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Le 24 janvier 2025, le Général Henri Roure était l’invité d’Un Soir avec Lara, animé par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Le Général Henri Roure est officier-général issu des troupes de Marine, Saint-Cyrien, breveté de l’École Supérieure de Guerre et Docteur d’État en Science Politique.
Présent sur la liste de Dupont-Aignan et Debout la France pour les élections européennes de 2019, il a décidé de rallier la liste ASSELINEAU-UPR-FREXIT pour les européennes de 2024, où il occupera la 3e place.
Auteur engagé, il publie son nouvel ouvrage, Dieu n’a pas béni l’Amérique ! qui offre une réflexion percutante sur les enjeux géostratégiques des États-Unis.Les défis actuels de l’armée française
L’armée française, pilier de la sécurité nationale, fait face à des défis majeurs : maîtriser l’innovation technologique (IA, drones, cybersécurité), gérer des budgets limités et renforcer la coopération militaire européenne. Ces axes stratégiques répondent aux besoins d’une défense modernisée et adaptée aux menaces globales
Redéfinir le rôle de l’armée face aux menaces globales
Les menaces actuelles – cyberattaques, crises climatiques, terrorisme – redéfinissent les priorités militaires. La France doit développer des capacités numériques offensives et défensives, répondre aux conflits liés aux ressources naturelles, et poursuivre une stratégie combinant renseignement et intervention militaire contre le terrorisme.
Leadership et engagement pour les générations futures
Le Service National Universel (SNU) est une opportunité pour renforcer le lien entre la jeunesse et la défense. L’armée doit valoriser discipline, esprit d’équipe, et innovation technologique pour attirer les jeunes générations vers des carrières militaires et civiles adaptées aux défis de demain.
L’armée française à l’ère des grandes mutations
Pour rester une référence mondiale, l’armée française doit intégrer pleinement les nouvelles technologies, renforcer les partenariats européens, et optimiser ses ressources. Anticiper les crises est crucial pour maintenir son statut de puissance militaire de premier plan.
Recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde et explorez les défis stratégiques cruciaux qui redéfinissent le rôle des nations face aux mutations globales.
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Le 24 janvier 2025, Yves-Marie Adeline, Laurent Artur Du Plessis et Finn Andreen étaient les invités de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Yves-Marie Adeline, philosophe et historien des idées, est un auteur prolifique en philosophie politique et en histoire de la pensée, avec des ouvrages tels que Histoire mondiale des idées politiques et Quels avantages la France peut-elle tirer de l’élection de Donald Trump?. Fondateur de l’Alliance royale en 2001, il a également enseigné la philosophie et les sciences politiques dans divers établissements.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
La victoire de Donald Trump marque un tournant stratégique pour la France, une puissance à la croisée des mondes continentaux et maritimes. Face à un président américain à la fois offensif et isolationniste, Paris doit exploiter ses atouts uniques pour affirmer son rôle sur la scène internationale.
La France, pivot entre les États-Unis et la Russie
Avec son double statut de puissance continentale et maritime, la France peut jouer un rôle stratégique en dialoguant avec les blocs opposés. Alors que Trump défie la Chine et priorise l’Amérique, la France pourrait renforcer ses liens avec la Russie, s’imposant comme un acteur stabilisateur en Eurasie.Une puissance maritime au cœur des rivalités mondiales
La France, avec un des plus grands espaces maritimes, peut exploiter des routes stratégiques, notamment dans l’Arctique. Sa présence navale dans des zones cruciales comme le détroit d’Ormuz renforce son rôle sur la scène mondiale. Contrairement à la Chine, confinée géographiquement, la France tire parti de sa double dimension terrestre et maritime.L’Europe face au piège de Thucydide et au défi Trump
L’Europe doit éviter le piège de Thucydide où l’Amérique cherche à contenir la montée de la Chine. La France, grâce à sa diplomatie et son autonomie stratégique, peut équilibrer les tensions entre puissances, profitant de l’incertitude économique américaine et des fragilités des BRICS. Avec Trump confronté à des crises internes, la France a une opportunité unique de s’imposer comme force stabilisatrice.Pour comprendre comment la France peut transformer ces défis en opportunités historiques, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 24 janvier 2025, Mickaël vous donnait rendez-vous pour un niveau micro-trottoir, sur GPTV Investigation, pour un sujet brûlant : la liberté d’expression.
67 % des Français considèrent que la liberté d’expression est en péril. Derrière ce chiffre se cache une réalité préoccupante : entre le rôle des algorithmes, la censure accrue pendant la pandémie de Covid-19 et la montée d’une idéologie uniformisante en Europe, les perspectives se rétrécissent. Les réseaux sociaux, « à la fois poison et antidote », redessinent le paysage du débat public.
Algorithmes et enfermement idéologique : un danger invisible
Les algorithmes des plateformes comme X (anciennement Twitter) et TikTok façonnent notre vision du monde.
Ces systèmes, conçus pour maximiser l’engagement, enferment les utilisateurs dans des bulles idéologiques. Ils privilégient des contenus conformes aux opinions déjà exprimées, réduisant la confrontation à des perspectives divergentes. Ce phénomène limite l’accès à une pluralité d’idées, renforçant les convictions initiales et exacerbant les divisions.Dans ce contexte, les opinions minoritaires ou dissidentes peinent à émerger, car elles ne génèrent pas suffisamment d’engagement pour être mises en avant. L’information se transforme alors en spectacle, au détriment de la réflexion critique. Cette dynamique contribue à un appauvrissement général du débat public, accentué par la censure ciblée des plateformes.
Censure durant la pandémie : un précédent inquiétant
La pandémie de Covid-19 a marqué une période de censure massive sur les réseaux sociaux, où des contenus jugés « contraires à la vérité officielle » ont été supprimés. Les voix dissidentes, qu’elles soient scientifiques ou citoyennes, ont été marginalisées sous prétexte de protéger la santé publique. Si Elon Musk a révélé certaines dérives en transformant Twitter, la censure persiste sur d’autres plateformes.
Réseaux sociaux : entre contrôle et liberté
X et TikTok illustrent l’ambivalence des réseaux sociaux : d’un côté, ils offrent des espaces pour des idées alternatives ; de l’autre, ils renforcent la polarisation et la désinformation. La régulation et l’utilisation par les citoyens restent déterminantes pour préserver un véritable pluralisme.
Médias européens : bastion d’un récit unique ?
Elon Musk a qualifié l’Europe de « bastion de la censure gauchiste », une critique visant les médias traditionnels souvent perçus comme hostiles aux opinions conservatrices. Les régulateurs comme l’Arcom ciblent les médias indépendants, favorisant un discours unique présenté comme incontestable.
