Avsnitt

  • À travers la carrière du directeur artistique François Hébel, on parcourt l’histoire du paysage photographique français de ces quarante dernières années. François Hébel revient sur l’ensemble de sa carrière dans différentes institutions emblématiques de la photographie : directeur des rencontres de la photographie à Arles en 1986-1987 et entre 2001 et 2014, premier directeur de Magnum Photos de 1987 à 2000, mais aussi vice-président de l’agence Corbis en 2000, directeur de la fondation HCB et cofondateur de la Biennale Foto/Industria à Bologne. On a parlé d’innovation dans le milieu culturel et de comment s’entourer de la meilleure équipe pour aller au bout de nos projets. Bonne écoute !

     

    2’36 – Né dans une famille de journalistes et de comédiens. Des études en communication après un passage à la fac de médecine.

    4’26 – « La direction artistique c’est un métier où on passe sa vie à dire « Non » à des projets artistiques. Et quand je disais « Oui », on me disait souvent que je n’aurais pas les moyens d’aller au bout de son projet, mais je répondais au photographe que ce n’était pas leur affaire.

    5’18 – Son passage aux galeries photo de la Fnac dans les années 80.

    7’- Son premier passage aux Rencontres d’Arles dans les années 80 et ses recherches pour avoir de nouveaux lieux d’expositions.

    11’20 – Son rôle en tant que premier directeur de Magnum Photos alors que l’agence était en faillite potentielle. Les projets qu’il a mis en place : relancer l’actualité, numériser les fonds de Magnum, diversifier avec des projets corporates, des bourses et des éditions.

    18’50 – Son passage chez Corbis en tant que vice président pour fusionner toutes les rédactions en Europe et son retour aux Rencontres d’Arles de la Photographie en 2001 jusqu’en 2014.

    25’30 – Sa philosophie d’ajouter des projets tous les ans (prolonger la durée des rencontres jusqu’en septembre pour avoir les scolaires et mettre en place des lectures de portfolios officiellement) hérités de l’innovation qu’il avait vue à la Fnac.

    33’ – Ses conseils pour aller au bout des projets en ayant la meilleure équipe : Prendre des gens balaises pour les postes clefs, s’entourer de gens qui veulent piquer notre place et déléguer.

    35’30 – La raison qui l’a poussé à démissionner de son poste de directeur des Rencontres d’Arles et son poste à la Fondation HCB et à la Biennale de Bologne.

    50’ - Les évolutions dans la photo :

    -       Tous les 10 ans, il y a une transformation technique.

    -       Les lieux de débats et d’expos se sont multipliés.

    -       Le boom de l’édition : avant un photographe avait 3 livres dans sa carrière en 2000 exemplaire, et maintenant on peut faire son propre livre.

    -       Avant le tirage était la fin en soi alors que maintenant il y a plus de formats.

    -       Intérêt pour la photographie vernaculaire. 

    56’57 – « L’artiste ce n’est pas un marginal, il est au centre de la société. C’est une éponge de son temps et les opérateurs culturels doivent être perméables aux nouvelles possibilités des artistes ».

    57’57 – « La plupart des artistes pensent qu’ils sont les seuls à être en dehors du circuit auquel ils devraient appartenir. Ils sont parfois timides et les entreprenants ne sont pas les meilleurs. Il faut oser. On dira non souvent, car cela ne correspond pas à ce que la personne cherche à ce moment-là, mais il faut continuer. »


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  • -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.

    « C’est l’écosystème qui me nourrit, ce n’est pas le magazine lui-même. » Avec l’éditeur Benoit Pelletier, je souhaitais qu’on aborde le sujet de l’écosystème qu’il a construit autour de son magazine Process. Dans cet entretien, on est revenu sur ses différents projets de directeur artistique, éditeur et photographe. Ses débuts dans le secteur de la musique classique auprès d’artistes, puis de salles de spectacles jusqu’à ses projets avec des institutions culturelles comme le Musée national de la Marine à Chaillot. Nous avons abordé la genèse de son magazine Process qui a débuté comme un hobby et a trouvé sa place au fil des numéros dans l’écosystème de la photographie. J’espère que cet épisode vous plaira et vous inspirera dans vos projets, bonne écoute !


