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  • « Aujourd’hui, je me suis reconstruite mais je dois vivre avec ce traumatisme. Quelque chose en moi a été brisée et la confiance en la vie est difficile à retrouver pleinement. »

    Léa a perdu son père à l’âge de 11 ans et sa mère, 8 ans plus tard. Aujourd’hui, elle renoue avec son histoire et fait vivre ses parents à travers le très joli compte Mémoires d’Orpheline. Le 21 octobre, elle invite d’autres orphelins à partager un verre au premier Apéro les Orphelinades à Paris. Un projet qui nous tenait à cœur à toutes les deux.

    Écoutez son émouvant témoignage dans Sans toi, disponible sur toutes les plateformes d’écoute. Un podcast, soutenu par Psychologies Magazine, et réalisé avec @stereolabgrâce à la fondation OCIRP, dont l’objectif est de faire connaître et reconnaître la situation des jeunes orphelins en France. Si vous avez été touché par cette histoire, n’hésitez pas à la partager autour de vous.

  • « Je suis un vrai consommateur de la vie ! Quand on traverse ce genre de drames, on minimise les malheurs et on maximise les bonheurs car on savoure la chance d’être vivant ».

    Brice a perdu son père à l’âge de 7 ans et demi, décédé brutalement d’un infarctus. Aujourd’hui, Brice exerce, avec passion, le même métier que lui : chef cuisinier et le fait vivre en s’efforçant de lui ressembler. Notamment en étant un père aimant et attentionné…

    Écoutez son émouvant témoignage dans Sans toi, disponible sur toutes les plateformes d’écoute. Un podcast, soutenu par Psychologies Magazine, et réalisé avec @stereolab grâce à la fondation OCIRP, dont l’objectif est de faire connaître et reconnaître la situation des jeunes orphelins en France. Si vous avez été touché par cette histoire, n’hésitez pas à la partager autour de vous.

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  • « Ma mère a cherché à refaire sa vie rapidement. J’ai eu l’impression de perdre deux parents en même temps. En plus de ma propre peine dû à la mort de mon père, je devais faire le deuil de la vie qu’on menait et accepter qu’un autre homme en fasse partie ».

    Sophie Charlotte a perdu son père à l’âge de 17 ans. Un drame qui l’éloignera un temps de sa famille. 21 ans plus tard, l’histoire se répète avec le décès brutal de son mari. Aujourd’hui, à 40 ans, elle élève seule ses trois enfants, et fait de leur bonheur sa priorité.

    Écoutez son émouvant témoignage dans Sans toi, disponible sur toutes les plateformes d’écoute. Un podcast, soutenu par Psychologies Magazine, et réalisé avec @stereolab grâce à la fondation OCIRP, dont l’objectif est de faire connaître et reconnaître la situation des jeunes orphelins en France. Si vous avez été touché par cette histoire, n’hésitez pas à la partager autour de vous.

  • « A 16 ans, j’ai choisi de sortir du cercle infernal et d’arrêter de me complaire dans la tristesse. Ce travail sur moi, que j’ai mené seul et qui a été super dur, m’a délivré du carcan de la dépression et j’ai réussi à être vraiment heureux ! »

    Corentin, 43 ans, avait 8 ans quand son père, un skipper renommé a disparu en mer. Un drame, longtemps passé longtemps sous silence, qu’il n’a pu évoquer en famille qu’à à l’âge de 14 ans. La levée d’un tabou qui a permis à la famille de renouer le dialogue et de se ressouder.

    Écoutez son émouvant témoignage dans Sans toi, disponible sur toutes les plateformes d’écoute. Un podcast, soutenu par Psychologies Magazine, et réalisé avec @stereolab grâce à la fondation OCIRP, dont l’objectif est de faire connaître et reconnaître la situation des jeunes orphelins en France. Si vous avez été touché par cette histoire, n’hésitez pas à la partager autour de vous.

  • Qu’est-ce que ce deuil précoce provoque dans la vie d’un enfant ? Comment mieux le soutenir et l’accompagner ? Dans quelles forces puisent-t-ils pour se construire ? Je suis Sarah Dumont, fondatrice de Happy end, un site qui invite à vivre en paix avec la mort et c’est pour lever le tabou sur les orphelins que je suis allée rencontrer des personnalités qui se sont construits, malgré l’absence d’un père, d’une mère, et parfois de leurs deux parents. Dans cette série, des personnalités ont accepté de partager avec moi leur histoire et de servir de porte-voix à ces enfants qui représentent près d’un enfant par classe en France.

    Les mots n’ont jamais été prononcés mais le cri poussé par sa mère ce jour-là a suffi pour qu’il comprenne que son père, malade, venait de rendre son dernier souffle. Hervé Temime avait 10 ans. Très vite, il a su que cette douleur inguérissable allait devenir sa plus grande force. Cette sensibilité viscérale à l’injustice est bel et bien à l’origine de sa vocation d’avocat pénaliste ! Le ténor du barreau a accepté de revenir sur cet épisode de sa vie.

