Avsnitt

  • L'agence MARCEL que co-préside Pascal Nessim vient de remporter un nouveau Grand prix aux Cannes Lions de la publicité 2021, faisant de l'agence "la plus primée des petites" pour la France.

    Sous ses faux airs d'ex jeune premier des années 40 ayant survécu à la nouvelle vague, Pascal surfe donc toujours sur les crêtes de la création digitale comme traditionnelle en 2021.

    Au temps où le minitel Mittérandien crépitait encore, il Co-fondait l’agence ID, devenue Publicis.net lors de sa revente au groupe Publicis en 2000. Il a su prendre le virage du digital bien avant que celui-ci ne devienne une autoroute saturée.

    Depuis 11 ans, il co-préside l’agence multi primée Marcel, un prénom mythique ici qui inspire partout le respect autant que l’envie de se fondre dans la peau d’Arsène Lupin (clin d’œil à la petite campagne « Netflix » de ton agence) pour en subtiliser les secrets.

    On parle dans ce podcast de l'attractivité du monde de la publicité pour les jeunes générations, leurs freins à s'y investir comme des nouveaux devoirs en termes de recrutement que s'engagent à assumer les agences.

    Mais aussi du futur déménagement de l'agence Marcel au campus Publicis Bastille et de ce que celui-ci symbolise, des secrets des bonnes campagnes en 2021, de l'apport des cultures urbaines à la création, de la responsabilité des agences créatives dans l'orchestration d'un monde plus responsables. Des nouvelles technologies immersives VR/AR/XR à l'occasion du Knowledge immersive Forum de Metz en septembre prochain et des nouvelles perspectives qu'elles offrent aux créatifs, du pouvoir puissant comme relatif des influenceurs, des nouvelles collaborations création/média, du brand content omniprésent, du changement de paradigme dans la relation agence/annonceurs, des nouvelles attentes des audiences, de ce que le télétravail du temps du COVID a changé dans les modes de travail des agences...D'Adrien Moisson, Pascal Crifo, Gaultier Picquet, Arthur, Maurice, Agathe, Anne, Charles-Georges et de bien d'autres choses encore...

    Musique intro : Cola boyy / "Don't forget your neighborhood"
    Musique de fin : Cola Boyy / “To be rich should be a crime”

    Remerciements chaleureux à :

    Moyens techniques : Studio DINOSAURES
    Prise de son : Yoën Cousot-Paoli
    Montage : Nassim El Mounabbih
    Création graphique : 360 Creativ
    Conception/animation : Agence Cherry Moon
    Editorial & Interview : Gaël Solignac

  • David Dufresne est un écrivain/journaliste post punk biberonné à la sueur pourpre du Newmoon à Pigalle, Gonzo repenti mais pas trop devenu en son temps rédacteur en chef de Itélé, chercheur de vérités parfois difficiles à regarder, faisant parti des membres fondateurs de Mediapart, son film « Un pays qui se tient sage » qui sort en DVD et VOD ces jours-ci a été mis à l’honneur lors de la 46e cérémonie des Césars du cinéma où il était nominé dans la catégorie "Meilleur film documentaire".

    En 2010, en plein buzz du « Transmédia », son roadmovie interactif « prison valley » lui avait valu déjà de nombreuses récompenses, dont le prestigieux « World Press Photo » award. Plus récemment en 2017, il créé ses « Phonestories », des récits en temps réels sur smartphone, en parallèle de la sortie de son livre « New Moon, café de nuit joyeux » finaliste du prestigieux prix de Flore.

    Le lien entre toutes ses références éclectiques ? Peut-être les traces d’un chercheur « d’hors ». Hors sentiers battus, Hors cloisonnement des supports, Hors course effrénée à une immédiateté qui, quand il la traite, la retourne comme un gant…Je veux parler de ses signalements « Allo, place Beauvau », genèse de son engagement à dénoncer les dérives des violences policières, sujet ensuite au cœur de son livre « dernière sommation » comme plus tard de son film « Un pays qui se tient sage ».

    D’aucun me diront que le fil du brand content, thématique initiale de ce podcast, est ici oubliée. Bien au contraire. J’ai la conviction que plutôt que de s’extasier sur des quizz d’annonceurs en bas de pages ou des infomerciales élevées en batterie, il est grand temps de secouer le cocotier perfusé à la data qu’est devenu le Brand Content. De dépasser les frontières pour partir ailleurs.

