Avsnitt

  • L'invité du jour est un danseur étoile du ballet de l’Opéra national de Paris, l’étoile en question étant, et selon la définition, un corps céleste qui rayonne sa propre lumière… ça éblouit et ça fait pleurer.

    Sensation déjà éprouvée quand nous l'avons vu danser, une émotion incontrôlable, en voici une autre : la peur avec le cœur qui bat trop fort en le voyant exécuter un passage virevoltant et virtuose sur un catwalk trempé lors de la cérémonie d’ouverture des JO, un moment d’apnée que nous imaginons partagé.

    Ce sera là notre seul point commun. De plus, ses actualités sont multiples et le planning chargé,
    la plus immédiate c’est : Onéguine ballet de John Cranko d’après Pouchkine sur une musique de Tchaïkovski, le rôle-titre au Palais Garnier dont toutes les dates sont complètes.

    Germain Louvet répond aux questions de Charline Roux.

  • Aujourd'hui, votre rendez-vous quotidien fait de conversation et de musique (qui sera de surcroît un autre sujet de conversation, puisque nous avons affaire à une experte qui a officié pendant quelques années à la tête de la meilleure émission de live ayant existé).

    Elle est comédienne et se promène avec grâce et tempérament chez Olivier Jahan, Sylvie Verheyde (avec un César à la clé), Alain Chabat, Michel Gondry, Christophe Honoré, Marion Vernoux…

    Aussi impeccable en voiture avec Mr. Bean qu’en train avec Thome Yorke (clin d’oeil et deniers du culte). Elle dirige surtout, et drôlement bien, 9 meufs comme 9 mecs quand elle passe derrière la caméra.

    Quel immense plaisir que de la retrouver dans : Frotter Frotter, mini-série de Marion Vernoux à partir du 19 février sur France 2.

    Emma de Caunes répond aux questions de Charline Roux.

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  • Aujourd’hui, nous aborderons le sujet de la littérature HPI soit dans ce cas précis Haut Potentiel Inquiétant ce qui n’empêche pas un immense plaisir de lecture . Reading is fundamental, c’est du RuPaul dans le texte, toujours citer ses philosophes préférés, conseil à appliquer qui plus est dans des temps troublés (doux euphémisme).

    On lui doit une tétralogie fascinante, "Les Sauvages", adaptée avec succès en série (président Roschdy, c’est toujours oui), le roman "404" sur les dangers des IA et la propagation d’une parole raciste décomplexée, mais c’est sorti en 2019 donc depuis tout a changé… ah non...

    Il vient aujourd’hui nous parler de sa dernière création, "Safari", paru chez Flammarion coédition Versilio.

    Sabri Louatah répond aux questions de Charline Roux.

  • Pour tout vous dire, si nous devions nous fier uniquement à l’apparence dudit invité, tout ne serait que douce balade ou éventuellement titre lounge pointu du club sélect... Mais comme nous avons vu son spectacle, nous regrettons de ne pas pouvoir jouer un slow de groupe de hard rock se terminant invariablement par un solo électrisant ou dissonant.

    Bref, un invité qui sur scène maîtrise à la perfection l’art de la rupture sans jamais hausser la voix. Prestation d’autant plus virtuose, que contrairement au genre précédemment énoncé, chez lui, il n’y a jamais trop de notes. Son seul en scène s’appelle Arecibo, et retenez son nom, aussi doux que son allure, mais méfiance.

    C'est actuellement à la Nouvelle Seine, à Paris mais complet jusqu'en fin Mars, également pour la tournée, mais prolongations à partir de début Avril, tous les jeudis et vendredis à 21h toujours à la Nouvelle Seine et en tournée.

    Louis Cattelat répond aux questions de Charline Roux.

  • Alors attention : l'invitée du jour nous passionne tout particulièrement et nous manipulons le mot avec précaution, car nous entendons par passion, “ce qui, dans une œuvre, est le signe de la sensibilité, de l'enthousiasme de l'artiste et non “souffrance” ou “affectivité violente qui nuit au jugement”, elle n’a en aucun cas obscurci le nôtre, elle l’a éclairé, le propre du dialogue.

    Effectivement, en lisant son dernier ouvrage, nous avons eu l’impression d’en entamer un de ses précédents, qui nous avaient happés : "Une fièvre impossible à négocier", "La Petite Communiste qui ne souriait jamais", "Mercy", "Mary, Patty", "Chavirer", "Quand tu écouteras cette chanson".

    Celui qui l’amène aujourd’hui aussi, avec ce drôle d’effet secondaire : nous avons l’habitude de corner les pages des livres, à chaque fois que nous souhaitons nous rappeler d’un passage, et ce n’est cette fois plus un livre que nous avons entre les mains, mais littéralement un accordéon tant nous avons compulsivement plié. Ce livre, c'est : "Il n’a jamais été trop tard", paru chez Stock.

