Avsnitt
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En 1821, le berger Pierre Mauger est retrouvé assassiné dans d’étranges circonstances. Son corps est enterré, son crâne est fracassé et ses bras sont disposés en croix. Les soupçons se tournent rapidement vers un autre berger du même village, Jean-François Pouril. Il avoue le meurtre et est amené en prison.
Durant sa condamnation, Jean-François Pouril reçoit la visite d’un aumônier. Ce dernier se rend compte que le meurtrier a été manipulé par un adjoint de la mairie, monsieur Mortier. Ce dernier aurait promi une grande somme d’argent à Pouril s’il avouait le meurtre à sa place…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
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Le 15 juillet 1902, le train express Paris Versailles s’arrête brutalement en plein trajet. Le docteur Armand Peretti, un homme d’une cinquantaine d'années, a tiré le signal d’alarme en accusant Pierre Berthelot, 26 ans, de l‘avoir frappé. Le lendemain, le docteur succombe à ses blessures. La police constate les problèmes financiers de Berthelot et pense qu’il a assassiné le docteur Peretti pour lui voler son argent.
Lorsqu’on lui demande d’expliquer son crime, Pierre Berthelot raconte plusieurs versions. En premier temps, il dit ne pas connaître Armand Peretti et s’est jeté sur lui car il n’a pas aimé la façon dont il lui a parlé. Ensuite il avoue qu’il se rendait souvent à Versailles avec le docteur et qu’il l’a tué car pendant une dispute dans le train. Face à la justice, il change encore de version. Ce qui lui permet d’éviter la peine de mort…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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Saknas det avsnitt?
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Kate Barker est mère de 4 enfants : Herman, Loyd, Arthur et Fred. N’ayant pas de quoi leur payer des études et leur permettre d’exercer des métiers qui les rendraient riches, Kate a trouvé une solution pour que ces enfants gagnent beaucoup d’argent. Elle réunit ses fils en bande de gangsters.
Les fils Barker deviennent des bandits de grande excellence. Ils enchaînent les hold up et les agressions à main armée et récupèrent beaucoup d’argent. Leur mère continue à prendre de plus en plus de contrôle sur leur vie. Elle recrute d’autres gangsters pour compléter sa bande.
Mais les choix de Kate Barker pour enrichir sa famille ont de graves conséquences. Deux de ses fils retournent en prison. Des dénonciations mettent en danger le gang. Jusqu’au jour où une tuerie éclate entre les Barker et la police…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
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En 1924 à Dresde, en Allemagne, Valley, une jeune aristocrate, est fiancée à Harry, un écrivain anglais de renom. A l'approche de leurs fiançailles, Harry disparaît mystérieusement. La police ouvre une enquête pour le retrouver et découvre des révélations troublantes sur sa double vie. Harry avait de nombreuses liaisons et fréquentait des lieux malfamés, où sévissait un tueur en série surnommé "l'Éventreur".
Après avoir exploré plusieurs pistes, la police découvre finalement que l'Éventreur est en réalité Harry lui-même, dissimulant une vie de débauche et de crimes. Harry, sous le nom de Levaque Bloom, est arrêté et se suicide en prison, laissant une lettre à Valley pour lui demander pardon. Dévastée, Valley, qui continue à l’aimer malgré tout, entre dans un couvent, où elle devient religieuse sous le nom de "Marie des Douleurs", offrant sa vie à Dieu pour racheter les crimes de celui qu’elle aimait…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
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Le 7 septembre 1959, Jean-Louis Herman est contacté par le commissariat de son quartier qui vient de retrouver sa voiture volée. Le véhicule est totalement cabossé, et les objets qui s’y trouvaient ont été dérobés. En rentrant chez lui, monsieur Herman nettoie sa voiture et constate dans son coffre des tâches de sang humain.
Les premières pistes de la police mènent les enquêteurs chez Maurice Laforet. Celui-ci est connu pour son banditisme. Ils découvrent qu’il a disparu depuis le 5 septembre. Ces complices habituels ont également disparu. La police pense que l’un d’eux aurait été assassiné et que son cadavre aurait été transporté dans la voiture de Jean-Louis Herman…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Pierre Bellemare nous raconte l'histoire du kidnapping de Frank Sinatra Junior, le fils du célèbre chanteur Frank Sinatra. En décembre 1963, Frank Sinatra Jr., âgé de 19 ans, est enlevé par Barry Keenan et Joseph A. Micheline, deux jeunes hommes sans grande expérience criminelle. Après l’enlèvement, les kidnappeurs demandent une rançon de 240 000 dollars.
