Avsnitt
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Dire au revoir est un luxe que nous n’avons pas toujours. À l’occasion du festival La Mort qui tue, mêlant traditions mexicaines et européennes, l’artiste Cathy Alvarez expose au Musée du Folklore et des Imaginaires à Tournai, le MuFIm. En dialogue avec les collections du musée, elle se penche sur les rites et rituels qui permettent de faire le deuil : comment vivre la présence des absents et les garder en mémoire ? Le titre de l’exposition fait référence à une phrase répétée de plus en plus souvent par la mère de l’artiste : « Cuando me muera », comme pour se préparer chacune à se dire au revoir. Les fours à chaux du Rivage Saint-André, témoins lapidaires du bassin carrier tournaisien, constituent ainsi un lieu de mémoire pour les hommes d’aujourd’hui. Les constructions de pierre et le jardin qui les entourent servent de prétexte, de socle ou d’écrin à des expressions individuelles et collectives dans un projet artistique commun pour créer une mémoire du futur ... Réalisation Yves Robic
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Quand son père malade le presse d'écrire sur son ancêtre Louis, capitaine des hussards fauché en 1914 dans une charge de cavalerie, Thibault de Montaigu ne sait pas encore quel secret de famille cache cette mort héroïque. Ni pourquoi elle résonne étrangement avec le destin de son propre père qui décline de jour en jour. La course contre la montre qu'il engage alors pour remonter le passé se mue en une enquête bouleversante où se succèdent personnages proustiens et veuves de guerre, amants flamboyants et épouses délaissées. Thibault de Montaigu nous raconte une lignée hantée par la gloire et l'honneur. Mais aussi ce qu'il reste d'amour et de courage dissimulés dans le coeur des hommes. Réalisation Pascale TisonPhoto : Editions Albin Michel
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Saknas det avsnitt?
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Frederick Wiseman compose de film en film une fresque dédiée aux êtres qui peuplent une quarantaine de lieux explorés , comme dans High School, Law and Order, Hospital, Central Park, La Comédie française, l’Opéra de Paris ou encore City Hall. Dressant ainsi un état des lieux d’existences ordinaires. « Frederick Wiseman, nos humanités », c’est une exceptionnelle rétrospective consacrée au grand réalisateur de documentaires, qui se tient à Paris, au Centre Pompidou, jusqu’au 20 décembre, à l’occasion de la restauration de 33 de ses films. L'occasion aussi de le retrouver dans un Ciné-récit que Jean-Louis Dupont avait réalisé en 2002.(Photo de Stéphane Cardinale - Corbis/Corbis via Getty Images : Frederick Wiseman au 77e Festival annuel de Cannes, le 16 mai 2024)
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En Algérie, l’enterrement est une affaire d’hommes, les pleurs sont une affaire de femmes…. A travers une prière un peu mystique, un peu magique, Kenza et sa mère se réinventent un rituel et tissent des liens avec le parent disparu, le père de Yasmina. Mais quelle place pour une femme faisant ses derniers adieux à son père ? Les souvenirs se mêlent au présent et les deux voyages se croisent. Cela s’appelle Pleuvoir sur les morts, c’est signé Yasmina Hamlawi et c’est plein d'une délicatesse tendre, précieuse à nos oreilles.Photo : Maël G. Lagadec
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Mattias Gerard se souvient avec un vieil ami de la célèbre grève des poubelles à Liège en été 1983. Moyen de pression contre un licenciement massif à la ville de Liège, l’épisode carnavalesque a laissé des traces dans l’imaginaire liégeois. Lou Du Pontavice fait le portrait d’Yvette à l’église Notre Dame, place du Jeu de Balle à Bruxelles. Deux documentaires produits par l'InsasPhoto : Pixabay
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Le Pavillon belge de la Biennale de Venise accueille le projet Petticoat Government jusqu’au 24 novembre. Après Bruxelles, Leuven, le lac gelé de Resia et l’imprimerie de Padova, Venise est une étape d’un grand voyage pour sept géantes, géants et leurs communautés, avant Charleroi et Dunkerque. Rencontre avec le collectif PG constitué de Sophie Boiron, Valentin Bollaert, Simona Denicolai, Pauline Fockedey, Pierre Huyghebaert, Antoinette Jattiot et Ivo Provoost, la jeune curatrice Giorgia Calamia, et deux membres de la communauté de la géante Julia, Lydwine Frennet et Carmela Morici de l’Eden de Charleroi. Prise de son : Laszlo Umbreit. Musique : Moha Ezzatvar et la fanfare Salamba. Sound design : Senjan Jansen. Le collectif bruxellois Rotor propose l’exposition "Entangled Matter" à BOZAR jusqu’au 12 janvier, à l’invitation d’A+ et BOZAR. Engagé dans les domaines de l’écologie, de l’architecture et du réemploi des matériaux, Rotor interroge la façon dont circulent les flux de matériaux et pose un regard critique sur leur propre position dans l’économie de la construction, notamment à travers les vidéos de Bêka & Lemoine.Réalisation : Fabrice Kada