    Lola Lafon répond aux questions de Charline Roux.

  • Comme chaque jour, la musique est au cœur de l’émission, celle que l’invité écoute, celle que l’invité pratique, car oui, il est de ce qui compose et interprète. Quand nous disons “interprète”, nous entendons avec tout ce que ça implique : d’implication et de mouvement, le sien semble perpétuel, pas étonnant donc de le retrouver au cœur d’un projet de type concert dansé.

    À Chaillot - Théâtre national de la Danse du 6 au 8 février puis en tournée exclusive en France, le 24 juin aux Nuits de Fourvière, il avait annoncé la couleur avec un premier album titré "Hyper", à peine le temps de se poser avec "Intérieur vie" qu’il est reparti, son dernier-né étant nommé "Adrénaline", nous imaginons que l’énergie n’est pas retombée.

    Hervé répond aux questions de Charline Roux.

  • Au centre dans l'entretien d'aujourd'hui : un film qui nous a bouleversé, retourné, ramassé, et tous les adjectifs nécessaires à décrire notre émotion.Pour en parler, deux de ses comédiens, l’un est le premier à entamer sa carte de fidélité au Score.

    Une carte valable à vie pour lui (dit-on sur un ton mi mignon mi menaçant, s’agirait pas qu’il l’oublie quand il aura son premier César ce qui ne manquera pas d’arriver).

    Le second aura peut être le sien dans les semaines qui viennent, il a réalisé du plus gros succès ciné de l’année (avec un nombre d’entrées dépassant les 10M), succès non seulement mérité mais couronnant aussi une prise de risque constante chez le Monsieur qui est éminemment drôle mais pas que.

    Artus & Sayyid El Alami répondent aux questions de Charline Roux.

  • Dans le Score du jour, de la musique en double quantité, puisque c’est à un film à haute teneur mélodique que l’émission sera consacrée : Maria, dans les salles le 4 février, avec dans le rôle de la Callas : Angelina Jolie, le tout dirigé (de main de maître) par l'invité du jour, réalisateur chilien à qui l’on doit déjà les portraits ciné de Jackie et Spencer (soit Kennedy et Diana) avec Natalie Portman et Kristen Stewart.

    Il s'est aussi intéressé à l’histoire de son pays dans No et Neruda (avec Gael Garcia Bernal). Il était de passage à Paris pour parler de son cinéma et de la diva Maria, Le Score s’est donc téléporté pour aller converser.

    Pablo Larraín répond aux questions de Charline Roux.

  • Dans cette émission, nous accueillons deux special guests des héros en lycra colorés, oui, une team créée par deux sentais de la BD.

    L’un a signé entre autres les merveilleux "Sangri La et Carbone et Silicium", l’autre "PTSD et Frontier", ensemble ils ont contribué à la série "Doggybags", biblios non exhaustives auxquelles viennent désormais s’ajouter : Shin Zero (éditions rue de sèvres, Label 619) une série dont le premier tome vient de paraître, une oeuvre géniale qui nous a ramené en des temps lointains durant lesquels nous enfilions une cagoule, des collants, une paire sur les jambes, une autre sur les bras pour être San Ku Kaï, même si nous ne sommes pas complètement sûrs que notre idole de jeunesse appartienne à la catégorie de héros dont il va être question aujourd’hui…

    Autant poser la question de suite à nos invités, non sans les avoir salués au préalable.

    Mathieu Bablet & Guillaume Singelin répondent aux questions de Charline Roux.

  • Dans l'émission du jour, nous sommes à deux doigts de sortir les chocolats emballés dans du papier doré. C'est le tarif minimum, quand on reçoit un ambassadeur qui lui même donne des soirées.

    Oui, l’excellence musicale à la française, compositeur, producteur, l’homme dont le label a une particularité que nous aimons répéter (jusqu’à ce qu’il l’envisage comme un slogan) : quand on danse sur les artistes et sons de la maison (Ed Banger), on peut jamais avoir l’air con.

    L'un des fleurons de son écurie est en lice, par deux fois, pour les Grammy, petite cérémonie qui se déroulera dans la nuit de dimanche à lundi. Le fleuron en question c’est Justice, et lui, c'est celui à qui on doit tout.

    Pedro Winter répond aux questions de Charline Roux.

  • Aujourd'hui, à défaut de complètement chanter juste, nous nous engageons à parler droit.