Informez-vous à penser par vous-même, en dehors des cadres imposés. Recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 24 janvier 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un direct explosif sur Géopolitique Profonde.
La décision de Paris Match, propriété de Bernard Arnault, de consacrer une couverture à Brigitte Macron afin de contrer les attaques en ligne marque un tournant médiatique. Rarement un grand magnat s’engage si ostensiblement pour protéger une figure politique. Cette intervention, loin d’être anodine, révèle des enjeux profonds qui dépassent les apparences.
Une couverture médiatique hautement stratégique
La mise en avant de Brigitte Macron dans Paris Match ne relève pas d’un simple hasard éditorial. Derrière cette décision se cache une volonté claire : redorer l’image d’une « Première dame » fragilisée par une vague de critiques virulentes sur les réseaux sociaux. Bernard Arnault, en tant que propriétaire de cet empire médiatique, ne se contente pas de défendre Brigitte Macron par solidarité ou admiration. Ce geste vise également à protéger une figure clé dans l’écosystème politique français, un environnement où Arnault joue un rôle prépondérant.Le milliardaire, connu pour sa gestion méticuleuse de son image et de son empire, ne laisse jamais rien au hasard. En défendant Brigitte Macron, il renforce implicitement sa proximité avec le couple présidentiel, consolidant ainsi son influence sur les cercles du pouvoir. Cette stratégie traduit l’importance pour Bernard Arnault de maintenir des relations étroites avec les élites politiques, un levier clé dans son ascension et son maintien au sommet.
Une connexion aux ramifications politiques et économiques
Son intervention médiatique de pose une question fondamentale : quels enjeux sous-jacents justifient une telle mobilisation en faveur de Brigitte Macron ? Le couple présidentiel, particulièrement Emmanuel Macron, représente un allié précieux pour Bernard Arnault, qui bénéficie d’un environnement économique propice à l’expansion de son empire sous leur présidence. En soutenant Brigitte Macron, le milliardaire renforce cette alliance, tout en brouillant les pistes sur d’éventuels intérêts convergents.
Mais cette initiative soulève aussi des doutes : Bernard Arnault sait-il quelque chose que le grand public ignore ? Les rumeurs alimentent l’idée que Brigitte Macron pourrait détenir des secrets compromettants, potentiellement liés à sa vie privée. Dans ce contexte, le soutien d’un homme comme Bernard Arnault pourrait être vu comme une tentative de contrôle de l’agenda médiatique, voire de dissimulation.
D’autant plus que ce rapprochement intervient alors que les Macron mettent en vente leur maison familiale du Touquet, un patrimoine longtemps lié à l’histoire de la famille Trogneux. Ce désengagement immobilier pourrait signaler un changement stratégique majeur, voire une anticipation d’une retraite politique à venir.
Un rôle dépassant celui d’un chef d’entreprise
Bernard Arnault, souvent considéré comme l’homme le plus puissant de France, dépasse largement le cadre d’un simple capitaine d’industrie. Son rôle dans cette affaire révèle une capacité à façonner le récit médiatique national, influençant à la fois l’opinion publique et les relations de pouvoir. À travers Paris Match, il ne se contente pas de défendre Brigitte Macron. Il rappelle également qu’il est un acteur clé, capable de peser dans des affaires où l’économie, la politique et l’image publique se croisent.
Cette opération pose donc une ultime question : qui détient réellement le pouvoir en France ?
Plongez dans l’analyse des jeux de pouvoir comme jamais auparavant, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 24 janvier 2025, Marc-Gabriel Draghi et Pierre-Antoine Plaquevent étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Retrouvez Marc Gabriel Draghi à 7h15, suivi de Pierre-Antoine Plaquevent à 8h.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français, expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales. Il est reconnu pour ses ouvrages sur la manipulation et la réingénierie sociale orchestrée par les élites globalistes.
Les Européens masquent leur impuissance par une censure déguisée en liberté d’expression
L’Europe, incapable de relever les défis de la guerre informationnelle, se réfugie dans une censure systématique sous couvert de lutte contre la désinformation. Cette stratégie affaiblit les démocraties et trahit une incapacité à innover. En contraste, les États-Unis et la Russie maîtrisent parfaitement la guerre de l’information, renforçant leur domination.
L’approche répressive adoptée par l’Europe la marginalise davantage sur l’échiquier mondial. Au lieu de s’adapter, l’Union européenne s’enfonce dans une posture défensive qui compromet son avenir stratégique.
Trump impose l’humiliation ultime : négocier la paix sans l’Europe
Donald Trump projette de négocier directement avec Vladimir Poutine pour résoudre le conflit en Ukraine, écartant totalement l’Europe. Cette marginalisation révèle le rôle mineur de l’Union européenne dans les grandes décisions géopolitiques. L’administration Biden avait déjà montré des signes d’impatience vis-à-vis de Bruxelles. Trump, avec son pragmatisme, enfonce le clou, redéfinissant les alliances mondiales sans l’Europe.
Ce geste symbolique montre que l’avenir de l’ordre mondial se décide entre grandes puissances, reléguant l’Europe à un rôle de spectateur.
L’État français sacrifie l’épargne des citoyens pour financer sa survie
En France, le gouvernement détourne l’épargne des ménages sous prétexte de transition verte et pour couvrir une dette publique abyssale. Cette politique, justifiée par des objectifs écologiques, masque une incapacité chronique à réduire les dépenses publiques et mène à une explosion fiscale.
Les citoyens, déjà écrasés par la pression fiscale, voient leurs économies utilisées comme variable d’ajustement. Ce détournement de l’épargne creuse le fossé entre l’État et la population, alimentant une colère sociale grandissante.
Plongez au cœur des vérités géopolitiques en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 23 janvier 2025, Régis Le Sommier et Philippe de Veulle étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Régis Le Sommier est un journaliste, grand reporter et ancien directeur adjoint de Paris Match. Aujourd’hui directeur de la rédaction d’Omerta, il se distingue par ses analyses percutantes et ses reportages en zones de conflit. Auteur de Qui est le diable, l’autre ou l’Occident ?, publié en janvier 2025, il propose une réflexion puissante sur le rôle de l’Occident dans les crises contemporaines.
Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et de l’Université Paris Descartes. Il est spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.