Le FBI est rapidement impliqué, et malgré une série d'échanges téléphoniques compliqués et la remise de la rançon, Frank Sinatra Jr. est libéré indemne après avoir persuadé l'un des ravisseurs de le relâcher. Bien que les kidnappeurs soient jugés et emprisonnés, des doutes subsistent quant à la possibilité que l'enlèvement ait été un coup publicitaire pour promouvoir Sinatra Jr., qui n'avait pas encore la renommée de son père. Cette affaire a alimenté les rumeurs à Hollywood et dans les médias, mais le FBI insiste pour dire qu'il ne s'agit pas d'un coup de publicité.
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
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En 1923, Gustave Périer, un éleveur de moutons, a disparu dans le Loir-et-Cher. La dernière fois qu’il a été vu était lors d’un dîner avec un cultivateur local, Henri Villemain. Ce dernier devient rapidement le suspect principal et plusieurs rumeurs se propagent contre lui. Pendant 9 ans, il est accusé de cette disparition.
Mais en réalité,l’auteur du crime est une autre personne… La vérité éclate grâce à l'insistance d'un gendarme curieux, qui réussit à obtenir les aveux du vrai responsable. Henri Villemain est innocenté après 9 ans de suspicion, tandis que le criminel est condamné à 20 ans de prison.
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Le 18 décembre 1970, à 18h12, Jeanne, une mère de trois enfants, prévoit de passer l'après-midi avec ses amies Henriette et Micheline avant de rentrer chez elle pour l'anniversaire de sa fille. Elles se retrouvent dans un salon de thé à Berlin.
Au même moment, Jean-Pierre un jeune homme de 25 ans est à bord d’une voiture louée. Il est connu pour de nombreuses infractions et condamnations. Il n’a pas peur de récidiver en conduisant ivre ce jour-là.
Alors que Jeanne et ses amies montent dans une voiture, leur chemin croise celui de Jean-Pierre. À 18h12, les deux voitures se percutent violemment, entraînant un incendie qui tue toutes les victimes sur le coup…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Charles Martin, un employé de banque de confiance, a gravi tous les échelons professionnels, offrant à sa famille un confort bourgeois. Mais à l'aube de ses 50 ans, il est frappé par une crise existentielle. Il a eu un coup de foudre pour sa jeune secrétaire Jocelyne. Charles Martin tente de se rajeunir pour vivre une dernière passion.
Sa famille s’inquiète de son comportement, qui devient de plus en plus absurde et immature. Ce changement le conduit à commettre un acte désespéré : il vole 100 millions d’anciens francs à la banque où il travaille, non pour s’enrichir, mais dans un plan machiavélique visant à ruiner sa famille.
Finalement, le vol est découvert, et Charles est arrêté. C’est un membre de sa famille qui l’a dénoncé. Il est amené au tribunal et risque une grande condamnation…
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Le soir du 18 février 1950, Maria Braschi rentre chez elle. Pour une fois, elle rentre avec assez d’argent pour dîner et chauffer sa maison. Elle demande à sa fille de 12 ans, Annarella, d’aller faire des courses. La petite sort et croise un de ses amis, Lionello Egidi, 32 ans. C’est la dernière fois que Annarella est vu. Elle disparaît soudainement…
La police recherche activement la petite fille. Une prime de 300 000 lires est annoncée pour la retrouver. C’est le grand-père de Annarella qui découvre le cadavre de la fillette dans un puits. L’autopsie déclare qu’elle est morte noyée et glacée.
Le suspect principal est Lionello Egidi. Il se proclame innocent du meurtre, mais avour avoir frappé la Annarella à coup de poignard. Egidi reste 2 ans en prison et est finalement acquitté. Mais après sa libération, il est de nouveau arrêté après avoir fait des avances à une fillette. Deux procès s’ouvrent contre lui…
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John Bellingham est un britannique étant partie en Russie pour des affaires. Lors de son voyage, il est accusé d’indélicatesse. Il peut prouver son innocence et décide de contacter l'ambassade de la Grande Bretagne. Mais personne ne s’est préoccupé de lui. John Bellingham fait appelle au Premier ministre, Spencer Perceval, qui n’agit pas.
Pour être pris au sérieux, John Bellingham décide d’envoyer un courrier à la police londonienne. Il y précise que si personne ne lui vient en aide, il se rendra justice lui-même. Sa lettre n’est pas prise au sérieux et est jetée à la poubelle. Alors Bellingham, délaissé, assassine le Premier ministre.
