Spelade
-
Russie, février 1917. La révolution bolchévique renverse la dynastie des Romanov. Qu’elles soient aristocrates, intellectuelles ou partisanes du régime tsariste, elles sont nombreuses à tracer la route de l’exil. Malgré un itinéraire bien souvent chaotique et synonyme de misère, certaines autrices trouvent la force d’écrire le déracinement dont elles souffrent à travers leur production littéraire. Marina Tsvetaïeva, Nina Berberova et Irène Némirovsky en sont des figures importantes. Mais quelle place occupent-elles dans le paysage littéraire de l’émigration ? Comment dépeignent-elles l’expérience de l’exil ? C’est l’objet de ce nouvel épisode du podcast littéraire Les Courbes Graciles. Certains éléments d’intrigue seront révélés.
Principales oeuvres mentionnées :
- Nous autres réfugiés, Hannah Arendt
- Le ciel brûle, Marina Tsvetaïeva
- C'est moi qui souligne / L'accompagnatrice / De cape et de larmes, Nina Berberova
- David Golder / Les chiens et les loups / Le vin de solitude, Irène Némirovsky
Musique :
https://icons8.com/music/author/dream...
https://icons8.com/music/author/the-owl