    Musique intro : Mogwaï / "Supposedly, We Were Nightmares"
    Musique de fin : The clash / “Straight to Hell”

    Remerciements chaleureux à :

    Moyens techniques : Studio DINOSAURES / Nassim El Mounabbih
    Prise de son : Harlad Baldié
    Montage : Harald Baldiè
    Création graphique : 360 Creativ
    Conception/animation : Agence Cherry Moon

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  • Avec Fred Musa, animateur/observateur légendaire de l’émission “Planète Rap” sur SKYROCK depuis 25 ans, c’est une certaine histoire des cultures urbaines en France qui défile dans le rétroviseur. De grands clash aux petites pépites devenues grandes révélées sur ses antennes, Fred fait parti d’un décor au goût de madeleine de Proust pour les 25 à plus de 40 ans qui chaque soir sont branchés aussi à la radio (encore) ou sur le web du plateau plus mouvant que les sables de la baie du Mont st michel de « Planète Rap ».

    De cette planète, l’évolution artistique du Hip hop nous regarde. Dans son reflet, une révolution du digitale bruyante façonnant l’économie du genre autant que ses canons créatifs.

    Thèmes abordés :

    L'EVOLUTION DE LA CREATION DANS LE RAP CES 20 DERNIERES ANNEES / CULTURE PUSHLINE / LES CLASH MEMORABLES / WEB VS RADIO / LAURENT BOUNEAU / STREAMING / RESEAUX SOCIAUX ET NOUVEAUX FORMATS DE RADIO / DOCUMENTAIRES / LA COURNEUVE / MARQUES ET MARKETING / LABELS / ARTISTES / HISTOIRE PLANETE RAP / RECORDS / BOOBA / DEBUTS / RAP POLITIQUE VS RAP FESTIF / HISTOIRE DU HIP HOP / 25-49 / LES RECORDS DE PLANETE RAP / LES JEUNES ET LE COVID / LES SECRETS D'UN TUBE /...

    Musique intro : Mf Doom / "Coffin nail"
    Musique de fin : Soolking / “Guerillas” (live "planète Rap")

    Remerciements chaleureux à :

    Moyens techniques : Studio DINOSAURES / Nassim El Mounabbih
    Prise de son : Vincent Perret
    Montage : Harald Balliè
    Création graphique : 360 Creativ
    Conception/animation : Agence Cherry Moon

  • Les conséquences économiques de l'épidémie de la COVID-19 touchent de plein fouet un secteur qui emploie plus de 450 00 personnes en France. Choc terrible pour la filière évènementiel, avec 80% de perte d’activité en quelques mois, et un horizon qui se bouche encore plus avec un nouveau confinement automnale.

    A la tête du directoire du groupe de Relations Publics Hopscotch, un si ce n’est le plus important groupe de communication indépendant en France, Frédéric Bedin est aux premières loges pour analyser les terribles ravages du tsunami actuel sur la profession. Mais aussi pour esquisser les opportunités de régénérescence d’un métier vieux comme le monde.

    Il partage avec nous également :

    - Comment la sérendipité incomparable de l'évènementiel vs les labyrinthes algorithmiques du Digital sauvera le monde.

    - Pourquoi il faudrait bannir le mot "cibles" des bréviaires du Marketing.

    - Comment les marques peuvent espérer "faire partie de la bande" de leurs consommateurs.

    - "revenge partying", "revent travelling", "revenge meeting" : ces barabarismes qui rythmeront la future belle époque post-covid.

    - l'impact à long terme du digital dans la redéfinition des fondamentaux de l'évènementiel.

    - De la création de bison futé au festival d'Avoriaz (et de Deauville) en passant par la fête des Grands mères ou le club des collectionneurs des jouets Kinder, petits clin d'oeil à Lionel Chouchan, Matuzalem à cigare du groupe unique dans le métier.

    - Des conseils avisés aux jeunes pousses qui souhaiteraient faire carrière dans l'event.

    - Comment Steve Jobs a eu l'idée de l'Iphone en se baladant dans un salon professionnel dédié à l'éducation.

    - Pourquoi il est important d'avoir un ingénieur à ses côtés (Benoist Desveaux içi, que je salue au passage) quand on créé un business.

    Et plein d'autres sujets encore.

