Avsnitt
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Entre 1985 et 1986, celui que la presse a surnommé l’étrangleur de la Robertsau, fait régner la terreur dans ce quartier résidentiel de Strasbourg. Il s’introduit la nuit dans des appartements au rez-de-chaussée où il étrangle des jeunes filles dans leur sommeil et leur inflige des sévices sexuels. La plus jeune des ses victimes, Marion Villain, a 11 ans. Le dossier de l’Etrangleur de la Robertsau devient alors le plus vieux cold case de France.
Vingt-sept ans plus tard, coup de théâtre au service des empreintes de Strasbourg. La seule preuve technique exploitable est une empreinte palmaire qui a enfin trouvé une correspondance. Celle de Nicolas Charbonnier, 52 ans, vivant près de Bordeaux. Père d’une petite fille de 8 ans, divorcé depuis peu, Nicolas Charbonnier ne colle pas au profil du tueur. Sauf qu’il vivait à Strasbourg au moment des faits.
Alors pendant plus de quatre mois, les enquêteurs vont décortiquer la vie de cet ancien militaire, le mettre sur écoute, lui et toute sa famille. Vingt-sept ans après le premier crime, les policiers de Strasbourg l’entendent au commissariat de Bordeaux.
Le 21 janvier 2013, à 14h10, sa garde à vue commence.
Bonne écoute !
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Nicolas Charbonnier »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Vincent Trisolini et Frédérique Lantieri
Réalisé par Vincent Trisolini
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations. -
Entre 1985 et 1986, celui que la presse a surnommé l’étrangleur de la Robertsau, fait régner la terreur dans ce quartier résidentiel de Strasbourg. Il s’introduit la nuit dans des appartements au rez-de-chaussée où il étrangle des jeunes filles dans leur sommeil et leur inflige des sévices sexuels. La plus jeune des ses victimes, Marion Villain, a 11 ans. Le dossier de l’Etrangleur de la Robertsau devient alors le plus vieux cold case de France.
Vingt-sept ans plus tard, coup de théâtre au service des empreintes de Strasbourg. La seule preuve technique exploitable est une empreinte palmaire qui a enfin trouvé une correspondance. Celle de Nicolas Charbonnier, 52 ans, vivant près de Bordeaux. Père d’une petite fille de 8 ans, divorcé depuis peu, Nicolas Charbonnier ne colle pas au profil du tueur. Sauf qu’il vivait à Strasbourg au moment des faits.
Alors pendant plus de quatre mois, les enquêteurs vont décortiquer la vie de cet ancien militaire, le mettre sur écoute, lui et toute sa famille. Vingt-sept ans après le premier crime, les policiers de Strasbourg l’entendent au commissariat de Bordeaux.
Le 21 janvier 2013, à 14h10, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Nicolas Charbonnier »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Vincent Trisolini et Frédérique Lantieri
Réalisé par Vincent Trisolini
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Saknas det avsnitt?
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Entre 1985 et 1986, celui que la presse a surnommé l’étrangleur de la Robertsau, fait régner la terreur dans ce quartier résidentiel de Strasbourg. Il s’introduit la nuit dans des appartements au rez-de-chaussée où il étrangle des jeunes filles dans leur sommeil et leur inflige des sévices sexuels. La plus jeune des ses victimes, Marion Villain, a 11 ans. Le dossier de l’Etrangleur de la Robertsau devient alors le plus vieux cold case de France.
Vingt-sept ans plus tard, coup de théâtre au service des empreintes de Strasbourg. La seule preuve technique exploitable est une empreinte palmaire qui a enfin trouvé une correspondance. Celle de Nicolas Charbonnier, 52 ans, vivant près de Bordeaux. Père d’une petite fille de 8 ans, divorcé depuis peu, Nicolas Charbonnier ne colle pas au profil du tueur. Sauf qu’il vivait à Strasbourg au moment des faits.
Alors pendant plus de quatre mois, les enquêteurs vont décortiquer la vie de cet ancien militaire, le mettre sur écoute, lui et toute sa famille. Vingt-sept ans après le premier crime, les policiers de Strasbourg l’entendent au commissariat de Bordeaux.
