Avsnitt
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Pour finir, les auditeurs sont invités à participer à un quiz pour tester leur compréhension orale. Eulalia et Compu présentent quatre exercices dont il faut trouver la solution. Quels sont les mots recherchés ?
Pour ce dernier épisode de Radio D, Eulalia présente un quiz dans lequel les auditeurs doivent trouver quatre mots grâce aux indications de Compu. Si vous avez suivi attentivement les 25 derniers épisodes, cela devrait être un jeu d’enfant. Vous pouvez envoyer vos réponses par courriel à
[email protected].
Et pour récompenser les auditeurs de tant d’efforts, le Professeur leur fait grâce d’ultimes explications grammaticales. -
Une fois de plus, il est l’heure des adieux. Le stage de Jan touche à sa fin et Philipp et Paula doivent rédiger son certificat. Jan se montre aujourd’hui très généreux.
Dernière journée de Jan à la rédaction de Radio D, il s’agit de fêter dignement l’événement. Jan surprend ses collègues en apportant des boissons et des chips. Mais Paula et Philipp n’ont pas encore fini de rédiger le certificat de stage de Jan. Ils doivent trouver les bonnes formules pour que Jan ait une chance d’entrer un jour dans une école de journalisme.
Le Professeur se penche aujourd’hui sur les conjonctions « falls » et « wenn » pour expliquer aux auditeurs comment fonctionne la proposition subordonnée conditionnelle. -
Saknas det avsnitt?
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Jan est en reportage dans une école qui propose un atelier d’apprentissage de l’allemand. Il interroge les élèves sur leur langue maternelle, les raisons de leur participation à l’atelier et leurs projets d’avenir.
L’école où Jan fait son reportage accueille 80% d’élèves d’origine étrangère. Elle propose un atelier d’allemand. Vladimir, Yen-Lin et Gülseren témoignent de la richesse d’une éducation bilingue et des difficultés qu’ils ont à apprendre l’allemand.
Pour une fois, le Professeur épargne ses élèves et se limite à un court point de grammaire sur les propositions subordonnées temporelles construites avec la conjonction « bevor », qui marque un événement dans le passé. -
L’excursion de la joyeuse bande à travers Berlin se termine par un repas reposant et instructif dans le jardin de la maison de l’Art du Tacheles. Josefine y fait la connaissance d’une personne très intéressante.
Marcher, cela donne faim et l’équipe de Radio D décide d’aller manger. Après une discussion sur les multiples offres gastronomiques, ils se mettent d’accord pour aller au Tacheles. Là-bas, Josefine fait la connaissance d’un artiste qui fait des sculptures à partir de déchets et qui lui raconte l’histoire du célèbre Tacheles.
Les auditeurs en apprennent quant à eux un peu plus sur la proposition subordonnée relative et sa syntaxe. -
Au studio de Radio D, Paula consacre une émission à la réunification allemande. Pour l’occasion elle a invité des intervenants afin de discuter de cette question.
Paula anime un débat sur le sujet « Allemands de l’Est et de l’Ouest ». Elle a invité un mécanicien est-allemand, une psychologue et un économiste. Parmi ses questions : y a-t-il encore des préjugés ? Et quelles sont les perspectives d’avenir pour les Allemands de l’Ouest et de l’Est ?
Le Professeur a lui aussi à faire avec des questions difficiles. Il explique le subjonctif II des verbes « haben » et « sein » et sa formation avec la forme verbale « würde ». -
Le périple à travers Berlin conduit Paula, Philipp, Jan et Josefine au Reichstag, à la Porte de Brandebourg et au Mauerweg, qui suit le tracé du Mur de Berlin. Radio D présente une pièce sur la construction du Mur.
Le soir du 13 août 1961, la police de la RDA commence à construire un mur le long de la frontière entre Berlin-Est et Berlin-Ouest. Un couple dont la maison est située juste à la frontière, décide spontanément de fuir. A l’Ouest, les pompiers tentent de réceptionner les gens qui se jettent de leurs fenêtres.
Dans la leçon de grammaire du jour, le Professeur revient sur l’article indéfini « ein » et le pronom indéfini « eins », en s’arrêtant sur les particularités et les pièges à éviter. -
De retour à Berlin, Paula et Philipp s’intéressent au projet artistique « United Buddy Bears », réalisé par des artistes de 120 pays. Une interview à propos de ce projet doit donner les informations nécessaires.Paula et Philipp sont rentrés à Berlin, où ils font une excursion avec Josefine et Jan. Josefine est particulièrement impressionnée par un projet artistique unique en son genre : 120 gigantesques statues d’ours en plastique sont en tournée mondiale pour répandre un message de tolérance. Les journalistes interrogent l’attachée de presse de l’entreprise à l’origine du projet et en apprennent un peu plus sur ces ours multicolores.Pendant que les autres s’amusent à Berlin, le Professeur a du pain sur la planche : il parle aujourd’hui des terminaisons des adjectifs qui sont placés avant un substantif. Et ce n’est pas une mince affaire !
