Avsnitt
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L'invité du jour aurait tendance à prouver que pour faire rire avec ce sujet hautement inflammable qu’est l’identité, il faut être sacrément capé… et comme tout le monde le sait, tous les héros ne portent pas de capes, mais parfois des carreaux.
En ce studio, un gens qui doute, comme dirait Anne Sylvestre et Fanny Ruwet, tout en contribuant à ouvrir les chakras, les portes, les esprits tout en faisant rire avec du bruit.
Il joue son seul en scène Mérou, le lundi à 20h au Théâtre Saint-Georges jusque fin avril, le 12 mars à Dijon, le 13 à Besançon, le 18 à Strasbourg et à Bruxelles le 30 mai.
Lou Trotignon répond aux questions de Charline Roux.
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Dans votre rendez-vous musical du jour, qui s’ingénie à constituer la bande son de son invité tout en le faisant causer, c'est un Score échevelé, c'est ce que nous vous promettons puisque de son propre aveu, ledit invité est un aspirant rockeur avec la tessiture de Vianney.
Nous avons envie de dire “prouve-le” mais nous allons attendre que quelques minutes se soient écoulées. La musique, ce n’est pas là son activité (pas complètement). Car son talent (ou en tout cas l’un de ses) c’est le jeu, dans des fictions et de société nous a-t-on dit. Voire les deux puisque ses incarnations multiples ont souvent valeur d’étude sociologique.
Une galerie de personnages qu’il a imaginée et endossée dans un programme dont la simple évocation suffit à faire rire avec du bruit. Co-créateur de Broute, scénariste, comédien au théâtre, en série ou au ciné, à l’affiche dans les salles obscures de : "Avec ou sans enfants ?" d’Elsa Blayau.
Bertrand Usclat répond aux questions de Charline Roux.
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Saknas det avsnitt?
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Quand nous savons que dans ce studio est assis l’homme le plus vif de France, comme nous sommes plutôt dans la team molle, nous ne faisons pas les mariolles. Vif et drôle, inventif aussi, on lui doit un langage, des gimmicks, un rythme, bref un sens de la scène alors inédit.
Puis bons nombres d’attaques de panique chez le personnel enseignants de maternelle ayant entendu des mômes à peine propres crier “hue cannabis”. Aussi à l’aise chez Chabat que chez Jeunet, chez Dame Jaoui face à Sieur Bacri que chez Rachid Bouchareb, chez Fernando Meirelles comme chez Spike Lee, dans le Marsupilami que dans Toy Story. Il est aujourd’hui à l’affiche d’un redoutable thriller dans le monde du foot, Mercato réalisé par Tristan Séguéla.
Une fois ceci posé, nous nous engageons solennellement à ne pas prononcer Tchao Pantin au fil de cet entretien, en revanche, nous avons toujours rêvé de nous approprier ces mots du poète jaguar donc nous annonçons l’expert de la maison mère (soit Nova).
Jamel Debbouze répond aux questions de Charline Roux.
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Dans le palmarès des comédiennes qui nous ont fait le plus fait pleurer (avec bruit, nez rouge et tout ce qui s'ensuit) elle est très haut placée. Des Roseaux Sauvages à Je verrai toujours vos visages en passant par : La vie rêvée des anges, Après lui, Pupille, L’Amour Ouf. De l’émotion et beaucoup de joie aussi avec Brice de Nice, Seuls Two, Seuls Two, Réalité, OVNI(s).
Ne vous fiez pas à son apparente douceur, elle peut casser des gueules (et d’autres membres aussi), démonstration faite dans la série Alias. Des compétences dont on se dit qu’elles eurent été utiles dans le film qui l’amène aujourd’hui, un thriller signé Anne Le Ny : Dis moi juste que tu m’aimes, ce n’est pas une supplique mais le titre.
Élodie Bouchez répond aux questions de Charline Roux.
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Nous prévenons pour Le Score du jour, aux oreilles sensibles, sur la question de la francophonie, que quelques anglicismes pourraient se glisser dans la conversation.
Artiste qui slaye, dont chacune des apparitions nous fait gag, le whole package est là Charisma, Uniqueness, Nerve & Talen. Des catwalks aux shows TV de type compétitions ou son spectaculaire alias a brillé, tenez spectaculaire voilà un mot qui lui va bien au teint.