Le 21 janvier 2013, à 14h10, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Nicolas Charbonnier »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Vincent Trisolini et Frédérique Lantieri
Réalisé par Vincent Trisolini
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Perpignan a vécu vingt années au rythme d'un drame nommé les «Disparues de la gare». Tatiana Anjar, 17 ans, s'évanouit sans laisser de traces une nuit d'automne 1995 et reste introuvable à ce jour. Puis les cadavres de Moktaria Chaïb et de Marie-Hélène Gonzales sont retrouvés atrocement mutilés. Les années passent, l'enquête piétine et s'égare sans résultat dans de multiples pistes. Les hypothèses les plus folles sont évoquées.
Enfin, le 10 octobre 2014, la nouvelle tombe comme une délivrance à la PJ de Perpignan. Après des années de traque et une enquête hors norme, un suspect est enfin confondu par son ADN. Jacques Rançon est appréhendé par les hommes de la PJ dans un foyer en banlieue de Perpignan.
Le 14 octobre 2014, à 12h05, sa garde à vue commence.
Si vous avez aimé « Garde à vue », mettez lui plein d’étoiles et parlez-en autour de vous. Suivez Initial Studio sur Facebook et Instagram.
Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jacques Rançon »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédéric Tonolli et Frédérique Lantieri
Réalisé par Frédéric Tonolli
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Perpignan a vécu vingt années au rythme d'un drame nommé les «Disparues de la gare». Tatiana Anjar, 17 ans, s'évanouit sans laisser de traces une nuit d'automne 1995 et reste introuvable à ce jour. Puis les cadavres de Moktaria Chaïb et de Marie-Hélène Gonzales sont retrouvés atrocement mutilés. Les années passent, l'enquête piétine et s'égare sans résultat dans de multiples pistes. Les hypothèses les plus folles sont évoquées.
Enfin, le 10 octobre 2014, la nouvelle tombe comme une délivrance à la PJ de Perpignan. Après des années de traque et une enquête hors norme, un suspect est enfin confondu par son ADN. Jacques Rançon est appréhendé par les hommes de la PJ dans un foyer en banlieue de Perpignan.
Le 14 octobre 2014, à 12h05, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jacques Rançon »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédéric Tonolli et Frédérique Lantieri
Réalisé par Frédéric Tonolli
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Perpignan a vécu vingt années au rythme d'un drame nommé les «Disparues de la gare». Tatiana Anjar, 17 ans, s'évanouit sans laisser de traces une nuit d'automne 1995 et reste introuvable à ce jour. Puis les cadavres de Moktaria Chaïb et de Marie-Hélène Gonzales sont retrouvés atrocement mutilés. Les années passent, l'enquête piétine et s'égare sans résultat dans de multiples pistes. Les hypothèses les plus folles sont évoquées.
Enfin, le 10 octobre 2014, la nouvelle tombe comme une délivrance à la PJ de Perpignan. Après des années de traque et une enquête hors norme, un suspect est enfin confondu par son ADN. Jacques Rançon est appréhendé par les hommes de la PJ dans un foyer en banlieue de Perpignan.
Le 14 octobre 2014, à 12h05, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « 48 heures - L’affaire Jacques Rançon »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédéric Tonolli et Frédérique Lantieri
Réalisé par Frédéric Tonolli
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, à Grand Champ en Bretagne, un « cambriolage » a mal tourné dans la superbe propriété d'un couple de personnes âgées, Anne-Marie et Eugène Le Couviour. Anne-Marie, une femme de 75 ans, est morte étouffée sous 5 mètres de ruban adhésif que les cambrioleurs lui ont collé sur le visage. Eugène, son mari de 90 ans, s’en est sorti indemne. Quant au butin, il est quasiment nul alors que la maison renferme de nombreux objets de valeur.
Deux jours plus tard, un coup de fil anonyme dénonce un des cambrioleurs. Arrêté, celui-ci se met à table. Il avoue qu’il s’agit d’un contrat, qu’il devait « éliminer la dame » et que c’est un meurtre maquillé en cambriolage. Le commanditaire ? Une des belle-fille du couple Le Couviour, mais il ne connaît pas son nom. L’enquête s’oriente notamment vers Josiane, la femme du fils aîné d’Eugène Le Couviour.