    Oui, on ment aussi dans les professions de foi puisque en 3 phrases péniblement articulées on a déjà ondulé un paquet de fois. Mais ce n’est qu’un modeste hommage à celui que nous recevons puisque c’est par ce titre qu’il s’est présenté il y a quelques années… 30 ans nous dit-on mais les gens exagèrent toujours… et puis c’est dans la tête non ?

    En vrai aussi dans les articulations, heureusement, le temps qui passe est toujours plus joli quand il est chanté et raconté par lui.

    Il vient nous parler de son 9e album… après Super, J’en ai marre d’être deux, 2000 (étrangement sorti en 2002), Michel, I love you, Promeneur, (En Anglais) place à Grand Piano.

    Mathieu Boogaerts répond aux questions de Charline Roux.

  • L'émission du jour n’adoucira exceptionnellement pas les mœurs… à quoi bon ?

    Dans ce studio, une hooligan de l’humour venue sans barre de fer, mais avec son rire aussi sonore que contagieux (et parfois menaçant), car oui on peut golri, on doit d’ailleurs, de tout ce qui nous angoisse et nous agace.

    Une humoriste passée par Science Po… et ça déjà c’est marrant… bah si… Fondée sur des valeurs d'ouverture et d'excellence, Sciences Po est une université de recherche sélective de rang international, qui forme aussi des citoyennes éco concernées et féministes (bingo non contractuel).

    Bienvenue au cœur d’une heure de rage contre la machine et les rageux eux même… c’est la vie nous avons choisi d'accueillir ce soir.

    Swann Périssé répond aux questions de Charline Roux.

  • Dans cette émission, nous proposons à nos invité.e.s de commenter la BO qu'on souhaite sur mesure, même s'il y a souvent des ratés (c'est vendeur ça comme intro), l'important est de se lancer, et ce n’est pas celui qui se trouve dans notre studio qui va nous contrer.

    Son domaine d’exercice (et d’excellence par ailleurs), c’est la mode, et ceci vous prouvera qu’il ne faut jamais se moquer des rêves d’enfant. Un projet formalisé (en tous cas dans sa tête) à 12 ans et réalisé à 24, puisqu’il crée sa propre marque, qui plus est en plein confinement, pas de classique défilé, même pas grave, ses pièces tout en volume et couleurs sont un succès. Le voilà dans la foulée nommé directeur artistique d’une grande maison (Rochas pour ne pas la nommer).

    Des galons supplémentaires sur la veste du patron, nous parlons à la fois du dessin et du chef. Boss de sa propre marque dont les créations continuent d’enchanter les fashionistas et tos… et les quelques millions de spectateurs qui ont vu la cérémonie d’ouverture des JO. Par exemple, les Jules et Jim chatoyants de la BNF étaient habillés par lui.

    Charles de Vilmorin répond aux questions de Charline Roux.

  • Notre invitée d'aujourd'hui et à très fort potentiel, empathique, autant ne pas vous le cacher, tant l’oeuvre de l’autrice qui se trouve dans ce studio trouve un écho hyper sonore dans chacun des foyers français dans lequel vit cette créature étrange que l’on nomme… la femme de 40 ans (et plus si affinités).

    Ça c’est pour la BD qui l’amène aujourd'hui, mais l’aventure commune avait débuté il y a une vingtaine d’années, avec : "Moi Je" et les germes de l’identification ont continué de progresser : "Idéal Standard", qui nous délestait avec grâce et subtilité de la pression constante qui pèse sur les épaules des femmes.

    Au nombre de ses oeuvres, nous ajoutons aussi le carnet de voyage : "Parenthèse Patagone", le plus beau burn out jamais illustré : "Amalia", et même quelques éveils à la sexualité avec : "Comtesse et Déesse" parus dans la collection BD cul (au cas où vous ayez un doute sur le contenu). Autant vous dire que la joie est grande à l’idée de dire le nom de notre invitée.

    Aude Picault répond aux questions de Charline Roux.

  • Aujourd'hui, contrairement à notre invité, nous pouvons dire “c’est du gâteau”... Expression dont nous abusons désormais et ce depuis que nous avons découvert son univers si particulier. En studio, un ORNI, soit objet rigolistique non identifié… passé par le Jamel Comedy Club, un humoriste qui manie l’absurde avec une certaine grâce et un maximum d’efficacité, en témoigne les rires sonores d’Éric et Ramzy, entendus 756 000 fois selon les syndicats, 10 selon la police, à chacune de ses prestations durant la série concours Comedy Class sur Prime Video à laquelle notre invité a participé.

    Il joue en ce moment son spectacle "Pause", les jeudis, vendredis et samedis, à La Nouvelle Seine et en tournée.

    Adel Fugazi répond aux questions de Charline Roux.