In et out of drag, c’est l’artiste musical que nous recevons aujourd’hui pour un EP à paraître le 28 février, appelé "Parfum Orange", quel doux nom.
La Grande Dame répond aux questions de Charline Roux.
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Pour le dilemme du jour, nous ne sommes pas complètement certains du nombre de score à fournir, sur la photo, une seule personne face à nous, dans la réalité de son activité, c’est surpeuplé.
La faute pendant le confinement : au lieu de faire du pain, elle faisait des gens… on a rarement vu une dépression plus productive.
Une version funky du Split de Shyamalan, nous n'avons pas dit moins flippant, parce que certains de ses personnages peuplent nos terreurs quotidiennes… elle est comédienne, humoriste et seule en scène pour : Parades au pluriel.
Diane Segard répond aux questions de Charline Roux.
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Dans Le Score, conversation sur la musique au programme, entre autres réjouissances puisque l’invité du jour a plusieurs cordes à son arc et plusieurs identités artistiques aussi.
Chanteur d’Asyl, charmeur de et dans Serpent, comédien entre temps, il est revenu sous l’identité qui l’a fait connaître en solo avec un troisième album désormais augmenté, de Rêve Parti à After Parti, du verbe partir et non pour désigner une folle soirée.
Lescop répond aux questions de Charline Roux.
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L'invité du jour est un danseur étoile du ballet de l’Opéra national de Paris, l’étoile en question étant, et selon la définition, un corps céleste qui rayonne sa propre lumière… ça éblouit et ça fait pleurer.
Sensation déjà éprouvée quand nous l'avons vu danser, une émotion incontrôlable, en voici une autre : la peur avec le cœur qui bat trop fort en le voyant exécuter un passage virevoltant et virtuose sur un catwalk trempé lors de la cérémonie d’ouverture des JO, un moment d’apnée que nous imaginons partagé.
Ce sera là notre seul point commun. De plus, ses actualités sont multiples et le planning chargé, la plus immédiate c’est : Onéguine ballet de John Cranko d’après Pouchkine sur une musique de Tchaïkovski, le rôle-titre au Palais Garnier dont toutes les dates sont complètes.
Germain Louvet répond aux questions de Charline Roux.
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Aujourd'hui, votre rendez-vous quotidien fait de conversation et de musique (qui sera de surcroît un autre sujet de conversation, puisque nous avons affaire à une experte qui a officié pendant quelques années à la tête de la meilleure émission de live ayant existé).
Elle est comédienne et se promène avec grâce et tempérament chez Olivier Jahan, Sylvie Verheyde (avec un César à la clé), Alain Chabat, Michel Gondry, Christophe Honoré, Marion Vernoux…
Aussi impeccable en voiture avec Mr. Bean qu’en train avec Thome Yorke (clin d’oeil et deniers du culte). Elle dirige surtout, et drôlement bien, 9 meufs comme 9 mecs quand elle passe derrière la caméra.
Quel immense plaisir que de la retrouver dans : Frotter Frotter, mini-série de Marion Vernoux à partir du 19 février sur France 2.
Emma de Caunes répond aux questions de Charline Roux.
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Aujourd’hui, nous aborderons le sujet de la littérature HPI soit dans ce cas précis Haut Potentiel Inquiétant ce qui n’empêche pas un immense plaisir de lecture . Reading is fundamental, c’est du RuPaul dans le texte, toujours citer ses philosophes préférés, conseil à appliquer qui plus est dans des temps troublés (doux euphémisme).
On lui doit une tétralogie fascinante, "Les Sauvages", adaptée avec succès en série (président Roschdy, c’est toujours oui), le roman "404" sur les dangers des IA et la propagation d’une parole raciste décomplexée, mais c’est sorti en 2019 donc depuis tout a changé… ah non...
Il vient aujourd’hui nous parler de sa dernière création, "Safari", paru chez Flammarion coédition Versilio.
Sabri Louatah répond aux questions de Charline Roux.
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Pour tout vous dire, si nous devions nous fier uniquement à l’apparence dudit invité, tout ne serait que douce balade ou éventuellement titre lounge pointu du club sélect... Mais comme nous avons vu son spectacle, nous regrettons de ne pas pouvoir jouer un slow de groupe de hard rock se terminant invariablement par un solo électrisant ou dissonant.
