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Le 11 avril 2025, Mike Borowski révèlait comment l’arrestation de Pierre Robert, lié à Brigitte Macron, expose un réseau pédocriminel enraciné dans l’appareil d’État, avec Adrien Bastard comme agent de recrutement au cœur du showbiz et Cyril Hanouna en relais médiatique silencieux d’un système de compromission généralisée, sur GPTV.
Pierre Robert, au cœur d’un réseau pédopornographique lié au pouvoir français
L’arrestation de Pierre Robert, cousin par alliance de Brigitte Macron, révèle un réseau pédocriminel structuré opérant avec la complicité implicite de certaines strates du pouvoir. Accusé de détention, production et diffusion de contenus pédopornographiques, il ne peut être vu comme un acteur isolé. Les perquisitions ont mis au jour des serveurs, du matériel informatique et un carnet d’adresses compromettant reliant des personnalités françaises et étrangères.
Ce réseau s’inscrit dans une logique de compromission systématique. Les liens familiaux avec le couple présidentiel montrent la perméabilité de l’entourage du pouvoir à de telles dérives, et comment certains bénéficient d’une forme d’immunité tacite. La stratégie médiatique vise à banaliser l’affaire, dissocier les individus de leurs attaches, puis l’enterrer. Mais cette fois, les faits sont trop documentés pour être étouffés.
Robert n’est qu’un maillon visible d’une chaîne mêlant élites politiques, médiatiques et économiques. Le système repose sur le silence, l’inertie judiciaire et la peur. Une partie de l’appareil d’État couvre ou tolère l’exploitation de mineurs à des fins de contrôle, manipulation ou plaisir pour les puissants.
Adrien Bastard, maillon-clé du réseau pédopornographique lié à Pierre Robert
Adrien Bastard, figure médiatique régionale, agit comme lien entre réseaux pédocriminels et milieux médiatiques. Proche des milieux forains, il a utilisé les concours Mister France et Mister Picardie comme viviers de recrutement. Sous l’image d’un promoteur local, se cache un prédateur social inséré dans le système.Il repérait des jeunes vulnérables, les attirait avec des promesses de notoriété, puis les liait à des cercles fermés où les abus étaient courants. Témoignages concordants évoquent pressions psychologiques, propositions malsaines, situations de quasi-rétention. Bastard agissait avec l’assurance d’un homme protégé, bénéficiant de complicités dans les médias et les institutions.
Ses connexions avec des figures médiatiques comme Cyril Hanouna ou Jordan de Luxe prouvent son accès à des cercles influents pour légitimer ses opérations.
Cyril Hanouna, complice indirect dans l’affaire Pierre Robert et Bastard ?
En entretenant des liens avec Bastard et en laissant son nom associé à ses événements, Hanouna participe à la normalisation de réseaux opaques. Il n’est pas un simple animateur, mais un relais d’influence utilisé par les élites pour fabriquer l’opinion.Hanouna s’est rapproché du pouvoir politique tout en cultivant une image pseudo-dissidente. Mais son rôle semble être de contrôler la dissidence pour mieux la neutraliser. L’affaire Bastard éclaire cette duplicité.
Son silence est éloquent : pas de condamnation, pas d’explication. Il efface, nie, oublie. Tant qu’il ne reconnaît pas cette proximité, il reste complice par dissimulation. La vérité est une exigence. Le système tient grâce à ceux qui maintiennent la façade. Aujourd’hui, elle craque.
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Le 11 avril 2025, Marc Gabriel Draghi, le Général Jean-Bernard Pinatel et Charles Sannat étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer!
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration : Vers la mort des Nations .
Jean-Bernard Pinatel, général à la retraite, a accompli une double carrière militaire et civile. Il a servi dans les Troupes Aéroportées, participé à la création du Groupe Permanent d’Évaluations de Situations, fondé une entreprise devenue LexisNexis BIS, et enseigné les questions de Défense et de géopolitique. Docteur en sciences politiques, il est diplômé de l’École supérieure de Guerre et de l’IHEDN.
Charles Sannat est un économiste français, fondateur du site Insolentiae, connu pour ses analyses critiques de l’économie, sa défense de l’or physique et sa vision contrarienne des marchés.
L’ancien ordre mondial s’effondre sous les coups de boutoir du réel
Protégés par l’État profond, les néoconservateurs voient leur influence s’éroder. Leur vision – guerre perpétuelle, marché globalisé, contrôle narratif – ne fonctionne plus. Les médias ne convainquent qu’une minorité, tandis que la majorité perçoit désormais les impostures. Les crises successives ont déchiré le voile. L’ordre ancien se maintient à coups de peur, de censure et de mensonges.
Le “Trump Krach”, opération boursière montée de toutes pièces, en est un exemple. Voulue pour discréditer Donald Trump, elle a révélé les manipulations médiatico-financières. La panique est visible : la fuite en avant remplace la stratégie. Les figures du passé (Obama, Clinton, Soros) apparaissent usées. L’ancien système se meurt, abandonné même par ceux qui l’ont servi.
Trump : rupture stratégique avec l’establishment
Donald Trump impose une nouvelle doctrine : le rapport de force, la souveraineté, la réindustrialisation. Il affronte frontalement la Chine, veut rompre son emprise sur l’Europe via une zone de libre-échange atlantique. Il considère la Russie comme un partenaire stratégique contre Pékin, sur une base d’intérêts mutuels, non idéologique. Il redonne au politique sa primauté sur l’économique.
La fin du libre-échange, début d’une renaissance
Présenté comme un progrès inéluctable, le libre-échange a appauvri les peuples et enrichi les multinationales. Ce cycle touche à sa fin : relocalisation, protectionnisme et souveraineté reviennent. Trump ne détruit pas l’ordre mondial, il le libère. En réhabilitant frontières et autonomie économique, il redonne du pouvoir aux nations. Ce nouveau monde n’est pas un retour en arrière, mais une renaissance géopolitique fondée sur la réalité et l’équilibre.
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Le 10 avril 2025, Marion Saint-Michel, Sylvain Baron et Andrzej Linowiecki étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde, sur le thème de l’ingénierie sociale comme outil moderne de contrôle des masses.
Marion Saint-Michel est psychologue clinicienne et diplômée en sciences politiques. Après une carrière dans la fonction publique, elle exerce en libéral. Auteure de Gouvernance perverse : La décoder, s’en libérer (Éditions Résurgence), elle y analyse comment la manipulation et la désinformation infiltrent les structures sociales. Elle y décrit les mécanismes psychopathologiques de la perversion appliqués à la gouvernance.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient d’un reportage au cœur des zones de guerre à Zaporija et Marioupol, en Ukraine.
