« La Peau de chagrin », c’est ce qu’on appelle un pacte faustien, un pacte avec le diable. Raphaël de Valentin est perdu dans une vie dont l’espoir a été chassé. Un jour plus désespérant qu’un autre, un vieil homme lui montre une peau de chagrin : s’il la possède, tous ses désirs seront exaucés. Mais attention, à chaque vœu réalisé, la taille de la peau se réduira, à l’image de la vie. Clotilde de Bayser se prête au jeu de la lecture d’une œuvre avec ce roman aussi initiatique que fantastique.