Avsnitt
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Bertrand Henne et Baptiste Hupin explorent une question audacieuse : et si notre démocratie pouvait se passer des partis politiques ? Face à une perte de confiance alarmante dans ces institutions traditionnelles, évoquée par Sébastien Brunet de l'Institut wallon de la statistique, ils imaginent un scénario radical. Les partis sont-ils devenus une cour de récréation géante, sources de problèmes plutôt que de solutions ? La discussion s'anime autour de l'idée de donner la parole directement aux citoyens.
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En Belgique, la formation des gouvernements fédéraux devient de plus en plus longue et complexe, impliquant un nombre croissant de partis. Le précédent record de 541 jours en 2011 a été battu entre la fin du gouvernement Michel en décembre 2018 et l'inauguration du gouvernement De Croo en octobre 2020, une période de 22 mois. Cette situation soulève la question de la gestion en cas d'incapacité à former un gouvernement. Actuellement, les négociations pour former un nouveau gouvernement impliquent des discussions entre N-VA, Vooruit, CD&V en Flandre et MR, les Engagés en Wallonie. Cependant, même avec des partenaires potentiels, il reste incertain que cela se concrétise rapidement, notamment en raison de divergences persistantes sur des questions cruciales telles que la santé et la réforme de l'État. Et si on n'arrivait plus à former de gouvernement ? Marc Uyttendaele et Céline Romainville, constitutionnalistes, ainsi que Caroline Saegesser du Centre d’information socio-politique, proposent des solutions à ce possible blocage. Suivez nos hypothèses fictives… qui pourraient bien devenir réalité.
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Saknas det avsnitt?
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Les négociations vont bon train au lendemain des élections du 9 juin. Le balai incessant des présidents de partis a recommencé chez le Roi. Un moment qui met en lumière l'un des rôles les plus importants et historiques de la monarchie constitutionnelle dont s'est dotée la Belgique après son indépendance acquise en 1830. Le Roi nomme et révoque les ministres en vue de former un gouvernement fédéral. Mais si ce pouvoir venait un jour à disparaître ? Yves Leterme, en entonnant la Marseillaise au lieu de la Brabançonne un jour de fête nationale en 2007, avait-il prédit l'avènement d'une république en Belgique ? C'est, en réalité, le scénario le plus improbable de ce podcast Politique Fiction, tant le consensus est important dans l’opinion autour de la monarchie, surtout côté francophone, mais même côté flamand. Ce qui tranche avec la poussée des partis nationalistes flamands, qui sont sur le papier républicains, mais pour une république flamande, pas belge. Et si, la Belgique se passait du Roi et devenait une république ?
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Épisode spécial d’après scrutin, Bertrand Henne, Baptiste Hupin et Caroline Sägesser (politologue au CRISP) plongent dans la politique fiction et analysent quelques points du programme du MR. Et si, Georges Louis Bouchez devenait ministre-président wallon ? Et si, on construisait de nouvelles centrales nucléaires en Belgique ? Et si, le parti Ecolo n’existait plus ? Et si, on régionalisait les allocations de chômage ? Après les élections, quel avenir pour la Belgique ? Suivez nos pronostics fictifs… qui seront peut-être les vérités de demain.
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Dimanche prochain, vous franchirez le rideau de l'isoloir, mais un problème subsiste : vous ne savez toujours pas pour qui voter. Rassurez-vous, vous n'êtes pas seul ! En effet, environ 20 % des électeurs en Flandre et en Wallonie se trouvent dans la même situation d'incertitude. La majorité d'entre eux prendra sa décision dans les derniers jours de la campagne, voire dans l'isoloir. Influencés par les derniers événements qui clôturent la campagne électorale, les indécis, par leur nombre important, pourraient-ils influencer le résultat du scrutin ? Mais qui sont ces indécis politiques ? Ecolo, MR, PS, Les Engagés, PTB, DéFi, qu’est-ce qui va déterminer leurs choix ? Doivent-ils renoncer à l'idée du vote parfait ? Pour tenter de vous éclairer, Bertrand Henne et Baptiste Hupin ont interrogé : • Jean-Benoît Pilet, politologue à l'Université Libre de Bruxelles • Stefan Walgraeve, politologue à l'Université d'Anvers • Vincent De Coorebyter, directeur du Centre de recherche et d'information sociopolitique (CRISP)
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Et si les élections belges étaient manipulées par la Chine, la Russie ou l'Iran ? Et si la désinformation devenait une arme redoutable pour influencer le processus politique belge ? Et si les deepfakes et les faux comptes menaçaient la démocratie en Belgique ? Et si la Belgique devenait une cible d'ingérence électorale étrangère, comme la France ou les États-Unis ? Et si des puissances étrangères cherchaient à affaiblir les institutions démocratiques belges par la désinformation ? Et si le vote électronique en Belgique était vulnérable aux manipulations ? Et si les firmes privées avaient trop de pouvoir sur le processus électoral belge ? Et si une cyberattaque falsifiait les résultats des élections en Belgique ? Réponse cet épisode de Politique fiction, avec les interventions d'Antoine Iseux, porte-parole du centre de crise, de François Debras, expert en communication et manipulation de l’opinion à la Haute Ecole Libre Mosane à Liège, de Jean-Jacques Quisquater, spécialiste en cryptographie à l'UCL, et d'Anne-Emmanuelle Bourgaux, constitutionnaliste.
