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  • Voilà, ça y est, la première saison de J'irai danser avec vous est finie. J’ai du mal à l’écrire, à le dire. Comme j’ai eu du mal à réaliser, pendant ces mois qui se sont écoulés depuis le 3 juin 2022, jour de diffusion du premier épisode, que l’idée qui me conduisait pendant ces trois dernières années, s’était réalisée. J'irai danser avec vous existe et abrite aujourd'hui dix épisodes ! Je vous propose, cet été, de les (ré)écouter. Pour ne pas oublier... et continuer à porter la parole des personnes rencontrées.

    La musique qui accompagne cette nouvelle page de JDAV est Monde nouveau du groupe Feu! ChattertonPour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais

    C’est avec cet épisode que la première saison de J’irai danser avec vous, podcast présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain, s’achève. Restez alertes : quelques surprises se préparent...

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Happée par la Bretagne, je me suis dirigée vers Saint-Brieuc. Je voulais parler des pêcheurs, essayer de comprendre ce qui motive des hommes, aujourd'hui, à quitter la terre des vivants pour essayer, chaque jour, à des heures totalement indues, de recevoir ce que la nature veut bien offrir... Mais, pour cet épisode, je casse les codes. Je vous emmène avec moi. Je vous emmène convaincre les pêcheurs de Saint-Brieuc à danser avec moi. Soyez attentifs et restez jusqu'au bout : la tâche n’est pas aisée. Mais elle vaut le coup !

    La musique sur laquelle le collègue de Dédé aurait voulu danser avec ses filles et sa femme est Lambé An Dro du groupe MatmatahPour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin. Enfin... quand des imprévus ne s'invitent pas sur sa route !

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

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  • Sylvie c'est un peu cette évidence dans la rencontre. Tout de suite un rire, tout de suite un lien, tout de suite un échange honnête et profond. Après un joli tour de France et du monde, elle a posé ses pénates dans le Finistère Nord, à Plougasnou, à quelques kilomètres de Locquirec. Sur cette "terre des possibles", elle s'investit dans des associations locales, s'occupe avec son conjoint, Didier, d'un gîte. Et cultive avec lui la terre qu'ils habitent. Simplement. A 62 ans, Sylvie s'est éloigné de tout militantisme. Elle s'efforce de regarder le monde qui l'entoure avec les yeux du poète... et beaucoup d'humour.

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer son message, Sylvie Briand a proposé que nous dansions sur la chanson populaire Mon amant de Saint-Jean reprise par le groupe Les CroquantsLe gîte a été repris depuis par la fille de Sylvie : Océane. Il s'agit du Carnet de bord situé au Diben, petit port de pêche et de plaisance appartenant à la commune de Plougasnou.Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin. Enfin... quand des imprévus ne s'invitent pas sur sa route !

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Élise a été la première. La première à se lancer dans l'aventure J'irai danser avec vous. J'étais à Mazamet, dans le Tarn et Élise David m'a donné rendez-vous dans un parc. J'ai découvert sa voix après avoir dansé avec elle. C'était une voix chantante du sud, empreinte de douceur sauvage et de gravité. Élise est doula. Elle accompagne des femmes dans les moments forts de leur existence, et côtoie de près, de très près, la vie humaine...

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer son message, Élise David a proposé que nous dansions sur la chanson Baïana du groupe Barbatuques Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin. Enfin... quand des imprévus ne s'invitent pas sur sa route !

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Début septembre, Aloïse Moron a rejoint les bancs de l'école. Non pas pour apprendre mais pour transmettre. Depuis 2015, la trentenaire est professeure des écoles en Bourgogne. Un métier de cœur qu'elle a choisi après avoir exercé pendant quelques années dans le marketing à Paris. Aujourd'hui, après deux années compliquées marquées par le covid-19, Aloïse est un peu essoufflée. Mais à l'été 2020, quand je l'ai rencontrée dans sa jolie maison de Bourgogne, elle me transmettait, au micro, son émerveillement vis-à-vis des enfants qu'elle accompagne à l'école. Elle me parlait de leur créativité, et de la confiance qu'elle leur accorde, toujours.

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer son message, Aloïse Moron a proposé que nous dansions sur la chanson de Mano Solo Des paysPour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Tout juste âgé de dix ans, Baptiste a déjà une gravité dans le regard. Issu d'une famille d'agriculteurs, il sait pertinemment que la nature qu'il connait aujourd'hui ne sera pas la même quand il sera adulte. Alors il passe tout son temps libre à l'observer, s'en nourrir, essayer de mieux la connaître. Baptise n'a pas de tablette numérique mais un arc avec des flèches. Il n'a pas les dernières baskets à la mode, mais des bottes en caoutchouc bien hautes. Pas question d'aller en ville : trop de monde. Il préfère rester à la ferme où il peut débusquer "des petits lapins, des faisans". Et cela le remplit.
    Je l'ai rencontré il y a un peu plus d'un an, mi-août 2021. Année terrible pour les moissons : trop de pluie, trop d'humidité. Cette année, ce fut l'inverse : trop chaud. Baptiste prévient : "Y'a plus de saisons".