Andrzej Linowiecki est écrivain et historien polonais, spécialiste des mouvements d’opposition en Europe de l’Est, en particulier du rôle de Solidarnosc dans la chute du communisme. Il a publié plusieurs ouvrages sur l’histoire contemporaine de la Pologne.
Ingénierie sociale : l’arme invisible du pouvoir moderne
Ce que l’on nommait propagande s’appelle aujourd’hui ingénierie sociale. Le pouvoir n’impose plus : il infiltre. Derrière les discours de progrès, une guerre psychologique se mène pour désorienter, fragmenter et soumettre. La manipulation des perceptions façonne une société dépendante, dépolitisée.
Hypersexualisation, confusion des repères, destruction de la famille : ces dérives sont des stratégies coordonnées. En isolant l’individu, le système affaiblit les défenses collectives et instaure un contrôle total, jusqu’au psychisme.
La peur comme accélérateur de la soumission
La crise Covid a illustré cette logique. Plus qu’une crise sanitaire, elle fut un test de conditionnement. Peur orchestrée, injonctions contradictoires, passes sanitaires : tout visait à créer une population docile. Le langage a été perverti : "liberté" signifie surveillance, "solidarité" obéissance. Ce détournement sémantique empêche toute remise en question.
Du chaos au contrôle : anatomie d’un pouvoir mental
La résistance commence par l’esprit. Refuser les récits formatés, déconstruire les réflexes conditionnés, retrouver des repères stables : tels sont les premiers pas vers l’autonomie. Il ne s’agit pas de révolte violente, mais de lucidité.
L’ingénierie sociale se nourrit de la passivité mentale. D’où l’urgence de cultiver la vigilance, déchiffrer les manipulations, reconstruire une grille de lecture personnelle. Restaurer la vérité des mots, redevenir souverain sur sa pensée et ses émotions : tel est le socle d’une société libre.
Face à cette offensive, la liberté ne se réclame pas : elle s’apprend et se défend, par la conscience et la résistance intérieure, chaque jour.
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Diffusion exclusive de ce micro-trottoir avec Mike Borowski, le 10 avril 2025 sur GPTV Investigation.
Nous avons plongé là où aucune chaîne YouTube dissidente n’a osé mettre un pied : au grand meeting national de Renaissance, le parti de Gabriel Attal, émanation directe du pouvoir macroniste.
Ce que nous y avons vu dépasse la caricature. Tout y est : le culte de la minorité, la glorification des vieux, l’obsession pour l’inclusion, l’indifférence totale au réel. Pendant que la France s’effondre, cette caste politique organise son propre carnaval, en toute sérénité.
Ce meeting, mis en scène par Attal, dévoile l’idéologie d’un pouvoir déconnecté. Ce n’est pas un vrai rassemblement politique, mais un parc à thème progressiste pour technocrates, boomers sous anxiolytiques et militants LGBTQ+ urbains. Nous avons tout filmé : visages, discours, groupes internes, slogans. Ce que nous avons vu confirme une chose : la Macronie vit dans un autre pays.
Meeting Renaissance : une secte progressiste coupée du peuple
Dès notre arrivée, l’ambiance est irréelle. Musiques pop, slogans en anglais, drapeaux arc-en-ciel flottant plus haut que le tricolore. Ici, le peuple français n’existe plus. Il a été remplacé par une foule urbaine aseptisée pour qui la politique, c’est la visibilité queer dans l’espace public.
Dans les stands, des groupes improbables : “Boomers en mouvement”, “Renaissance LGBT+”, “Jeunes avec Brigitte”. Jean-Michel, du collectif LGBT+, affirme que la priorité n’est ni le chômage ni l’école, mais “la lutte contre les discriminations systémiques”. Renaissance serait “l’avant-garde du progrès en Europe”. Pendant ce temps, la France rurale s’effondre.
Les retraités présents, issus des classes moyennes supérieures, cherchent du réconfort. On leur promet un monde où l’État les protège de la “haine” et du “populisme”. Ce sont les piliers du macronisme : ceux qui refusent tout changement tant qu’ils peuvent vivre dans leur bulle.
L’idéologie inclusive comme seul projet politique
Moment marquant : notre échange avec la responsable du pôle Éducation. Sa priorité ? Non la lecture, mais faire de l’école “un espace de lutte contre le racisme et l’antisémitisme”. Il ne s’agit plus d’instruction, mais de rééducation idéologique.
“Inclusion” revient comme un mantra. Plus de cap économique ou civilisationnel : le programme se résume à célébrer les trans, racisés, migrants, seniors, “non-binaires”. Jamais les ouvriers ou les mères de famille rurales.
Attal répète des slogans : “républicanisme ouvert”, “modernité progressiste”, “société inclusive”. Aucune réponse aux problèmes concrets : insécurité, dette, immigration. Juste de la poudre aux yeux.
Renaissance, vitrine du globalisme en France
Ce meeting est une messe mondialiste aux codes du World Economic Forum. Langage en anglais, agenda 2030, société “ouverte, inclusive et écologique”. Renaissance incarne le wokisme néolibéral. Les militants, enseignants, cadres ou retraités urbains, récitent : “le RN fait peur”, “Macron nous protège”. Aucun mot sur le pouvoir d’achat ou les frontières.
Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, conclut le spectacle. Sourire figé, discours calibré : union, diversité, démocratie. Toujours les mêmes mots.
Ce meeting n’est pas un événement politique, mais un manifeste d’une élite qui tourne le dos au peuple au nom de l’inclusion et de la mondialisation.
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Le 10 avril 2025, David Pliquet était l'invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde pour décrypter qui est vraiment Bénédicte de Perthuis, la juge dont la décision a bouleversé la scène politique française ?
David Pliquet, ingénieur en mécanique et productique, est le fondateur de la start-up E-Mage-In 3D, spécialisée en modélisation, impression 3D et réalité augmentée. Également journaliste pour Citizen Light, il anime des émissions explorant les enjeux sociétaux avec une approche critique. Passionné par la culture bretonne, il s’engage à valoriser l’innovation et le patrimoine de sa région.
Qui est Bénédicte de Perthuis ? Une juge au cœur du pouvoir judiciaire
Cette magistrate a condamné Marine Le Pen, l’écartant pour cinq ans de toute élection. Présentée comme exemplaire, elle est devenue une icône de la lutte contre la criminalité financière. Mais une enquête en cours révèle un portrait plus trouble.