    Musique intro : Kraftwerk / “Tour de France”
    Musique de fin : Andrea Laszlo de Simone / “Dal Giorno In Cui Sei Nato Tu”

    Remerciements chaleureux à :

    Moyens techniques : Studio DINOSAURES / Nassim El Mounabbih
    Prise de son : Miguel Diaz
    Montage : Harald Balliè
    Création graphique : 360 Creativ
    Conception/animation : Agence Cherry Moon

  • La une du magazine "Stratégie", la démission du président de l'A.A.C.C., des dizaines de milliers de Followers/contributeurs sur les réseaux sociaux participants à la mise au grand jour de centaines de petits ou grands drames du quotidien en agence : en un mois d'existence seulement, le mouvement "Balance_ton_agency" créé par mon invitée affole le monde de publicité et de la communication.

    Anne a accepté de s'exprimer en exclusivité dans le podcast SAY SAY SAY. Près de 45 minutes d'échanges qui devraient on l'espère permettre à la parole de se libérer toujours plus. Et de faire avancer les combats dont elle devient une actrice précieuse.

    Les questions posées dans ce podcast :

    Vous êtes une figure anonyme derrière un mouvement devenu collectif. Que pouvons-nous savoir de vous ? Avez-vous vous même souffert de ce que votre compte dénonce au fil des témoignages ?

    Les lionnes de la pub créées autour de Christelle Delarue existaient déjà depuis presque 2 ans. Avec un combat autour de l’égalité homme/femme, la sororité et la lutte contre les harcèlements sexuels en agence. Pourquoi et comment s’est créé votre collectif à la rentrée 2020 ?

    Votre combat, au fil des témoignages récoltés, s’est transformé en « vos combats », dépassant le seul sujet du harcèlement sexuel des femmes en agence. Pressions démesurées, harcèlement moral, mauvaises gestions commerciales qui entrainent des burn out dramatiques,... Comme si le couvercle avait été ôté d’une cocotte remplie à ras bord de souffrances au travail.
    C’est un procès en incompétences managériales que dévoile aussi vos publications non ?

    La violence psychologique au travail est-il pour vous un mal français ? Et si oui pourquoi ?

    La plupart des grandes agences incriminées bénéficient d’un service RH, voir d’un « happiness Officer »... Comment expliquez-vous que ces services ne réussissent pas à régler en interne les problèmes ?

    A.A.C.C., U.D.E.C.A.M., Union des annonceurs…À quoi servent pour les salariés des agences toutes ces grandes organisations et syndicats professionnels ? Ne faudrait-il pas créer aussi un organisme indépendant et transverse dédié seulement au bien-être au travail en agences ?

    Et les annonceurs dans tout ça ? Vous avez récemment révélé les graves problèmes nés de la gestion du budget L’oréal/Garnier chez Publicis luxe. Je n’imagine pas un épiphénomène ? Quel rôle pourrait jouer les annonceurs dans l’amélioration du climat général et la fin des exactions sur les salariés ?

    Suite à vos révélations, quels dossiers ont-ils vraiment avancé ?

    Le rôle des écoles supérieurs dans les combats en cours ?

    Existe t'il un profil type de "harceleur" ? Quel mécanisme entraine t-il les exactions dénoncées au fil de vos révélations ?

    On a beaucoup parlé de la démission du président de l’A.A.C.C., de la mise à l’écart d’un autre président d’agence, des managers "indélicats" d'une petite agence de création, des méfaits supposés en tous les dénoncés mais passés sous le tapis de certains autres grands noms de la publicité. Sans relancer une chasse aux sorcières, comme l’impression que le grand rébus des initiales continue et continuera de plus belles sur les pages de votre Instagram, la parole se libérant…Les choses bougent vraiment dans le fond au-delà de quelques médiatiques mises à l’encan ?

    Avez-vous subi des pressions depuis la création de votre mouvement ? Et à contrario, des soutiens importants, au-delà des plus de 35 000 personnes qui vous suivent chaque jour sur votre fil Instagram et sur Twitter ?

    Comment envisagez-vous la suite de votre combat ? Quand vous arrêterez vous ? Qu’est-ce qui vous fera un jour fermer ce,ces compte(s) ?

    Comment pouvez vous être aidée dans vos combats ? Si vous aviez un message à faire passer pour mobiliser, quel serait-il ?

    Quels conseils donner à des étudiant(e)s qui rentreraient sur le marché du travail en agence en 2020 ?

  • Mon invité n’est pas stricto sensu un acteur du « Brand Content ». Mais l’art, la manière, et la philosophie avec lesquels il a permis au groupe MK2 de se diversifier ces 10 dernières années inspireront marques, médias et créateurs de contenus.

    Il n’a jamais été autant le moment de chercher à s’élever l’âme. C’est ce que je tente dans cet entretien avec Elisha Karmitz, Directeur Général du distributeur, producteur et exploitant de films MK2.