L’Occident trahit ses alliés pour asseoir son pouvoir
L’Occident a exploité ses alliances pour consolider son hégémonie, trahissant des partenaires dès qu’ils menaçaient ses intérêts. Staline, indispensable contre l’Allemagne nazie, fut diabolisé après la guerre. Saddam Hussein et Kadhafi, soutenus à un moment, furent éliminés lorsqu’ils remettaient en cause la domination occidentale.
Cette stratégie délibérée vise à neutraliser toute autonomie. Bachar el-Assad et Vladimir Poutine illustrent ce refus occidental de tolérer une indépendance politique ou énergétique. Résultat : l’Occident s’isole, tandis que des pays naguère alliés, comme l’Arabie saoudite, se tournent vers la Russie et la Chine.
La Russie résiste et expose l’impuissance occidentale
L’Occident échoue à soumettre la Russie en Ukraine. Les sanctions ont renforcé Moscou, qui a noué des alliances stratégiques avec la Chine, l’Inde et le Brésil. Pendant ce temps, l’Europe plonge dans une crise énergétique et économique autoprovoquée.
Une victoire russe en Ukraine prouverait l’incapacité occidentale à imposer son hégémonie. L’unité de façade autour de l’OTAN masque des divisions profondes. Des pays comme la Hongrie contestent les sanctions, et aux États-Unis, l’aide à l’Ukraine suscite une opposition croissante. L’Occident, affaibli, est à la croisée des chemins.
Le retour de Trump redéfinit l’équilibre mondial
Donald Trump, avec sa vision centrée sur les intérêts américains, marque une rupture. En réduisant les engagements militaires extérieurs, il abandonne un ordre libéral international au profit d’un monde multipolaire.
Ce réalignement force les Européens à gérer seuls les conséquences de leurs choix stratégiques. Face à l’émergence des BRICS, l’Union européenne, déjà divisée, peine à maintenir sa cohésion. Trump précipite le déclin du globalisme et renforce l’idée que l’Occident ne peut plus dicter les règles du jeu mondial.
Explorez les vérités cachées derrière les jeux de pouvoir mondiaux avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 23 janvier 2025, Nicolas Stoquer analysait le retour de Trump à la Maison-Blanche, marqué par une politique de représailles brutale visant à éliminer ses ennemis, dont Justin Trudeau et Emmanuel Macron, avec l’appui stratégique d’alliés comme Elon Musk.
Le message clair de Trump à ses ennemis
Devenu 47ᵉ président des États-Unis, Donald Trump amorce un mandat sous le signe de la revanche. Sa photo officielle, évoquant son mugshot de 2023, symbolise son triomphe et sa détermination à écraser ses adversaires. Transformant ses crises judiciaires en mobilisations, Trump entend régler ses comptes avec un système qu’il considère corrompu, ainsi qu’avec les dirigeants étrangers qui l’ont trahi.
Trudeau tombe sous la pression de Trump et Musk
Justin Trudeau, symbole du progressisme, est l’une des premières cibles de Trump. Avec l’appui d’Elon Musk, qui a utilisé X pour amplifier les critiques, Trudeau a été affaibli par une campagne massive dénonçant ses échecs politiques et économiques. Cette opération, pilotée indirectement par Trump, démontre une nouvelle méthode : affaiblir les adversaires via des relais numériques et des figures influentes.
L’effondrement de Trudeau illustre la stratégie de Trump pour réaffirmer son pouvoir sur l’échiquier mondial. Il envoie un signal clair aux autres leaders progressistes : personne n’est intouchable face à sa détermination.
Emmanuel Macron, l’ennemi étranger numéro un de Trump
Emmanuel Macron incarne l’opposition étrangère la plus frontale à Trump. Depuis sa condamnation publique des événements du Capitole, les relations entre les deux dirigeants sont irréparables. Trump, blessé par ces critiques, voit en Macron un symbole de l’élitisme progressiste qu’il méprise.
Des documents confidentiels saisis chez Trump en 2022, incluant des informations sensibles sur Macron, renforcent la tension. Ces dossiers pourraient être exploités par Trump pour fragiliser le président français. Macron, malgré ses tentatives de rapprochement, reste un obstacle à la vision trumpienne d’un monde dominé par des alliances pragmatiques et souverainistes.
Une politique de force pour asseoir sa suprématie mondiale
Trump inaugure une diplomatie basée sur les représailles et la démonstration de puissance. Contrairement à ses prédécesseurs, il agit ouvertement pour punir ses opposants, imposant une logique de confrontation directe. S’appuyant sur des alliés comme Elon Musk, il utilise les réseaux numériques pour amplifier ses attaques, projetant une puissance redoutable sans s’exposer directement.
Trump impose une règle claire : quiconque s’oppose à lui devra en subir les conséquences. Les dossiers confidentiels concernant des dirigeants comme Macron ne sont que le début d’une stratégie visant à consolider sa domination sur la scène mondiale.
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Le 23 janvier 2025, Oskar Freysinger et Christian Vanneste étaient les invités de Nicolas Stoquer, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de Union Démocratique du Centre, ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Il se consacre aujourd’hui à l’écriture. Son dernier ouvrage s'intitule Animalia.
Christian Vanneste est un homme politique et essayiste français. Ancien membre du RPR puis de l’UMP, il a été député de la dixième circonscription du Nord de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2012. Il est également président du RPF de 2012 à 2014 et du think tank la Droite libre depuis 2015.
Trump renverse l’ordre mondial établi
Donald Trump incarne une rupture nette avec le mondialisme. En plaçant les États-nations au cœur des décisions, il redéfinit un système dominé depuis des décennies par des institutions supranationales. Sa politique protectionniste et sa dénonciation des dogmes globalistes catalysent un mouvement de souveraineté qui dépasse les frontières américaines.
Les élites progressistes, affaiblies par leur perte de crédibilité, peinent à contrer cette vague. Des figures comme Elon Musk amplifient ce tournant, en dénonçant les excès du politiquement correct et des bureaucraties technocratiques. Ce basculement ne touche pas seulement les États-Unis : il redessine les équilibres mondiaux.
La souveraineté gagne du terrain en Europe
L’Europe, autrefois bastion du mondialisme, vacille face à une contestation grandissante. Les institutions bruxelloises peinent à répondre aux crises économiques, migratoires et sociales, ce qui alimente la montée des mouvements souverainistes.
En Allemagne, des contestations croissantes ciblent les politiques migratoires et énergétiques de Berlin. À l’Est, des nations comme la Hongrie et la Pologne s’affranchissent ouvertement des injonctions bruxelloises, affirmant une souveraineté retrouvée. Le Royaume-Uni, après le Brexit, continue de montrer l’exemple en rejetant les dogmes mondialistes.