Ancienne juge aux affaires familiales au Havre, elle possédait avec son mari une société civile baptisée Golden Glaouis – expression familière signifiant "couilles en or". Cette structure privée, liée à un patrimoine de plus d’un million d’euros, a été rebaptisée Chassezac Corporation trois semaines avant sa décision contre Le Pen. Ce changement de nom, proche du verdict, soulève des interrogations.
Des connexions avec les réseaux du pouvoir profond ?
Le nom Golden Glaouis fait écho à Jean-Baptiste Descroix-Vernier, magnat du numérique mêlant finance dématérialisée, pornographie et mécénat. Bien que juridiquement distinctes, les deux entités partagent des références qui interpellent. Pierre de Perthuis, époux de la juge et cofondateur de la société, renforce l’impression d’un enchevêtrement entre pouvoir judiciaire et sphères d’influence privées.
Le déplacement du siège social, la discrétion des statuts, la rapidité des modifications montrent une volonté de dissimulation peu compatible avec l’exemplarité attendue d’un magistrat impliqué dans une affaire politiquement explosive.
Une justice devenue intouchable ?
Cette affaire soulève une inquiétude majeure : l’impossibilité d’interroger les juges. Sanctuarisés par une presse complice, ils deviennent intouchables. Toute investigation est vite disqualifiée comme “complotiste”. Or, dans une démocratie véritable, aucun pouvoir ne doit échapper au contrôle populaire.
Bénédicte de Perthuis symbolise cette dérive : une image irréprochable masquant des zones d’ombre, où se croisent pouvoir judiciaire, intérêts familiaux et décisions à haute portée politique. L’affaire révèle un monde clos, protégé, où les fondements éthiques vacillent.
Il devient urgent de poser la question : qui contrôle les juges ? Et surtout, qui peut encore les interroger sans être accusé de subversion ?
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Le 10 avril 2025, Oskar Freysinger, Olivier Pichon et Pierre Jovanovic étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC et ex-député au parlement. Il a aussi exercé comme Secrétaire d’État. Désormais écrivain et chroniqueur, il présente son nouvel ouvrage Verseau, publié après Animalia (éditions Serena).
Olivier Pichon est journaliste, docteur en sociologie politique, agrégé d’histoire et d’économie. Il collabore à Politique Magazine, Euro Libertés et anime depuis 2014 l’émission « Politique & Éco » sur TV Libertés.
Pierre Jovanovic est journaliste économique, éditeur et auteur d’essais financiers, historiques et spirituels. Animateur de sa chaîne YouTube Pierre Jovanovic – La revue de presse, il vient de publier 888 : L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ. Défenseur de l’or et de l’argent métal, il décrypte un avenir économique incertain.
La guerre n’est plus un événement, mais un système.
Elle infiltre tout : économie, numérique, géopolitique. Du Proche-Orient à l’Europe de l’Est, des marchés financiers aux réseaux algorithmiques, la guerre s’est installée comme norme. Ce chaos global n’annonce pas une fin, mais l’aboutissement d’un cycle systémique.
Guerre économique : matrice de toutes les guerres
Le libre-échange, loin d’être pacifique, est une lutte déguisée. La guerre économique ne remplace pas la guerre militaire, elle la prépare. Sanctions, tarifs douaniers, embargos sont les armes nouvelles. Le « Tarif Trump » révèle la logique du système : affaiblir pour régner.
La crise de 2008 fut une alerte : la guerre changeait de forme. L’économie devient un champ de bataille algorithmique. L’objectif reste inchangé : soumettre les nations et leurs souverainetés.
La technologie, nouveau champ de bataille
Drones, satellites, cyberattaques ont remplacé les divisions blindées. La guerre est numérique, invisible, continue. Les géants technologiques (Google, Palantir, Raytheon) jouent les généraux. Le conflit n’est plus déclaré, il est programmé.
L’Est européen est un laboratoire, le Proche-Orient un terrain d’essai. À Gaza, en Ukraine, au Yémen, on teste armes et techniques de contrôle social. Le chaos n’est pas un effet collatéral : c’est une stratégie, pensée, organisée, monétisée.
L’ordre par le chaos, une stratégie planifiée
De Klaus Schwab à d’autres figures anonymes, une ingénierie du désordre s’impose. Chaque crise appelle une réponse autoritaire. L’effondrement n’est pas à éviter : il est exploité. Le Krach est voulu, intégré dans un système de domination.
Les chiffres symboliques (666, 777, 888) illustrent une ère où le chaos devient permanent. L’humanité entre dans un cycle où guerre et monde ne font plus qu’un. Le désordre n’est plus un dysfonctionnement, mais une méthode.
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Le 9 avril 2025, Maître François Danglehant, Sylvain Baron et Christian Cotten étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Maître François Danglehant est un avocat reconnu pour ses combats contre les abus institutionnels et pour les libertés individuelles. Il défend une démocratie participative face à la concentration du pouvoir.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient d’Ukraine, où il a couvert les zones de conflit à Zaporija et Marioupol.
Christian Cotten, psychosociologue, a fondé une entreprise de formation controversée et créé le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité et porté plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.
Coup d’État militaire en France en 2025 : fiction ou scénario plausible ?
Depuis plusieurs années, les élites craignent un réveil militaire. L’armée, en partie fidèle au peuple, se montre critique envers un pouvoir jugé illégitime. La lettre des généraux dans Valeurs Actuelles a marqué une rupture : elle affirme que la France est en danger, trahie par ses dirigeants. Le pouvoir réagit en réprimant la parole militaire : les généraux Coustou et Delawarde ont été poursuivis, bien que récemment relaxés. Cette répression traduit la peur d’un basculement, où l’armée pourrait se dresser contre l’effondrement national.
Le cas du général Coustou, de nouveau ciblé par Sébastien Lecornu malgré sa relaxe, montre l’acharnement du pouvoir. Il craint qu’un officier désobéisse, parle, et soit suivi. En 2025, même improbable, la menace d’un coup d’État reste une obsession pour les élites. Chaque voix insoumise est systématiquement brisée.
Une justice transformée en bras armé du régime
La séparation des pouvoirs n’est plus qu’apparente. Les affaires Coustou, Delawarde ou Natacha Rey révèlent une justice idéologique. En France, la justice ne protège plus les libertés : elle les neutralise. Les relaxes ne sont pas des victoires du droit, mais des échecs provisoires de la répression.François Danglehant incarne cette lutte. Il attaque la ministre des Armées devant la Cour de Justice de la République pour dénonciation calomnieuse. Cette action vise un pouvoir qui fabrique de faux statuts pour justifier des procédures. L’État se sert de la justice pour détruire ses opposants.