Trois jours après le cambriolage, Josiane Le Couviour est interpellée à son domicile. Elle rejoint la Gendarmerie de Lorient.
Le 13 avril 2009, à 17h00, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Josiane Le Couviour »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
Réalisé par Rémy Burkel
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, à Grand Champ en Bretagne, un « cambriolage » a mal tourné dans la superbe propriété d'un couple de personnes âgées, Anne-Marie et Eugène Le Couviour. Anne-Marie, une femme de 75 ans, est morte étouffée sous 5 mètres de ruban adhésif que les cambrioleurs lui ont collé sur le visage. Eugène, son mari de 90 ans, s’en est sorti indemne. Quant au butin, il est quasiment nul alors que la maison renferme de nombreux objets de valeur.
Deux jours plus tard, un coup de fil anonyme dénonce un des cambrioleurs. Arrêté, celui-ci se met à table. Il avoue qu’il s’agit d’un contrat, qu’il devait « éliminer la dame » et que c’est un meurtre maquillé en cambriolage. Le commanditaire ? Une des belle-fille du couple Le Couviour, mais il ne connaît pas son nom. L’enquête s’oriente notamment vers Josiane, la femme du fils aîné d’Eugène Le Couviour.
Trois jours après le cambriolage, Josiane Le Couviour est interpellée à son domicile. Elle rejoint la Gendarmerie de Lorient.
Le 13 avril 2009, à 17h00, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Josiane Le Couviour »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
Réalisé par Rémy Burkel
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, à Grand Champ en Bretagne, un « cambriolage » a mal tourné dans la superbe propriété d'un couple de personnes âgées, Anne-Marie et Eugène Le Couviour. Anne-Marie, une femme de 75 ans, est morte étouffée sous 5 mètres de ruban adhésif que les cambrioleurs lui ont collé sur le visage. Eugène, son mari de 90 ans, s’en est sorti indemne. Quant au butin, il est quasiment nul alors que la maison renferme de nombreux objets de valeur.
Deux jours plus tard, un coup de fil anonyme dénonce un des cambrioleurs. Arrêté, celui-ci se met à table. Il avoue qu’il s’agit d’un contrat, qu’il devait « éliminer la dame » et que c’est un meurtre maquillé en cambriolage. Le commanditaire ? Une des belle-fille du couple Le Couviour, mais il ne connaît pas son nom. L’enquête s’oriente notamment vers Josiane, la femme du fils aîné d’Eugène Le Couviour.
Trois jours après le cambriolage, Josiane Le Couviour est interpellée à son domicile. Elle rejoint la Gendarmerie de Lorient.
Le 13 avril 2009, à 17h00, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Josiane Le Couviour »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
Réalisé par Rémy Burkel
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Juillet 1995. Un appel anonyme informe la police que le décès d’un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait en fait un meurtre. Il aurait été tué par sa femme et son amant. Les policiers récupèrent le corps in extremis, juste avant son incinération.
L’autopsie confirme l’homicide. Les policiers interpellent le couple dénoncé par la mystérieuse informatrice ainsi que la femme chez qui ils sont découverts. Mais lors de cette arrestation, l’homme prétend s’appeler Jean Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu’il donne l'identité du mort. Ils sont transférés à la brigade criminelle de Versailles.
Le 20 juillet 1995, à 13h15, leur garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Nadège Wiktorska et de Jean-Stéphane Saizelet »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Éléonore Faucher et Frédérique Lantieri
Réalisé par Éléonore Faucher
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Juillet 1995. Un appel anonyme informe la police que le décès d’un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait en fait un meurtre. Il aurait été tué par sa femme et son amant. Les policiers récupèrent le corps in extremis, juste avant son incinération.
L’autopsie confirme l’homicide. Les policiers interpellent le couple dénoncé par la mystérieuse informatrice ainsi que la femme chez qui ils sont découverts. Mais lors de cette arrestation, l’homme prétend s’appeler Jean Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu’il donne l'identité du mort. Ils sont transférés à la brigade criminelle de Versailles.
