Avsnitt
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Les mots des banquiers centraux sont toujours parole d'évangile pour les investisseurs. Le problème, c'est qu'il y a un léger embouteillage au niveau des évangélistes, qui brouille le message ou fait penser que la banque centrale américaine navigue à nouveau un peu trop à vue. La publication des données mensuelles sur l'emploi aux Etats-Unis en début d'après-midi pourrait permettre de faire décanter tout ça. En attendant, Wall Street a piqué du nez hier et devrait entraîner l'Europe ce matin. Pour compliquer l'équation, le pétrole remonte fort avec les tensions accrues au Proche-Orient.
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Jerome Powell, le baromètre mondial de la couleur des actions, a parlé hier. Et comme il a parlé pour ne rien dire, le marché est content. On reste dans un environnement financier neutre : faute d'avoir des raisons valables de baisser, les marchés actions montent, en attendant que les taux directeurs reculent. Que dire de plus ? Pas grand-chose, même si je vais ajouter un peu d'Apple, de Yellen et de cuivre dans le récit du jour.
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Saknas det avsnitt?
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Les débuts de trimestre sont toujours source d'interrogations en bourse. Après un début d'année tout feu, tout flamme, le doute s'immisce dans l'esprit des investisseurs. Il coïncide avec le petit creux qui sépare la saison des résultats annuels de celle des résultats du premier trimestre du nouvel exercice. Et avec le retour de la spéculation sur les taux.
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Les quatre jours de coupure pascale n'ont pas vraiment renouvelé le scénario qui tourne en boucle sur les marchés financiers depuis des semaines. Je vais m'employer à résumer ce qui s'est passé depuis jeudi soir sans être trop barbant, même si l'exercice s'annonce plutôt compliqué au vu des données d'entrée : inflation, banques centrales, marché du travail, statistiques, élections, Trump, Erdogan. La grosse éclate.
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Cette ultime séance boursière de la semaine pour les places occidentales me donne l'occasion de dresser un mini bilan et de souligner que l'aversion au risque est au ras des pâquerettes. Les pâquerettes qui tirent leur nom du fait qu'elles fleurissent à pâques, hors réchauffement climatique bien sûr. Vous aurez aussi droit ce matin à une explication un peu technique sur la disparition de la volatilité.
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On s'ennuie un peu, il faut bien le dire, en attendant de pouvoir se goinfrer de chocolat pendant qu'on a encore les moyens de s'en acheter. Ce matin, nous allons parler de calendrier, d'introductions en bourse, de grands malades boursiers et de manque de relief.
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Les haussiers ont maintenu la tête des baissiers sous l'eau la semaine dernière sur les marchés boursiers. Le principe du "en même temps" appliqué à l'économie donne à peu près ça : les taux sont élevés, mais en même temps l'économie repart. Par conséquent, la situation est bonne pour les détenteurs d'actifs, et peut même encore s'améliorer si les taux venaient à baisser. Quant aux contrariétés de l'Epoque, creusement du fossé Est-Ouest, élections américaines, inégalités accrues, dette privée, dette publique, etc., elles sont balayées par cette fuite en avant.
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Le monde boursier est resté drapé de vert hier, grâce à un gros "ouf" de soulagement concernant l'arrière-pensée des banques centrales occidentales. Après la Fed mercredi, la Banque d'Angleterre et la Banque nationale suisse ont apporté leur pierre à l'édifice hier. Les indices américains ont signé de nouveaux records, comme nous allons le voir immédiatement.
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La banque centrale américaine a fait et dit ce que les investisseurs attendaient d'elle. Les marchés actions ont pris ça comme une confirmation de leur droit à continuer à progresser. Si vous n'aimez pas les banques centrales, passez directement à la seconde partie, où je vous parlerai aussi de valeurs technologiques. Si vous en avez marre de ces deux sujets, ça risque d'être plus compliqué.