Les recours européens, notamment auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, montrent que la France viole régulièrement les droits fondamentaux. Le cas Natacha Rey illustre cette criminalisation de l’enquête indépendante. Le pouvoir utilise les procédures comme armes d’intimidation.
Coup d’État en vue ? L’armée face à un pouvoir en crise
Les procédures disciplinaires militaires sont devenues des outils de purge idéologique. Les officiers fidèles à leur serment républicain sont systématiquement ciblés. L’affaire Coustou illustre ce glissement : relaxé civilement, il est de nouveau poursuivi en interne. Il ne s’agit pas de justice, mais de vengeance politique.L’armée devient un laboratoire de contrôle total. Les militaires, même retraités, n’ont plus le droit de s’exprimer librement. Ce verrouillage vise à empêcher toute alerte sur un éventuel soulèvement. Si l’armée se tait, si les juges obéissent, si les avocats sont poursuivis, la dictature n’est plus à craindre : elle est installée.
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Le 9 avril 2025, Nicolas Stoquer démontait point par point le révisionnisme historique d’Ursula von der Leyen, entre effacement des racines chrétiennes, glorification du Talmud, oubli des crimes sionistes et soumission idéologique de l’Europe, sur GPTV !
Ursula von der Leyen falsifie l’histoire européenne
En déclarant à l’université Ben Gourion que « l’Europe, ce sont les valeurs du Talmud », von der Leyen nie l’héritage réel du continent. L’Europe s’est construite sur la culture gréco-romaine et le christianisme, structurant ses lois, sa morale et son identité. Le Talmud, rédigé après la destruction du second Temple, n’a jamais été un fondement politique ou spirituel européen. Il contient même des passages antichrétiens hostiles, bien connus des spécialistes. Assimiler l’Europe à ce corpus relève d’une reconstruction idéologique.
Cette déclaration reflète une tentative de substituer aux racines chrétiennes un modèle exogène, promu comme universel, mais historiquement étranger. Ce n’est pas une simple maladresse diplomatique : c’est un acte politique visant à effacer une mémoire millénaire au profit d’un récit reconstruit.
Israël sanctuarisé, les Palestiniens effacés
Von der Leyen glorifie David Ben Gourion comme un modèle démocratique sans rappeler son rôle central dans la Nakba. En 1948, plus de 700 000 Palestiniens furent expulsés, des centaines de villages détruits. Même des historiens israéliens, comme Ilan Pappé ou Benny Morris, ont reconnu cette épuration. En passant ces faits sous silence, von der Leyen consacre une vision falsifiée de l’histoire d’Israël, justifiant une politique d’apartheid et de violence prolongée.
L’Union européenne, sous sa présidence, entérine ainsi une ligne politique à sens unique : héroïser les fondateurs d’un État, tout en effaçant les victimes de sa création. Cette omission fragilise la prétention européenne à défendre les droits humains de manière universelle.
L’Europe de von der Leyen : entre perte d’âme et influences étrangères ?
Le discours de von der Leyen illustre la dérive idéologique de l’UE : effacement du christianisme, soumission à des puissances extérieures, adoption d’un progressisme globalisé. Depuis le refus de Jacques Chirac de mentionner les racines chrétiennes dans la Constitution européenne, ce déracinement se poursuit.
Le projet européen, désormais technocratique et post-identitaire, rejette l’héritage civilisationnel au profit d’un humanisme abstrait. Le Talmud en devient un symbole : un texte étranger aux fondements européens, promu pour incarner une nouvelle morale. Cette inféodation culturelle révèle une volonté de déconstruction plus large : celle d’une Europe sans frontières, sans foi, sans mémoire. Le discours de von der Leyen n’est pas un excès, mais un manifeste.
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Le 9 avril 2025, Finn Andreen, Nicolas Vidal, Philippe Herlin et le Général Dominique Delawarde étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer ,sur Géopolitique Profonde !
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialiste des questions géopolitiques et économiques. Il intervient régulièrement dans les médias pour décrypter les rapports de force mondiaux.
Nicolas Vidal est journaliste et fondateur du média Putsch. Il anime l’émission Putsch Live sur YouTube et la matinale de Tocsin. Il vient de publier La Tempête qui vient, un livre qui alerte sur l’instabilité croissante du pays.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires. Dans son dernier ouvrage, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.
Le Général Dominique Delawarde, Saint-cyrien de formation, a servi dans les prestigieux chasseurs alpins et la Légion étrangère. Il a dirigé des officiers de liaison français aux États-Unis et mené des opérations cruciales à la tête du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins à Sarajevo en 1994-1995. Ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique » à l’état-major de planification opérationnelle, son expertise militaire est indiscutable.
La France en déclin
La France n’est plus que l’ombre d’elle-même. La désindustrialisation s’accélère, les PME ferment en masse, remplacées par une économie artificielle, maintenue sous perfusion par la dette et l’assistanat. L’État s’enlise dans une spirale budgétaire incontrôlable. Ce naufrage économique s’accompagne d’un anéantissement moral : les élites ont perdu toute légitimité et la population toute énergie. Le peuple français, autrefois moteur d’idées et de révoltes, préfère désormais la résignation à l’audace.Le système éducatif illustre ce déclin : l’école ne transmet plus, elle nivelle. La France n’a plus de projet, plus de vision, plus d’ambition. Elle gère sa propre disparition, lentement, méthodiquement, sans sursaut.
L’Europe soumise à un Empire américain en chute
L’Union européenne a abandonné toute prétention à l’autonomie. Par soumission stratégique et idéologique, elle s’aligne aveuglément sur les injonctions américaines. L’engagement militaire en Ukraine, décidé sans débat démocratique, révèle cette dépendance. Les conséquences sont catastrophiques : guerre interminable, sanctions contre-productives, inflation, crise énergétique. L’Europe se sacrifie pour un empire qui se délite.
Partout, les partenaires historiques des États-Unis prennent leurs distances. Israël défie Washington, l’Arabie Saoudite se tourne vers Moscou et Pékin, les BRICS avancent. L’Occident recule, divisé, décrédibilisé. L’Europe, enchaînée à une puissance moribonde, s’apprête à couler avec elle.