Bref, un invité qui sur scène maîtrise à la perfection l’art de la rupture sans jamais hausser la voix. Prestation d’autant plus virtuose, que contrairement au genre précédemment énoncé, chez lui, il n’y a jamais trop de notes. Son seul en scène s’appelle Arecibo, et retenez son nom, aussi doux que son allure, mais méfiance.
C'est actuellement à la Nouvelle Seine, à Paris mais complet jusqu'en fin Mars, également pour la tournée, mais prolongations à partir de début Avril, tous les jeudis et vendredis à 21h toujours à la Nouvelle Seine et en tournée.
Louis Cattelat répond aux questions de Charline Roux.
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Alors attention : l'invitée du jour nous passionne tout particulièrement et nous manipulons le mot avec précaution, car nous entendons par passion, “ce qui, dans une œuvre, est le signe de la sensibilité, de l'enthousiasme de l'artiste et non “souffrance” ou “affectivité violente qui nuit au jugement”, elle n’a en aucun cas obscurci le nôtre, elle l’a éclairé, le propre du dialogue.
Effectivement, en lisant son dernier ouvrage, nous avons eu l’impression d’en entamer un de ses précédents, qui nous avaient happés : "Une fièvre impossible à négocier", "La Petite Communiste qui ne souriait jamais", "Mercy", "Mary, Patty", "Chavirer", "Quand tu écouteras cette chanson".
Celui qui l’amène aujourd’hui aussi, avec ce drôle d’effet secondaire : nous avons l’habitude de corner les pages des livres, à chaque fois que nous souhaitons nous rappeler d’un passage, et ce n’est cette fois plus un livre que nous avons entre les mains, mais littéralement un accordéon tant nous avons compulsivement plié. Ce livre, c'est : "Il n’a jamais été trop tard", paru chez Stock.
Lola Lafon répond aux questions de Charline Roux.
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Comme chaque jour, la musique est au cœur de l’émission, celle que l’invité écoute, celle que l’invité pratique, car oui, il est de ce qui compose et interprète. Quand nous disons “interprète”, nous entendons avec tout ce que ça implique : d’implication et de mouvement, le sien semble perpétuel, pas étonnant donc de le retrouver au cœur d’un projet de type concert dansé.
À Chaillot - Théâtre national de la Danse du 6 au 8 février puis en tournée exclusive en France, le 24 juin aux Nuits de Fourvière, il avait annoncé la couleur avec un premier album titré "Hyper", à peine le temps de se poser avec "Intérieur vie" qu’il est reparti, son dernier-né étant nommé "Adrénaline", nous imaginons que l’énergie n’est pas retombée.
Hervé répond aux questions de Charline Roux.
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Au centre dans l'entretien d'aujourd'hui : un film qui nous a bouleversé, retourné, ramassé, et tous les adjectifs nécessaires à décrire notre émotion.Pour en parler, deux de ses comédiens, l’un est le premier à entamer sa carte de fidélité au Score.
Une carte valable à vie pour lui (dit-on sur un ton mi mignon mi menaçant, s’agirait pas qu’il l’oublie quand il aura son premier César ce qui ne manquera pas d’arriver).
Le second aura peut être le sien dans les semaines qui viennent, il a réalisé du plus gros succès ciné de l’année (avec un nombre d’entrées dépassant les 10M), succès non seulement mérité mais couronnant aussi une prise de risque constante chez le Monsieur qui est éminemment drôle mais pas que.
Artus & Sayyid El Alami répondent aux questions de Charline Roux.
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Dans le Score du jour, de la musique en double quantité, puisque c’est à un film à haute teneur mélodique que l’émission sera consacrée : Maria, dans les salles le 4 février, avec dans le rôle de la Callas : Angelina Jolie, le tout dirigé (de main de maître) par l'invité du jour, réalisateur chilien à qui l’on doit déjà les portraits ciné de Jackie et Spencer (soit Kennedy et Diana) avec Natalie Portman et Kristen Stewart.
Il s'est aussi intéressé à l’histoire de son pays dans No et Neruda (avec Gael Garcia Bernal). Il était de passage à Paris pour parler de son cinéma et de la diva Maria, Le Score s’est donc téléporté pour aller converser.
Pablo Larraín répond aux questions de Charline Roux.
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Dans cette émission, nous accueillons deux special guests des héros en lycra colorés, oui, une team créée par deux sentais de la BD.