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Si Gustav Mahler a dirigé de nombreux opéras, il n’en a pourtant pas composé. Et s’il ne trouvait le temps pour écrire de la musique que dans les périodes estivales, à l’écart des engagements professionnels et de la ville, la voix ne semble s’être articulée à sa musique qu’en lisière, que par exception. Et l’une de ces exceptions est notable : Le Chant de la Terre qui tient en lisière dans le catalogue de ses œuvres, comme un ajout arraché à la fatalité. Pour en parler, le poète Olivier Cadiot et le musicien Joce Mienniel à qui la Fondation Mahler et la Fondation Royaumont ont passé commande d’une œuvre librement inspiré du Chant de la Terre et qui ont, pour ce faire, eu une écoute spécialement pénétrante de l’œuvre de Mahler quitte à continuer de se tenir en lisière de celle-ci. Cet épisode de Metaclassique s’intitule « Retourner » pour des raisons qu’explique Olivier Cadiot, poète qui a été invité par la Fondation Royaumont à traduire et finalement écrire à partir du Chant de la Terre de Mahler dont le texte est le résultat d’un empilement de traductions de poèmes chinois anciens – un empilement qui nous est raconté par Anna Stoll Knecht, musicologue spécialiste de Mahler et chercheuse associée à la Bibliothèque La Grange-Fleuret. Une émission produite et réalisée par David Christoffel - MétaclassiquePhoto : Gustav Mahler par Moritz Nähr, Domaine public - via Wikipedia
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Dans ce dernier épisode, Hélène Laurent vous propose de réécouter des émissions nocturnes qui se faisaient l’écho en direct des nuits blanches à Paris et à Bruxelles. Ces émissions étaient la caisse de résonnance des clubs, des boites, du monde du spectacle, mais aussi des noctambules ou des travailleurs de nuit… Diffuser de toutes nouvelles musiques, inviter des artistes en studio ou dans des bars, aller à la rencontre des oiseaux de nuit, stars ou anonymes, avec un micro, c’était l’ambition des animateurs. La radio habitait alors véritablement la nuit, vivait à son rythme, l’éclairait sous toutes ses facettes et ce, jusqu’au petit matin… Au programme : Le magazine de la Nuit et Some Like it house de Nicolas Deckmyn ( Radio Campus Bruxelles, 1991, lundi de 23h à 3h et jeudi à partir de 22h30), le Pop Club de José Artur au Bar Noir de la Maison de la Radio (France Inter, 1965-2005, du lundi au vendredi souvent 22h-1h) et Les Choses de la Nuit de Jean-Charles Aschero (France Inter, 1975-96, souvent le week-end, souvent 1h - 5h) Réalisation Hélène Laurent, mixage Vincent Venet
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C’est une création sonore inspirée de l’histoire d’Henriette De Crans, première femme accusée de sorcellerie, première « sorcière » brûlée vive à Besançon en 1434 à Chamars. 15 autres femmes connaîtront ce même sort jusqu’en 1660. Accusées de sorcellerie, jugées à Besançon et condamnées à mort par le feu. « Ils disent que je suis plus cruelle que la mort , je suis déficiente dans mes forces d’âme et de corps. Je ne suis pas comme eux, et me voilà devant tous ces gens. Ils croient que je suis le Diable, une sorcière disent-ils. Mais ils se trompent, Ils garderont leurs peurs. Droite contre une pièce de bois, j’ai avalé une fumée noire. Ma langue s’est perdue, cahotée, déroutée, détournée. Ma langue Va se relever Va se soulever». Enregistrements, montage et mixage : Aurélien Bertini Production : Ville de Besançon en partenariat avec Radio Campus Besançon 102.4 FM Écriture : Stéphanie Genetay, Stéphanie Ruffier, Aurélien Bertini Suivi d’un extrait de Monde sensible, de Tizian Buchi : une quête documentaire dans le Jura suisse, à la rencontre de ceux et celles qui font exister le secret.
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Clara a toujours adoré l’eau: elle savait à peine marcher qu’elle s’élançait déjà vers la mer à la moindre occasion, qu’on ait eu le temps de lui mettre des brassards ou non. Rapidement inscrite à des cours de piscine, elle découvre alors une nouvelle passion, la natation synchronisée, et avec elle, un rêve : les Jeux Olympiques. Toute sa vie d’enfant puis de jeune femme va ensuite être modelée autour de cet unique rêve, rythmé par des entraînements incessants et des compétitions toujours plus intenses. Vaillante, elle tient bon et grimpe les classements, jusqu’au jour où… Tout s’effondre. 'Clara' raconte l’histoire vraie d’une ancienne nageuse d’équipe de France. C’est à la fois une plongée dans l’univers singulier de la natation synchronisée de haut niveau et une histoire de résilience et de reconstruction, racontée à la première personne, par Clara Petit. Une rencontre signée Mila Lignel Mehdi Pierret raconte quant à lui un accident de la route où une amie revisite les moments de sa prise de conscience avant et après l’instant où elle se fait faucher par une voiture.