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Pour conclure leur séjour à Iéna, nos deux reporters vont visiter un musée particulièrement intéressant. A la Romantikerhaus, ils font la connaissance de quelques uns des plus grands penseurs allemands du 18ème siècle.
La Romantikerhaus de Iéna est dédiée à l’époque préromantique. Les visiteurs découvrent un tas de choses sur cette nouvelle façon de penser et sur la tentative d’une révolution intellectuelle et poétique. Les deux journalistes de Radio D emmènent les auditeurs pour une visite éclair à travers le musée et présentent Fichte, Novalis et le salon de Caroline Schlegel.
Avec tous ces événements parallèles, le Professeur fait bien de nous expliquer les conjonctions « als » et « wenn », qui servent à exprimer la simultanéité d’actions. -
Au 18ème siècle, Iéna attirait de nombreux penseurs venus des quatre coins de l’Allemagne. Parmi eux, le célèbre poète Friedrich Schiller. Philipp et Paula nous remémorent sa leçon inaugurale à Iéna.
Dans cette pièce radiophonique, les auditeurs découvrent des extraits de la vie de Schiller et Goethe et se plongent dans le Iéna du 18ème siècle. A 29 ans, Schiller tient son premier cours magistral devant 500 étudiants. Face à l’affluence inattendue du public, un autre lieu doit être trouvé pour permettre à tout le monde d’écouter les paroles du jeune professeur.
Notre Professeur nous fait revenir dans le présent et même plus loin en nous présentant le verbe « werden », qui permet d’exprimer une action au futur. -
Paula et Philipp ont enfin réussi à résoudre l’énigme des rayons laser. Mais le lendemain, ils constatent avec dépit que l’histoire est déjà dans le journal. Comment la concurrence a-t-elle eu accès à cette information ?
Mauvaise surprise pour Paula et Philipp : l’origine des rayons laser est décrite en long et en large dans le journal local. Il reste à savoir pourquoi l’accès au laboratoire n’a pas été mieux surveillé. Les deux journalistes se rendent à l’usine en espérant obtenir une déclaration du porte-parole qui tient une conférence de presse.
Mais au fait, qui a dit quoi dans toute cette histoire ? C’est la question que pose le Professeur après tout ce remue-ménage, et qui lui donne l’occasion d’expliquer les mécanismes des discours direct et indirect. -
Paula et Philipp sont sur le point de découvrir la clé de l’énigme : ils savent maintenant d’où proviennent les rayons laser. Mais Eulalia n’est pas rentrée de son expédition. Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire ?
Paula et Philipp ont localisé d’où venaient les rayons laser. Ils en informent les responsables de l’usine afin de résoudre cette affaire une bonne fois pour toutes. Mais c’est surtout le sort d’Eulalia qui les inquiète. Les deux journalistes ont entendu des cris alors qu’elle était dans les airs. Lui est-il arrivé quelque chose ?
Après tant d’émotions, les auditeurs peuvent se détendre un peu en écoutant le point de grammaire. Le Professeur revient sur les pronoms possessifs de la 3ème personne du singulier « sein » et « ihr ». -
L’enquête des deux journalistes de Radio D piétine. L’arrivée inopinée d’Eulalia est donc la bienvenue. Elle va peut-être aider Philipp et Paula à avancer dans leur travail.
Paula et Philipp ne peuvent pas entrer dans l’usine d’optique et le bâtiment est très haut. Eulalia, qui a eu la bonne idée d’arriver à l’improviste, va pouvoir observer depuis les airs où se trouvent les laboratoires de l’usine. La chouette fait en effet une découverte des plus intéressantes, mais tout à coup, il se passe quelque chose d’inattendu.
Avec tout ce suspense, le Professeur est lui aussi un peu remué. Il décide donc aujourd’hui de se concentrer sur le verbe réflechi « konzentrieren ». Une bonne occasion également de jeter un œil sur les pronoms réfléchis. -
Philipp et Paula sont sur une piste : ils voudraient en savoir plus sur le travail des spécialistes du laser dans la « ville de l’optique ». Et ils ont une idée pour accéder à ces informations.
A l’usine d’optique, Philipp et Paula veulent vérifier une piste. Une interview sur place pourrait apporter des réponses à leurs premières questions. Mais le porte-parole ne veut donner aucune information et met Paula et Philipp à la porte. Les reporters enquêtent donc par leurs propres moyens et deviennent témoins d’événements mystérieux.
Contrairement au porte-parole de l’usine, le Professeur est bien plus bavard. Aujourd’hui, il s’intéresse à la langue de tous les jours, et plus précisément aux phrases elliptiques dans la langue parlée. -
Dès leur arrivée à Iéna, Paula et Philipp commencent à enquêter sur ces mystérieuses attaques au laser qui sèment la terreur dans la ville. Très vite, une nouvelle attaque se produit. Mais pourquoi ?