La mort de Spencer Perceval est considérée comme un désastre national. Mais John Bellingham est confiant à l’approche de son procès. Il est persuadé qu’il sera identifié comme victime lésée par le gouvernement. Mais le juge en décidera autrement…
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En juillet 1972, à l’hôpital de Grenoble, une dizaine de femmes sont admises pour fatigue nerveuse ou dépression. Un dimanche, deux d’entre elles sortent sans autorisation, en se mêlant à la foule des visiteurs.
Nadine et Marcelle quittent l’hôpital et font de l’auto stop pour se rendre au bal de Voiron. La soirée finie, Nadine propose d’aller retrouver son petit ami dans une autre ville. Mais n’ayant pas assez d’argent pour prendre le train, elles décident de tuer un automobiliste et de le dépouiller. Sans hésiter, elles achètent un couteau de cuisine et cherchent leur proie…
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Arthur Barry, un jeune homme de 17 ans, est réveillé à 23 heures par son père. Ce dernier tient deux fusils dans ses mains. Il lui demande de surveiller la fenêtre de la chambre de sa mère et de tirer si un individu s’échappe. Arthur tire deux fois en direction d’un homme qui saute par la fenêtre. Il entend sa mère hurler et se faire abattre d’un coup de fusil par son père.
Monsieur Barry a tuer sa femme en découvrant qu’elle le trompait avec l’un de ses amis. Il donne l’identité de cet homme aux enquêteurs. La police convoque l’amant de madame Barry et s'aperçoit que ce n’est pas lui qui s’est échappé de chez les Barry. Mais alors s’agit-il d'un crime passionnel ou de légitime défense face à l’intrusion d’un inconnu ?
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Le 24 novembre 1952, une voiture quitte Pontoise et se dirige vers Argenteuil à bord de leur voiture. La conduite de l’individu interpelle deux gendarmes en moto, qui lui demandent de s’arrêter. Il obtempère mais s'enfuit rapidement lorsque l’un des gendarmes sort de sa moto. Une course poursuite démarre entre les agents et les automobilistes. Un des motards est retrouvé blessé par balle en pleine rue. Un automobiliste lui a tiré dessus et s’est enfui. Les CRS cherchent la voiture en question durant toute la nuit. Le gendarme blessé succombe à ses blessures quelques heures plus tard.
Une enquête s’ouvre pour retrouver l’assassin du gendarme. Mais les indices et les preuves sont maigres. C’est grâce aux balles tirées sur la victime que le commissaire arrive à remonter jusqu’au suspect. Il sera repéré 4 jours plus tard lorsqu’un homme porte plainte pour agression et vol…
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En juillet 1895, à Londres, Oliver et Corey, expliquent à leur tante Esther que leur mère est partie à Liverpool pour une question d’héritage suite au décès d’un de ses oncles. Leur tante trouve cette histoire louche puisqu’aucun oncle de la famille habite à Liverpool. Elle commence à s’inquiéter de ne pas voir la mère des enfants rentrer. Les deux garçons ne sortent plus et passent leur temps à s’amuser chez eux.
La tante Esther essaye de les recadrer. Oliver et Corey ne se laissent pas faire et veulent s'enfuir. Quelque temps plus tard, leur mère est retrouvée morte, assassinée par plusieurs coups de couteaux. Les deux adolescents sont conduits devant un juge, accusés coupable du crime. En effet, c’est bien eux qui ont décidé de tuer leur mère après qu’elle les ai réprimandé lorsqu’ils ont cassé une soupière…
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En juin 1946, en Allemagne, un garçon de 12 ans a disparu alors qu’il était parti se ravitailler en bois. Sa mère n’était pas d’accord qu’il parte seul avec un homme qu’elle trouvait louche, mais elle avait cédé face à son fils excité par cette sortie. Quand elle a vu que son fils ne rentrait pas elle est allé voir l’homme qui est parti avec lui, mais celui-ci dit tout ignorer de cette disparition.
Cet homme louche, suspect numéro 1 de l’enquête, est Baudo Werner, 37 ans. Il est employé à la voirie de Brême. Il confirme qu’il est bien allé se ravitailler le jour où le garçon a disparu, mais nie s’y être rendu avec lui.