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La qualité du patrimoine bâti verviétois témoigne d’une aventure industrielle singulière mais aujourd’hui révolue : l’industrie textile. Le projet Verviers Ville Conviviale du bureau Baumans-Deffet s’attache à ré-identifier un cœur de Ville vert, attractif, animé, multifonctionnel, multiculturel et apaisé. En Borinage, dans la commune belge de Quaregnon, surgit aux détours de chemins et terrils une école particulière à la silhouette intrigante, entre un tableau de De Chirico et une grand Place de ville flamande. Le livre Mimêsis 222 en tire une fiction architecturale, avec des questionnements sur un état des lieux actuel de l’architecture. (Photo Sébastien Bez)Deux propositions de Christine Van Acker. Enfin, Fabrice Kada nous donne des échos de Rotor, "Entangled Matter" (photo) à voir à BOZAR jusqu’au 12 janvier.
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Ce documentaire relate l’accueil de familles syriennes exilées au Liban dans la Drôme et l’engagement citoyen qui l’a rendu possible, les espoirs et les peurs qui précèdent et marquent les premiers mois en France, les difficultés et la richesse des rencontres entre ces nouveaux habitants issus de cultures lointaines et ceux qui se sont mobilisés pour les accueillir. Une aventure humaine. "Un accueil citoyen » s’inscrit dans la série "ici de monde » dont les premiers épisodes concernaient la communauté yésidie irakienne de la Drôme. Avec Yusra, Mohammad et Mustafa, Zaher et Samar, Mireille, Catherine, Odile, et les bénévoles du Réseau d’accueil des réfugiés, Cécile et Soledad du dispositif Couloirs Humanitaires. Réalisation Caroline Fontana, pour la Bande sonoreUn projet soutenu par la DRAC, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds de Développement de la Vie Associative.
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Hélène Laurent vous propose de découvrir la première radio pirate belge, créée en 1978 par les habitants de Couvin en opposition à la construction d’un grand barrage en amont de leur ville, sur la rivière de l’Eau Noire. Elle diffusait clandestinement moins d’une demi-heure tous les vendredis après 21 heures, à Couvin, pour se moquer du projet de barrage, mais surtout pour informer la population des dangers et coordonner la lutte des « irréductibles Couvinois » jusqu’à la victoire ! Cette radio éphémère recherchée par la gendarmerie et émettant grâce à une antenne cachée dans la pénombre de la forêt ne participe-t-elle pas à l’éclosion des radios éco-pirates des années soixante-dix qui ressurgissent ces dernières années? Au programme : Radio Eau Noire, 102 FM, en lutte contre le projet de barrage à Couvin (mars à novembre 1978), mais aussi Radio Verte Fessenheim, 101 FM, en lutte contre la centrale nucléaire de Fessenheim (juin 1977), Radio Larzac libre, 92.6 FM, en lutte contre l’extension du camp militaire sur le plateau du Larzac (été 1977), Radio Verte, 92 FM, en lutte contre le monopole de l’État sur les ondes et pour l’écologie à Paris (1977-78) et Radio Klaxon, 107.7 FM, en lutte contre le projet de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes et pour le maintien de la ZAD (2012-2018). Réalisation Hélène Laurent, mixage Vincent Venet
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Victor José Géal, c’est Toone VII ! Ce comédien brusseleir et ancien directeur du Théâtre Royal de Toone accueille Jean-Baptiste François et lui raconte la vie de son théâtre, la vie de Woltje, sa vie. En écoutant Toone, ce qui anime son théâtre ainsi que des archives dans lesquelles il donne sa voix, nous découvrons la passion, la maîtrise et l’art populaire de la marionnette à tringle bruxelloise. Un art populaire humain contre lequel les ordinateurs et autres zieverderaa ne pourront jamais rivaliser. En 2024, la région bruxelloise a d’ailleurs demandé la reconnaissance du Théâtre Royal de Toone au Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO. Un documentaire sans stûûût, plein de brol et de zwanze sur un tof pey qui est loin d’être un snul ! Réalisation Jean-Baptiste François
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Comment annoncer à ses parents son homosexualité ? Agathe Laurain, étudiante à l’INSAS, s’attaque à cette question en interrogeant ses proches et en commençant par sa mère. Moments de complicité, de quiproquos, de silences au téléphone…