    Le site de Benoit Pelletier : https://benoitpelletier.com/


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  • « C’est l’écosystème qui me nourrit, ce n’est pas le magazine lui-même. » Avec l’éditeur Benoit Pelletier, je souhaitais qu’on aborde le sujet de l’écosystème qu’il a construit autour de son magazine Process. Dans cet entretien, on est revenu sur ses différents projets de directeur artistique, éditeur et photographe. Ses débuts dans le secteur de la musique classique auprès d’artistes, puis de salles de spectacles jusqu’à ses projets avec des institutions culturelles comme le Musée national de la Marine à Chaillot. Nous avons abordé la genèse de son magazine Process qui a débuté comme un hobby et a trouvé sa place au fil des numéros dans l’écosystème de la photographie. J’espère que cet épisode vous plaira et vous inspirera dans vos projets, bonne écoute !


    2’10 – Son environnement familial, ses études de droit et sa première société dans le secteur de la musique classique.

    6’30 – Le moment fondateur où il a fait l’identité visuelle et la photo pour la scène nationale du Manège à Reims.

    10’08 – Le développement de sa première structure avec jusqu’à 40 clients en même temps.

    12’ – Le fonctionnement des appels d’offres.

    15’30 – La genèse du magazine Process comme expression naturelle de ce qu’il a toujours fait : lier le fond et la forme.

    20’15 – La séparation avec son associé et l'évolution de ses projets en tant que Directeur Artistique.

    27’35 – "Le magazine a un effet vitrine qui peut donner l'envie à des personnes de nous consulter pour des projets d'éditions ou de direction artistique."

    28’25 – Ses projets de DA et de création de contenu pour des institutions culturels avec par exemple le Musée national de la Marine, à Chaillot.

    30’ – L’exemple de sa collaboration avec Taittinger avec la production de contenu en ligne.

    36’26 – Son écosystème : édition / DA et photographie.

    45’48 – Les évolutions dans l’édition photo : "Le public est de plus en plus averti et attend d’avoir un bel objet, car il n’y a pas que les images qui comptent." "La perception du prix du livre est toujours inférieure à ce qu'il coûte vraiment."

    55’40 – Ses conseils pour faire un magazine : "Il ne s’agit pas d’avoir une bonne idée, mais de l’insérer dans un contexte. Il faut trouver une place qui est la nôtre et se demander ce qu’on apporte."


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    Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !


    Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/


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  • Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !


    1’ – Son environnement familial, sa formation en science politique et histoire et son début de carrière professionnelle dans la communication en Angleterre et Paris.

    7’ – Le début de sa galerie : « J’ai arrêté mon agence en communication car j’avais l’impression d’être le seul passionné dans la salle. J’ai décidé de créer ma galerie car dans une galerie, on parle entre passionnés. »

    9’10 – Les débuts de la galerie à l’hôtel de Reitz et l’histoire de son exposition inaugurale avec Ralph Gibson.

    21’30 – Son ambition : envie de se hisser au rang d’un leader. « Le propre des galeries est d’être des petites entreprises qui agissent comme des grandes. Il existe une dichotomie entre la taille des entreprises dans le marché de l’art et le marché mondial que l’on vise. »

    28’- Pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain.

    34’ – Une des particularités de sa galerie : une librairie curatée qui se renouvelle tous les trois mois.

    44’ – Ses stratégies pour rester pertinent dans le marché de l’art : création d’une veste de galeriste et travail sur une identité olfactive diffusé dans la galerie/librairie et dans les foires.

    50’30 – Les défis auxquels il fait face en tant que galeriste :

    Mutation des collectionneurs : travail pour se rapprocher des collectionneurs millennials pour maintenir sa clientèle de collectionneurs.

    Mutation technologique qui touche le métier de galeriste et l’art lui-même car on est dans une période de changement technologique importante et le galeriste est un passeur entre le monde de la création et les acheteurs.

    Instabilité politique. Quand on veut promouvoir des artistes à l’étranger, on doit se poser la question, est-ce qu’on fait les bons choix ?

    57’40 – S’il était artiste et qu’il souhaite montrer son travail à un galeriste, il essayerait de faire une liste des galeries qui correspondent à son travail, aller à toutes les expos, comprendre comment la galerie fonctionne et rencontrer les autres artistes de la galerie. Je ferai des expos collectives en centre d’art et je ferai des livres avant même d’être en galerie. Un galeriste ne va pas montrer d’artiste qui n’a jamais montré son travail.

    1’00'00 – Ses conseils pour les jeunes ou futurs galeristes : C’est un métier très difficile économiquement et la passion ne suffit pas. Il faut avoir le cœur solide et le sens des responsabilités.


    Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/


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    Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !


    Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/


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  • Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !


    2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.

    7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.

    9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.

    14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.

    17’20 – Le futur du podcast.

    25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.

    30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.

    33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.

    35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.


    Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/


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    David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’il a compris) d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !


    Le site de David Fourré, édition Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/


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    Et merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.


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  • David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !


    1’30 – Un amoureux des livres et en particulier des livres de littérature. Sa rencontre avec les éditions du Rouergue et Olivier Douzou.

    4’30 – Olivier Douzou lui apprend à considérer le livre comme un terrain de jeu. Pas des contraintes trop formelles. Tant qu’il y a du sens.

    7’ – La genèse de l’édition Lamaindonne.

    10’35 – Les étapes de création de ses livres.

    12’10 – Ce que j’aime ce sont les photos « sales ». Où l’on voit le regard. Il faut regarder au-delà de l’image.

    12’50 – Le rôle de l’éditeur est d’essayer de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’on a compris) de la série photo et de faire des choix de format/papier/mise en page/la place du texte…

    23’35 – « Un bon livre photo est un livre habité qui ne nous rend pas froids » On travaille avec des séries photos qui font un tout. On ne travaille pas sur une image iconique, mais sur un flux… comme dans un livre littéraire.

    26’40 – Très peu de gens achètent des livres photos. Mais bizarrement il y a de plus en plus de livre photos et d’éditeurs de qualité.

    27’40 – Les actions de l’association qui promeut le livre photo français : France Photo Book. (Travail auprès du ministère de la culture, diffusion du livre photo français à l’international….)

    34’15 – L’économie du livre photo : Faire des livres photo ce n’est pas rentable, car objet très cher à fabriquer (beau papier, photogravure, imprimeur cher, car cher à faire) et petit tirage, car peu d’acheteurs. Les recherches de financements sont essentielles et la plupart des régions aident les éditeurs.

    37’ – Un des tabous dans le livre photo : Parfois des photographes payent pour faire un livre avec un éditeur.

    37’50 – Une des solutions pour tirer en plus d’exemplaire : faire des livres en co-éditions avec des éditions qui ne sont pas basés en Europe.

    39’ – Ses projets d’éditions dans en 2024.

    48’48 – L’intérêt des livres photo c’est de travailler à deux : photographe et éditeur.

    50’ – Conseils pour des éditeurs : il ne faut pas se lancer tout de suite dans le livre photo en indépendant.


    Le site de Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/


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    Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !


    Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/


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  • Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !


    2’08 – Son enfance dans le Berry, sa première carrière d’institutrice et sa rencontre avec la radio.

    6’52 – La genèse de son émission à France Inter Regardez voir de 2012 à 2019.

    18’35 – Les dessous de son podcast Écoutez voir produit par wave.audio.

    23’ – Ses projets actuels : les ateliers médias à l’école des Métiers de l’information et avec l’œil de l’esprit. Ses portraits sonores dans le cadre du travail de Mélanie Wenger à la prison de Fleury-Mérogis.

    29’30 – Son rôle de vice-présidente du pôle photographique « Stimultania » à Strasbourg et Givors.

    32’- Les évolutions : sujets de l’intelligence artificielle, le retour à des techniques anciennes et le travail de certaines personnes à montrer autant les femmes que les hommes photographes.

    33’ – Les évolutions dans le photojournalisme : « J’ai l’impression que la photo documentaire est en train de prendre le pas sur le photojournalisme. »

    44’ – Ses conseils pour s’adresser à un journaliste lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique.


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  • Valérie Fougeirol a été directrice de Paris Photo et de la Galerie Magnum et dans cet entretien on est revenu sur ses apprentissages dans le milieu de la photographie mais aussi des anecdotes et certaines rencontres marquantes qu’elle a fait tout au long de sa carrière. Elle nous a aussi donné des pistes de réflexions sur la fin de la photographie avec le passage à l’image à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation. Nous avons aussi abordé comment aborder des commissaires ou des galeries si on veut montrer son travail. Bonne écoute !


    1:20 – Son enfance auprès d’un père distributeur de livres et ses études à l’école du Louvre.

    6:50 – Ses premières expériences à la Galerie Maeght et au Salon de l’édition d’art.

    18:30 – En 2001 elle rejoint les équipes de l’entreprise Reed exhibition (RX) à la Fiac pour monter un fichiers collectionneurs et leurs faire un parcours. Et en novembre 2001, RX rachète la foire Paris Photo et elle accepte d’être la directrice de cette jeune foire avec deux objectifs : développer le marché de la photographie et s’intéresser aux scènes étrangères.