En revanche, la France reste figée dans son modèle centralisé. Malgré une colère sociale croissante, les élites parisiennes refusent de reconnaître l’échec d’un système incapable de répondre aux aspirations populaires.
Davos, symbole d’un mondialisme en déclin
Le Forum de Davos, jadis temple du mondialisme, reflète désormais son affaiblissement. Les dirigeants réunis peinent à mobiliser les populations, malgré des discours alarmistes sur le climat ou des menaces de pandémies. L’introduction des monnaies numériques de banque centrale (CBDC), visant à centraliser le pouvoir financier, illustre leurs tentatives désespérées de contrôle. Mais ces stratégies rencontrent une résistance populaire croissante.
Le rejet massif de ces initiatives marque l’effondrement progressif du modèle globaliste. Partout, les peuples se mobilisent pour reprendre leur souveraineté. Ce basculement vers un monde dominé par les nations souveraines devient inéluctable.
Une nouvelle ère : triomphe de la souveraineté
L’Europe vacille, les États-nations s’affirment, et les élites globalistes échouent à préserver leur domination. Une nouvelle ère s’ouvre, portée par la volonté populaire et la réaffirmation des souverainetés nationales. Ces transformations redessinent profondément les rapports de force, annonçant la fin d’un modèle usé par ses contradictions.
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Le 22 janvier 2025, Annabelle de Villedieu était l’invitée d’Un Soir avec Lara, animé par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Annabelle de Villedieu, médium clairvoyante depuis plus de 20 ans, est l’auteure du livre Naître médium, où elle partage son parcours et ses enseignements spirituels. Thérapeute accomplie, elle se spécialise dans la déprogrammation des mémoires cellulaires. Également musicothérapeute et praticienne en soins chamaniques et tantrisme, Annabelle de Villedieu combine des approches spirituelles et thérapeutiques pour accompagner ceux qui souhaitent se reconnecter à leur essence profonde.
2025, une année de bouleversements mondiaux
Les énergies de 2025, selon Annabelle, annoncent une reconfiguration profonde des rapports de force mondiaux. Les tensions géopolitiques s’intensifient, de nouvelles alliances émergent et les puissances établies sont confrontées à une instabilité croissante. Sur le plan économique, les crises énergétiques et les perturbations des chaînes d’approvisionnement globales modifient profondément les structures économiques, exigeant des adaptations rapides.
Les innovations technologiques, bien qu’accélérant ces transformations, posent des défis majeurs pour les gouvernements et les populations. Ce contexte appelle à une résilience collective face à des mutations rapides et souvent imprévisibles.
Tendances affectives, santé et spiritualité en 2025
Outre les enjeux globaux, Annabelle explore les dynamiques personnelles et sociales. Dans un climat d’incertitude, l’amour et les relations deviennent essentiels, jouant un rôle de stabilisateur émotionnel. La santé est marquée par une prise de conscience collective accrue, avec un intérêt croissant pour les approches holistiques et alternatives.
L’année 2025 est également propice à une évolution spirituelle accélérée. Les énergies encouragent à rompre avec les anciens schémas et à embrasser une vision plus intuitive et ouverte. Annabelle souligne que cette transition est essentielle pour s’ancrer dans une réalité en mutation et pour naviguer avec clarté dans un monde incertain.
Les messages de l’invisible pour une navigation éclairée
Grâce à sa connexion avec l’invisible, Annabelle partage des messages inspirants pour traverser cette période complexe. Ses guidances permettent d’identifier les opportunités cachées dans les défis et d’orienter ses choix en alignement avec les courants énergétiques dominants.
Elle insiste sur des pratiques essentielles : cultiver l’alignement intérieur, renforcer la confiance en soi et rester attentif aux synchronicités. Ces outils aident à maintenir un équilibre et à avancer sereinement malgré l’incertitude ambiante.
Enfin, Annabelle dévoile des enseignements spirituels collectifs pour 2025, invitant à une conscience solidaire et résiliente. Ces messages appellent à construire un avenir durable, fondé sur une élévation de la conscience collective.
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Le 22 janvier 2025, Francesca Gee et Jean-Luc Robert étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Francesca Gee est une journaliste et écrivaine franco-britannique au parcours hors du commun. À l'âge de 15 ans, dans les années 70, elle a entretenu une relation de 3 ans avec Gabriel Matzneff. Pendant des décennies, elle a gardé le silence sur cette relation abusive, avant de décider de dévoiler la vérité dans son ouvrage explosif, Les secrets de l’affaire Matzneff-Spingora.
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier françaisconnu pour ses analyses critiques sur les dérives liées à la santé mentale. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture pour dénoncer les excès de la surmédicalisation.
Gabriel Matzneff : l’ombre d’une élite culturelle complice d’un scandale pédocriminel
Adulé par l’intelligentsia parisienne, Matzneff a construit sa renommée grâce à des ouvrages provocateurs, parfois couronnés de prix prestigieux. Ses récits, décrivant en détail ses relations avec des mineurs, ont été accueillis comme des œuvres audacieuses, révélant une permissivité glaçante au sein des cercles de pouvoir littéraire.
Bernard-Henri Lévy, Pierre Bergé et Olivier Nora ont ouvertement soutenu Matzneff. Bergé, mécène influent, a usé de ses connexions pour protéger l’écrivain, tandis qu’Olivier Nora, directeur des éditions Grasset, publiait ses œuvres sans retenue. Cette protection a permis à Matzneff d’échapper à tout reproche, transformant ses crimes en simple provocation intellectuelle aux yeux de ses défenseurs.
Un système d’omerta bien orchestré
Les révélations de Vanessa Springora dans Le Consentement ont brisé ce silence en exposant l’emprise de Matzneff sur ses victimes et la complicité tacite de nombreux adultes. Springora, victime adolescente, a dénoncé un réseau où les élites parisiennes organisaient des soirées douteuses où la présence de mineurs était notoire.
Les figures influentes ayant soutenu Matzneff ont activement verrouillé toute tentative d’enquête approfondie. Le silence médiatique persistant sur cette affaire témoigne d’un contrôle exercé par ces mêmes élites sur les institutions judiciaires et médiatiques.
Réseau pédocriminel ou scandale isolé ?
Matzneff était-il un acteur isolé ou la partie visible d’un réseau plus large ? Les indices suggèrent une implication systémique. Les liens étroits entre Matzneff et des figures de pouvoir dans les domaines littéraires, politiques et médiatiques renforcent les soupçons d’un réseau organisé.