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Que faire pour patienter jusqu'à la décision de la Fed, qui plus est une décision qui tombera post-clôture européenne ? Il est possible, au choix, de se lamenter sur les performances de Kering et d'Atos, de décortiquer les résultats d'un quartet de valeurs moyennes françaises emblématiques (Bénéteau, Virbac, Valneva, Haulotte) ou de prendre le pouls des investisseurs internationaux. Ou de tout passer en revue, ce qui sera le cas ce matin.
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Après une débauche d'annonces chez Nvidia hier, deux banques centrales ont ajusté leurs politiques monétaires à potron-minet. Mais c'est bien la position de la Réserve fédérale américaine que le marché attend. Il faudra patienter jusqu'à demain soir pour ça.
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La semaine boursière risque de tourner autour de la Fed et de Nvidia. Un peu comme tout le temps depuis la fin 2022, en somme. Deux des plus puissants catalyseurs haussiers des marchés actions vont donc se côtoyer dans les jours qui viennent. C'est le roi de la carte graphique qui lance des hostilités dès ce lundi. Pour Jerome Powell et sa clique, il faudra patienter jusqu'à mercredi.
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A quelques jours d'une importante réunion de politique monétaire de la banque centrale américaine, les investisseurs ont égaré une partie de leur attrait libidineux pour les valeurs technologiques. Il en faudra probablement plus pour les détourner de l'intelligence artificielle, mais on constate quand même une petite pause dans la frénésie.
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Les investisseurs sont un peu longs à la détente en ce moment, comme l'a démontré la séance d'hier. Ils pourront tester leurs réflexes en début d'après-midi avec de nouvelles statistiques aux Etats-Unis. En attendant, on va faire une petite introspection dans leur tête, à ces investisseurs, mais aussi parler des vilaines entreprises chinoises et de records sur le CAC40.
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Bon, le titre est probablement un brin provocant, mais les marchés actions ont choisi de monter d'une façon un peu décérébrée hier. En effet, la principale statistique de la semaine, publiée hier après-midi, a plutôt sembler donner raison aux rabat-joie. Et puis finalement non. La Chronique du jour parle de ça, d'un anniversaire, du Titanic, de salaires japonais et de promoteurs chinois plus ou moins insolvables.
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En attendant la publication de l'inflation américaine de février en début d'après-midi, on parle d'un anniversaire des 4 ans, des résultats d'Oracle et des fabricants de smartphones qui font des voitures électriques. Les marchés boursiers sont attendus en hausse après deux séances de doute.
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Le doute a fait son retour vendredi sur les marchés financiers. La petite musique du "trop vite, trop fort" résonne à nouveau, entraînant quelques dégagements sur des valeurs emblématiques. Alors que les publications des résultats d'entreprises baissent en intensité, les données macroéconomiques vont revenir sur le devant de la scène.
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Le temps des records n'est manifestement pas encore terminé pour les marchés actions. Dans un environnement qui reste porteur, dans le sens où les vents contraires manquent de souffle, les investisseurs continuent à miser sur ce qui a fonctionné récemment : la technologie avec l'intelligence artificielle en fer de lance, les cryptomonnaies et les entreprises qui continuent à faire progresser leurs résultats. Le marché attend l'annonce des statistiques d'emploi de février aux Etats-Unis pour clore sa semaine.
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Après une courte hésitation hier, les marchés actions se sont rapidement remis la tête à l'endroit après avoir reçu des signaux qui étayent le scénario dit "Boucle d'or", dont je vais reparler un peu après. En Asie, le renforcement du yen stresse les investisseurs japonais pendant que le réveil de l'import-export chinois illustre à merveille le syndrome des "jamais-contents".
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Wall Street a subi un petit retour de manivelle hier, après quatre mois de hausse. Les valeurs technologiques ont fini par flancher, soulevant l'habituelle question dont personne n'a la réponse : est-ce que les actions vont connaître un trou d'air ou bien vont-elles continuer à batifoler à la hausse ? Le patron de la Fed apportera peut-être quelques éléments de réponse à l'heure du goûter, puisqu'il doit être auditionné à Washington dans le cadre de son point semestriels devant les parlementaires.
- Visa fler