Avsnitt
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durée : 00:25:30 - Le Feuilleton - "Le vendredi 25 janvier 2008 ma mère m'a téléphoné, j'étais sur le point de sortir, je me suis assise sur le rebord de l'évier, nous avons parlé de choses et d'autres. Lucile m'a appelée ce vendredi matin, c'était la dernière fois et elle le savait."
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durée : 00:23:51 - Le Feuilleton - "J’ai arrêté mes médicaments il n'y a pas de quoi s'affoler je n’en peux plus de vivre comme un légume je ne veux plus de cette vie-là je veux vivre les choses les ressentir être vivante."
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Saknas det avsnitt?
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durée : 00:24:16 - Le Feuilleton - "Pendant plusieurs années, ma mère a vécu sous camisole chimique. Son regard était fixe, embué, une pellicule fangeuse semblait s'y être collée. Derrière les yeux, on pouvait deviner les comprimés pris à heure fixe, le temps étale et sans relief."
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durée : 00:24:09 - Le Feuilleton - "Lucile ouvre les yeux sur sa vie dévastée. Elle est en train de perdre la garde de ses enfants, elle a dépensé l'argent qu'elle n'a pas, elle a fait et dit n'importe quoi. Cela a eu lieu, cela est irrémédiable."
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durée : 01:07:59 - Fictions / Théâtre et Cie - Dans un tribunal, des personnages de différentes nouvelles de Maupassant viennent à la barre. Au fil des témoignages, tantôt comiques, sombres ou étranges, le juge semble ressentir des pulsions de plus en plus difficiles à contrôler.
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durée : 00:57:35 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Dans cette fiction de Carine Lacroix, des voix se mêlent pour nous raconter le cheminement d’une femme, brisée par les épreuves, mais qui va peu à peu retrouver du sens et de la beauté à la vie et déployer une force qu’elle ne soupçonnait pas.
En direct de la maison de la radio et de la musique. -
durée : 00:24:29 - Le Feuilleton - "Ces années ont été pour Lucile un temps de grande solitude (elle l'a souvent dit), et ont contribué à la destruction de sa personne (c'est moi qui l'écris). La rencontre de Lucile et Gabriel reste à mes yeux la rencontre de deux grandes souffrances."
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durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - "Liane découvre l'adolescent allongé sur son lit, un sac en plastique enfoncé sur la tête. Elle se jette sur lui, retire le sac d'un geste brusque et découvre son visage. Sa bouche est restée ouverte, à la recherche d'air."
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durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "Sans doute avais-je envie de rendre un hommage à Lucile, de lui offrir un cercueil de papier et un destin de personnage. Mais je sais aussi qu'à travers l'écriture je cherche l'origine de sa souffrance. Est-ce que la souffrance était déjà là ? "
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durée : 00:24:41 - Le Feuilleton - "Mon fils me rappelait à l’ordre: un chat s’appelait un chat. Grand-mère s’était suicidée, oui, foutue en l’air, elle avait baissé rideau, lâché l’affaire, elle avait dit stop, basta, terminado, et elle avait de bonnes raisons d’en arriver là."
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durée : 01:57:28 - Fictions / Théâtre et Cie - Frère et sœur, Mattis et Hege vivent dans une maison au bord d’un lac. Elle subvient à leurs besoins, tandis que lui, obnubilé par ses pensées, en dehors de la vie matérielle, témoigne d’une extrême sensibilité aux signes envoyés par la nature.
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durée : 00:57:45 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Estelle Gapp donne la parole à celle qui n'a jamais raconté son histoire, ensevelie sous les mots de sa mère. Condamnée à seize ans de Goulag, Alia écrivait à son ami Boris Pasternak, en 1952 : "Chaque jour, j'appelle à l'aide un miracle, qui me ramène dans le monde des vivants.
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durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "Les irréversibles courants de libération de la femme qui fouettent le monde, ne me laissent pas indifférente. Cet ébranlement qui viole tous les domaines, révèle et illustre nos capacités."
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durée : 00:28:26 - Le Feuilleton - "On dévisageait la femme mûre sans compagnon. Je feignais l’indifférence, alors que la colère martelait mes nerfs et que mes larmes retenues embuaient mes yeux. Je mesurais, aux regards étonnés, la minceur de la liberté ; accordée à la femme."
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durée : 00:29:12 - Le Feuilleton - "L’amitié a des grandeurs inconnues de l’amour. Elle se fortifie dans les difficultés, alors que les contraintes massacrent l’amour. Elle résiste au temps qui lasse et désunit les couples. Elle a des élévations inconnues de l’amour."
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durée : 00:29:09 - Le Feuilleton - "Premières pionnières de la promotion de la femme africaine, nous étions peu nombreuses. Des hommes nous taxaient d’écervelées. D’autres nous désignaient comme des diablesses. Mais beaucoup voulaient nous posséder."
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durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "J’écoute des mots qui créent autour de moi une atmosphère nouvelle où j’évolue, étrangère et crucifiée. La mort, passage ténu entre deux mondes opposés, l’un tumultueux, l’autre immobile."
- Visa fler