Spelade
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L’After foot, c’est LE show d’après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d’après-match et les débats animés entre supporters, experts de l’After et auditeurs.
RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit). -
L’After foot, c’est LE show d’après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d’après-match et les débats animés entre supporters, experts de l’After et auditeurs.
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Quand un collectif d'artistes estoniens a annoncé vouloir révolutionner le RPG occidental avec son premier titre ultra-ambitieux, on avait de quoi être sceptique. Et pourtant. Avec son univers unique entre le steampunk et la commune de Paris, son héros brisé mais original et son million de mots, Disco Elysium a effectivement su proposer une relecture moderne - voire post-moderne - du genre. C'est une oeuvre qui met en parallèle les méandres de l'esprit et ceux de la politique, des jeux de pouvoirs intimes à ceux qui façonnent le monde. Avec quelques jets de dés et beaucoup de poésie.
"Un jour, je serai de retour près de toi".
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A la fin des années 2000, Electronic Arts souhaite consolider sa position dans l'industrie en lançant plusieurs franchises, dont Dead Space. Imaginé comme un Resident Evil 4 dans l'espace (avec un soupçon de System Shock), le jeu de Visceral Games a marqué la 7ème génération de consoles par ses idées et son ambiance. Le "démembrement stratégique", les grincements de l'Ishimura, l'interface diégétique... Si l'aspect horrifique tend à s'estomper sur la durée, il reste un jeu terriblement efficace et bien mené. Mais au pays des éditeurs l'argent est roi, et malgré un virage plus action avec ses suites, Dead Space n'atteindra jamais les exigences commerciales d'EA et son studio ne s'en relèvera pas vraiment.
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Après plusieurs mois d'absence, reprise d'After Hate par la grande porte. On a profité du passage de Benji en France pour enregistrer. C'est des épisodes rares, collectors, qui préfigurent un peu le retour d'After Hate au rythme régulier. On y parle littéralement de tout. L'ambiance est un peu différente mais très chaleureuse. (il y a un bonus de fin et un bonus de bonus de fin)Note: enregistré mercredi matin, donc pasdepolitiquedanscepodcast, littéralement.
Les recommandations:
Benji: Le film The outfitDaniel: la comédie En même temps qui vient de sortir au cinéma. Et d'autres choses.Et l’on remercie, bien entendu, tous nos généreux donateurs sur Patreon !
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Les Illuminati. Les Aliens. Les virus fabriqués par le gouvernement. Et si tout ça, c'était vrai ? Non, ce n'est pas le début d'une sombre vidéo des tréfonds de Youtube mais bien le pitch de Deus Ex qui s'amusait en 2000 à brasser tout le folklore conspirationniste pour nourrir son univers cyberpunk. Premier jeu dirigé par Warren Spector, il incarne les ambitions de ce dernier à savoir : proposer une aventure immersive, à la croisée entre le jeu de rôle et le shooter. Un titre dans lequel nos choix participeraient à la construction du récit et ouvriraient des possibilités d'interactions inattendues. Pour entamer cette saison 4, Fin Du Game revient sur ce titre culte, pierre angulaire de tout un pan du jeu vidéo PC.
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Quand Pokémon Or et Argent débarquent en France, la Pokémania bat son plein. La formule de Game Freak est bien identifiée, les cartes se vendent par palettes et Pikachu est déjà une star. Mais cette seconde génération enfonce le clou avec une nouvelle garnison de monstres de poche, quelques améliorations bienvenues et un twist de fin de jeu mémorable. Et surtout, même si elle est d’abord envisagée comme la dernière, elle démontre aux joueurs comme à ses créateurs que le cycle pourrait durer encore longtemps. Ce qu'il fera bien finalement. Encore et encore. Retour sur les débuts de la franchise la plus rentable de tous les temps.
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Comment Call Of Duty est-il devenu Call Of Duty ? Comment un simple jeu de guerre est-il devenu cette franchise qui brasse des milliards chaque année ? Si la réponse s'étale sur plus de quinze ans, la sortie de Modern Warfare en 2007 aura clairement fait passer la série d'Activision dans une autre dimension. Un cadre moderne, une campagne solo rythmée (et nuancée) comme un blockbuster hollywoodien ainsi qu'un mode multi-joueurs en ligne accrocheur ; avec ce quatrième opus, Infinity Ward voulait s'imposer comme le maître du FPS grand public et la mission est accomplie. Mais la guerre ne meurt jamais... surtout quand il y a des gros sous derrière et la série Call Of marque autant par ses succès que ses manigances internes. Fin Du Game revient sur la poule aux d'œufs d'or fraichement adoptée par Microsoft.
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Après A Way Out, Josef Fares et son studio Hazelight ont remis le couvert de l'aventure 100% co-op, toujours avec l'appui d'Electronic Arts. Adieu les taulards en cavale et bonjour le couple qui bat de l'aile, avec cette fois-ci l'objectif de FIX YOUR RELATIONSHIP ! Une histoire de rabibochage qui ne vole pas bien haut (et passe même carrément sous le niveau de la mer par moment) mais qui compense son écriture par une diversité de mises en situation totalement inédite dans un jeu pensé pour être fait à deux. It Takes Two enchaîne les idées de gameplay à un rythme incessant et une exécution impeccable, s'imposant naturellement comme un indispensable du genre. Note : Aucun éléphant n'a été blessé pendant l'enregistrement de cet épisode.