L’un a signé entre autres les merveilleux "Sangri La et Carbone et Silicium", l’autre "PTSD et Frontier", ensemble ils ont contribué à la série "Doggybags", biblios non exhaustives auxquelles viennent désormais s’ajouter : Shin Zero (éditions rue de sèvres, Label 619) une série dont le premier tome vient de paraître, une oeuvre géniale qui nous a ramené en des temps lointains durant lesquels nous enfilions une cagoule, des collants, une paire sur les jambes, une autre sur les bras pour être San Ku Kaï, même si nous ne sommes pas complètement sûrs que notre idole de jeunesse appartienne à la catégorie de héros dont il va être question aujourd’hui…
Autant poser la question de suite à nos invités, non sans les avoir salués au préalable.
Mathieu Bablet & Guillaume Singelin répondent aux questions de Charline Roux.
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Dans l'émission du jour, nous sommes à deux doigts de sortir les chocolats emballés dans du papier doré. C'est le tarif minimum, quand on reçoit un ambassadeur qui lui même donne des soirées.
Oui, l’excellence musicale à la française, compositeur, producteur, l’homme dont le label a une particularité que nous aimons répéter (jusqu’à ce qu’il l’envisage comme un slogan) : quand on danse sur les artistes et sons de la maison (Ed Banger), on peut jamais avoir l’air con.
L'un des fleurons de son écurie est en lice, par deux fois, pour les Grammy, petite cérémonie qui se déroulera dans la nuit de dimanche à lundi. Le fleuron en question c’est Justice, et lui, c'est celui à qui on doit tout.
Pedro Winter répond aux questions de Charline Roux.
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Aujourd'hui, à défaut de complètement chanter juste, nous nous engageons à parler droit.
Oui, on ment aussi dans les professions de foi puisque en 3 phrases péniblement articulées on a déjà ondulé un paquet de fois. Mais ce n’est qu’un modeste hommage à celui que nous recevons puisque c’est par ce titre qu’il s’est présenté il y a quelques années… 30 ans nous dit-on mais les gens exagèrent toujours… et puis c’est dans la tête non ?
En vrai aussi dans les articulations, heureusement, le temps qui passe est toujours plus joli quand il est chanté et raconté par lui.
Il vient nous parler de son 9e album… après Super, J’en ai marre d’être deux, 2000 (étrangement sorti en 2002), Michel, I love you, Promeneur, (En Anglais) place à Grand Piano.
Mathieu Boogaerts répond aux questions de Charline Roux.
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L'émission du jour n’adoucira exceptionnellement pas les mœurs… à quoi bon ?
Dans ce studio, une hooligan de l’humour venue sans barre de fer, mais avec son rire aussi sonore que contagieux (et parfois menaçant), car oui on peut golri, on doit d’ailleurs, de tout ce qui nous angoisse et nous agace.
Une humoriste passée par Science Po… et ça déjà c’est marrant… bah si… Fondée sur des valeurs d'ouverture et d'excellence, Sciences Po est une université de recherche sélective de rang international, qui forme aussi des citoyennes éco concernées et féministes (bingo non contractuel).
Bienvenue au cœur d’une heure de rage contre la machine et les rageux eux même… c’est la vie nous avons choisi d'accueillir ce soir.
Swann Périssé répond aux questions de Charline Roux.
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Dans cette émission, nous proposons à nos invité.e.s de commenter la BO qu'on souhaite sur mesure, même s'il y a souvent des ratés (c'est vendeur ça comme intro), l'important est de se lancer, et ce n’est pas celui qui se trouve dans notre studio qui va nous contrer.
Son domaine d’exercice (et d’excellence par ailleurs), c’est la mode, et ceci vous prouvera qu’il ne faut jamais se moquer des rêves d’enfant. Un projet formalisé (en tous cas dans sa tête) à 12 ans et réalisé à 24, puisqu’il crée sa propre marque, qui plus est en plein confinement, pas de classique défilé, même pas grave, ses pièces tout en volume et couleurs sont un succès. Le voilà dans la foulée nommé directeur artistique d’une grande maison (Rochas pour ne pas la nommer).
Des galons supplémentaires sur la veste du patron, nous parlons à la fois du dessin et du chef. Boss de sa propre marque dont les créations continuent d’enchanter les fashionistas et tos… et les quelques millions de spectateurs qui ont vu la cérémonie d’ouverture des JO. Par exemple, les Jules et Jim chatoyants de la BNF étaient habillés par lui.
Charles de Vilmorin répond aux questions de Charline Roux.
- Visa fler