    Plutôt que de nourrir frénétiquement sa psyché d’images stroboscopiques ("1984" de Georges Orwell n’est pas loin), pourquoi ne pas ralentir un peu et s’émerveiller par exemple devant les allitérations inspirantes d’Antoine Doinel (les films de François Truffaut disponible chez Netflix, c'est MK2...)?

    Remplacer la nauséeuse « vente de temps de cerveau disponible » par la quête de sens. Avec l'ambition d'aider ses congénères à mieux décoder les flux d'infos dont ils sont bombardés à chaque instant. Très bon moyen de "résister à la destruction du monde", devise de Marin Karmitz (le créateur de MK2)reprise par ses deux fils Nathanaël et Elisha aujourd'hui aux commandes du groupe.

    Elisha ramène les programmes musicaux dans les salles obscures, offre avec ses équipes des expériences magiques aux fans du 7e art avec ses « cinéma Paradiso ». Plus récemment avec le « MK2 Institute », il téléporte les grands oraux du Collège de France au siècle de lumières 3.0 qui peuvent aussi médiatiser de nouveaux modes de pensée positivistes. Donnant corps au triptyque Sélection/Altérité/transmission, coeur de la promesse éditoriale du groupe MK2.

  • Et le Grand Prix du Brand Content 2020 est décerné à… ! : La campagne « Yaris, Origine France Garantie » mise en musique par l’agence The@Partnership (groupe WPP) avec les équipes de TOYOTA France.

    En seulement deux mois, ce combo assez inédit client/agence « média & création » intégrée a réussi à produire le premier film à 93% « origine France garantie » certifié par l’organisme indépendant Pro France et le cabinet Véritas. Et à fédérer 55 marques françaises autour de ce qui allait devenir un vrai projet d’entreprise chez Toyota France. De la présidence du groupe jusqu’aux collaborateurs de chacune des 260 concessions de Toyota en France.

    Comme le dit si bien dans ce podcast Carine Pâris, Head of Advertising de Toyota France depuis deux ans, « une bonne campagne c’est aussi et d’abord un bon briefe ». Mais c’est aussi la capacité, en partant d’une bonne idée, de décliner une campagne qui fasse sens, au-delà d’un film publicitaire, d'opérations instagram et d’un visuel clef.

    C’est par cette démarche que, ce qui ne devait être au départ qu’un spot plutôt malin, est devenu l’opération de Brand Content en France la plus exemplaire selon les jurys du Grand Prix du brand content 2020. Une belle reconnaissance pour Carine Pâris et son parcours professionnel depuis 18 ans au sein du groupe Toyota.

    Dans ce podcast, vous découvrirez les petites et grandes histoires de cette campagne « Yaris France Origine Garantie ». Vous lèverez le voile sur les coulisses du travail au quotidien des équipes « marketing et communication » d’un annonceur ayant fait le choix d’intégrer en interne le conseil média et créatif dans une seule et même entité. Mais aussi en apprendrez beaucoup sur les évolutions de la place du Brand Content dans un secteur automobile longtemps accroché à des campagnes ventant surtout et seulement les avantages produits de ses modèles. Un secteur où le groupe TOYOTA ne manque pas de futurs sujets à nous conter avec le Brand Content. De sa plateforme de communication "Start Your Impossible" reliée à ses partenariats Olympiques et Paralympiques, jusqu'à l'évangélisation du marché autour de la voiture à hydrogène où, après l'hybride, le taurus Toyota fait aussi la course en tête. On en parle aussi dans ce podcast. Mais aussi de la sororité dans la communication, et des conseils à donner aux jeunes qui rentrent sur le marché de l'emploi aujourd'hui.

    Alors bon écoute, merci pour votre fidélité (plus de 60 000 écoutes en cumulé toutes plateformes confondues) et n'hésitez pas à vous abonner pour recevoir en avant première la notification de la mise en ligne des futurs épisodes.

  • "Place(s) aux jeunes " ! Tel devrait être le cri de guerre collectif à scander, à brailler à tue-tête ces jours-ci. Et c'est un vieux de la vieille du métier qui vous le dit...

    Précurseurs des tendances qui donnent le "la" de nos nouveaux usages digitaux (à nous en rendre "Tik Tok" parfois...), les nouvelles générations sont aussi en première ligne des ravages économiques post covid 19.

