Avsnitt
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Il est difficile de passer Ă cĂŽtĂ©. Lâhiver est synonyme de rhume, de pharyngite, de laryngite, dâangine, de bronchiolite, de bronchite, de grippe... Câest une pĂ©riode durant laquelle les virus circulent. Il y a moyen de les combattre. Câest ce que nous apprenons dans ce dernier Ă©pisode de cette sĂ©rie de questions de santĂ©. Comment lutter contre les maux de lâhiver ? Nous voyons cela tout de suite.
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Câest devenu un rouage essentiel de la santĂ© publique Ă travers le monde. Câest le meilleur moyen de se protĂ©ger et de protĂ©ger les autres de certaines maladies infectieuses. Câest grĂące Ă lui que nous sommes presque tous maintenant immunisĂ©s contre les maladies qui faisaient autrefois des millions de morts. Je veux parler du vaccin. Il y a des infections qui nâont toujours pas le leur. Câest le cas du paludisme et du sida. Mais la recherche sâactive Ă les trouver.
La pandĂ©mie de Covide-19 a en quelque sorte remis le vaccin sur le devant de la scĂšne. Il y a dâun cĂŽtĂ© ceux qui sont pour se vacciner, de lâautre ceux qui sont contre. Au rang des derniers, on trouve plus de gens qui sont inquiets que de rĂ©ellement rĂ©fractaires. Ce qui est gĂ©nĂ©ralement au centre des prĂ©occupations de ceux qui ne souhaitent pas se vacciner, ce sont les effets secondaires de la vaccination. Ils sont pourtant rares. Le bĂ©nĂ©fice est pourtant ici largement supĂ©rieur au risque. A quoi servent les vaccins ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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Saknas det avsnitt?
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Certains les appellent mĂ©decines parallĂšles. Dâautres les qualifient dâalternatives, de douces, de complĂ©mentaires, de non conventionnelles. Peu importe comme elles se nomment, il convient dâĂȘtre vigilant quand on envisage de recourir Ă ce type de mĂ©decine. Et de ne pas frapper Ă nâimporte quelle porte, au motif que ce que lâon a entendu ou lu ici et lĂ pourrait ĂȘtre bien pour soi.
Depuis ces vingt derniĂšres annĂ©es, lâengouement pour se soigner autrement est devenu important. Les plaques dâhypnothĂ©rapeute, de rĂ©flexologue, dâaromathĂ©rapeute... poussent comme des champignons. Mais avec elles, un tas de dĂ©rives a suivi. Aux apprentis sorciers, se sont ajoutĂ©s les ostĂ©opathes malformĂ©s. Aux prometteurs de miracles, ce sont jointes les plus belles arnaques. Les mĂ©decines douces sont-elles si douces ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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Quand on Ă©voque la pratique dâune activitĂ© sportive, câest gĂ©nĂ©ralement sous le prisme de ses bienfaits physiques. On occulte souvent de mettre en avant que faire du sport est aussi bon pour la tĂȘte que pour le corps. Le sport dĂ©veloppe tout autant les capacitĂ©s cognitives et comportementales que cardiorespiratoires.
Ce ne sont, ni les mĂ©decins, ni les chercheurs, qui disent le contraire. Tous sâaccordent pour dire que la pratique dâune activitĂ© physique est bonne pour la santĂ©. Mais tous ne sâentendent pas sur les notions de sport et dâactivitĂ© physique. Tous ne sont pas non plus dâaccord quand il sâagit de sâavancer sur les effets psychiques et psychologiques de lâun et de lâautre. La psychologie du sport a certes beaucoup Ă©voluĂ© au cours des trente derniĂšres annĂ©es, mais elle demeure encore dans lâombre de la science.
Câest de ce pan, un peu moins connu, de la mĂ©decine du sport, dont nous parlons dans cet Ă©pisode et dont nous avons aussi parlĂ© dans lâĂ©pisode prĂ©cĂ©dent. Nous continuons dâaborder la psychologie du sport et de lâactivitĂ© physique. Nous sommes toujours en compagnie de nos deux experts dans leur domaine : Jean Fournier et CĂ©cilia Delage. Ils sont tous les deux membres de la SFPS, SociĂ©tĂ© française de psychologie du sport. Nous poursuivons dans la rĂ©ponse Ă cette question : Le sport ou lâactivitĂ© physique procure-t-il plus d'habiletĂ©s mentales ? Bienvenue dans le vingt-septiĂšme numĂ©ro de Question de santĂ©.