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A la Villa Empain, jusqu’au 3/11, l’exposition Beyond the Lines réunit les œuvres et recherches d’artistes ayant résidé à la Villa et dont la pratique de prédilection se déploie autour de la ligne et du dessin. Figurative, abstraite ou à la croisée des genres, les pratiques réunies ici parviennent à créer de la profondeur et à jouer sur la monumentalité, à partir du fil ténu du dessin. Rencontre avec les artistes Romain Ruiz-Pacouret, Rébecca Konforti et Ulla Hase ainsi que Louma Salamé, commissaire de l’exposition. Mimêsis 222 est paru aux éditions Papermenhir. En Borinage, dans la commune belge de Quaregnon, surgit aux détours de chemins et terrils une école particulière à la silhouette intrigante, entre un tableau De Chirico et une grand place de ville flamande. La déambulation dans cet espace autre devient le sujet d’une fiction architecturale et de questionnements autour d’un état des lieux actuel de l’Architecture. Réalisation Christine Van Acker
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Elles se sont lues mais ne s’étaient pas encore rencontrées. Nora Bussigny, journaliste, a écrit Les nouveaux inquisiteurs, L’enquête d’une infiltrée en terres wokes ; Nadia Geert, philosophe, a écrit Woke, la tyrannie victimaire. Ensemble elles questionnent la liberté d’expression d’aujourd’hui. Pendant un an, Nora Bussigny s’est immergée, sous une fausse identité au cœur de différents mouvements : formations, manifestations, groupes de paroles. Elle donne à entendre l’expérience d’un engagement total, celui de militants à qui le doute n’est pas permis. Nadia Geerts en philosophe questionne la déconstruction de mouvements américains importés, infusés en Europe. Rencontre.Réalisation : Pascale Tison
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Dans ce quatrième épisode, Hélène Laurent vous propose d’écouter des récits de voyages nocturnes, mais aussi d’entendre des émissions étrangères qu’on pouvait capter, la nuit seulement, sur les postes à ondes courtes dès les années vingt … Vous découvrirez aussi des émissions de poésie d’Armand Robin nées de l’écoute nocturne intensive des radios de propagande dans les années quarante. Un véritable voyage autour du monde et dans l’histoire des ondes courtes la nuit. Embarquement immédiat ! Au programme du voyage : le Mexique avec Les Nuits du bout du monde de Stéphane Pizella (France Inter, 1953-67), les Etats-Unis avec Les Nocturnes de Georges Lang (RTL, depuis 1973), l’Angleterre avec Radio Caroline (FM, 1964-90), les quatre coins du monde dans des émissions sur ondes courtes, la Russie communiste avec Poésie sans passeport d’Armand Robin (ORTF, 1951-53)… Réalisation Hélène Laurent. Mixage Vincent Venet
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Il n’y a pas besoin d’être un ou une spécialiste pour savourer cette densité sonore que nous offrent les oiseaux chaque printemps. Mais que racontent-ils ? Une journée condensée à l’écoute des oiseaux nous permettra-t-elle à nous, auditeurs et auditrices de radio, de percer le mystère de cet enchantement ? Un documentaire de Cécile Guérin réalisé avec Jean Philippe Zwahlen Avec la participation de Laurent Willeneger, artiste naturaliste ; André Bossus, ornithologue, spécialiste des rouges queue à front blanc ; Pierre Palengat, preneur de son d’oiseaux, studio Les 3 becs ; Jean Nicolas Pradervand, biologiste à l’antenne valaisanne de la station ornithologique Suisse. Texte de David Rothenberg, Un rossignol dans la ville, à la recherche du son parfait, éditions Actes sud Production : Camille Dupon-Lahitte, RTS Le Labo
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Nombreux sont les jeunes qui s’installent à Bruxelles pour le travail, ou pour leurs études. Dans cette ville aux mille et une maisons de maître, ils se retrouvent souvent en colocation à 5, 6, ou plus, et trouvent dans ce mode d’habitation une forme de confort matériel, grâce aux grands espaces que ces maisons offrent. Ici, entre la chaussée d’Ixelles et l’avenue Louise, c’est un confort d’une toute autre sorte que les locataires du ‘Prezi’ ont trouvé. Avec Rue du Président (photo), Nicolas Perrin, étudiant à l'INSAS, nous donne à écouter 5 années d’une colocation particulière, racontée par celles et ceux qui d’une génération à l’autre ont donné vie à ce logement bringuebalant. Marie Roufosse évoque les difficultés de vivre dans son corps. Alors elle mène l’enquête, en cherchant un mieux- être. Quant à Gaël Blanchard, il photographie son ami devenu Valentine et assiste à sa métamorphose. Marie Roufosse et Gaël Blanchard sont tous deux étudiants à l’IAD.
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- Visa fler