    Julien CASIRO défend à la vice-présidence de la commission digital de l’AACC (dont il dirige aussi le nouveau "bureau des juniors") l’inclusion des jeunes dans le paysage dur d’accès des CDI en agences…Un sujet oh combien sensible pour celles et ceux qui vont tenter de rentrer sur le marché du travail ces mois prochains. Julien explique dans ce podcast son plan d'action pour favoriser l'intégration des futurs talents de la communication.

    À 38 ans, Julien CASIRO est à la tête depuis 10 ans de BRAAXE, une agence créative « Social First » multi récompensée. Une "maison de publicité" nouvelle génération.

  • À l'heure où la série documentaire "The Last Dance" sur la carrière de Michael Jordan affole les compteurs sur Netflix, grande joie d'accueillir l'entrepreneur/réalisateur/producteur et auteur Thibaut de Longeville, fondateur de la société de production audiovisuelle / agence créative "360 Creative", partenaire au niveau mondial de Nike depuis plus de 20 ans, co-fondateur du World Streetball Championship ''Quai 54", réalisateur de films de références dans l'univers des cultures "dites" urbaines (''Just For Kicks" sur la culture sneakers primé au Tribeca Film Festival de New York et encensé par Robert de Niro... ou encore "Air Force 1: Anatomy of an Urban Legend" narré par la voix off du rapper KRS-One).
    Cross over de nature, biberonné au melting-pot des cultures skate, hip hop, et punk, vénérant aussi bien la créativité du réalisateur Spike Lee que l’irrévérence des Sex Pistols ou les flamboyantes stratégies marketing de Russell Simmons, Thibaut était pour moi l’invité rêvé pour parler du vaste sujet de l'art du storytelling et de la valeur de l’authenticité dans la communication et la (re)connection des marques avec style de vie et cultures urbaines, où pourquoi (bien) intégrer les passions des audiences est aussi une des clefs du succès dans le brand content.
    On parle dans ce podcast de Jay-Z et son agence créative "Translation" qui connecte les marques du top 40 avec des talents de la musique et du sport, de comment les artistes comme Madonna, Run DMC, Kanye West et consorts transforment leur "capital culturel" en marques florissantes, des incartades des marques de l'univers du luxe dans la street culture (et vice versa) comme Hennessy (LVMH) avec Shepard Fairey et Kendrick Lamar, du film évènement sur les 25 ans de la "Air Force 1" de Nike imaginé et produit par Thibaut et ses équipes, de la division "content group" au siège de Nike à Portland... mais aussi de campagnes des 90's précurseures du genre comme "Nike Paris 6T" avec le groupe Saïan Supa Crew ou des collaborations entre l'artiste Doc Gynéco, Karl Lagerfeld et Chanel produites avec votre serviteur...mais aussi de beaucoup d'autres choses encore.

  • Comment impliquer des talents musicaux dans les créations des marques ?

    Pourquoi est-il important de bien comprendre la « raison d’être » d’une marque avant d’acter un partenariat avec un artiste ?

    Quels grands enseignements tirer des 8 grandes typologies de liens fans/artistes identifiées dans le rapport « cultural Capital » Universal music ?

    Les KPI’s spécifiques des opérations « music & brands » ? Le ROI par rapport à des campagnes dites « traditionnelles » ? Comment rentabiliser l’investissement de départ dans le partenariat avec un artiste ? Comment celui-ci doit-il être appréhender par les marques ?

    L’artiste peut-il être un lien incontournable pour aider à humaniser les technologies ?

    Quelles spécificités du secteur de la musique dans le grand « chapeau » de l’Entertainment vis à vis du Cinéma, du sport, de la mode, du gaming ?. Ou ces différents univers sont-ils définitivement combinés ?

    Les univers « artistiques » et ceux de la publicité, du marketing ont-ils encore des choses à s’apprendre mutuellement ou ces deux mondes ne font-ils plus qu’un depuis longtemps ?

    Existent-ils encore des « terres vierges » à explorer dans les typologies d’activations autour des partenariats « musique et marques » ? Après presque un siècle de partenariats…au-delà ou à cause de l’évolution accélérée des supports de diffusion et d’interactions ?

    Olivier Robert-Murphy, patron monde du New Biz du groupe UNIVERSAL Music depuis 10 ans, a bien voulu répondre à ces questions, avec moultes exemples autour d'opérations impliquant les artistes Billie Eilish, Travis Scott (sur fortnite), The Weeknd (et Mercedes), Taylor Swift (et Lenovo), Will I Am, Katy Perry, Andréa bocelli, Lady Gaga,…

    Crédit musique de fin : Lou Murphy / "Toi aussi"

  • Qu’est-ce que la crise du coronavirus change dans les communications des annonceurs comme dans les attentes des audiences ? Comment le groupe TF1, leader du marché TV en France, s’est adapté en 48h au confinement généralisé ?