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Diablo 3 a eu un cycle de vie pour le moins chaotique. Attendu de pied ferme (et fourche à la main) par les fans historiques, sa sortie en 2012 fut un évènement, autant pour ses millions de précommandes que sa fameuse erreur 37, privant des hordes de barbares et autres chasseuses de démons de se lancer dans une nouvelle course au loot pendant une bonne semaine. Et puis il y a eu le scandale de l'Hôtel des ventes, qui a vampirisé l'expérience deux années durant, jusqu'à ce que l'extension Reaper Of Souls vienne faire le ménage avec un rééquilibrage assez radical. Mais là encore, l'orientation prise par Blizzard divise. 10 ans après, Fin Du Game revient sur l'épisode mal-aimé de cette série hyper-influente et se demande quelle est la place de Diablo dans le jeu vidéo moderne.
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Avec Arkham Asylum, Rocksteady avait prouvé que la licence Batman pouvait parfaitement s'exprimer dans le jeu vidéo. Grâce à un système de combat chorégraphié comme un jeu de rythme, des séquences d'infiltration en mode prédateur et quelques enquêtes avec la vision detective, le premier épisode de la série cochait déjà toutes les cases de l'incarnation parfaite du chevalier noir. Ou presque. Il manquait encore sa façon typique de virevolter entre les immeubles la cape déployée, ce qui dictera justement toute la conception du monde ouvert d'Arkham City. Le résultat est une véritable réussite, avec une ville construite comme un parc d'attraction dans lequel on papillonne (ou plutôt chauve-sourise ?) en mettant à mal les plans de chaque vilain ayant eu le malheur d'être intégré au jeu. Une nuit comme une autre pour M. Wayne, mais un grand nom pour le AAA.
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Malgré sa taille et son ancienneté, le studio Asobo reste peu connu du grand public. A Plague Tale : Innocence est clairement là pour changer ça. En s'inspirant des champions de la narration par l'action que sont Naughty Dog, les bordelais ont tenté de percer sur le marché du "double-A" avec une aventure mature mais accessible. Une histoire de famille dans un moyen-âge pestilent où les rats grouillent et les cadavres s'entassent. Est-ce une réussite ? Réponse dans ce nouvel épisode.
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Pour finir cette première saison de Fin Du Game, l'équipe grimpe en haut de la montagne nommée Breath Of The Wild. Jeu-surprise, jeu-phénomène, cet opus revient à l'essentiel de la saga Zelda, tout en envoyant balader certains de ses codes les plus profonds. En s'inspirant de Skyrim et de Minecraft, l'équipe de Fujibayashi a donné un nouveau sens au "monde ouvert" : un espace de jeu qui nous appelle sans cesse à l'explorer et le comprendre.
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Soldats Inconnus : Mémoires de la Grande Guerre est un projet atypique. D'abord, il est le témoin de cette période étrange au milieu des années 2010 durant laquelle Ubisoft, comme d'autres gros éditeurs, tentait de percer sur le segment "indé" en mobilisant un de ses studios sur un titre à l'envergure plus réduite. C'est aussi un jeu qui fait le choix d'aborder la première guerre mondiale sous un angle plus humain, plus coloré que ce à quoi le JV nous avait habitués sans pour autant détourner le regard de l'horreur du conflit. Et si on peut lui reprocher d'être un peu trop scolaire dans son approche du narrative design, le petit jeu du géant français trouve un équilibre dans sa tonalité qu'on peut encore saluer aujourd'hui.
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Comment mieux commencer 2020 qu'avec Bioshock ? Rapture, les Big Daddies, Andrew Ryan... L'univers imaginé par Ken Levine et son équipe a marqué le jeu vidéo et reste une de ses références les plus nobles. Et même si certains aspects de sa proposition peuvent paraitre archaïques aujourd'hui, on peut y déceler de nombreux traits de design qui ont dessiné le AAA dans la dizaine d'années qui ont suivi sa sortie. Il était donc temps pour Fin Du Game de s'y replonger.
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Pour fêter son premier anniversaire, Fin Du Game revient sur un des titres les plus marquants de la décennie : UNDERTALE. Derrière son esthétique modeste et ses airs de JRPG sortis tout droit des années 90, le jeu de Toby Fox est en réalité une réflexion ambitieuse sur la confrontation et l'empathie dans la vie comme le jeu vidéo. Un conte ludique qui n'oublie pas de nous rappeler que toutes nos actions ont des conséquences. Ah et puis la musique déchire.
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Des extra-terrestres qui se transforment en tabouret et des histoires d'amour en apesanteur : c'est le programme de ce nouvel épisode de Fin Du Game consacré à Prey. Sorti en 2017, le dernier titre du studio Arkane est un "immersive sim" ambitieux, dans sa structure comme dans son système de jeu. Arrive-t-il à tenir la distance ? Réponse en une heure.
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Personne n'y croyait et pourtant, en 2016, la licence DOOM a fait un retour fracassant. Alors que le FPS moderne s'embourbait dans les scripts et les combats sous couverture, ID Software nous a rappelé qu'un shooter pouvait être frénétique et nerveux. Comment ce reboot fait-il le pont entre les origines de la saga et le jeu vidéo contemporain ? Réponse dans Fin Du Game, l'émission qui va au bout des jeux.
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![[Rediffusion] L'assassinat de Trotski](https://is4-ssl.mzstatic.com/image/thumb/Podcasts115/v4/71/c1/f3/71c1f388-6054-a246-8f93-839e717eb591/mza_16603609089664908700.jpeg/80x80bb.jpg)