La fin de l’Empire américain est une certitude géopolitique
L’Amérique ne s’effondre pas brutalement, mais se désagrège comme Rome : dette démentielle, polarisation intérieure, perte d’influence. L’anti-trumpisme hystérique masque cette lente agonie. Le modèle américain s’effondre de l’intérieur, dans un climat d’impuissance généralisée.
Les nouveaux pôles de puissance se consolident ailleurs en Chine, Inde, Iran, Russie et Afrique.
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Le 8 avril 2025, Fabrice Di Vizio, Sylvain Baron et Antoine Gainot étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.
Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.
La République vacille, l’autoritarisme s’installe
L’échéance présidentielle de 2027 paraît illusoire. Institutions vidées, classe politique dépassée : le régime verrouille, impose, contrôle. Réformes par décret, opposition neutralisée : le cas Le Pen illustre l’impossibilité d’une alternative réelle. Mise en scène ou opposition utile au système ?
La défiance populaire ne freine pas le pouvoir : elle l’accélère. Surveillance, censure, encadrement de l’information : l’État se bunkerise. Ce n’est plus une démocratie, mais une forteresse qui tire sur son peuple.
L’euro numérique : la dernière chaîne
Prévue pour octobre 2025, la monnaie numérique française signe un tournant. Officiellement "modernisation", elle permet le traçage intégral des transactions. Le cash disparaît, emportant la dernière forme de liberté économique.
Avec l’euro numérique, l’État pourra bloquer un compte, refuser un paiement, sanctionner une opinion. Ce levier de contrôle économique fait entrer la société dans une ère de surveillance intégrale. Ce n’est plus un projet : c’est une réalité programmée.
Un peuple vidé, sans colère ni résistance
Les Français ne se battent plus. Ils endurent. Ni la guerre, ni les atteintes aux libertés, ni l’euro numérique ne provoquent de sursaut. Même le RN n’incarne plus un exutoire. Le fossé entre peuple et élites est total, mais stérile.
Ce n’est pas de l’indifférence, c’est de l’anesthésie. Dégoût, lassitude, peur. Les Français n’attendent plus rien du politique. Ce détachement n’est pas apathie : c’est une immunité face à un système jugé irrécupérable. Et c’est ce silence qui permet à l’ordre techno-autoritaire de s’imposer.
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Le 8 avril 2025, Mike Borowski est allé à la rencontre des jeunes dans les rues de Paris pour leur poser une question simple mais brûlante : sont-ils prêts à partir en guerre contre la Russie pour Emmanuel Macron ?
Les jeunes face à la guerre : rejet total
Dans les rues animées de Châtelet, symbole du Paris jeune et populaire, le verdict est clair : personne ne veut mourir pour Emmanuel Macron. Après la guerre sanitaire menée avec brutalité, le président français cherche aujourd’hui à rallumer les braises d’un conflit militaire contre la Russie. Mais cette fois, la jeunesse ne suit plus. Interrogés, les jeunes refusent catégoriquement de servir de chair à canon pour des intérêts qui ne sont pas les leurs. Ils dénoncent une instrumentalisation grossière de la menace russe pour masquer l’effondrement interne de la France.
Leur rejet est massif, structuré, assumé. Ils parlent d’un président déconnecté, obsédé par la scène internationale, incapable de répondre à leurs réalités quotidiennes : précarité, violence policière, avenir bloqué. Le message est net : ils ne prendront pas les armes pour un système qui les méprise. Ils ne partiront pas au front pour une élite qui n’a jamais défendu leur cause.
La France ne doit pas s’engager dans cette guerre
S’engager militairement contre la Russie serait une folie stratégique. La France n’a ni les moyens, ni l’intérêt, ni la légitimité pour s’embarquer dans un conflit de haute intensité. Une guerre directe avec Moscou exposerait le pays à des conséquences dévastatrices, tant sur le plan humain qu’économique. La jeunesse interrogée le comprend instinctivement. Contrairement aux élites déconnectées, elle sait que cette guerre ne servira qu’à prolonger la domination de l’OTAN et à alimenter le complexe militaro-industriel.
Ce rejet n’est pas seulement moral, il est profondément politique. Ces jeunes refusent de devenir les soldats d’un pouvoir qui les réprime à domicile. Ils rappellent que la France a tout à perdre dans cette confrontation et rien à y gagner. Entrer en guerre contre une puissance nucléaire, c’est condamner le pays à l’implosion.
Le président des riches, pas des jeunes
Macron n’est pas leur président. Il incarne tout ce qu’ils rejettent : l’arrogance technocratique, la répression des mouvements sociaux, l’alignement aveugle sur Washington et Bruxelles. À Châtelet, les jeunes parlent de lui comme d’un gestionnaire froid, incapable de comprendre leur quotidien. Pour eux, il n’a jamais représenté la jeunesse, il l’a méprisée, insultée.
Ils ne sont pas dupes. Ils savent que derrière les discours martiaux, il s’agit d’un nouveau prétexte pour restreindre les libertés, augmenter le contrôle social, et détourner l’attention des crises internes. Beaucoup affirment sans détour qu’ils désertent si la conscription revient. Ce ne serait pas une trahison, mais un acte de résistance face à une machine étatique devenue folle.
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Le 8 avril 2025, Nicolas Stoquer vous attendait pour analyser la crise boursière en cours, sur Géopolitique Profonde.
Le libre-échange, une croyance devenue religion
Le libre-échange n’est pas qu’un mécanisme économique : c’est une idéologie fondatrice de l’ordre mondial depuis 1945. Fondé sur la foi que l’interconnexion des marchés garantit paix, croissance et stabilité, ce dogme a façonné traités, politiques et choix industriels, verrouillant le monde au profit d’élites transnationales.
Mais ce socle se fissure. Barrières douanières, relocalisations, politiques souverainistes : la fin du globalisme est en marche. Ce n’est pas une simple transition économique, mais l’effondrement d’un mythe collectif. Et comme pour toute religion vacillante, le doute déclenche une dynamique destructrice.
L’anticipation négative et la dynamique mimétique
L’abandon du libre-échange produit des anticipations négatives. Ce n’est pas une faiblesse structurelle qui détruit le système, mais la perte de confiance. Chaque acteur anticipe la chute, et en l’imitant, l’accélère. Ce phénomène, décrit par René Girard, alimente la montée aux extrêmes.
La fin du libre-échange pousse les États à l’affrontement. Le protectionnisme d’un pays entraîne des contre-mesures. La dynamique devient conflictuelle : la guerre commerciale vire à la guerre stratégique. Ce n’est plus une hypothèse : les tensions sino-américaines en sont les signes avant-coureurs.