    Pourquoi et comment le Brand content aura un rôle clef à jouer pour donner sens, corps et chair aux discours d’engagements des marques sur leurs valeurs d'utilité et sociétales ?

    Le label "Digital AD Trust" va t-il permettre de rééquilibrer durablement le jeu entre les GAFA et les Régies Internet des médias français ? Formats natifs et Opérations spéciales sont-ils l'avenir du e-commerce des marques ?

    Quelles typologies de programmes sont-elles les plus plébiscitées par les audiences en 2020 ? Quelles évolutions majeures ?

    Depuis 2016, comment le plan stratégique mis en place par Gilles Pélisson (PDG du groupe TF1) a t-il permis à l'offre UNIFY du groupe TF1 d'être aujourd'hui dans le top 5 des audiences digitales en France ?

    Un témoignage rare et précieux de Sylvia Tassan Toffola , Directrice générale de TF1 PUB et Présidente du S.R.I (Syndicat des Regies Internet)à retrouver dans ce 14e épisode de "SAY SAY SAY", le Podcast sur le Brand Content le plus écouté en France.

  • L’entertainment participe t-il à rapprocher les marques de leurs audiences ? Et quid du « Social Impact Entertainment » ?

    Comment les organisations d’agences passées en mode « économie de guerre » s’adaptent à la crise en cours ?

    Et que va changer cette épidémie dans le fond comme la forme des campagnes post confinement ?

    Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons le plaisir de vous proposer un échange à bâtons rompus avec Wale Gbadamosi-Oyekanmi, fondateur et président de DARE.WIN, une agence de création "Parisiano Berlinoise" partenaire entre autres de Spotify, Youtube, Groupe Bel, Canal+, Netflix, ou encore Hermès et Air France.

  • Co-fondateur de la « Paris School of Luxury » (groupe MediaSchool), auteur de livres de référence sur le Marketing du Luxe, Eric briones (aka "Darkplanneur" aux grandes heures de ses années « Publicis et nous ») quitte l’ombre du pur planning stratégique pour la lumière d'un levant inspirant.

    Il nous livre ces jours-ci l'analyse des contenus privilégiés et des nouveaux usages digitaux de la génération Z (les 15/23 ans, successeurs des égo centrés "millenials" Y), au coeur de ce "Le choc Z : la génération Z, une révolution pour le luxe, la mode et la beauté", nouvel opus co-écrit avec le planner stratégique "data" Nicolas André, et le concours des étudiants "Z" de la Paris school of Luxury (dont Thibaut Guyon qui a participé à l'enregistrement de ce podcast). Un ouvrage préfacé par Yuan ZOU, head of luxury & fashion de Hylink Shanghaï.

    Pour acheter le livre "Le choc Z" : https://cutt.ly/ftpG1xC

    De son Z qui ne veut pas dire Zéro, la génération éponyme trace son horizon zébré des prochains trends de la création et de la distribution du contenu de marque : ses 8 secondes d’attention dignes d’un poisson rouge swipeur, son addiction clinique aux stimulations, corollé à un besoin endémique de moments d’ennuie dans les tunnels de contenus Netflix quelle "binge" en « multi taskant »,...Cet autisme de façade où le délinéarisé hyper sociabilisé est la règle annonce t-il l'avènement d'un angoissant océan de cris dans le silence pour les annonceurs ? Trop simpliste pour résumer une génération tribale en attente de « chocs d’indignations et d'émotions », prête à se faire harceler par des marques qu'elle rêve à 68% en sauveur du monde.

    Quels enseignements sur les futurs possibles du brand content nous apporte l'étude de cette Génération Z ? Il est temps pour vous d'écouter ce podcast...

    NB : Quelques problèmes techniques, compliqués à réparer en cette période de confinement, nous ont empêchés de vous proposer la version optimale de cette conversation. Le choix a été fait de la diffuser quand même, en cette période où il est bon de se mettre sur pause...avec du contenu nous l'espérons qui vous intéressera.

    Prenez soin de vous et de vos proches. Vivement le joli mois de Mai...

  • Sarah HERZ, directrice de la stratégie éditoriale et du "Créative studio" chez Condé Nast (Vogue, Vanity Fair, GQ, AD..)