  • Notre invitée du jour est un mousquetaire, après avoir endossé avec le même investissement le rôle d’une ado marivaudant dans : L’esquive, avoir rencontré les moines de Tibhirine dans : Des Hommes et des Dieux, elle a aussi puisé dans : La source des femmes, réclamé vengeance en maltraitant quelques rotules et autres articulations dans : Kung Fu Zohra et Kali, a fait étape à Pattaya, ce qui n’empêche pas la tendresse (et le reste) en série dans : Plan Coeur.

    Ce ne sont que quelques-unes des œuvres auxquelles elle a prêté ses traits, son tempérament et son rire ultra contagieux… Du cinéma d’auteur aux comédies en passant par le théâtre… voici une comédienne qui donne toujours l’impression qu’elle joue sa vie… précieux quand on est à l’affiche de : Toutes pour une en salles.

    Sabrina Ouazani répond aux questions de Charline Roux.

  • Cette fois-ci, la tâche de construction d'une BO fut doublement périlleuse pour Charline Roux, puisque même si nous savions qu’ils sont amis dans la vie, nous n'avions aucune information quant au fait que le binôme ici présent puisse faire playlist commune.

    Ce qu’ils partagent, au-delà du talent, et d’après une minutieuse étude de filmo, de notre institut persi, c’est un regard d’une cinégénie folle… frappant comme ces deux-là, une fois les pupilles plantées dans l’objectif, peuvent vous émouvoir, vous charler, vous inquiéter voire carrément vous faire flipper, dans : Eté 85, Illusions Perdues, En roue libre pour l’un…, dans LBDL, Peter von Kant, Making Of pour l’autre, filmos non exhaustives...

    Benjamin Voisin & Stefan Crepon répondent aux questions de Charline Roux.

  • La tâche du jour (converser en musique) a été grandement facilitée (ou piégée, on verra), par un guest lui-même musicien, piano et batterie avec le brio des gens beaucoup trop doués.Ce n’est même pas pour ça qu’il vient puisqu’il est aussi comédien, au théâtre, où il emmêle les différentes cordes à son arc, ce qui n’est pas facile pour viser, mais idéal pour briller.

    Il fait des merveilles avec un très beau texte et une batterie dans Une vie sur mesure. Catégorie musique et jeu, on a pu le voir à la Comédie Française dans : Art majeur. Il est aussi pour le petit écran (quelque soit ledit écran), l’inoubliable Lucas dans la série : Skam, il a fait face à Juliette Binoche dans la série : The New Look et il fait aussi du Slalom au ciné dans le film de Charlène Favier. Il est actuellement sur scène dans : Numéro Deux d’après David Foenkinos, au théâtre Tristan Bernard et comme si ce n’était pas suffisant, à tout juste 27 ans, il vient de publier son premier roman : Rue de la Gaîté aux éditions Fayard.

    Axel Auriant répond aux questions de Charline Roux.

  • Aujourd'hui, nous parlons de découverte et oui, enfin quand on dit découverte, nous sommes vraiment présomptueux. Car oui, l’héroïne assise en face de nous est suivie sur Instagram par quasiment 166 000 personnes… soit l’équivalent de la population de Toulon, certes, ce n'est peut-être pas très parlant... Disons, 2 stades de France… ou alors… non c’est bon vous avez ?

    Chaque vidéo de son programme court dépasse allègrement le million de vues… et dans la fiction en question, un casting que nous qualifierons pudiquement de pas dégueu.

    L'œuvre suit les aventures (et mésa…) d’une trentenaire Parisienne, du coup ça s’appelle Ménagez-moi, c’est co-écrit avec Florent Pinget (à regarder de toute urgence sur les comptes dédiés).

    Chloé Ménager répond aux questions de Charline Roux.

  • Au programme, comme chaque jour : de la musique, choisie pour une invitée à qui nous avons moults questions à poser…

    Elle est tout simplement en charge d’un monde entier (certes d’après le scénario de Marc Dubuisson), mais appelez la Dieu quand même.

    Ana et l’Entremonde est le titre de la saga dont elle vient nous parler, une épopée entre piraterie, fantastique des plus addictives. Pour autant, elle n’est pas effrayé par le principe de réalité puisque nous l’avons découverte s’intéressant à la sexualité, comme nous tous, sauf qu'elle c’était en plus professionnel, documenté et drôlement bien illustré.

    Elle est aussi l’autrice d’une formidable BD dédiée à des héroïnes oubliées Radium Girls… un livre évidemment primé. Mais revenons-en à ce qui l’amène aujourd’hui, le tome 3 des aventures d’Ana publiées chez Glénat…

    Cy répond aux questions de Charline Roux.