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C’est une nouvelle qui en dit long sur la place des femmes dans l’univers du sport professionnel. Une nouvelle qui tient en quatre lignes, dans les colonnes du quotidien sportif l’Équipe. Quatre lignes et pas une de plus : la navigatrice britannique Samantha Davies va pouvoir bénéficier d’un nouveau bateau pour le Vendée Globe 2024.
La skippeuse, engagée dans cette course en solitaire depuis 2017, se dit « fière qu’une femme puisse enfin naviguer à armes égales ». Comprenez, naviguer dans les mêmes conditions que ses concurrents masculins. Samantha Davies qui déclare également être « prête à s’investir totalement, à travailler très dur pour mener ce futur Imoca – le nom de cette flotte de monocoques – à 100% de ses capacités ».
L’ouverture d’une brèche dans un espace sportif moderne et mondialisé qui n’est en revanche pas prêt, lui, à faire sauter le plafond de verre des inégalités salariales.
Ciblant leur communication autour de l’égalité des genres, ces acteurs majeurs du monde sportif que sont les fédé, les ligues, les ministères et autres marques et sponsors peinent toujours à accepter une égalité de rémunérations entre sportives et sportifs.
Ainsi, alors qu’en basket, une joueuse pro gagne en moyenne 3,3 fois moins que son collègue masculin ; que dans le foot, l’écart est 37 fois supérieur pour un homme, un sport est en train d’engager une timide mue : le cyclisme où un homme gagne encore 10 fois plus qu’une femme ; le cyclisme qui a vécu une révolution, le 2 octobre 2021 dernier, avec le lancement de la 1re édition « 100% féminine » de la mythique course Paris-Roubaix, course retransmise en direct et en intégralité sur Eurosport.
Alors, pour nous parler de ces enjeux d’égalité salariale dans le sport, « les non-essentiels » libère, dans ce nouvel épisode, la parole d’Amandine Fouquet, championne de France de cyclo-cross ainsi que celle de Célia Géry, sa cadette. Sans oublier l’inénarrable Daniel Mongeas, « la voix » du Tour qui nous annonce en exclusivité qu’une autre course a décidé de se féminiser : le chrono des Herbiers.
Nous sommes le 3 novembre 2021, vous écoutez les « non-essentiels libèrent la parole ». C’est sur Graffiti et c’est parti !
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« Merci d’être venu.e.s ! » C’est ce que disent, depuis maintenant 7 ans, des citoyen.ne.s mobilisé.e.s dans l’accueil des exilé.e.s. Un « merci » festif et solidaire. Fait d’échanges en mots, en musiques, en contes et en repas partagés.
Pendant ce mois d'octobre, les « non-essentiels » vont donc continuer à « libérer la parole », donner à écouter la voix de celles et ceux que l’on n’entend pour, ainsi dire, jamais. Celle des exilé.e.s vivant aujourd'hui en Vendée.
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Saknas det avsnitt?
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Les enfants, à la rue ? Derrière les beaux discours, la réalité de l'exil. Arrivée en France il y a 4 ans, une famille géorgienne vient de passer 15 jours à dormir dans les rues de La Roche-sur-Yon. La faute à une administration préfectorale et une municipalité sourdes à cette situation. Une situation insoutenable dénoncée par le collectif Pas de chaise vide à La Roche-sur-Yon. Les conditions de vie des exilés, une thématique à retrouver en octobre sur le podcast "Les non-essentiels libèrent la parole !"
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Quelle que soit la saison de l’année, la liberté ne trouvera jamais ses racines dans le confusionnisme politique ambiant. Même l’été. Parce que la liberté n’est ni une option complotiste, encore moins une solution patriotique.
Dans cette 2e saison, ce podcast porte, haute, cette conviction que la liberté, au contraire, se gagne à plusieurs. Que la liberté passe par la libération des uns grâce aux combats des autres.
Ainsi de la lutte contre la réforme de l’assurance chômage qui n’est pas terminée. Après le 1er round, remporté par le mouvement d’occupation le 21 juin dernier, le gouvernement a prévu de remettre ça, dès le 1er octobre prochain. Une réforme, si elle était validée, qui menacerait toujours plus d’un million de nos concitoyens.
Une bascule de la précarité vers la grande pauvreté. Une réelle privation de liberté. Celle de vivre, digne, debout, en citoyen émancipé.
Alors, sans mantra ni slogan obligés , « Les non-essentiels libèrent la parole ! » ont décidé de rempiler pour une 2e saison. L’acte II d’une mobilisation collective qui n’est pas prête de s’essouffler.
Nouveauté en cette rentrée, l’ouverture d’un « guichet essentiel ». Une sorte de boîte à outils et de soutien à toutes celles et ceux qui en ressentiraient le besoin. Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de nous envoyer vos questions au courriel [email protected] et nous ferons tout pour vous répondre, d’émission en émission. Bonne écoute et bonne rentrée !
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Faire avec. Faire ensemble. C’est le sens de ce 11e numéro de notre podcast qui part, à l’aube de l’été, à la rencontre d’une envie faite de culture itinérante, toujours conduite par les préceptes de l’éducation populaire. De Montpellier à La Roche-sur-Yon, en passant par René, dynamique village sarthois, voici donc, ici racontées, les aventures du Rapiloteur. Un camion qui pose sa scène de 17 m2 partout où l’envie de faire avec, de faire ensemble se vit comme une nécessité.