Bien que la culpabilité directe de figures comme Bernard-Henri Lévy ou Pierre Bergé n’ait pas été prouvée, leur soutien explicite à l’écrivain pose des questions cruciales. La justice, freinée par des protections institutionnelles, n’a jamais véritablement exploré ces connexions, alimentant l’idée d’une corruption endémique des élites.
Une élite déconnectée des réalités
L’affaire Matzneff n’est pas un scandale isolé. Elle révèle une fracture profonde entre des élites déconnectées, prêtes à banaliser l’inacceptable, et une société outrée par tant de complaisance. Le combat pour la vérité sur ces réseaux puissants reste un défi immense, mais chaque révélation rapproche un peu plus les victimes de la justice.
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Le 22 janvier 2025, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
Davos s’empare de l’épargne européenne pour financer son agenda totalitaire
Le gouverneur de la Banque de France dévoile le projetFrançois Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a récemment affirmé que 300 milliards d’euros d’épargne privée devraient être mobilisés pour compenser le manque d’investissements publics. Derrière ce discours se profile un plan visant à forcer les citoyens à financer des projets risqués et impopulaires. Cette stratégie, motivée par le retrait des investissements américains sous Trump, met en lumière une Europe prête à sacrifier ses populations pour maintenir son agenda.
L’Europe s’isole davantage en persistant dans des politiques écologiques suicidaires, tandis que les grandes puissances comme les États-Unis et la Chine ralentissent leurs ambitions pour préserver leur croissance. Davos, incapable de s’adapter, choisit de ponctionner directement les économies des citoyens européens pour financer des projets irréalistes et des priorités militaires.
Transition énergétique : un gouffre économique
Le programme écologique européen, vendu comme un impératif, s’avère être un désastre économique. Les coûts exponentiels de la transition énergétique, combinés à l’inflation galopante, dissuadent les investisseurs privés et écrasent les ménages. Face à cette défiance, les institutions européennes et Davos envisagent de contraindre les citoyens à investir dans des initiatives qui ne génèrent ni croissance ni bénéfices pour les populations.
Cette captation d’épargne s’inscrit dans une stratégie globale de concentration des richesses. En sacrifiant les économies des ménages, l’Europe scelle un divorce avec ses citoyens, désormais conscients que cet agenda profite uniquement à une minorité proche des cercles de Davos.
Financement militaire déguisé sous le prétexte écologique
En parallèle, l’Union européenne cherche à financer un agenda militaire coûteux. Les tensions géopolitiques, notamment avec la Russie, et les ambitions stratégiques de l’OTAN alourdissent les dépenses militaires. L’absence de soutien américain pousse Bruxelles à trouver de nouvelles sources de financement, ciblant directement les poches des citoyens européens.
Le narratif présenté par Davos, selon lequel l’Europe doit « prendre ses responsabilités », n’est qu’un prétexte pour intensifier des politiques de guerre économique et sociale. Cette stratégie reflète une volonté de centraliser toujours plus de pouvoir au détriment des populations.
Les citoyens face à une ruine programmée
Si cette captation d’épargne aboutit, les ménages européens subiront des pertes économiques massives, aggravant les inégalités et détruisant leur confiance envers les institutions. Les élites, incapables de reconnaître leurs échecs, sacrifient les citoyens pour préserver leurs privilèges.
Ce cynisme exacerbe le sentiment de défiance et de rejet des institutions globalistes. Les populations, déjà frappées par l’inflation et les crises successives, ne peuvent tolérer davantage cette politique de prédation économique.
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Le 22 janvier 2025, Finn Andreen et Maître Fabrice Di Vizio étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
L’oligarchie mondialiste s’effondre et redouble d’arrogance
Le départ de Joe Biden et l’investiture de Donald Trump marquent un tournant historique. Les grâces préventives accordées par Biden à Anthony Fauci et à d’autres personnalités de son administration symbolisent une protection systématique des élites, défiant toute idée de justice équitable.
En parallèle, Trump incarne l’espoir d’un renouveau pour les partisans de la souveraineté nationale. Pourtant, les obstacles restent colossaux : l’oligarchie mondialiste, soutenue par des médias complices, continue de verrouiller le pouvoir et d’imposer son agenda technocratique.
Le totalitarisme technocratique s’intensifie
L’Occident entre dans une nouvelle phase de contrôle, illustrée par des initiatives comme les Zones à Faibles Émissions (ZFE) et les Smart Towns. Ces projets, présentés comme écologiques ou technologiques, masquent un objectif plus sombre : le contrôle systématique des populations.
Les réseaux sociaux, autrefois vecteurs de liberté, sont devenus des outils de censure. Les climato-réalistes et les opposants aux politiques sanitaires sont réduits au silence sous le prétexte fallacieux que « la science n’est pas une opinion ». En France, l’Arcom (ex-CSA) est au cœur de cette dérive, en soutenant des suppressions de comptes et d’émissions jugées dissidentes.
Une ère de servitude et de rébellion
La transition entre l’administration Biden et celle de Trump symbolise un contraste frappant. D’un côté, des peuples qui espèrent retrouver leur souveraineté ; de l’autre, des élites bureaucratiques qui tentent de maintenir leur emprise par la coercition.
Pourtant, les fondations de l’oligarchie vacillent sous le poids de leurs contradictions. Les résistances s’organisent, et la reconquête des libertés fondamentales devient une priorité pour les citoyens confrontés à un contrôle croissant.
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Le 21 janvier 2025, Nicolas Conquer, Philippe Karsenty, Serge Federbusch, Roland Hureaux et Éric Morillot vous donnaient rendez-vous pour une émission spéciale investiture des USA, avec Mike Borowski sur Géopolitique Profonde !
Nicolas Conquer est un communicant et analyste politique, porte-parole de Donald Trump en France. Défenseur des politiques trumpiennes, il promeut sa vision souverainiste de Trump et son importance pour la France et l’Europe.Philippe Karsenty est un entrepreneur et homme politique engagé pour la liberté de la presse. Il s’est fait connaître par son combat juridique contre France 2 à propos du reportage controversé sur Mohammed Al-Durah.Serge Federbusch est un essayiste, fondateur du mouvement Aimer Paris, connu pour son opposition au déclin de la capitale.Roland Hureaux, essayiste et haut fonctionnaire, est un défenseur des idées gaullistes. Auteur de L’homme qui n’aimait pas la France, il a occupé des postes administratifs et diplomatiques, notamment à la DATAR.Éric Morillot, journaliste et animateur sur Les Incorrectibles, est un habitué des débats médiatiques.Donald Trump redéfinit l’agenda mondial
Donald Trump a repris les rênes des États-Unis avec une investiture marquant un tournant décisif dans la diplomatie américaine. La cérémonie, tenue au Capitole, a affiché des alliances stratégiques audacieuses. La présence de leaders comme Javier Milei, président argentin, et Giorgia Meloni, Première ministre italienne, confirme une orientation claire : Trump fédère les forces conservatrices mondiales autour d’un projet souverainiste. Ces alliances ne laissent aucun doute sur sa stratégie : s’entourer de partenaires qui partagent une vision commune de la souveraineté nationale.