Le 20 juillet 1995, à 13h15, leur garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Nadège Wiktorska et de Jean-Stéphane Saizelet »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Éléonore Faucher et Frédérique Lantieri
Réalisé par Éléonore Faucher
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Juillet 1995. Un appel anonyme informe la police que le décès d’un homme, Jean-Bernard Wiktorska, déclaré comme accidentel, serait en fait un meurtre. Il aurait été tué par sa femme et son amant. Les policiers récupèrent le corps in extremis, juste avant son incinération.
L’autopsie confirme l’homicide. Les policiers interpellent le couple dénoncé par la mystérieuse informatrice ainsi que la femme chez qui ils sont découverts. Mais lors de cette arrestation, l’homme prétend s’appeler Jean Bernard Wiktorska, c'est-à-dire qu’il donne l'identité du mort. Ils sont transférés à la brigade criminelle de Versailles.
Le 20 juillet 1995, à 13h15, leur garde à vue commence.
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Documentaire original : « La garde à vue de Nadège Wiktorska et de Jean-Stéphane Saizelet »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Éléonore Faucher et Frédérique Lantieri
Réalisé par Éléonore Faucher
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
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Doué-la-Fontaine, une petite ville paisible du Maine et Loire. Ce 24 juillet 2012, il est 8 heures du matin et Yvette Julien n’a pas remonté ses volets, elle n’a pas ouvert le portail de sa maison. Ce n’est pas normal. Sa voisine veut en avoir le cœur net. Quelques minutes plus tard, les pompiers découvrent la vieille dame de 90 ans dans une mare de sang sur le carrelage de sa cuisine. Yvette Julien a eu le crâne fracassé et son poignet a été sectionné. Elle s’est vidée de son sang pendant la nuit, elle est inconsciente. La maison a été fouillée mais les portes et les fenêtres sont fermées. Peu de choses manquent.
Yvette Julien va survivre et c’est un miracle. Mais elle va garder d’importantes séquelles et attaquée de dos, elle ne pourra fournir aucun renseignement. Une dizaine de gendarmes de la Section de Recherche d’Angers travaillent à temps plein. Neuf mois plus tard ils interpellent le neveu d’Yvette Julien, Maurice Boiteux.
Le 16 avril 2013, à 14h15, sa garde-à-vue commence.
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Documentaire original : « La garde à vue de Maurice Boiteux »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédérique Lantieri
Réalisé parThierry de Lestrade
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
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Doué-la-Fontaine, une petite ville paisible du Maine et Loire. Ce 24 juillet 2012, il est 8 heures du matin et Yvette Julien n’a pas remonté ses volets, elle n’a pas ouvert le portail de sa maison. Ce n’est pas normal. Sa voisine veut en avoir le cœur net. Quelques minutes plus tard, les pompiers découvrent la vieille dame de 90 ans dans une mare de sang sur le carrelage de sa cuisine. Yvette Julien a eu le crâne fracassé et son poignet a été sectionné. Elle s’est vidée de son sang pendant la nuit, elle est inconsciente. La maison a été fouillée mais les portes et les fenêtres sont fermées. Peu de choses manquent.
Yvette Julien va survivre et c’est un miracle. Mais elle va garder d’importantes séquelles et attaquée de dos, elle ne pourra fournir aucun renseignement. Une dizaine de gendarmes de la Section de Recherche d’Angers travaillent à temps plein. Neuf mois plus tard ils interpellent le neveu d’Yvette Julien, Maurice Boiteux.
Le 16 avril 2013, à 14h15, sa garde-à-vue commence.
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Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédérique Lantieri
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Montage : Camille Legras
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Doué-la-Fontaine, une petite ville paisible du Maine et Loire. Ce 24 juillet 2012, il est 8 heures du matin et Yvette Julien n’a pas remonté ses volets, elle n’a pas ouvert le portail de sa maison. Ce n’est pas normal. Sa voisine veut en avoir le cœur net. Quelques minutes plus tard, les pompiers découvrent la vieille dame de 90 ans dans une mare de sang sur le carrelage de sa cuisine. Yvette Julien a eu le crâne fracassé et son poignet a été sectionné. Elle s’est vidée de son sang pendant la nuit, elle est inconsciente. La maison a été fouillée mais les portes et les fenêtres sont fermées. Peu de choses manquent.