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On vous en parlait dans notre 10e épisode. Le gouvernement avait passé un sale quart d’heure, le 10 juin dernier, au Conseil d’État. Il n’aura pas fallu longtemps pour que cette haute instance désavoue publiquement Elisabeth Borne, Jean Castex et… Emmanuel Macron. Ce mardi 22 juin, jour de mobilisation nationale contre l’application de la réforme de l’assurance chômage, le Conseil d’État a annoncé officiellement la suspension du changement de calcul des allocations chômage, au 1er juillet. « Ici, radio Occupation, les non-essentiel.le.s parlent aux non-essentiel.les ». Pour continuer d’ouvrir de nouvelles brèches dans les ultimes défenses d’un ultralibéralisme pourrissant littéralement sur pieds, continuons de faire corps social !
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3h pour mettre le gouvernement en difficulté. C’est le temps qui aura fallu, le 10 juin dernier, aux syndicats pour démontrer au Conseil d’État toute l’absurdité de la réforme de l’assurance chômage. Un décret « toxique », profondément injuste et inefficace dans la lutte contre la précarité dont on vous détaille les coulisses dans ce 9e épisode des « non essentiels libèrent la parole ».
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Quand un jeune gars vous dit qu’il vient de la rue et qu’il a trouvé un emploi, vous ne riez plus. Vous écoutez en vous disant que, décidément, Macron n'est pas sorti de la cuisse de Jupiter mais bien d'un de ces cabinets mortifères de banquiers. Quand les AESH jouent à la marelle, vous vous approchez, intrigués, et vous comprenez, qu’en réalité, elles mettent leur vie aux enchères. Là, encore, vous ne riez plus. Vous écoutez. Vous vous mobilisez !
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Pénicaux a mûrit, elle. Trouvant même qu’Elisabeth dépasse les Borne. Il faut dire qu’à ce jeu de grattage, les perdants de la réforme de l'assurance-chômage seront 1,15 million, dès le 1er juillet. Comme ces ex-smicards qui verront leur allocation passer de 985 à 667 euros par mois. Une sordide équation qui ne passe pas chez les occupantes qui ont mené, cette semaine, une action au pôle emploi de La Roche-sur-Yon et fait leur tournée de réouverture des « galères en bars ».
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Odéon-CentQuatre, Roubaix, Saint-Céré, Dijon... Dans ce 6e épisode des « Non-essentiels libèrent la parole », retrouvez toutes les actus de ces lieux occupés : les convergences et les actions à venir pour obtenir l’abrogation de la réforme de l’assurance-chômage.
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Et vous, c’est quoi votre 19 mai ? Pour vous, ça rouvre quoi ? Ça empêche quoi ? Ça continue de casser quoi ? Pour nous, une certitude : ce 19 mai n'épargnera en rien l'avenir bouché promis aux non-essentiels de ce pays. Ce 19 mai n'est qu'un jour de plus à lutter. Un jour de cette révolte qui vient, qui sourde, qui monte. Qui invite encore et toujours à l'occupation.
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Occupation J+60. Après deux mois d’occupation, quelles conséquences de la lutte sur celles et ceux qui la mènent ? Pour quelle convergence et résultats ? Pour ce 4e numéro des « non-essentiels libèrent la parole » , retrouvez les occupant•e•s du Grand R, ce samedi 15 mai de 11h à midi, non pas en direct du parvis du Grand’R mais sur Graffiti Urban Radio.
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Un plan de com’ pour siffler la fin de la récré. Voilà le principal objectif de la réouverture des lieux de culture, le 19 mai. Alors que, depuis 52 jours, les occupantes et les occupants du Grand R veulent juste continuer de créer, répéter, partager. En un souhait : siffler le début de la recréation !
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De Chicago à aujourd'hui : histoire et perspectives de cette journée internationale de revendications des travailleuses et travailleurs de tous secteurs. Pour son 45e jour d'occupation, un second numéro des "non-essentiels libèrent la parole" au cœur de la manif et de la convergence des luttes.
Parmi les textes lus et écrits par les occupant.e.s de La Roche-sur-Yon, vous avez pu entendre ceux de : Pennequin, Pierre-Yves Bulteau, Joseph Ponthus, Edouard Louis, Agnès Bihl, Isabelle Loridan-Cousseau, Bernard Lubat, Charles Silveste et Roland Gori, Bernard Lavilliers et Vladimir Maïakoski.
"Les non-essentiels libèrent la parole" tiennent également à remercier le collectif du Théâtre de l'Union de Limoges pour l'écriture du "Chant des occupant.e.s", magnifique hymne de mobilisation et d'espoir.
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Pour sa première, "Les non-essentiels libèrent la parole" ont tendu leur micro à Babeth, Euphrasie, Sophie... Ces aides à domicile et accompagnatrices d'élèves en situation de handicap, "premières de corvées" révélées par la crise sanitaire. Aujourd'hui, elles restent encore et toujours les grandes oubliées des décisions politiques prises par Macron. Qu'à cela ne tienne ! Les non-essentiels de Vendée ont décidé de mettre en ondes ces paroles de femmes, de toutes conditions, de tous secteurs. Des combattantes de l'émancipation. Une évidence pour cette première émission. A écouter dès maintenant et à partager sans modération !