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Et si les jeunes détenaient la clé des élections ? À quoi ressemblerait le paysage politique belge si tout le monde votait comme les jeunes ? Avec l’extension du droit de vote aux 16-17 ans pour les élections européennes, les primo-votants n’ont probablement jamais été aussi nombreux. Ils seront plus de 900 000 à entrer pour la première fois dans l’isoloir ce 9 juin. Dans cet épisode de « Politique Fiction », Bertrand Henne et Baptiste Hupin s’intéressent au comportement électoral de ces jeunes qui voteront pour la première fois. PS, MR, Ecolo, Les Engagés, Défi, PTB : pour qui voteront-ils ? Sont-ils susceptibles de faire basculer l’élection ? En s’appuyant sur les témoignages de jeunes électeurs et sur une étude du CEVIPOL, ce numéro de « Politique Fiction » va à l’encontre des clichés qui figent la jeunesse dans une attitude hyper-engagée ou, au contraire, très détachée de la politique. Et si les jeunes votaient finalement par reproduction, comme leurs parents ? Comment leur permettre de formuler un choix plus personnel, au lieu d’un choix par défaut ? Les jeunes sont-ils finalement très différents des autres électeurs ? Réponse en 25 minutes dans ce nouvel épisode de « Politique Fiction ».
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À l’approche des élections 2024, tous les scénarios sont envisageables sur l’évolution politique de la Belgique. D’une arrivée au pouvoir du Vlaams Belang au retour à une Belgique unitaire, en passant par une ingérence électorale étrangère, voire à l’arrivée d’une république, rien n’est à exclure. Avec quelles conséquences ? Avec Politique fiction, plongez dans un podcast qui remet en question les fondements des institutions politiques actuelles, et imaginez le futur du citoyen belge. Dans cet épisode, Bertrand Henne et Baptiste Hupin s’interrogent sur la fiabilité des sondages. Peuvent-ils se tromper sur les intentions de votes et nous surprendre complètement lors du scrutin ? Et si les sondages biaisaient nos choix dans l’isoloir ?
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Si l’extrême gauche entrait dans un gouvernement ? À quoi ressemblerait un accord de majorité négocié avec le parti marxiste ? Le Parti du Travail de Belgique parviendrait-il à convaincre le parti socialiste pour former un front de gauche ? À moins que le PTB ne préfère rester spectateur depuis les bancs de l’opposition ? À quelques semaines des élections, le PTB grimpe dans les sondages. Il pourrait bien être en forte progression, en Wallonie, à Bruxelles et en Flandre au soir du 9 juin. Comme en 2019, se poserait alors la question de sa participation au pouvoir. Contrairement à l’extrême droite, l’extrême gauche n’est pas formellement exclue du pouvoir par un cordon sanitaire. Pourrait-elle alors entrer dans une majorité fédérale, régionale, ou locale ? Le PS et ECOLO proposeront-ils à nouveau des discussions pour gouverner la région avec le PTB malgré le veto du MR et les réticences des Engagés ? Pour voir à quoi ressemblerait une majorité avec le Parti du Travail de Belgique, Baptiste Hupin s’est rendu à Zelzate, en Flandre Orientale. Il s’agit de la seule commune où le PVDA est parvenu à se hisser au pouvoir en s’associant avec les socialistes flamands de Vooruit. Sur place, on est loin de la révolution annoncée à l'époque par le président de la N-VA, Bart De Wever. Mais le PTB prend régulièrement cette commune en exemple pour montrer que cette expérience du pouvoir pourrait être reproduite à d'autres niveaux de pouvoir. Mais est-ce politiquement réaliste ? Bertrand Henne et Baptiste Hupin débattent de cette question dans cet épisode avec Marc Sirlereau, journaliste politique à la RTBF, et Peter De Lobel, journaliste au Standaard.