    28:30 – Elle revient sur le processus de sélection depuis le comité la prospection des galeries au Printemps jusqu’à l’événement en revenant sur les choix décisifs de l’implantation des galeries sur le salon

    32:15 – Son travail de fond à Paris Photo : créer l’attention du public tout en étant proche des galeries pour en faire venir d’autres. Elle a quitté Paris Photo car elle ne souhaitait pas déménager la foire au Grand Palais pour ne pas perdre de sa qualité car le volume est très grand et qu’elle souhaitait passer la main après sept années.

    35:50 – Elle a proposé des développements à l’étranger : New York et Londres avec une édition Paris Photo à Londres en 2007.

    39:40 – En 2008, elle rejoint le collectif Magnum pour développer la galerie Magnum. Elle revient sur ses rencontres avec des photographes et son coup de foudre pour le travail de Robert Capa.

    54:30 – En 2012, elle rejoint le collectif Temple pendant un an et demi où elle participe à des éditions et des expositions et en novembre 2014, elle est la commissaire du mois de la photo.

    1:02:01 – Elle réalise des ateliers avec Eyes in progress en stratégie du développement du photographe auteur en milieu artistique pour aider les photographes à embarquer les outils à leurs dispositions. Mais aussi se poser des questions sur leurs identités, leurs cheminements, les aspects poétiques-politiques et le fond/la forme de leurs recherches.

    1:04:01 – Les trois grandes expositions américaines : Family of man – Mirrors et New Topographics.

    1:06:15 – « J’adore la matérialité de la photo mais on est à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation on va vers une fin de la photo. On est désormais dans l’image. Le livre fait de la résistance. »

    1:10:10 – « Un artiste prend des risques et il se questionne sur un chemin qui lui est propre. »

    1:11:10 – Ses conseils pour les photographes qui veulent rencontrer des commissaires ou des galeristes.

    1:14:15 – Exemple de l’expo Rubis Mécénat durant Photo Saint Germain avec deux photographes sud-africain qui ont parlé de leurs traumas.


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  • Le tireur Guillaume Geneste revient dans cet entretien sur ses expériences professionnelles avant de lancer son laboratoire La chambre noire en 1996, les évolutions dans son métier, mais aussi les relations construites dans le temps avec des photographes comme Bernard Plossu et Sabine Weiss. On a parlé de couleur de tirage et de l’importance de l’arrivée du scanner, mais aussi de ses autres projets d’écriture et des projets avec son association de tireurs. Bonne écoute !


    2’- L’origine de sa passion pour la photographie et sa formation

    4’ – Ses expériences professionnelles : avec Marc Bruhat au laboratoire Sillages, au laboratoire Contrejour et le lancement de son laboratoire en 1996

    6’ – Les évolutions de son laboratoire et l’arrivée des deux autres salariés : Guillaume Fleureau et sa fille Chloé Geneste

    7’50 – Comment faire un bon tirage

    10’15 – Les relations construites dans le temps avec les photographes (par exemple Bernard Plossu)

    11’02 – « On parle de couleur en noir et blanc c’est plus jolie que le mot rendu et c’est plus large que le mot contraste ou le mot douceur qui peut être utilisé pour des raisons différentes en tirage »

    12’28 – Un bon tirage est un tirage qui plait au photographe et au tireur

    13’50 – Les deux évolutions dans son métier : la vente de tirage de collection et l’arrivée du scanner

    18’08 – Les évolutions dans l’édition

    20’20 – L’écologie dans son travail

    22’40 – Ses autres projets : l’écriture sur la photographie et son association de tireurs (la genèse du projet et les projets en cours)

    26 – Ses conseils pour les tireurs


    Site de la chambre noire : http://www.la-chambre-noire.com/

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  • Dans l’entretien avec l’activiste Pascale Obolo on parle de son engagement d’écrire une histoire de l’art plus inclusive qui traverse tous ses projets professionnels : la revue d’art Afrikadaa et les deux foires African Art Book fair et Missread. On revient sur ses débuts dans le hip-hop dans les années 90 et son passage des mots aux images via des clips musicaux. Elle aborde l’évolution de la représentation des corps noirs dans la photographie et de l’importance « d’encourager les jeunes issus des minorités d’écrire leurs récits avec leurs points de vus, car l’histoire a été écrite à leurs places ». Bonne écoute !


