de la revue EPIC avec comme partis pris de ne pas avoir de publicitĂ© et d’imprimer en France.

    13’07 - Leurs rĂ©flexions sur la façon de faire un magazine alignĂ© avec ses sujets engagĂ©s :

    Se dĂ©tacher de l’actualitĂ© immĂ©diate pour se documenter avec un long temps de rĂ©flexion, mais aujourd’hui la rĂ©flexion de faire Ă©voluer ce postulat.

    Pas disponible en kiosque, car cela supposerait des envois au pilon de magazines.

    19’20 - Pour faire le lien avec l’exposition sur les murs oĂč cette discussion a eu lieu, il nous explique comment ils ont prĂ©sentĂ© le travail de Maxime RichĂ© dans les pages d’EPIC.

    25’10 – NadĂšge Tixier-Lamaison : elle nous explique les choix qui ont Ă©tĂ© faits pour prĂ©senter le travail de Maxime RichĂ© dans l’espace d’exposition.

    27’ – Sa formation de photographe et les projets Ă  Londres et en Australie qui l’ont menĂ© Ă  lancer la Galerie Triangle fin 2021 pour crĂ©er un lieu pour tout le monde et pas juste pour les connaisseurs.

    30’ - Ses conseils pour des photographes qui souhaitent rejoindre sa galerie.

    33’20 – Comment a-t-elle choisi le thĂšme de l’exposition « Change » ?

    34’50 – Les rĂ©flexions Ă©cologiques sur la façon de faire des expositions comme celle-ci : un arbitrage entre le beau, ses valeurs personnelles et des raisons Ă©conomiques, car un papier plus Ă©cologique peut coĂ»ter deux fois plus cher qu’un papier classique. Essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois et utiliser des papiers et cartels moins chimiques, se dĂ©placer en transport en commun.


    Le site de la Galerie Triangle : https://www.galerietriangle.com/

    Le site de la revue EPIC : https://revueepic.fr/

    Instagram de la Galerie Triangle : https://www.instagram.com/galerie.triangle/

    Instagram de la revue EPIC : https://www.instagram.com/revueepic/


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