La police continue son enquête sur Wener et le place en détention provisoire. Finalement, après plusieurs interrogatoires, le suspect avoue son crime. Il a emmené le garçon dans les bois. Il avait prévu de le tuer et le dépecer. Et ce n’était pas son premier meurtre…
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Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
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A Düsseldorf en 1969, une femme de 80 ans est découverte morte chez elle. Lorsque sa nièce vient identifier son corps, elle déclare que sa tante possédait une montre, 420 francs en pièces et un livret d’épargne. Elle les cachait sous son oreiller. Mais la police n’a rien trouvé sur place et la maison n’a pas l’air d’avoir été fouillée. Les autorités cherchent donc un voleur qui connaissait la victime.
Quelques jours plus tard, un père de famille se rend au commissariat avec sa fille de 13 ans. L’adolescente, avec ses amis, s’est rendue chez la femme retrouvée morte. Les garçons qui l’accompagnaient seraient responsables du décès de l’octogénaire.
Arrêtés et interrogés par la police, les 4 adolescents avouent leur crime. Ils sont bien les coupables de ce meurtre. En se penchant sur leur éducation, ce n’est pas étonnant que des enfants élevés dans la violence finissent par être des assassins…
L’adolescente explique qu’elle s’est rendue chez la femme âgée retrouvée morte. Ce sont des garçons de son âge qui l’ont emmené dans cet appartement et qu’ils seraient responsables du décès de cette femme.
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En septembre 1950, à la gare d’Austerlitz, une jeune femme monte dans le train de nuit direction Toulouse. Elle s’installe seule dans un compartiment et s’endort rapidement. A Vierzon un homme monte dans le train et s’installe en face de cette vingtenaire.
A 4 heures du matin, la jeune femme tire la sonnette d’alarme, hurle à l’aide en expliquant que l’homme dans son compartiment à voulu la chloroformer. Celui-ci a mystérieusement disparu. Lorsqu’on lui demande de le décrire, elle donne beaucoup de détails, comme-ci elle racontait un rêve. Dès son arrivée à Brives, elle dénonce son agresseur et rapidement un homme est arrêté près de Limoges.
L’entourage de l’homme accusé se révolte, car selon certains témoignages c’est impossible que ce soit lui le coupable. Pourtant quand des femmes le croisent dans la rues, elles le regardent d’un drôle d'œil, même certains hommes. Ces doutes inconscients envers cet homme ne seraient-ils pas la preuve de sa responsabilité ?
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Alfred B, un jeune allemand de 21 ans, appelle un journaliste pour lui annoncer qu’il vient de tuer l’une de ses amies, Maria. Il explique qu’il est passé à l’acte dans un bois près du Danube, mais ne s’étend pas sur les détails du meurtre. Le journaliste lui propose de passer à la rédaction car il doute de la sincérité de cette histoire.
Une fois face à l’assassin, le journaliste n’a plus de doute. Il est persuadé que cette révélation est vraie. Alfred raconte donc que son amie avait pour habitude de consommer de la drogue avant d’aller se coucher. La veille du meurtre, ils en ont pris ensemble, et n’arrivant pas à dormir ils ont décidé d’aller dans les bois. Soudainement Alfred a ressenti une envie d’étrangler Maria.
En se penchant sur le passé d’Alfred, il n’est pas étonnant qu’il ait fini par être un meurtrier. Le résumé de sa vie est la parfaite description d’un psychopathe. A 17 ans, il est condamné à 10 mois de prison pour exhibitionnisme. Un an plus tard, il est retrouvé près d’une ferme qui a été brûlée. A 21 ans, il a violé une jeune femme. Et il ne comptait pas arrêter sa course folle…
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Dans cette histoire, on dit que le diable fit son apparition le 1er avril 1906. Depuis cette date, dans l’arrière-pays de Cannes, 17 incendies volontaires et 3 tentatives de meurtre ont eu lieu en l’espace d’une année. La petite église de Pégomas, des granges et même la cabane des jardiniers y passent. Enfin, après de longs mois, le calme semble revenir. Les riverains, auparavant terrorisés, reprennent peu à peu confiance en leur village. Pourtant, trois ans plus tard, le 5 mai 1910, un nouvel incendie se déclare dans une ferme. Un incendie qui ressemble beaucoup aux précédents. D’ailleurs, on tire maintenant des balles de plombs à travers les persiennes et même sur le président de la Libre Pensée ! Les policiers sont désemparés. Qui sont ces bandits qui commettent tous ces actes terroristes ? Enfin, la gendarmerie locale semble avoir une piste. Les délinquants ont laissé un message à la craie sur une porte, avec une faute d’orthographe…
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Rédaction et production : Lisa Soster
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