La perte du sacré et l’explosion de la violence
René Girard l’avait pressenti : la disparition du sacré, seul capable de réguler symboliquement la violence, ouvre une ère de chaos. Le libre-échange, en tant que religion séculière, contenait la violence par le commerce et l’idéologie coopérative. Sa chute libère la brutalité.
Sans ce mythe, les tensions s’exacerbent. Entre les États-Unis et la Chine, le risque d’affrontement devient tangible. Barrières douanières, guerres technologiques, alliances exclusives : chaque geste rapproche du point de rupture. Il ne s’agit pas d’une crise conjoncturelle, mais d’une perte de foi commune. Et cette foi brisée précipite le monde dans une spirale mimétique de conflit généralisé.
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Le 8 avril 2025, François Martin, Serge Ferderbusch, Nicolas Conquer et Alain Escada étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
François Martin est géopolitologue, journaliste, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux, diplômé de l’ESSEC, EMBA HEC, IHEDN et INHESJ.
Serge Federbusch est essayiste et homme politique, fondateur du mouvement Aimer Paris, connu pour son combat contre le déclin de la capitale et les élites.
Nicolas Conquer, analyste politique et communicant, est porte-parole de Donald Trump en France. Il promeut les politiques trumpiennes auprès du public francophone.
Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.
Obama relance l’affrontement : la guerre interne américaine est ouverte
Barack Obama sort du silence et appelle ouvertement à barrer la route à Donald Trump. Cette rupture avec la neutralité démocrate déclenche des manifestations massives et expose la fracture idéologique des États-Unis. Le conflit n’est plus électoral mais civilisationnel.
Trump incarne le souverainisme, Obama le mondialisme. Ce duel dépasse l’Amérique : il polarise l’Occident. Le pouvoir ne repose plus sur le droit mais sur l’idéologie. La guerre des récits s’installe durablement.
Trump face au dilemme ukrainien
Sur l’Ukraine, Trump hésite. Sa base rejette l’interventionnisme, mais abandonner Kiev semble risqué. Continuer à soutenir la guerre alimente l’agenda de ses ennemis néoconservateurs. L’impasse est stratégique autant qu’électorale.
Ce dilemme illustre l’effondrement de la cohérence impériale américaine. L’Ukraine devient le miroir de deux visions américaines inconciliables. Le monde entier observe l’issue de ce bras de fer.
L’effondrement français face au choc du monde
En France, le pouvoir semble absent. Crise économique, perte de souveraineté, suivisme européen : l’État ne gouverne plus, il réagit. Le pays ne fait plus l’histoire, il la subit.
Le monde attend une rupture. Le système mondialiste, loin d’être neutre, est vu ici comme fondamentalement satanique. Il repose sur l’inversion des valeurs, l’effacement des identités, la destruction du sacré. Ses relais sont les élites, les ONG, les multinationales, les médias.
Mais une contre-offensive émerge. Portée par les peuples réveillés, les nations encore enracinées, elle vise à renverser ce pouvoir ténébreux. Le choc est inévitable, et la France devra choisir son camp.
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Le 6 avril 2025, le Dr Michel Franck et Nicolas Meyer étaient les invités de Mike Borowski, pour rendre hommage au Docteur Stéphane Gayet sur Géopolitique Profonde !
Le Dr Michel Franck est un gynécologue engagé, connu pour son opposition aux dérives technocratiques de la médecine moderne. Défenseur d’une pratique humaniste et indépendante, il s’inscrit dans une ligne critique face à la médicalisation excessive et à l’emprise des protocoles centralisés sur le corps des femmes.
Le Dr Nicolas Meyer incarne une vision critique de la gouvernance sanitaire contemporaine. Expert en santé publique et biostatistique, il dénonce la confiscation de la recherche par des logiques politico-industrielles. Défenseur d’une science libre, il plaide pour une refondation de la santé publique, affranchie des injonctions technocratiques et des conflits d’intérêts.
Le Dr Gayet, une figure de proue de la résistance médicale
Infectiologue et hygiéniste hospitalier, le Dr Stéphane Gayet s’est opposé dès 2020 à la gestion autoritaire du Covid-19. Il a prôné les traitements précoces et refusé l’attentisme officiel. Radié en 2022 pour des prescriptions jugées non conformes, il est devenu un symbole de la liberté thérapeutique. Jusqu’à sa mort en février 2025, il a dénoncé la soumission du Conseil de l’Ordre, devenu instrument répressif du pouvoir sanitaire.
Gayet a soutenu les soignants suspendus, les scientifiques censurés, et défendu le rôle du médecin face à la technocratie. Son combat, mené sans reniement, a illustré la chasse aux sorcières contre les praticiens hors-norme. Sa radiation, basée sur des signalements anonymes, fut le reflet d’un système étouffant la dissidence médicale.
Une guerre ouverte contre le dogme sanitaire
Intellectuel rigoureux, Gayet a écrit pour dénoncer le “tout injection”, la marginalisation des soins individuels et l’absurdité des protocoles imposés. Il a montré que les normes sanitaires n’obéissaient pas à l’efficacité clinique, mais à des logiques idéologiques et économiques.
Il a subi pressions, menaces, auditions, mais n’a jamais cédé. Il témoignait de cette violence administrative organisée contre les praticiens critiques. Son acharnement institutionnel, dénoncé par ses proches, a aggravé sa maladie. Il a tenu bon jusqu’au bout, refusant de trahir l’éthique du soin.
Pionnier oublié de la lutte contre la maladie de Lyme
Bien avant le Covid, Gayet s’était engagé dans un autre combat : la reconnaissance de la maladie de Lyme chronique. Contre l’inertie institutionnelle, il a soutenu les patients ignorés, défendu des approches thérapeutiques évolutives et inspirées des pratiques américaines. Il a été l’un des rares médecins à écouter ces malades niés par la médecine officielle.
Ce combat a consolidé son rejet des dogmes médicaux, et son attachement à une médecine humaine, libre et ancrée dans la réalité clinique. Sa mort a laissé un vide chez les résistants médicaux et les milliers de patients qu’il a soignés avec courage et lucidité.
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Le 7 avril 2025, Nicolas Stoquer révèlait comment l’envoi imminent de troupes françaises en Ukraine, sous parapluie nucléaire, ouvre la voie à une coalition militaire occidentale et place la France au cœur d’un affrontement stratégique majeur avec la Russie, sur GPTV.