    C’est chez l’un des derniers grand groupe de la presse mode, tendance et « life style » que nous reçoit Sarah Herz, la seule diplômée de HEC aussi spécialiste de métaphysique politique dans les discours de Victor Hugo, mais surtout directrice du créative Studio de Condé Nast en France.

    De aufeminin.com à la direction du pôle numérique féminin du groupe Lagardère dans les années 2000, jusqu’au développement des activités numériques de condé Nast ou du groupe Figaro, Sarah HERZ a vécu aux avant-postes le changement d’ère d’une industrie de la presse aux abois face aux "vampires" Facebook, Google et consorts. Ceux là même qui engagent aussi leurs audiences autour des contenus produits par les grands éditeurs historiques de la presse.

    Au-delà du temps de cerveau disponible, la bataille du beau, du bon, du contenu qui vient de dessous le bonnet pourra t’elle accoucher du sourire retrouvé des grands noms de la plume, de la photo et de la vidéo « bien troussée » ? Le brand Content en mode « template » est-il réellement la panacée ? Le terme "contenu" n'est-il pas trop galvaudé, ne vaudrait-il pas mieux partir en quête de "belles histoires" avec plus d'âme, de singularité, qui créent de l'émotion ?

    Sarah nous offre sa vision de ces sujets et au-delà au cours de ce podcast.

  • Vous vouliez tout savoir sur comment et pourquoi on ne “bullshit” plus la génération des millennials avec la “pub à papa” ?...

    Pour commencer en fanfare cette nouvelle année dans l’écho "pop’s" des bouchons de champagne de la st sylvestre, c’est chez KONBINI, média affinitaire privilégié des Millenials et au-delà, que je vous propose de m’accompagner pour une trentaine de minutes en compagnie de Guillaume AUBERT, directeur de Création de KEWL, une hotshop créative « nouvelle » génération » lancée ces jours-ci par KONBINI. Plus jeune invité de ce podcast depuis sa création, et ça se sent chaque seconde.

    A 28 ans à peine, Guillaume a « survécu » (ou fait ses armes, c’est selon…) à un début de (jeune)carrière chez FullSIX, puis « social mediatisé » tout ce qui pouvait l’être chez CLM BBDO et chez Marcel (Publicis)sous le soleil burinos-élyséen de Pascal Nessim que je salue au passage. Il conseille les marques chez KONBINI depuis l’été 2018 au côté d’Arthur King, directeur de la création historique d’une maison pop créatrice de certains des formats éditos les plus cool de l'hexagone.

    Après l'écoute de ce podcast vous comprendrez pourquoi le poste de "Community Manager" chez Marcel est le tremplin de lancement pour la piste aux étoiles...Et deux ou trois autres tips sur vitaminés à consommer sans modération.

    Une vision rafraichissante d'un brand Content que l'on a envie de rebaptiser à l'atterrissage.

  • Daniel BO fêtera l’année prochaine les 30 ans de son institut de recherches Marketing "QualiQuanti" mais trouve encore le moyen en 2020 de cerner les tendances de nos métiers en dessinant sous nos yeux un nouvel étendard : celui du product content.

    Dès 2009 il posait les bases philologiques du contenu de marque à la française avec son acolyte Matthieu GUEVEL, annonçant alors que les marques étaient en train sous nos yeux tout pétris de 30 secondes et de visuels clefs, de se transformer en médias.

    Il poursuit depuis une route devenue glissante, vers les horizons d’un e-commerce plus ROI que la création, racornissant pour son bien un concept de médias de marques plus aussi clef dans l’édification de nouvelles années d’or pour un brand content plus aussi "buzz word" qu'il était.

    Un grand merci pour votre fidélité à ce podcast : la barre des 10 000 écoutes a été dépassée ! RDV en 2020 pour la suite des aventures du brand content "made in France".

  • La BCMA est l'association professionnelle de référence du Brand Content dans le monde, présente depuis plus de 15 ans dans presque 20 pays (USA, UK, Espagne, Allemagne, Inde, Brésil,...).

    Co-fondée en début d'année 2018 par Thomas JAMET et Gaël SOLIGNAC, la "Branded Content Marketing Association" France prend son envol en cette rentrée 2019 avec le lancement officiel de sa campagne d'adhésions autour de l'engagement de participer à rassembler au-delà des chapelles corporatistes tous les professionnels du Brand content en France.