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer son message, Baptiste a proposé que nous dansions sur la chanson de Gauvain Sers Y'a plus de saisons Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Dans le monde de la danse, c'est l'un des rendez-vous incontournables de l'été. Le Festival international de danse Darc réunit, chaque année, des centaines de danseurs venus du monde entier, en plein centre de la France, à Châteauroux. Je l'ai découvert, de 2013 à 2015, alors que je travaillais pour la rédaction de l'Indre de La Nouvelle-République du Centre-Ouest.
    Il y a deux ans, début août, j'étais à Châteauroux. Mais la ville était vide de ses danseurs. Covid oblige, Darc avait dû être reporté. J'avais alors proposé à Eric Bellet, directeur artistique du festival, de danser avec moi. Ce fut un moment très beau, touchant, plein de tendresse, d'humilité et de gravité, aussi.
    L'année suivante, pour les mêmes raisons, le festival a dû, être de nouveau reporté. Dans deux jours, le 7 août, après deux années d'absence, il animera, de nouveau, les rues castelroussines. Le moment idéal pour écouter la danse, et les mots, d'Eric Bellet, porté par une nécessité : celle de proposer et de vivre des moments de partage et d'humanité.

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer son message, Eric Bellet a désiré que nous dansions sur la chanson La couleur des blés du groupe Blankass.Pour connaître un peu mieux le festival Darc, allez faire un tour sur leur site, leur page Facebook et à lire et regarder ce que La Nouvelle-République en dit.Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • L'idée du podcast J'irai danser avec vous est venue de mes tripes, de mon cœur, de mon corps, de mon histoire. Mais cette idée aurait pu rester une idée. Ce qui lui a permis de se concrétiser, ce qui m’a permis de transformer l’essai, ce sont des personnes. Des personnes qui me sont proches, d’autres moins, mais qui ont jalonné mon chemin à ce moment précis de ma vie et qui ont joué, chacun, un rôle tout particulier. J’avais envie, aujourd’hui, de leur rendre hommage, de les remercier. Ou plutôt j’avais envie de rendre visibles les invisibles de J’irai danser avec vous.

    La musique que j'écoutais en boucle quand j'étais à Rome, chez Kiki, est Get down Saturday Night d'Oliver Cheatham.Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • A Cornuéjouls, petit village aveyronnais situé non loin de Séverac-le-Château, "Monsieur Leroy" est une star. Et pour cause, paysan à la retraite, il s'installe, tous les après-midis, sur un banc, au milieu du village. Béret sur la tête, il attend de dire bonjour aux passants.
    Cette après-midi de juillet 2020, Monsieur Leroy a accepté de quitter son banc pour lever ses jambes un peu fatiguées par la vie et esquisser, avec moi, quelques pas de polka. Pourquoi ? Monsieur Leroy est prêt à tout pour "vivre la convivialité". Et, il le confie en murmurant, il "aime danser".

    Pour danser avec moi, Monsieur Leroy a choisi La Java bleue de Fréhel. Nous avons également écouter, avec délectation, Ah ! Le petit vin blanc de Lina Margy.Pour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Véronique Cornuaille a deux passions : la danse et la nature. Alors, elle a choisi d'y dédier sa vie. Vivant au sein d'un éco-lieu situé à Saleix, un hameau bordant un village de Dordogne, elle anime notamment des ateliers de danse... avec les arbres.
    Et ça, je l'ignorais !
    Avec elle, j'ai embarqué dans une danse "arborée". L'expérience m'a déroutée, m'a déplacée et m'a séduite. Elle m'a surtout permis de comprendre ce qui animait la vie créative et créatrice de cette femme au regard doux et paisible. Je vous laisse le découvrir dans cet épisode, le deuxième, de la première saison de J'irai danser avec vous, le podcast qui propose de danser avant de parler.

    Pour ouvrir notre rencontre et illustrer le message qu'elle transmet, ici, à la société, Véronique Cornuaille a désiré que nous dansions sur la musique Ly-O-Lay Ale Loya, the counterclockwise circle dance.Pour découvrir l'univers et l'activité de Véronique Cornuaille, n'hésitez pas à vous rendre sur son site Au jardin de l'envolPour suivre toutes mes péripéties, n'hésitez pas à visiter Instagram ou FacebookEt surtout... n'oubliez pas de danser ! Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain. Un épisode est diffusé deux fois par mois, le vendredi matin.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit

  • Bienvenue sur J'irai danser avec vous, le podcast qui va à la rencontre des Français pour échanger en profondeur... après avoir dansé.
    Dans cet épisode, qui ouvre cette série - et le podcast !! - je vous raconte les prémices de cette aventure qui m'est apparue, comme une évidence, une nécessité, une belle journée d'été, il y a trois ans exactement. Pourquoi ? Comment ? C'est la vie qui me l'a soufflée ...

    Ce podcast vous est présenté par Isabelle Demangeat, journaliste passionnée par le travail de terrain.
    Un nouvel épisode sera publié une fois tous les quinze jours, le vendredi.

    Si vous souhaitez me suggérer de nouveaux invités ou prendre part à l'aventure, n'hésitez pas !
    Suivez-moi sur instagram au pseudo @jiraidanseravecvous ou sur Facebook et laissez-moi un message :)

    Et surtout... n'oubliez pas de danser !
    Car le corps ne ment pas, le corps ne ment jamais.

    (c) Jingle : Dimitri Sautereau ; (c) habillage sonore : Bruno Cazelles ; (c) habillage graphique : Laurence Duthoit