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Quand on Ă©voque la pratique dâune activitĂ© sportive, câest gĂ©nĂ©ralement sous le prisme de ses bienfaits physiques. On occulte souvent de mettre en avant que faire du sport est aussi bon pour la tĂȘte que pour le corps. Le sport dĂ©veloppe tout autant les capacitĂ©s cognitives et comportementales que cardiorespiratoires.
Ce ne sont, ni les mĂ©decins, ni les chercheurs, qui disent le contraire. Tous sâaccordent pour dire que la pratique dâune activitĂ© physique est bonne pour la santĂ©. Mais tous ne sâentendent pas sur les notions de sport et dâactivitĂ© physique. Tous ne sont pas non plus dâaccord quand il sâagit de sâavancer sur les effets psychiques et psychologiques de lâun et de lâautre. La psychologie du sport a certes beaucoup Ă©voluĂ© au cours des trente derniĂšres annĂ©es, mais elle demeure encore dans lâombre de la science.
Câest de ce pan, un peu moins connu, de la mĂ©decine du sport dont nous parlons dans ces deux prochains Ă©pisodes. Nous abordons en effet la psychologie du sport et de lâactivitĂ© physique. Pour cela, je mâen remets Ă deux experts dans leur domaine : Jean Fournier et CĂ©cilia Delage, tous les deux membres de la SFPS, SociĂ©tĂ© française de psychologie du sport. Avec en ligne de mire cette question : Le sport ou lâactivitĂ© physique procure-t-il plus d'habiletĂ©s mentales ? Bienvenue dans ce vingt-sixiĂšme numĂ©ro de Question de santĂ©.
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Nous connaissons tous des passages que nous qualifions « dâĂ vide ». Des moments durant lesquels nous sommes tristes, déçus... Câest normal. La dĂ©prime, le mal-ĂȘtre, font partie de la vie. Surtout quand nous avons connu un deuil, une maladie, un accident, la perte dâun emploi, une sĂ©paration.
La dĂ©prime, quand elle est passagĂšre, nâa rien dâinquiĂ©tante. Mais quand elle Ă©volue en dĂ©pression, elle nĂ©cessite un traitement. Nous ne pouvons pas nous en sortir seul. Lâaide dâun mĂ©decin, dâun psychologue ou dâun psychiatre, de notre entourage, est indispensable. Quâentend-on par dĂ©pression ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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Mal dormir est frĂ©quent. Câest le cas de « plus de la moitiĂ© des français », selon lâInstitut national du sommeil et de la vigilance, qui mĂšne chaque annĂ©e des enquĂȘtes sur la qualitĂ© de notre sommeil. Il faut dire que nous nous couchons de plus en plus tard, et nous levons de plus en plus tĂŽt. Pour certains, avoir des nuits perturbĂ©es nâest quâun ennui passager. Pour dâautres, câest un mal chronique qui empoisonne leur vie.
Nous dormons en moyenne sept heures trente par jour. Un quart de nos compatriotes ne dorment que six heures, et 15% dorment plus de neuf heures. Tout le monde nâa pas le privilĂšge de faire la sieste. Mais quand mĂȘme, un tiers des français sâaccordent cette petite pose salvatrice.
Il peut arriver dâavoir un sommeil en pointillĂ©. Ce nâest pas gĂȘnant si ce nâest pas rĂ©gulier. Ca peut lâĂȘtre si câest frĂ©quent, voir permanent. Il y a ceux qui attendent impatiemment le soir de tomber dans les bras de MorphĂ©e. Il y a ceux qui, au contraire, redoutent lâheure du coucher. Nous faisons le tour dans cette Ă©mission de ce quâest lâinsomnie, et de comment on peut y remĂ©dier. Pourquoi ne trouve-t-on pas le sommeil ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cette Ă©pisode de Question de santĂ©.
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On a beau mettre « les petits plats dans les grands », il arrive que les heures dâaprĂšs les bons repas se transforment en cauchemar. Pas forcĂ©ment par excĂšs, mais par la faute dâhĂŽtes indĂ©sirables qui sâinvitent discrĂštement dans nos intestins. Leurs noms vous disent sĂ»rement quelque chose. Elles se nomment salmonelle, campylobacter, listeria, E. coli... Ces bactĂ©ries font frĂ©quemment frĂ©mir les organismes de ceux quâelles envahissent. Si elles sont en principe bĂ©nignes, elles peuvent avoir des incidences gravissimes.