Yvette Julien va survivre et c’est un miracle. Mais elle va garder d’importantes séquelles et attaquée de dos, elle ne pourra fournir aucun renseignement. Une dizaine de gendarmes de la Section de Recherche d’Angers travaillent à temps plein. Neuf mois plus tard ils interpellent le neveu d’Yvette Julien, Maurice Boiteux.
Le 16 avril 2013, à 14h15, sa garde-à-vue commence.
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« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Maurice Boiteux »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Frédérique Lantieri
Réalisé parThierry de Lestrade
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
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Le 19 octobre 1991, la tragédie vient frapper le village d’Elne, à côté de Perpignan. Chaque pouce de terrain, chaque cabane abandonnée, est inspectée plusieurs fois. Les jours passent et Ingrid et Muriel, 10 ans toutes les deux, restent introuvables. Un témoin dit avoir vu dans le village un homme, près d’une voiture blanche. Une voiture blanche, l’indice est mince. Des barrages routiers sont organisés, un peu pour le principe. Mais l’enquête s’enlise, l’espoir s’amenuise et 10 jours après la disparition, il est infime.
Le père de Muriel lance alors un appel au ravisseur… L’émotion est nationale. Un coup de pouce du destin relance l’enquête. Par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme. Les gendarmes vérifient. L’homme était dans la région au moment des faits, il a déjà été condamné pour des actes de pédophilie : l’hypothèse pourrait être sérieuse. Il faut faire vite, les petites sont peut-être encore en vie. Le suspect se nomme Christian Van Geloven. Il est interpellé à Saint Dizier à 800 km d’Elne et emmené dans un bureau de la gendarmerie.
Le 1er novembre 1991, à 15 heures, sa garde à vue commence
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Christian Van Geloven »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Thierry de Lestrade et Frédérique Lantieri
Réalisé parThierry de Lestrade
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
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Le 19 octobre 1991, la tragédie vient frapper le village d’Elne, à côté de Perpignan. Chaque pouce de terrain, chaque cabane abandonnée, est inspectée plusieurs fois. Les jours passent et Ingrid et Muriel, 10 ans toutes les deux, restent introuvables. Un témoin dit avoir vu dans le village un homme, près d’une voiture blanche. Une voiture blanche, l’indice est mince. Des barrages routiers sont organisés, un peu pour le principe. Mais l’enquête s’enlise, l’espoir s’amenuise et 10 jours après la disparition, il est infime.
Le père de Muriel lance alors un appel au ravisseur… L’émotion est nationale. Un coup de pouce du destin relance l’enquête. Par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme. Les gendarmes vérifient. L’homme était dans la région au moment des faits, il a déjà été condamné pour des actes de pédophilie : l’hypothèse pourrait être sérieuse. Il faut faire vite, les petites sont peut-être encore en vie. Le suspect se nomme Christian Van Geloven. Il est interpellé à Saint Dizier à 800 km d’Elne et emmené dans un bureau de la gendarmerie.
Le 1er novembre 1991, à 15 heures, sa garde à vue commence
Si vous avez aimé « Garde à vue », mettez lui plein d’étoiles et parlez-en autour de vous. Suivez Initial Studio sur Facebook et Instagram.
Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Christian Van Geloven »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Thierry de Lestrade et Frédérique Lantieri
Réalisé parThierry de Lestrade
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations. -
Le 19 octobre 1991, la tragédie vient frapper le village d’Elne, à côté de Perpignan. Chaque pouce de terrain, chaque cabane abandonnée, est inspectée plusieurs fois. Les jours passent et Ingrid et Muriel, 10 ans toutes les deux, restent introuvables. Un témoin dit avoir vu dans le village un homme, près d’une voiture blanche. Une voiture blanche, l’indice est mince. Des barrages routiers sont organisés, un peu pour le principe. Mais l’enquête s’enlise, l’espoir s’amenuise et 10 jours après la disparition, il est infime.