L’organisation de cette investiture, volontairement éloignée des codes traditionnels, a souligné son rejet des normes établies. Trump s’impose à nouveau comme le champion des électeurs en quête de pragmatisme et de rupture. Ce retour est un message sans équivoque : l’Amérique n’est plus disposée à se plier aux diktats des élites globalistes.
L’absence de Macron, un choix politique de Trump
L’absence d’Emmanuel Macron à cette investiture n’est pas un oubli, mais une déclaration politique. Trump exclut volontairement les figures qui sont les piliers d’une Europe affaiblie et bureaucratique. Macron, incarnation d’une Union européenne centralisée et défenseur des accords multilatéraux, est en opposition totale avec la vision de Trump. Ce dernier privilégie des relations bilatérales avec des leaders qui, comme lui, défendent leurs intérêts nationaux avant tout.
Trump frappe fort avec ses premiers décrets
Dès son entrée en fonction, Trump a signé des décrets centrés sur l’immigration, le commerce et l’énergie. Il stoppe le financement des initiatives climatiques internationales, impose des taxes douanières sur les importations européennes et chinoises, et relance des projets énergétiques. Ces mesures redéfinissent l’ordre économique mondial, affirmant la priorité des intérêts américains.
Une hostilité médiatique face au retour de Trump
Les médias français critiquent durement Trump, dénonçant une politique jugée brutale. Pourtant, une minorité croissante en France admire son leadership. Ce clivage reflète la polarisation qu’il génère tout en imposant ses idées sur la scène mondiale.
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Le 21 janvier 2025, Nicolas Stoquer dénonçait les grâces préventives accordées par Biden à Fauci et ses alliés, une attaque directe contre l’État de droit américain, sur GPTV.
Fauci et Milley protégés à vie par Biden
Joe Biden a accordé des grâces préventives inédites à des figures clés de son administration, comme Anthony Fauci, le général Mark Milley, et des membres de la commission d’enquête sur l’assaut du Capitole. Ce geste, motivé par la crainte du retour de Donald Trump, offre une impunité totale à ces personnalités et ébranle les fondations de l’État de droit.
Anthony Fauci, accusé d’avoir manipulé des informations cruciales sur le Covid-19, devient intouchable, enterrant toute possibilité d’enquête. Mark Milley, critiqué pour ses actions en marge de l’administration Trump, bénéficie également d’une immunité à vie. Cette décision verrouille toute remise en question des actions de l’administration Biden.
Biden panique face au retour de Trump
Ces grâces traduisent une peur palpable du retour de Trump, qui promet de poursuivre ceux qu’il accuse de trahison. Les membres de la commission du 6 janvier, pilier de l’offensive contre Trump, sont désormais protégés de toute enquête future, renforçant les soupçons de partialité et de manœuvres politiques.
Cette décision reflète une rupture démocratique majeure. En muselant l’avenir judiciaire, Biden s’assure que son administration échappe à toute forme de reddition de comptes.
Une attaque frontale contre l’État de droit
La grâce préventive, utilisée ici comme un bouclier, détourne son objectif initial de clémence post-jugement. Biden établit un dangereux précédent, permettant aux élites politiques d’échapper à la justice avant même d’être accusées.
Les critiques soulignent que cette mesure vise à dissimuler des scandales potentiels liés au Covid-19, à des abus de pouvoir ou à des manœuvres contre Trump. En protégeant ses alliés, Biden empêche l’émergence de vérités embarrassantes pour son administration.
La démocratie américaine vacille
Cette décision exacerbe la polarisation politique et érode la confiance dans les institutions. Les républicains promettent une revanche judiciaire, tandis que la justice américaine perd en crédibilité. Biden impose une guerre judiciaire qui menace la stabilité démocratique des États-Unis.
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Le 21 janvier 2025, Xavier Moreau, Sylvain Ferreira et François Martin étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, dans La Matinale, sur Géopolitique Profonde !
Xavier Moreau est un analyste français spécialisé en relations internationales. Diplômé de Saint-Cyr et ancien officier parachutiste, il a étudié les relations soviéto-yougoslaves à Paris IV Sorbonne. Résident Russe depuis 24 ans, il dirige LinkIT Vostok et a fondé Stratpol, une plateforme géopolitique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Trump bouleverse l’Amérique dès ses premiers jours au pouvoir
Donald Trump frappe fort dès le début de son mandat. Il impose des mesures radicales pour reprendre le contrôle total des frontières américaines. L’arrêt immédiat de l’immigration illégale est décrété, avec une éventuelle mobilisation de l’armée à la frontière mexicaine. Ce choix stratégique marque une volonté claire de sécuriser le territoire national et de restaurer la souveraineté.
La construction du mur frontalier reprend avec une intensité inédite. En parallèle, Trump accélère l’arrestation des clandestins déjà présents sur le sol américain. L’objectif est simple et affirmé : zéro tolérance face à l’immigration non régulée. Sur le plan économique, il s’attaque aux accords commerciaux nuisibles à l’industrie américaine, en révisant notamment l’ALENA. Ces décisions réaffirment une priorité nationale absolue et une politique résolument tournée vers le protectionnisme.
Trump ne tergiverse pas. Son mandat s’inscrit dès les premières heures dans une logique d’action rapide et ferme, visant à restaurer une Amérique affaiblie par des décennies de politiques permissives.
Un nouvel équilibre mondial dicté par Trump et Poutine
L’arrivée de Trump rebalance les alliances mondiales. Vladimir Poutine félicite Trump et propose une coopération renforcée. L’OTAN s’affaiblit tandis que l’Union européenne est marginalisée. Une nouvelle dynamique stratégique entre Moscou et Washington émerge, isolant la Chine et recentrant les priorités géopolitiques sur les grandes puissances.
Tensions au Proche-Orient sous la présidence Trump
L’Iran est visé par des sanctions accrues après la dénonciation de l’accord nucléaire. Trump relance un processus de paix israélo-palestinien tout en soutenant fermement Israël, aggravant les divisions. La stratégie américaine aligne Israël et l’Arabie saoudite contre Téhéran, augmentant les tensions dans cette région instable.