Elle se confond souvent avec la gastro-entĂ©rite. Lâintoxication alimentaire est pourtant diffĂ©rente de celle-ci. La gastro-entĂ©rite est majoritairement provoquĂ©e par un virus, bien quâil en existe qui soient aussi dâorigine bactĂ©rienne. Alors que lâintoxication alimentaire est la plupart du temps le faite dâune bactĂ©rie. Elle peut aussi provenir dâun parasite, dâun virus ou encore dâun poison.
Lâintoxication alimentaire est frĂ©quente. La plus connue est la listĂ©riose. Il en existe beaucoup dâautres. Nous en faisons le tour durant ces dix minutes dâĂ©mission. Intoxication alimentaire, pourquoi tu me guettes ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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On le trouve dans le blĂ©, lâorge, lâavoine et le seigle. Beaucoup de gens se revendiquent y ĂȘtre allergiques. On y est en fait plutĂŽt intolĂ©rant. Je veux parler du gluten.
Une personne sur deux cent serait intolĂ©rante au gluten. En France, six cent mille cas seraient diagnostiquĂ©s de ce trouble digestif. Câest en dessous de la rĂ©alitĂ©. Beaucoup de personnes qui seraient supposĂ©es atteintes dâintolĂ©rance au gluten ne consulteraient pas, faute de signe clinique visible.
Quand on est atteint de cette pathologie digestive, qui cause principalement du dĂ©sordre intestinal, composer ses repas relĂšve du casse-tĂȘte. Car le gluten est partout, ou presque. Heureusement, ces derniĂšres annĂ©es ont fait naĂźtre des aliments sans gluten. Et les prochaines pourraient proposer un traitement. Gluten, pourquoi tu me gĂȘnes ? Câest la question de cet Ă©pisode.
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Câest une maladie mentale sĂ©vĂšre et fort handicapante. Elle conduit parfois jusquâau suicide. La maladie bipolaire, que lâon appelle aussi « maladie maniaco-dĂ©pressive ou folie circulaire », se caractĂ©rise par des pĂ©riodes maniaques et dĂ©pressives entrecoupĂ©es de temps calmes, câest-Ă -dire dâĂ©tat normal. Câest un trouble de lâhumeur, comme lâest la dĂ©pression. Que signifie :ĂȘtre bipolaire ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans ce numĂ©ro de Question de santĂ©.
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Câest une maladie qui touche plus les femmes que les hommes. Elle siĂšge principalement dans les articulations et dans les membres supĂ©rieurs. Elle est causĂ©e par une dĂ©minĂ©ralisation non homogĂšne des os. Il sâagit de lâalgodystrophie.
On lâappelle aujourdâhui syndrome douloureux rĂ©gional complexe, ou SDRC. On le qualifiait autrefois de syndrome « Ă©paule-main ». Lâalgodystrophie se caractĂ©rise par une douleur continue, qui peut ĂȘtre spontanĂ©e ou provoquĂ©e. La douleur est gĂ©nĂ©ralement disproportionnĂ©e, en durĂ©e comme en intensitĂ©, par rapport Ă lâĂ©volution habituelle du traumatisme qui en est responsable. Pourquoi lâalgodystrophie est-elle si atypique ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans ce numĂ©ro de Question de santĂ©.
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Elle touche plusieurs millions de personnes en France, particuliĂšrement les femmes. On lâappelle, tantĂŽt fibromyalgie, tantĂŽt syndrome polyalgique idiopathique diffus, tantĂŽt fibrosite, tantĂŽt polyenthĂ©sopathie. Cette affection est douloureuse et parfois invalidante. Ces symptĂŽmes sont nombreux et peu caractĂ©ristiques. Câest ce qui la rend difficile Ă diagnostiquer.
MalgrĂ© le million de personnes quâelle atteint dans notre pays, la fibromyalgie y est peu connue. Elle lâest tout aussi peu dâailleurs en Europe. Câest surtout aux Etats-Unis que ce syndrome fait parler de lui. Il y rend une personne sur dix invalides. Comment vivre avec la fibromyalgie ?Câest la question de ce numĂ©ro de Question de santĂ©.