    Un podcast réalisé grâce au soutien de la fondation OCIRP, en partenariat avec Psychologies Magazine.

  • Qu’est-ce que ce deuil précoce provoque dans la vie d’un enfant ? Comment mieux le soutenir et l’accompagner ? Dans quelles forces puisent-t-ils pour se construire ? Je suis Sarah Dumont, fondatrice de Happy end, un site qui invite à vivre en paix avec la mort et c’est pour lever le tabou sur les orphelins que je suis allée rencontrer des personnalités qui se sont construits, malgré l’absence d’un père, d’une mère, et parfois de leurs deux parents. Dans cette série, des personnalités ont accepté de partager avec moi leur histoire et de servir de porte-voix à ces enfants qui représentent près d’un enfant par classe en France.

    L’actrice Anny Duperey a huit ans lorsqu’elle découvre ses deux parents inanimés dans la salle de bain, victimes des émanations toxiques d’un chauffe-eau mal réglé. Ce choc terrible, traumatique, provoquera chez elle un vide abyssal, une blessure inguérissable qui forgera une carapace d’insensibilité et de légèreté. Il fallait bien se protéger de la souffrance et de la culpabilité. Elle attendra 35 ans pour raconter ce drame dans le Voile Noir, un livre puissant qui a dû marquer beaucoup d’entre vous. Une autobiographie qui va la sauver.

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  • Serge Moati a perdu son père puis sa mère lorsqu'il avait onze ans. Réalisateur, producteur et auteur, il a raconté sur des pages et des pages et des pellicules la vie des absents et le combat de ceux qui restent pour survivre. Pour lui, on ne se remet jamais d’un deuil. Toute sa vie, il a cherché à ressembler à son père, disparu la veille de ses onze ans. A 18 ans, il décide même de porter son prénom, Henry, pour le faire vive encore… Ce n’est qu’à la naissance de sa petite fille qu'il semble avoir trouvé l'apaisement. Il lui a d'ailleurs dédié un livre, Lettre à Anita (éditions Fayard) pour lui raconter "ses histoires de vieil orphelin".

    Qu’est-ce que ce deuil précoce provoque dans la vie d’un enfant ? Comment mieux le soutenir et l’accompagner ? Dans quelles forces puisent-t-ils pour se construire ? Je suis Sarah Dumont, fondatrice de Happy end, un site qui invite à vivre en paix avec la mort et c’est pour lever le tabou sur les orphelins que je suis allée rencontrer des personnalités qui se sont construits, malgré l’absence d’un père, d’une mère, et parfois de leurs deux parents. Dans cette série, des personnalités ont accepté de partager avec moi leur histoire et de servir de porte-voix à ces enfants qui représentent près d’un enfant par classe en France.

  • Qu’est-ce que ce deuil précoce provoque dans la vie d’un enfant ? Comment mieux le soutenir et l’accompagner ? Dans quelles forces puisent-t-ils pour se construire ? Je suis Sarah Dumont, fondatrice de Happy end, un site qui invite à vivre en paix avec la mort et c’est pour lever le tabou sur les orphelins que je suis allée rencontrer des personnalités qui se sont construits, malgré l’absence d’un père, d’une mère, et parfois de leurs deux parents. Dans cette série, des personnalités ont accepté de partager avec moi leur histoire et de servir de porte-voix à ces enfants qui représentent près d’un enfant par classe en France.

    Clémentine Autain, femme politique, a perdu sa mère, l'actrice Dominique Laffin, à l'âge de 12 ans. Crise cardiaque ou suicide accidentel, la question ne sera jamais tranchée. Ce décès annoncé au JT a été suivi d’un grand silence. Son père ne souhaitait pas cultiver la nostalgie. Alors, Clémentine a grandi avec le cadavre de sa mère dans le placard et réprimé son chagrin et sa colère. Jusqu’à ce qu’elle se décide à les coucher sur papier dans Dites lui combien je l’aime (Editions Grasset)… Une lumineuse lettre d’amour.

    Un podcast réalisé grâce au soutien de la fondation OCIRP, en partenariat avec Psychologies Magazine.

  • Qu’est-ce que ce deuil précoce provoque dans la vie d’un enfant ? Comment mieux le soutenir et l’accompagner ? Dans quelles forces puisent-t-ils pour se construire ? Je suis Sarah Dumont, fondatrice de Happy end, un site qui invite à vivre en paix avec la mort et c’est pour lever le tabou sur les orphelins que je suis allée rencontrer des personnalités qui se sont construits, malgré l’absence d’un père, d’une mère, et parfois de leurs deux parents. Dans cette première série, Anny Duperey, Clémentine Autain, Serge Moati et Hervé Temime ont accepté de partager avec moi leur histoire pour servir de porte-voix à ces enfants qui représentent près d’un enfant par classe en France.

    Un podcast réalisé grâce au soutien de la fondation OCIRP, en partenariat avec Psychologies Magazine.