Le père de Muriel lance alors un appel au ravisseur… L’émotion est nationale. Un coup de pouce du destin relance l’enquête. Par téléphone, quelqu’un donne le nom d’un homme. Les gendarmes vérifient. L’homme était dans la région au moment des faits, il a déjà été condamné pour des actes de pédophilie : l’hypothèse pourrait être sérieuse. Il faut faire vite, les petites sont peut-être encore en vie. Le suspect se nomme Christian Van Geloven. Il est interpellé à Saint Dizier à 800 km d’Elne et emmené dans un bureau de la gendarmerie.
Le 1er novembre 1991, à 15 heures, sa garde à vue commence
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue de Christian Van Geloven »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Thierry de Lestrade et Frédérique Lantieri
Réalisé parThierry de Lestrade
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations. -
2 janvier 2001, 11h00 du matin, deux jeunes garçons promènent un chien aux Mureaux, dans les Yvelines. À côté d’un parking, au milieu des détritus, ils découvrent un sac de couchage abandonné. À l’intérieur, le corps ensanglanté d’une jeune femme. L’autopsie révèlera de nombreuses lésions à la tête, ainsi que des marques au cou. La victime a été étranglée. Son foie et sa rate sont éclatés. Elle n’a pas été violée. Le corps va être rapidement identifié, il s’agit de celui de Jeanette O’Keefe, une étudiante australienne de 28 ans.
La trace de Jeanette s’arrête sur les Champs-Élysées, le 31 décembre 2000. Comment son corps s’est-il retrouvé dans cette cité de la banlieue parisienne ? Sans témoin, sans indice, cette affaire restera une énigme pendant de longues années. Ce n’est que huit ans plus tard, grâce à de nouveaux éléments d’enquête, qu’un suspect sera identifié. Un certain Adriano Araujo Da Silva est interpellé chez sa compagne et transféré à la brigade criminelle de Versailles.
Le 17 février 2009, à 6h30 du matin, sa garde à vue commence.
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Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue d'Adriano Araujo da Silva »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
Réalisé par Rémy Burkel
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations. -
2 janvier 2001, 11h00 du matin, deux jeunes garçons promènent un chien aux Mureaux, dans les Yvelines. À côté d’un parking, au milieu des détritus, ils découvrent un sac de couchage abandonné. À l’intérieur, le corps ensanglanté d’une jeune femme. L’autopsie révèlera de nombreuses lésions à la tête, ainsi que des marques au cou. La victime a été étranglée. Son foie et sa rate sont éclatés. Elle n’a pas été violée. Le corps va être rapidement identifié, il s’agit de celui de Jeanette O’Keefe, une étudiante australienne de 28 ans.
La trace de Jeanette s’arrête sur les Champs-Élysées, le 31 décembre 2000. Comment son corps s’est-il retrouvé dans cette cité de la banlieue parisienne ? Sans témoin, sans indice, cette affaire restera une énigme pendant de longues années. Ce n’est que huit ans plus tard, grâce à de nouveaux éléments d’enquête, qu’un suspect sera identifié. Un certain Adriano Araujo Da Silva est interpellé chez sa compagne et transféré à la brigade criminelle de Versailles.
Le 17 février 2009, à 6h30 du matin, sa garde à vue commence.
Si vous avez aimé « Garde à vue », mettez lui plein d’étoiles et parlez-en autour de vous. Suivez Initial Studio sur Facebook et Instagram.
Crédits :
« Garde à vue » a été coproduit par Initial Studio et What’s Up Films, en association avec ZED, à partir de la série documentaire « 48 heures » produite par What’s Up Films et France Télévisions.
Documentaire original : « La garde à vue d'Adriano Araujo da Silva »
Concept original de Mathieu Belghiti et Frédérique Lantieri
Ecrit par Rémy Burkel et Frédérique Lantieri
Réalisé par Rémy Burkel
Production exécutive du podcast : Initial Studio
Production éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg
Montage : Camille Legras
Avec la voix de Roland Timsit
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations. - Visa fler