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Les experts le disent : « A cause de sa prĂ©valence, de son Ă©volution chronique et des soins quâil nĂ©cessite, le reflux gastro-oesophagien est un problĂšme important de santĂ© publique ». Câest en effet une pathologie frĂ©quente, qui touche Ă peu prĂšs un français sur trois au moins une fois par mois, et un sur dix au moins une fois par semaine. Le RGO est mal connu. Pour des raisons anatomiques, ce sont les personnes en surpoids et les femmes enceintes qui en sont les plus atteintes. Mais il concerne tout le monde : les jeunes comme les plus ĂągĂ©s. MĂȘme les nourrissons peuvent ĂȘtre concernĂ©s par cette affection digestive.
Il faut bien sâentendre : le reflux gastro-oesophagien nâest pas une maladie en soi. Ce nâest pas non plus une maladie grave. Ce nâest, normalement, jamais une urgence. Câest le retentissement de ce reflux sur la vie de tous les jours qui amĂšne Ă le traiter. Car il peut vraiment interfĂ©rer sur la vie sociale.
Comme il est mal connu, le RGO est mal soignĂ©. Pourtant, des solutions existent pour en diminuer les symptĂŽmes, et pour rendre la vie de ceux qui en souffrent plus agrĂ©able. Câest important, car sâil nâest pas pris en charge, le reflux gastro-oesophagien peut dĂ©gĂ©nĂ©rer vers dâautres pathologies. RGO : que se cache-t-il derriĂšre se « mot » ? Nous rĂ©pondons Ă cette question dans ce nouvel Ă©pisode de Question de santĂ©.
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LâostĂ©oporose touche plus les femmes que les hommes. Elle est gĂ©nĂ©ralement associĂ©e Ă la mĂ©nopause. Elle atteint principalement les os des hanches, des poignets et de la colonne vertĂ©brale. LâostĂ©oporose, comment sâen protĂ©ger ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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Elle est plus marquĂ©e Ă certaines saisons quâĂ dâautres. Elle touche de plus en plus dâindividus sur notre planĂšte. Elle est aussi sournoise que visible. Elle prend diffĂ©rentes formes. Il sâagit de lâallergie.
Lâallergie est un phĂ©nomĂšne qui sâaccroĂźt de maniĂšre exponentielle. Elle a sĂ©rieusement augmentĂ© depuis ces trente derniĂšres annĂ©es, particuliĂšrement dans les pays industrialisĂ©s. La hausse sâĂ©tablirait Ă +30 % pour les allergies en gĂ©nĂ©ral, et Ă +15 % pour les allergies respiratoires. LâOrganisation mondiale de la santĂ© prĂ©dit que, dâici Ă 2050, 50 % de la population mondiale connaĂźtra une ou plusieurs allergies dans sa vie. Comment expliquer ce phĂ©nomĂšne ? Pourquoi et comment les allergies se multiplient ? Lâallergie : quel est son mĂ©canisme ? Câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cet Ă©pisode de Question de santĂ©.
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Elle cause chaque annĂ©e des Ă©pidĂ©mies plus ou moins sĂ©vĂšres, notamment en hiver, et touche plusieurs millions dâindividus, particuliĂšrement les enfants.
On lâa tous croisĂ© au moins une fois dans notre vie. Certains y sont plus sensibles que dâautres. Je veux parler de la gastro-entĂ©rite.
La gastro-entĂ©rite est une affection digestive courante, normalement sans gravitĂ©. Elle peut clouer tout un pays Ă la maison. Les symptĂŽmes de la gastro-entĂ©rite durent en principe seulement quelques jours. Il peut arriver quâils persistent jusquâĂ une semaine. Leur intensitĂ© est fonction de la gastro-entĂ©rite. Les signes sont plus marquĂ©s si lâaffection est dâorigine bactĂ©rienne. GastroentĂ©rite, :comment la guĂ©rir et sâen prĂ©munir ? Câest la question de cet Ă©pisode.
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Câest la plus frĂ©quente des maladies inflammatoires chroniques intestinales. Elle touche un million de personnes en Europe, autour de cent mille en France. Câest en Europe de lâOuest et aux Etats-Unis Que lâon comptabilise le plus de gens qui sont atteints de la maladie de Crohn Ă travers le monde. Câest en Nouvelle-Ăcosse, au Canada, que lâon observe la plus grande densitĂ© de malades, avec trois Cent dix-neuf cas pour cent mille habitants, quand la densitĂ© moyenne de malades se situe Ă cinquante cas pour cent mille habitants dans le reste du pays. En France, il serait de cinq cas pour Cent mille habitants. Ce serait la rĂ©gion des Hauts-de-France qui serait la plus concernĂ©e par la maladie.