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Le 20 janvier 2025, à l’occasion de l’investiture de Donald Trump, véritable tournant dans l’histoire politique américaine, vivez un moment unique avec un format d’émission exclusif, qui vous emmène au cœur de l’événement, avec des correspondants en direct depuis Washington, Paris et Montréal.
Et qui dit émission spéciale, dit invités d’exception !
François Asselineau, haut fonctionnaire et président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis 2007, est un homme politique souverainiste prônant la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN.Le Général Dominique Delawarde, ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique », a notamment mené des opérations majeures en ex-Yougoslavie et dirigé des officiers de liaison aux États-Unis.Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français, expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales.Youssef Hindi, écrivain et historien de l’eschatologie messianique, étudie les origines des idéologies modernes et leur impact sur la géopolitique, avec notamment Comprendre le conflit israélo-palestinien.Sylvain Ferreira, historien militaire français, s’intéresse à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.Oskar Freysinger, ancien vice-président de l’UDC et ex-parlementaire suisse, se consacre à l’écriture et au journalisme, avec son dernier ouvrage Animalia.Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié notamment « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN ».Paul Reen est le Président de Republicans in France, représentant les valeurs du Parti Républicain auprès des expatriés américains en France. Entrepreneur et défenseur des principes conservateurs, il milite notamment pour la liberté économique et la sécurité nationale.Marc Gabriel Draghi, juriste français spécialisé en histoire du droit, est auteur de plusieurs ouvrages dénonçant notamment les projets du Forum économique mondial.François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste français, fort de 40 ans d’expérience dans le commerce international de l’alimentaire et maîtrisant six langues, est reconnu pour ses analyses des enjeux internationaux.Le Capitaine Pierre Plas, ancien officier du renseignement militaire français, est aujourd’hui correspondant pour une chaîne télévisée alternative basée à Montréal, apportant ses analyses et reportages depuis des zones de conflit comme la Syrie, le Kosovo et le Donbass.André Pitre, fondateur de Lux Média situé à Montréal. Seule organisation médiatique indépendante qui possède sa propre technologie de diffusion. Plus de 3000 émissions produites depuis 2017.Carl Brochu, travailleur en construction en recouvrement extérieur et fondateur de Brochutv. Francophile et très fier de ses origines françaises.Cette soirée exceptionnelle vous permettra de décrypter les lignes de force : de la recomposition des alliances géopolitiques aux tensions économiques mondiales, chaque élément sera analysé avec clarté et profondeur. C’est un moment clé pour comprendre les rouages d’un ordre mondial en mutation.
Des correspondants sur place à Washington partageront en direct des images exclusives et des témoignages uniques, assurant un suivi sans filtre de cet événement charnière.
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Le 20 janvier 2025, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous pour analyser le phénomène "Je quitte X" , sur Géopolitique Profonde.
Raphaël Glucksmann et ses acolytes bien-pensants quittent X
Raphaël Glucksmann lance une croisade contre Elon Musk et X, accusant le réseau social de porter atteinte à nos « démocraties ». Avec le soutien de sa garde rapprochée progressiste, il appelle ses communautés à quitter la plateforme, espérant infliger un « coût » à Musk.
Cette initiative démontre parfaitement l’hypocrisie d’une gauche bien-pensante, prompte à dénoncer l’ingérence lorsqu’elle est conservatrice, mais silencieuse face à celle qui sert ses intérêts.
Un boycott à grand bruit et faible impact
Glucksmann accuse Musk de favoriser la désinformation et appelle ses partisans à déserter X. Cependant, ce geste reste marginal face aux 500 millions d’utilisateurs actifs de la plateforme. Musk, loin d’être affaibli, continue d’amplifier son influence en soutenant des figures souverainistes en Europe et aux États-Unis.
Glucksmann, aligné avec les cercles globalistes, illustre une déconnexion avec les préoccupations citoyennes. En 2018, il déclarait se sentir « plus chez lui à Berlin ou New York qu’en Picardie ». Cette posture alimente un fossé entre élites progressistes et citoyens.
Les deux poids deux mesures des élites globalistes
Glucksmann bénéficie du soutien d’habituels acteurs progressistes comme Nathalie Loiseau et Rudy Reichstadt, dénonçant Musk tout en cautionnant l’ingérence de figures comme George Soros. Par ses financements via Open Society, Soros soutient des campagnes pro-immigration qualifiées de « philanthropiques », tout en servant un agenda mondialiste.Rudy Reichstadt attaque Musk pour ses soutiens à des leaders conservateurs tout en fermant les yeux sur les actions de Soros. Cette hypocrisie révèle une volonté des progressistes de monopoliser le débat public en excluant toute voix dissidente.
Un clash idéologique majeur
Au-delà des choix éditoriaux de Musk, ce conflit reflète un affrontement global entre deux visions : le mondialisme progressiste et le souverainisme conservateur. Musk défend des valeurs nationales et un débat ouvert, s’opposant à une censure progressiste prétendument protectrice de la démocratie.L’appel de Glucksmann à quitter X polarise davantage le débat, mais son hypocrisie risque de le desservir. Les citoyens, lassés des élites, se tournent vers des figures comme Musk, perçues comme des défenseurs de la liberté d’expression face à l’uniformisation idéologique.
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Le 20 janvier 2025, Claude Janvier, Xavier Moreau et le Général Jean Bernard Pinatel étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales.
Xavier Moreau est un analyste français spécialisé en relations internationales. Diplômé de Saint-Cyr et ancien officier parachutiste, il a étudié les relations soviéto-yougoslaves à Paris IV Sorbonne. Résident Russe depuis 24 ans, il dirige LinkIT Vostok et a fondé Stratpol, une plateforme géopolitique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.
Jean-Bernard Pinatel, général et expert en relations internationales, a combiné une carrière militaire et civile. Ancien officier des Troupes Aéroportées, il a cofondé le Groupe Permanent d’Évaluations de Situations (GPES) créé à la demande du Président Giscard d’Estaing. Docteur en études politiques et diplômé en physique nucléaire, il a écrit plusieurs ouvrages sur la Défense.
Il a quitté l’armée active en 1989, pour fonder une entreprise devenue LexisNexis Business Information Solutions, où il occupe toujours le poste de Senior Advisor. Docteur en études politiques, titulaire d’une maîtrise en sciences physiques (option « physique nucléaire »), diplômé de l’École supérieure de Guerre, du Centre des Hautes Études Militaires et ancien auditeur de la 37ᵉ promotion de l’IHEDN, il est également l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés aux relations internationales et à la défense.