La France au seuil d’un engagement militaire direct en Ukraine
L’envoi de troupes françaises dès un cessez-le-feu marque un tournant stratégique. Macron ne cache plus son intention : si Moscou refuse la paix, la France agira. Zelensky l’a confirmé : les forces françaises seront parmi les premières à se déployer, avec une infrastructure déjà en cours d’installation. Ce n’est plus une hypothèse : Paris se prépare à un engagement actif en Ukraine.
L’opération prévoit un ancrage militaire terrestre, maritime, aérien et anti-aérien. L’objectif : empêcher toute nouvelle avancée russe. Paris devient le pivot d’une coalition prête à défendre l’Ukraine par la force. L’armée française ne reste plus en retrait : elle s’inscrit désormais au cœur du conflit.
Le message à Moscou est limpide : l’Europe ne reculera plus. Le silence militaire face à cette décision confirme un alignement total avec le politique. La France devient un acteur militaire direct dans une guerre globale aux conséquences potentiellement irréversibles.
Vers une dissuasion nucléaire à géométrie variable
Ce déploiement implique une révision de la dissuasion nucléaire. Le concept de “parapluie nucléaire” revient dans les débats : toute attaque contre des soldats français pourrait justifier une réponse nucléaire. Cette stratégie de “dissuasion élargie” entretient une ambiguïté calculée.
L’Élysée n’exclut plus d’utiliser son arsenal nucléaire si ses troupes sont visées. Cette posture oblige Moscou à considérer un affrontement nucléaire potentiel avec Paris. La France adopte une stratégie jusque-là réservée aux grandes puissances.
Le nucléaire devient un levier d’action intégré dans l’engagement militaire français en Ukraine. Cette rupture avec la retenue européenne historique marque un basculement majeur dans la doctrine stratégique du continent.
Une coalition de volontaires sous commandement occidental
La récente visite des chefs d’état-major britannique et français à Kiev valide la formation d’une force militaire occidentale coordonnée. Ce front mené par Paris et Londres vise à occuper et sécuriser les zones critiques dès le cessez-le-feu. Il ne s’agit pas d’un maintien de la paix, mais d’une force dissuasive et offensive.
Cette “coalition des volontaires”, en dehors du cadre OTAN, permet un engagement souple mais clair. Paris assumera le commandement d’un segment de cette force, imposant un leadership inédit sur le continent.
Des bases françaises sont déjà prêtes en Ukraine. Ce déploiement ne relève plus du projet : il est en cours d’exécution. Ce qui se joue dépasse le conflit ukrainien : c’est une refondation militaire européenne, avec la France en chef d’orchestre.
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Le 6 avril 2025, Claude Janvier, Jean-Loup Izambert, Tom Benoit et Philippe Nozière étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer !
Claude Janvier, écrivain et essayiste, est l’auteur d'ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s'intitule L’État Profond Français.
Jean-Loup Izambert est journaliste d'investigation indépendant depuis 1990, spécialisé dans l’économie et la politique. Plusieurs de ses ouvrages mettant en cause des personnalités et des institutions ont défrayé la chronique, tels que Le krach des 40 banques, ou encore Tous vaccinés, tous en danger ?. Ses deux derniers ouvrages s'intitulent Bilan Noir, L’Union Européenne contre la France et Empêcher l’Europe: Les Etats-Unis contre l’Europe.
Tom Benoit est un philosophe et essayiste français, spécialisé dans la finance et les relations internationales défendant le libéralisme. Il a fondé en 2023 la revue Géostratégie magazine.
Philippe Nozière est président de l’association 40 millions d’automobilistes, qui défend les droits des conducteurs face aux politiques de mobilité excessives. Il dénonce notamment l’influence des idéologues écologistes, et critique une réglementation routière de plus en plus répressive et fiscaliste.
L’Europe sous occupation géopolitique
L’Empire américain utilise l’OTAN pour imposer sa stratégie aux nations européennes. L’UE, sans autonomie, applique les consignes de Washington. Ce système repose sur un chantage permanent : financier, médiatique, énergétique, militaire.
Les élites européennes, soumises, sacrifient les intérêts du continent. L’économie paie le prix de cette allégeance : sanctions contre la Russie, industrie ruinée, dépendance énergétique. L’Europe, prétendue championne des droits et de l’écologie, est devenue champ de bataille militaire et idéologique.
La France comme symbole d’un abandon total
La France illustre la faillite d’un État-nation absorbé par des normes supranationales. Services publics détruits, indépendance énergétique perdue, désindustrialisation : le pays est géré comme une filiale de Bruxelles.
Emmanuel Macron incarne cette trahison. Son progressisme camoufle un alignement sur Washington et Davos : soutien aveugle à l’Ukraine, dérives climatiques, contrôle numérique, négation de l’identité. Le pouvoir ne débat plus, il impose.
Le RN ne propose pas d’alternative réelle. La contestation est matée, la démocratie réduite à une façade. ZFE, crise agricole : chaque résistance est écrasée.
La guerre de tous contre tous
Le multilatéralisme s’effondre. Les puissances entrent dans une logique de prédation. Trump relance le protectionnisme. L’Europe, liée par ses traités, ne peut répondre. Les nations cherchent à sauver leurs marchés, leurs ressources.
Les dogmes mondialistes interdisent toute adaptation : libre-échange, croissance verte, multiculturalisme persistent malgré leur échec. Les élites refusent d’admettre l’impasse et foncent vers l’abîme.
La diplomatie est morte. Reste une guerre économique brutale et déséquilibrée. L’Europe, désarmée, est une proie facile. Les peuples doivent survivre au milieu des ruines d’un ordre en pleine chute.
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Le 6 avril 2025, Alain Soral était l’invité de La Grande Émission, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Alain Soral est un intellectuel et essayiste franco-suisse. Président de l’association Égalité et Réconciliation, il a également fondé la maison d’édition Kontre Kulture. Personnalité sulfureuse, ses analyses lui ont valu une persécution médiatique, politique et judiciaire colossale.
Alors que les États-Unis accélèrent leur domination géopolitique, l’Europe sombre dans une crise existentielle. Guerre, répression, dettes, sanctions : le continent est entraîné dans une mutation brutale, orchestrée depuis Washington, visant à dissoudre les souverainetés au profit d’un ordre supranational.
Les États-Unis relancent la guerre pour sauver leur empire
Trump relance un protectionnisme offensif, structurant l’économie mondiale autour des intérêts américains. Guerre commerciale avec la Chine, sanctions contre l’Europe, brasier ukrainien : tout converge vers un seul objectif, réaffirmer la suprématie du dollar.