On entend souvent parler de la maladie de Crohn. Mais on ne sait pas toujours la dĂ©finir. D'autant plus quâelle se confond avec une autre maladie du mĂȘme genre : la rectocolite hĂ©morragique. Ce qui caractĂ©rise la maladie de Crohn, câest quâelle se manifeste par poussĂ©es, que lâon appelle aussi « phase dâactivitĂ© » ; quâelle atteint en principe les sujets jeunes ; que ses symptĂŽmes sont normalement digestifs. Or, tous ces tableaux sont parfois modifiĂ©s. La maladie peut atteindre des individus dâĂąge avancĂ©, et les signes ĂȘtre multiples. Comment vit-on avec la maladie de Crohn ? Câest la question de cet Ă©pisode.
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On le sait, ce sont les cordonniers les plus mal chaussĂ©s. Lui nâest pas cordonnier. Il est mĂ©decin urgentiste. Il a racontĂ© maintes fois son histoire dans les mĂ©dias.
Un mois aprĂšs une balade en forĂȘt, en Normandie, Ă lâautomne, GĂ©rard Keirzek, mĂ©decin urgentiste, se sent mal. Il fait deux malaises plutĂŽt sĂ©vĂšres, quâil attribue Ă de la gastro-entĂ©rite. Mais son Ă©tat se dĂ©grade : sa frĂ©quence cardiaque tombe Ă trente pulsations par minute, quand celle-ci se situe normalement autour de Soixante-dix. Dans un premier temps, le mĂ©decin quâil est sâautodiagnostic, avec pas toujours « la plus grande objectivitĂ© », concĂšde-t-il Ă la radio et dans les journaux. Comme son Ă©tat se dĂ©grade, il appelle un confrĂšre cardiologue, qui ne lâalarme pas mais lui conseille de faire des examens. Câest ce quâil finit par faire. Il va Ă lâhĂŽpital. Il entre alors, comme un patient lambda, dans le parcours des urgences. Parcours, parce quâil aura fallu dix jours, des batteries de tests et de nombreuses dâinvestigations pour quâil retrouve un rythme cardiaque Ă peu prĂšs normal, et que lâon pose le diagnostic : quâil est atteint de la maladie de Lyme.
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Ils trĂŽnent dans les rayons parapharmacies. Les fabricants rivalisent dâidĂ©es pour nous en faire consommer. Les complĂ©ments de minĂ©raux et de vitamines nous accompagnent au quotidien. Câest encore plus vrai en pĂ©riode dâhiver.
Leur vente, dans lesquels figurent en toute premiĂšre place les minĂ©raux et les vitamines, ne connaĂźt pas la crise. Elle est en perpĂ©tuelle augmentation. Il faut dire que les recommandations de santĂ©, qui nous enjoignent Ă faire toujours plus attention Ă notre alimentation, nâest pas Ă©trangĂšre Ă cette montĂ© en flĂšche de la supplĂ©mentation alimentaire. Celle-ci est encouragĂ©e par les croyances, comme les rĂ©gimes sans : sans gluten, sans sucre, sans viande, etc. ; par les habitudes de vie ; ou encore par les principes culturels et religieux. Mais au fond, tous ces minĂ©raux et toutes ces vitamines, que lâon nous vante Ă grand renfort de publicitĂ© et dont on nous vante sans cesse les mĂ©rites, nous sont-ils vraiment utiles ? Câest la Question de santĂ© de cet Ă©pisode.
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Cent quarante mille personnes sont atteintes dâAVC chaque annĂ©e en France. Câest un toutes les quatre minutes. Dans cette Ă©mission, nous allons nous intĂ©resser Ă cet accident, qui nâest souvent pas sans consĂ©quence. Sans consĂ©quence sur la santĂ©, mais aussi sans consĂ©quence sur le cours de la vie. LâAVC, que lâon appelle aussi « attaque cĂ©rĂ©brale », est la premiĂšre cause de handicap physique acquis de lâadulte, et la deuxiĂšme cause de dĂ©mence et de dĂ©cĂšs. AVC, faut-il s'en mĂ©fier : câest Ă cette question que nous rĂ©pondons dans cette Ă©mission.
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