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Dans cet épisode captivant, Bertrand Henne et Baptiste Hupin explorent un scénario hypothétique mais intrigant : la fin des transferts financiers de la Flandre vers la Wallonie et Bruxelles. Cette question suscite des débats passionnés depuis des années en Belgique, alimentant les tensions entre les communautés flamande et francophone.À la veille des élections, la fin de ces flux financiers reste une exigence forte pour la N-VA de Bart De Wever et pour le Vlaams Belang de Tom Van Grieken. Aujourd'hui, des milliards d’euros transitent virtuellement de la Flandre vers Bruxelles et la Wallonie par le mécanisme de redistribution de l’impôt. S’agit-il réellement d’une injustice fiscale à l’égard des Flamands ? Ou n’est-ce que le résultat naturel d’une solidarité entre régions présente dans tous les pays du monde ? Mais si ces transferts venaient à se tarir, voire à disparaître ? Serait-ce la fin de la Belgique ? Les francophones pourraient-ils encore organiser une sécurité sociale aussi solide ? En tout cas, certains y réfléchissent. Une fois encore, la réalité dépassera peut-être la fiction.
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Dans cet épisode, nous explorons l'idée d'un sauvetage de la Belgique, d'un déblocage par les citoyens et les citoyennes. Et si, à travers l'utilisation de panels citoyens tirés au sort et/ou d'un référendum, nous pouvions imaginer une nouvelle réforme de l'État ? Une Belgique renouvelée, capable de surmonter les tensions communautaires entre le nord et le sud du pays.
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Dans ce nouvel épisode de Politique Fiction, Bertrand Henne et Baptiste Hupin se demandent si l’extrême droite flamande pourrait arriver au pouvoir après les prochaines élections. Et si le cordon sanitaire politique venait à céder ? Vus les sondages des derniers mois, on n’a peut-être jamais été aussi proche d’un tel scénario en Belgique. A quelles conditions le Vlaams Belang pourrait-il entrer en négociation avec d’autres partis ? A quels niveaux de pouvoir l’extrême droite flamande pourrait-elle intégrer des majorités ? Comment réagirait le monde économique flamand ? Le Vlaams Belang semble se préparer à gouverner. Mais ce scénario est-il vraiment réaliste ? Pour répondre à ces questions, Baptiste Hupin et Bertrand Henne donnent la parole à trois observateurs de la politique flamande : Isolde Van den Eynde, éditorialiste du « Het Laatste Nieuws » et Ivan De Vadder de la VRT et Luc Barbé, auteur de « La NVA expliquée aux francophones ».
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Dans ce premier épisode de Politique Fiction, Bertrand Henne et Baptiste Hupin débattent de l'abolition du vote obligatoire en Belgique. Et si le vote n’était plus obligatoire ? Et si nous étions libres de choisir de nous abstenir d'aller voter ? Et si la Belgique rejoignait la majorité des pays démocratiques où le vote est un droit, pas une obligation ? Est-ce que cela améliorerait le système politique ?Quelles en seraient les conséquences ? Est-ce que beaucoup de Belges auraient piscine le dimanche 9 juin ? Derrière cette question, des enjeux stratégiques et politiques pour les partis : perdre ou gagner des électeurs. C'est également une question de principe. Le vote comme devoir ou le vote comme droit : quelle est la meilleure option pour le citoyen belge ?Pour débattre de ces questions, Vincent Yzerbyt, professeur à l'UCLouvain, et Vincent De Coorebyter, professeur à l'ULB, vous éclairent sur les enjeux complexes de cette proposition controversée. Données statistiques et arguments passionnés se confrontent pour offrir une réflexion approfondie sur l'avenir de la démocratie belge.Politique Fiction, et si en Belgique rien n’était impossible ?
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