    Les thématiques abordées :

    "Math and Magic" : comment le mariage de la data et de la créativité est au coeur des enjeux du contenu de marque.
    Le Social Selling
    Le brand content au service du e-commerce
    Etude du cas Patagonia
    Le ROI et la mesure du ROI du Brand Content
    L'offre réservée aux membres de l'association.
    Des cas de l'Entertainment inspirants pour les marques.
    Le choc esthétique des "Ballets Russes" à Paris en 1917
    Demain, le brand content : IA, VR,...? Le medium va t-il changer les enjeux ?
    et beaucoup d'autres choses...

    Pour rejoindre l'association : https://www.bcmafrance.com/

  • Née professionnellement il y a 20 ans sous la double bonne étoile d’un losange jaune (Renault) et du digital, Sandrine Plasseraud est aujourd’hui à la tête d’une agence de plus de 120 personnes (dont 80% ont moins de 30 ans) qu’elle a créée seule en France voilà presque 12 ans et qui produit même du contenu pour Netflix aujourd’hui !

    Entre temps, des bouleversements majeurs dans le modèle de la communication des marques qui amènent depuis quelques années « WE ARE SOCIAL » du petit bassin du social média au grand bain de campagnes intégrées.

    Quelles évolutions/révolutions majeurs ont-elles jalonné le chemin à la magicien d’oz de "dorothy" sandrine Plasseraud ? Et qu'elle vision a t-elle des metiers de la communication, de la place de l'innovation dans la création ? Quel écosystème au quotidien dans son agence pour faciliter l'intégration des innovations technologiques aux campagnes ? Comment insuffler du sens et de l'engagement au travers des campagnes de contenu ? Elle apporte ses réponses au fil de son podcast.

  • Surprendre et raconter des histoires depuis plus de dix ans à une des audiences les plus blasées au monde, les parisiens ? Un challenge à la mesure de 5 femmes talentueuses qui, sur un coin de table d'une cuisine dans un appartement mansardé d'étudiantes, se réunirent autour de mêmes envies et passions communicatives.

    5 Millions d'abonnés plus tard, et au moment où "My little Paris" s'attaque à l'internationalisation du succès des "My Little Box", Celine Orjubin dévoile les coulisses d'une "content factory" familiale rachetée par le groupe TF1 fin 2017 mais qui n'a pas pour autant vendu son âme au diable, bien au contraire. Au-delà du trident contenu/e-commerce/tv que cela lui permet de mettre en place.

    Quelles valeurs, philosophie, modèle de création et recettes d'un développement ampli d'humanisme cachent les succès répétés de cette marque emblématique du brand content à la française ?

    Quel regard porte Céline Orjubin sur les combats pour l'égalité hommes/femmes de l'époque, elle qui dirige une entreprise où 110 de ses 130 collaborateurs/collaboratrices sont des femmes ?

    Comment un média né de la volonté de surprendre parvient encore à se ré-iventer sans cesse, à émouvoir et étonner ses abonné(e)s ?

    Et comment le développement d'events de marque participe à créer de nouvelles transversales de contenus, comme à consolider les liens avec leurs audiences ?

    Autant de questions auxquels ce podcast tentera de répondre. Avec Jacques Brel comme "saint patron" pour cet épisode...

    "Il y a deux manières de réagir devant ce que l'on ne sait pas : décréter que c'est idiot ou aller voir. Moi je préfère aller voir." Jacques BREL / Radioscopie (1973)

  • À l’heure où seulement 9,09% des campagnes mondiales sont équitables lorsque sont primées aux LIONS de la Pub, avec le paradoxe que c’est une française (Anne de Maupeou) qui remporte le seul grand prix cannois pour une agence tricolore, il est intéressant de l'entendre sur la place des femmes dans le processus de la création de contenu.

    Après des passages chez McCann, Buzzman et Marcel, en passant par TBWA, celle qui dirige aujourd’hui l’agence "MAD and WOMEN", première agence de création résolument féministe, conseille l’unesco (dont elle est Ambassadrice Experte) sur les combats pour l’égalité des genres, fait fortement bouger le marché de la pub avec l’association Les lionnes (dont elle est Présidente Cheffe de meute) en rassemblant plus de 300 femmes publicitaires contre le sexisme ; nous dessine de passionnants horizons plus justes qu’il ne tient qu’à chacun.e de nous de rendre moins lointains.

    Les images d’Épinale de « La cité des femmes » fellinièenne ou les " King Kong théories » décapantes de Virginie Despentes sont passées par là. Christelle DELARUE est une digne nouvelle figure exemplaire d’un combat dont la passion nous rafraîchit en ces temps de canicules testosteronnées déclinantes.