Trump prépare une série de décrets explosifs dès son investiture
Donald Trump, réélu 47ᵉ président des États-Unis, entame son mandat avec des décrets qui s’annoncent décisifs. Parmi eux : l’expulsion massive d’étrangers illégaux, la hausse drastique des taxes douanières et des réformes conservatrices, comme la fin des politiques transgenres imposées par ses prédécesseurs. Il projette également de poser les bases d’une paix durable en Ukraine. Ces mesures illustrent sa volonté de rupture avec le globalisme et sa détermination à repositionner les États-Unis comme leader mondial souverain.
Des signaux annonciateurs d’un changement mondial
Avant même son investiture, Trump influence déjà les relations internationales. Un cessez-le-feu historique au Proche-Orient et la fin de la censure sur les réseaux sociaux renforcent son influence. Les démissions de figures politiques comme Justin Trudeau reflètent aussi la montée de cette dynamique. Ces événements marquent les prémices d’un changement radical des équilibres géopolitiques.
Un ordre mondial en tension
Le programme de Trump, perçu comme une attaque contre le système globaliste, suscite des oppositions. Les intérêts économiques et géopolitiques en jeu promettent des confrontations intenses, mais Trump avance avec la conviction de rétablir un ordre basé sur la souveraineté des nations et la relocalisation des pouvoirs. Cette révolution pourrait soit stabiliser les relations internationales, soit inaugurer une période de turbulences.
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Le 19 janvier 2025, Thibault Kerlirzin était l’invité de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde!
Thibault Kerlirzin est un consultant en stratégie d’intelligence économique, diplômé de l’Ecole de Guerre Economique et de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Depuis plusieurs années, il s’est spécialisé dans l’analyse du rôle trouble que jouent les ONG, autoproclamées porte-voix de l’intérêt général, dans la guerre économique qu’affrontent les entreprises et les acteurs publics. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’influence des lobbies écologistes, de George Soros, de Davos et de Maurice Strong.
Des recherches médicales financées pour contrôler les populations
La clinique Tavistock, fondée en 1920 par Hugh Crichton-Miller, marque un tournant décisif dans l’histoire de la psychiatrie. Ce qui commence comme un centre philanthropique pour les plus démunis se transforme, sous l’impulsion de John Rawlings Rees, en un outil d’influence mondial. Plus qu’une simple institution médicale, Tavistock devient un laboratoire d’ingénierie sociale.
Avec l’arrivée de John Rawlings Rees à la tête de Tavistock, la clinique prend une dimension radicalement différente. Rees, médecin psychiatre et stratège, perçoit immédiatement le potentiel de la psychiatrie pour remodeler les comportements humains. Il détourne l’objectif initial de la clinique pour en faire un centre de recherche sur la manipulation des masses. Rees est convaincu que la psychiatrie peut devenir un outil de domination sociale.
Sous sa direction, Tavistock joue un rôle clé dans le traitement des soldats britanniques souffrant de Shell Shock pendant les deux guerres mondiales. Ces recherches, financées par des mécènes tels que la famille Rockefeller, vont bien au-delà de la médecine. Elles établissent des bases scientifiques pour comprendre, contrôler et reprogrammer les réactions humaines face aux traumatismes, ouvrant ainsi la voie à des applications civiles et politiques.
Rees ne se contente pas de développer des traitements : il ambitionne de construire un système global de gestion des populations. Sa fondation de la Fédération mondiale pour la santé mentale, en 1948, reflète cette vision. Il positionne la psychiatrie comme un levier de transformation mondiale, agissant sur les comportements individuels pour remodeler les sociétés dans leur ensemble.
Tavistock devient l’épicentre de la manipulation internationale
Tavistock attire une élite mondiale. Henry Dicks contribue à la reconstruction allemande en sélectionnant des élites "non-nazies". Frank Kitson applique les théories à la contre-insurrection militaire, influençant les guerres coloniales. Brock Chisholm, cofondateur de l’OMS, promeut une vision technocratique de la santé publique mondiale.
L’impact de Tavistock dépasse les frontières de la psychiatrie
L’Institut Tavistock, axé sur la recherche appliquée, influence la publicité, les relations publiques et les politiques publiques. Ses travaux sur la psychologie des foules posent les bases des techniques modernes de contrôle social, utilisés pour orienter les choix individuels tout en renforçant le pouvoir des élites.
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Le 19 janvier 2025, Mike Borowski dénonçait la destruction de la statue de Jeanne d’Arc à Nice, une attaque orchestrée par des élites idéologiques et la franc-maçonnerie pour effacer l’identité chrétienne et patriotique de la France au profit d’une cancel culture mondialiste.
Nice abat un monument de foi et de patriotisme
La destruction de la statue de Jeanne d’Arc dépasse un simple désaccord administratif. Officiellement justifiée par un « manquement financier » de 170 000 euros, cette action cible délibérément un symbole de la France chrétienne et patriote. Les œuvres modernes ou progressistes ne subissent jamais un tel traitement, démontrant un biais évident contre les figures enracinées dans notre histoire.
Réalisée par l’Atelier Missor, la statue était un hommage à une héroïne nationale. Pourtant, elle est attaquée dans un contexte où les institutions favorisent des manifestations culturelles contraires aux valeurs françaises, comme des festivals polémistes. Ce double standard illustre une volonté systématique de dénigrer l’héritage national.
La franc-maçonnerie orchestre l’effacement de l’identité française
La franc-maçonnerie et d’autres réseaux influents jouent un rôle central dans cette offensive. Historiquement hostiles à l’Église et aux valeurs traditionnelles, ces cercles exploitent les institutions judiciaires et administratives pour effacer des symboles comme Jeanne d’Arc, perçus comme incompatibles avec leur vision universaliste et déracinée.
Manipulant des cadres juridiques, ces élites appliquent une stratégie claire : effacer, remplacer et reprogrammer. Jeanne d’Arc incarne des valeurs d’unité et de résistance qui contrarient leur projet d’une société coupée de ses racines.
Les héros de la France éliminés au nom du progressisme
Symbole de foi et de patriotisme, Jeanne d’Arc représente une identité forte, opposée aux idéologies progressistes mondialistes. La destruction de sa statue illustre une tentative de réécrire l’histoire pour éroder la mémoire nationale.
En éliminant des figures héroïques, ces élites imposent une société déconnectée, où les racines françaises sont remplacées par des narratifs compatibles avec une cancel culture globalisée. Effacer Jeanne d’Arc, c’est nier l’âme de la France et briser la fierté nationale.
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