    1’15 – « Je me définis avant tout comme une activiste »

    2’45 – Ses débuts dans le milieu hip-hop dans les années 90

    10’20 – Le passage des mots vers l’image en mouvement via le clip.

    16’30 – La genèse d’Afrikadaa et ses évolutions

    22’ – La création et les projets de l’African Art Book Fair 

    30 – La foire Missread : son rôle dans ce salon et les projets des dernières éditions.

    47- La représentation des corps noirs dans la photographie.

    50’50 – Son activation de l’exposition de la photographe Zanele Muholi à la MEP avec Marie Docher.

    56’40 – Ses conseils pour les photographes et les éditeurs


    Site d'Afrikadaa : http://www.afrikadaa.com/

    Site d'African Art Book Fair : https://africanartbookfair.com/

    Site de Missread : https://missread.com/


    Site des Voix de la Photo : https://lesvoixdelaphoto.dorik.io/

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  • Dans cet épisode, Florian Ebner, Chef du Cabinet de la Photographie au Centre Pompidou, revient sur son parcours professionnel : sa formation à l’école de la photographie à Arles et en histoire de l'art en Allemagne, ses expériences professionnelles dans des institutions allemandes et son arrivée en 2017 au Centre Pompidou. Il aborde son quotidien de conservateur, ses pistes de réflexion pour faire des expositions plus écologiques, les acquisitions de son département, mais aussi sa vision sur l’utilisation des nouvelles technologies dans le milieu de la photo. Bonne écoute ! 


    1’ – Une famille d’amateurs et passionnés de photographes

    2’30 – Sa formation : École nationale de la Photographie à Arles et des études d’histoires de l’art et d’histoire à l’université de la Ruhr Bochum en Allemagne et en même temps pédagogue à la fondation du Musée Folkwang à Essen

    8’20 – Ses expériences professionnelles en Allemagne : enseignant à l’Académie des arts visuels de Leipzig, en charge de la collection photo de la Berlinische Galerie, directeur du Musée de la photographie de Braunschweig et directeur de la collection de photographie du musée Folkwang à Essen

    10’ - Son arrivée au Centre Pompidou en 2017 

    15’45 – Le métier de conservateur au Centre Pompidou : élargir les collections du musée et monter des expositions

    21’20 – Les clefs pour faire une bonne exposition

    23’ – Une piste pour faire une exposition plus écologique : faire moins voyager les œuvres et avoir une réflexion sur les scénographies

    25’45 – Les projets hors les murs du Centre Pompidou pendant sa fermeture de 2025 à 2030 

    29’ – Les acquisitions au Centre Pompidou : les deux comités annuels, le Groupe des Amis pour la Photo du Centre Pompidou, la commission, la réflexion autour des collections et à qui ils achètent

    34’44 – "Les galeries doivent devenir plus réalistes par rapport à leurs estimations de prix. Ce n’est plus la situation des années 90. Il faut consolider le marché et accepter qu’on ne soit plus dans cette situation"

    39’ – Son regard sur le passé et le futur du milieu de la photographie 

    43’10 – Ses conseils pour des photographes et commissaires d’expositions 


    Copyright : Manuel Reinartz

    Lien du site du Centre Pompidou : https://www.centrepompidou.fr/fr/


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  • Pour cet épisode un peu spécial, je suis passée de l'autre côté du micro et je reviens sur mon année au Japon en vous expliquant les projets que j'ai réalisé, mes apprentissages sur le milieu de la photo et de l'image mais aussi mes projets pour le podcast en 2024. Hâte d'avoir vos retours sur cet épisode ! Bonne écoute !


    01'30 - Mes projets au Japon : missions en édition de livres, Kyotographie, Villa Kujoyama et écriture d'articles

    05'30 - Mes apprentissages sur le milieu de la photo et de l'image au Japon : le marché de la photo, artisan/artiste et l'édition

    11'30 - Le futur du podcast


    Lien de l'Instagram de Fact.atelier : https://www.instagram.com/fact.atelier/

    Lien de la boutique de Fact.atelier : https://www.etsy.com/fr/shop/FACTatelier


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  • In this episode, we explore Yoshiko Suzuki's curator journey at the TOP Museum in Tokyo. From her education at Nihon University to photojournalism and her career at the TOP Museum since the opening of the Museum. We delve into her role as a curator and the landscape of photography museums in Japan. I hope you will like this episode in English!