Sur le chemin de l’hôtel, les deux reporters de Radio D interrogent le chauffeur de taxi sur les événements curieux qui se passent dans la ville. Tout à coup, la radio lance une alerte afin de prévenir que quelqu’un est en train de détruire des rétroviseurs de voiture avec un rayon laser. Ces attaques ont-elles un rapport avec le congrès d’optique qui se déroule en ce moment à Iéna ?
Par rapport à ces événements, le point de grammaire du jour est tout à fait inoffensif. Le Professeur explique le fonctionnement des prépositions « mit », « zu » et « in » que l’on emploie avec le datif. -
La voiture de Philipp est toujours en panne et les deux journalistes doivent se rendre en train sur leur prochain lieu de mission. Il se passe là-bas de drôles de choses…
Juste au moment où Philipp a dû apporter sa voiture à réparer, une nouvelle mission s’annonce. À Iéna, un inconnu sème la panique avec un rayon laser. Paula et Philipp doivent faire la lumière sur cette curieuse affaire. Ils se rendent en train sur le lieu des événements. Mais comme souvent, tout ne se déroule pas comme prévue.
Le Professeur en profite pour se pencher sur le verbe auxiliaire « sollen » et nous explique sa signification dans les phrases affirmatives et interrogatives. -
Le Professeur a collecté toutes les questions sur les épisodes précédents. À l’aide d’extraits sonores, il montre aujourd’hui aux auditeurs qu’ils n’ont pas besoin de distinguer chaque mot pour comprendre.
Le courrier des auditeurs met cette fois l’accent sur les différentes méthodes pour améliorer la compréhension de la langue parlée. Le Professeur répond aux questions des auditeurs et donne des conseils pratiques pour la compréhension orale et le travail sémantique.
Il fait notamment entendre des annonces vocales, des appels téléphoniques et des informations à la radio. Les auditeurs apprennent à replacer les scènes dans leur contexte et à déduire certains mots à l’aide du ton, des bruits de fond et de mots connus. -
Ludwig van Beethoven a composé à 22 ans son « Ode à la joie », qui est aujourd’hui l’hymne européen. Un voyage dans le passé emmène les auditeurs dans la maison de Beethoven au 18ème siècle.
Ludwig van Beethoven est l’un des enfants les plus célèbres de la ville de Bonn. Paula et Philipp présentent une pièce radiophonique sur les origines de la célèbre 9ème symphonie, ainsi que sur le coup du destin tragique arrivé au grand compositeur : la perte de son ouïe.
Quand quelqu’un a du mal à comprendre quelque chose, il est utile de répéter ce qu’on a dit. Le Professeur consacre cette séquence au discours indirect dans les propositions subordonnées introduites par « dass ». -
Les deux journalistes de Radio D en sont encore à se demander si les étudiants ont raison. Mais Eulalia a, comme toujours, une longueur d’avance. Elle aussi a mené son enquête nocturne.
Eulalia débarque à l’improviste à Bonn et vient en aide à Paula et Philipp. Elle a déjà vu le pianiste et sait d’où vient la musique. Les journalistes de Radio D suivent la piste d’Eulalia pour réaliser une interview avec le « jeune Beethoven ». Mais vont-ils parvenir à le trouver ?
Paula et Philipp n’ont peut-être pas encore réussi à trouver le mystérieux pianiste, mais le Professeur, lui, peut déjà nous expliquer comment on justifie quelques chose en employant des propositions subordonnées causales. -
Philipp et Paula veulent trouver qui joue du piano la nuit dans la maison de Beethoven. Dans un café, ils entendent quelques informations intéressantes. Sont-ils sur une piste sérieuse ou s’agit-il de rumeurs ?
Après une courte nuit, Paula et Philipp sont assis dans un café. À la table voisine, ils entendent une conversation des plus intéressantes. Trois étudiants en musique semblent savoir qui est le pianiste nocturne. Paula et Philipp entendent parler d’un étudiant en musique talentueux mais bizarre, que tous surnomment « Beethoven ».
Pendant que Philipp et Paula se demandent qui peut bien jouer du piano avec autant de passion à la Beethoven-Haus, notre Professeur se lance avec tout autant de passion dans l’explication des phrases interrogatives indirectes sans pronom. -
Jan commence sa première journée de stagiaire à Radio D. Mais Paula et Philipp ont peu de temps à lui consacrer car Compu a une nouvelle mission pour eux. Les deux journalistes doivent aller à Bonn.
Jan vient à peine de faire la connaissance de tous les membres de la rédaction qu’une nouvelle mission arrive. Paula et Philipp doivent partir sur les chapeaux de roue pour Bonn. Il se passe des choses mystérieuses la nuit dans la maison natale du compositeur Beethoven. Arrivés sur place, nos deux reporters entrent directement dans le vif du sujet.
Par rapport à tant de mystère, la construction des phrases interrogatives est un jeu d’enfant pour le Professeur qui nous en parle aujourd’hui. - Visa fler