Avsnitt
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Ămulsifiants, Ă©dulcorants, nitrites⊠les additifs alimentaires sont omniprĂ©sents dans les aliments ultra-transformĂ©s, les sodas et autres produits industriels. Y a-t-il un lien entre leur consommation et le risque de dĂ©velopper un cancer ?
C'est ce que nous montrent les chercheurs en Ă©pidĂ©miologie Mathilde Touvier et Bernard Srour qui Ă©tudient les relations entre la nutrition et la santĂ©. GrĂące Ă lâĂ©tude NutriNet-SantĂ©, menĂ©e sur plus de 160 000 personnes, ils mesurent les comportements alimentaires et sont capables de faire le lien entre nos modes de consommation et les risques accrus de cancer.
Les intervenants :
Mathilde Touvier, directrice de l'Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (EREN) et investigatrice principale de la cohorte NutriNet-Santé.
Bernard Srour, chercheur en Ă©pidĂ©miologie au sein de lâEREN et coordonnateur du RĂ©seau NACRe (Nutrition ActivitĂ© physique Cancer Recherche).
Pour en savoir plus sur l'étude NutriNet-Santé : etude-nutrinet-sante.fr
LâInstitut national du cancer soutient le projet « Expositions chroniques aux additifs alimentaires et risques de cancer » portĂ© par Mathilde Touvier Ă hauteur de 312 500⏠sur 3 ans et le rĂ©seau NACRe « Nutrition, ActivitĂ© physique, Cancer, Recherche » portĂ© par Bernard Srour Ă hauteur de 1,1 millions ⏠sur 5 ans.
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Comprendre comment se dĂ©placent les cellules cancĂ©reuses dans le corps pour pouvoir les stopper et arrĂȘter la propagation du cancer. VoilĂ lâambition qui anime la chercheuse Fanny Jaulin et son Ă©quipe.
Ils ont dĂ©couvert dans un premier temps que les cellules cancĂ©reuses se dĂ©placent essentiellement en groupe dâun organe Ă un autre pour former des mĂ©tastases. Câest ce quâon appelle « lâinvasion collective ». Aujourdâhui, leur objectif est de comprendre et de ralentir les mĂ©canismes de cette invasion collective dans les cas du cancer colorectal.
GrĂące Ă une approche multidisciplinaire alliant recherche biologique et recherche clinique, les chercheurs dĂ©veloppent des tests personnalisĂ©s Ă partir dâorganoĂŻdes, sorte dâavatars miniatures des tumeurs des patients, pour Ă©tudier leurs caractĂ©ristiques et identifier le traitement le plus adaptĂ© Ă chacun.
Les intervenants :
Fanny Jaulin, chercheuse en biologie cellulaire et directrice de recherche Ă lâInstitut Gustave Roussy sur la dynamique des cellules tumorales
JĂ©rĂŽme Cartry, ingĂ©nieur de recherche, membre de lâĂ©quipe de Fanny Jaulin
Florent Peglion, chercheur en biologie cellulaire, membre de lâĂ©quipe de Fanny Jaulin
LâInstitut national du cancer soutient le projet « Identification du programme patho-morphogĂ©nĂ©tique impliquĂ© dans la progression et la dissĂ©mination des cancers colorectaux festonnĂ©s » portĂ© par Fanny Jaulin Ă hauteur de 462 384,00 ⏠sur 4 ans.
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Dans cet épisode, découvrez le combat du Pr. Asnafi et de son équipe pour améliorer la survie des jeunes patients touchés par la leucémie LAL-T.
La leucĂ©mie aigĂŒe lymphoblastiques de type T (LAL-T) est un cancer du sang rare mais grave qui affecte les enfants et les jeunes adultes de moins de 30 ans. Au sein de l'hĂŽpital Necker - Enfants malades, les chercheurs analysent les anomalies gĂ©nĂ©tiques de cette maladie afin de proposer des thĂ©rapies ciblĂ©es sur mesure pour chaque patient.Les intervenants :
Vahid Asnafi, chercheur et directeur du laboratoire d'oncohĂ©matologie Ă lâhĂŽpital Necker â Enfants malades Ă Paris.
Manon Delafoy, pĂ©diatre et membre de lâĂ©quipe de recherche du Pr. Asnafi.
LâInstitut national du cancer soutient les travaux du Pr Asnafi sur les LAL-T depuis 2015 Ă travers plusieurs appels Ă projet, pour un montant total de 1 750 700âŹ.
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Le vaccin UCPVax, développé par le Pr Olivier Adotévi et son équipe au CHU de Besançon, est un vaccin thérapeutique anticancer destiné à stimuler les défenses immunitaires du patient contre sa propre tumeur.
Ce vaccin a dâabord Ă©tĂ© testĂ© contre les cancers du poumon avancĂ©s et les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© trĂšs encourageants. Il est aujourdâhui utilisĂ© contre plusieurs autres cancers comme les tumeurs cĂ©rĂ©brales, le glioblastome, cancer trĂšs agressif, ou encore le cancer du foie et les cancers liĂ©s au Papillomavirus (utĂ©rus, vagin, anus). Il peut ĂȘtre administrĂ© seul ou en combinaison avec dâautres thĂ©rapies anticancĂ©reuses.
Les chercheurs attendent beaucoup de ces essais cliniques. En effet, le vaccin UCPVax est potentiellement applicable Ă la majoritĂ© des cancers. Câest un vĂ©ritable espoir pour amĂ©liorer la qualitĂ© et la durĂ©e de vie des patients et lutter durablement contre les risques de rechutes.
Les intervenants :
Pr Olivier AdotĂ©vi, oncologue au CHU de Besançon et directeur de recherche Inserm, responsable de lâunitĂ© UMR1098 « ThĂ©rapeutiques Immuno-molĂ©culaires des Cancers ».
Marion Jacquin, ingĂ©nieur de recherche clinique au Centre dâinvestigation clinique, CHU de Besançon
Caroline Laheurte Chercheuse et responsable de la plateforme de Biomonitoring, CHU de Besançon
Laura Boullerot ingénieur dans l'unité et à la plateforme de Biomonitoring, CHU de Besançon
Laurie Spehner IngĂ©nieur de recherche dans lâunitĂ©, CHU de Besançon
Anne-Laure Clairet, pharmacien, maßtre de conférence et praticien hospitalier, CHU de Besançon
LâInstitut national du cancer a soutenu le projet UCPvax Ă hauteur de 438 292⏠à travers un appel Ă projet lancĂ© en 2013.
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Des avancĂ©es scientifiques mais aussi des histoires, dâhommes et de femmes, que nous allons vous raconter Ă travers 4 podcasts immersifs, au cĆur du quotidien des chercheurs/chercheuses et leurs Ă©quipes.
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