    1' - Introduction to Yoshiko Suzuki's photographic journey from her photography studies at Nihon University ...

    8' - ... To photojournalism and the TOP Museum

    12' - The birth of the museum and Suzuki's role in the archive and as a curator

    17’40 – Audience shifting perspectives: from technical focus to artistic appreciation

    21’30 – Photography museums: a limited landscape in Japan

    31’ – The TOP museum is : 3 news exhibitions each month and a team of 12 curators full-time.

    42' - Despite the advancements in IA, she emphasizes the enduring importance of studying the history of photography


    TOP Museum : https://topmuseum.jp/e/contents/index.html


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  • In this episode, we delve into the fascinating journey of Lothar Schirmer, a publisher and art collector. We explored his post-war childhood in Cologne, his venture into art collecting, and his encounter with Cy Twombly and Joseph Beuys. We discovered the evolution of his publishing company and the story of his first book with Bernd and Hilla Becher then Helmut Newton and Robert Mapplethorpe. The episode further explores notable books such as the Nick Knight and the Yves Saint Laurent books. Schirmer also imparts advice for emerging publishers, offering insights for industry professionals. I hope you will like this episode in English!


    01’40 – Childhood in Post-War Cologne

    06’ – Teenage Passion: A Journey into Art Collecting (in particularly Cy Twombly and Joseph Beuys)

    11’ – Publisher by Passion: Fostering Relationships with Artists

    13’ – The Genesis of His Publishing Company

    20’ – His First Book: Collaboration with Bernd and Hilla Becher

    28’ – Iconic Encounters: Helmut Newton and Robert Mapplethorpe

    32’ – Nick Knight Book

    34’ – Yves Saint Laurent: The Story of the Book

    45’ – Evolution of IT in Publishing

    53’ – Advice for Emerging Publishers


    Schirmer Mosel Website : https://www.schirmer-mosel.com/

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  • In this episode, we explore the career of Japanese gallerist Katsuya Ishida. From his early background to the establishment of MEM, we trace the gallery's evolution, highlighting key moments and exhibitions. Gain insights into Japan's art movements and MEM's distinctive showcases, offering valuable perspectives for photography professionals. I hope you will like this episode in English!


    2' – Katsuya Ishida’s background before establishing his gallery

    3’30 – The inception of MEM: A homegrown art endeavour

    8’ – Unraveling the Kansai New Wave movement

    12’ – Milestones: MEM's journey to prominence

    14’ – Crafting MEM: The story behind the gallery's physical space

    16’ – MEM's diverse gallery program

    20’ - Evolution in Ishida's role as a gallerist

    26’ – Decoding MEM: Its significance and unique identity

    30’ – Sneak peek into future projects and exhibitions

    37' – Expert insights: Navigating the art and photography realm


    MEM website: https://mem-inc.jp/e/


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  • Dans cet épisode, Christine Cibert partage son expérience et ses apprentissages de commissaire et journaliste culturelle aux quatre coins du monde. Elle a vécu dans divers pays, dont le Cambodge, le Japon, le Mozambique, la Corée du Nord, la Suisse, et récemment en Tunisie. Christine aborde les défis de la réadaptation constante et la création de réseaux à chaque déménagement. Elle nous glisse des conseils pour préparer une expatriation et en particulier sur les questions à se poser pour appréhender une nouvelle scène artistique. À travers le récit de ses projets, elle nous raconte des rencontres mémorables avec des artistes tels qu'Eikō Hosoe et Nicolas Bouvier. Elle revient également sur son expérience à la Fondation Caron et l’exposition Wordpress Photo qu’elle a organisées au Mozambique avec Alida Akkerman. Christine nous dévoile également son projet d’exposer en Tunisie le photographe suisse Fred Boissonnas.


    Retrouvez ici le site internet de Christine Cibert : https://www.christinecibert.com/


    On a cité :

    Sae Cardonnel Shimai (https://www.linkedin.com/in/sae-cardonnel-shimai-60a487135/?originalSubdomain=jp)

    Kyotographie (https://www.kyotographie.jp/)

    Alida Akkerman

    Wordpress Photo (https://www.worldpressphoto.org/)

    Eikō Hosoe

    Nicolas Bouvier (https://www.linkedin.com/in/nicolas-bouvier-68605925/)

    Fondation Caron (https://www.fondationgillescaron.org/)

    Frédéric Boissonnas


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