L’Ukraine n’est qu’un terrain sacrificiel. L’OTAN reprend sa fonction impériale, et les élites européennes s’y soumettent sans résistance. L’Union européenne, loin de défendre ses peuples, alimente un affrontement géopolitique suicidaire. Le prix de cette stratégie : l’effondrement des États-nations.
L’Union européenne veut la guerre pour éviter sa désintégration
Face à la montée des souverainismes, Bruxelles opte pour l’autoritarisme : armée commune, poursuites judiciaires contre les opposants, élections annulées. L’inéligibilité de Marine Le Pen, les attaques contre l’AfD : chaque geste révèle une dérive assumée.
Le discours anti-russe devient un dogme. L’objectif n’est pas l’Ukraine, mais la consolidation d’un pouvoir technocratique par la peur. L’UE se militarise pour survivre. L’eurofédéralisme ne se construit plus par le consensus, mais par la menace.
Les peuples d’Europe en résistance face à l’Empire
Mais l’histoire résiste. En Allemagne, l’AfD monte en flèche. En Italie, Meloni défie Bruxelles. En France, la répression attise la colère. Un réveil des nations se dessine, porté par le besoin de reprendre le contrôle de leur destin.
Sanctions, dettes, pénuries, tout pousse vers un point de bascule. Les peuples ne veulent pas mourir pour Kiev, ni se soumettre à la BCE. Le choix se clarifie : l’Europe des peuples ou celle des marchés. La révolution ne sera pas abstraite : elle sera enracinée, identitaire, souverainiste.
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Le 6 avril 2025, Mickaël Lelièvre demandait aux Français ce qu'ils pensent de la condamnation de Marine Le Pen, lors d'un micro-trottoir pour GPTV Investigation.
Une condamnation qui fracture la légitimité démocratique
La condamnation de Marine Le Pen à deux ans de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité a bouleversé l’agenda politique et fracturé la confiance démocratique. Pour beaucoup, il ne s’agit pas d’une sanction judiciaire, mais d’une exclusion politique maquillée. Dans la rue, sur les réseaux, les témoignages convergent : cette décision vise à empêcher une victoire électorale en 2027.
La défiance est massive : la justice apparaît comme un instrument au service du pouvoir. L’idée que quelques magistrats puissent neutraliser une figure majeure alimente un rejet bien au-delà des soutiens du RN. Pour une part croissante de citoyens, la démocratie française est devenue un système verrouillé, où le pouvoir décide qui peut concourir.
Le mot "démocratie" revient souvent, mais non plus comme un idéal menacé — comme une réalité perdue. La mise à l’écart de Le Pen est perçue comme une mise en scène, révélant le basculement d’un État de droit à un État de contrôle. La justice ne garantit plus le débat démocratique : elle sélectionne.
Une justice sélective au service du pouvoir
Le sentiment d’une justice à deux vitesses domine. Les citoyens dénoncent une institution instrumentalisée par les élites. L’affaire Le Pen est comparée à des cas plus graves, sanctionnés avec légèreté. Un magistrat impliqué dans un scandale familial écope d’une peine symbolique, pendant que Le Pen est frappée d’inéligibilité.
L’affaire Fillon est aussi évoquée : une enquête express en pleine campagne présidentielle. Même schéma aujourd’hui. Le judiciaire devient l’arme stratégique d’un système qui élimine ses opposants. Les cibles sont toujours les mêmes : conservateurs, souverainistes, figures anti-système.
Ce déséquilibre renforce la rupture avec les institutions. La séparation des pouvoirs apparaît comme une illusion. Le judiciaire, loin d’être indépendant, agit comme bras armé du pouvoir exécutif. Condamnation, inéligibilité, effacement politique : un cycle perçu comme une manœuvre froide et électorale.
Le Rassemblement National transformé par la colère populaire
L’effet immédiat de cette condamnation est une montée en puissance du RN. Les adhésions et les dons explosent. Le parti absorbe cette décision, en fait un levier stratégique. Marine Le Pen devient une martyre politique, et la colère se transforme en mobilisation.
Les mots employés sont puissants : "deuil de la démocratie", "régime autoritaire déguisé". Loin d’affaiblir le RN, la condamnation le renforce. Elle restructure le parti : Le Pen incarne le sacrifice, Bardella la relève tactique, jeune, difficilement attaquable.
Le paysage change : le RN n’est plus seulement un parti en progression, il devient une force centrale, perçue comme la seule alternative. Le message du pouvoir, censé neutraliser, a produit l’effet inverse : une mobilisation populaire, alimentée par l’injustice et la fin de l’illusion démocratique.
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Le 6 avril 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur GPTV, pour un direct brûlant sur une manipulation médiatique au cœur du pouvoir : l’opération Mimi Marchand autour de la relation Hanouna-Auzière.
La révélation de la relation entre Cyril Hanouna et Tiphaine Auzière n’a rien d’anodin. Derrière cette couverture en apparence anodine de Paris Match, se cache une mise en scène méticuleuse pilotée par Michèle « Mimi » Marchand. Proche à la fois de Brigitte Macron et de l’animateur de C8, la communicante joue ici un rôle pivot dans une opération à plusieurs niveaux, entre règlement de comptes, guerre de pouvoir et storytelling présidentiel.
Une idylle fabriquée sur commande
Le 20 mars 2025, Paris Match publie en Une Cyril Hanouna dînant avec Tiphaine Auzière. L’article évoque une romance naissante. Mais derrière ce scoop, tout est orchestré. Le 16 mars, Mimi Marchand, proche de Brigitte Macron et d’Hanouna, envoie un mail détaillé à la rédaction. Elle y raconte l’évolution de cette relation, prévoit les réactions du couple présidentiel, et décrit les photos du dîner.
Les éléments de son message privé sont repris mot pour mot dans l’article. Ce n’est pas une fuite : c’est une livraison scénarisée. Marchand pilote le récit, choisit la date de publication et impose une lecture politique à une liaison présentée comme personnelle. Une manipulation minutieuse digne des grands coups médiatiques de la Ve République.
Objectif : sauver Hanouna et contenir les tensions
Cette révélation intervient en pleine crise. Hanouna accuse l’Élysée d’avoir orchestré la perte de la fréquence de C8, via l’ARCOM et le Conseil d’État. Il vise Emmanuel Macron et Alexis Kohler. En révélant sa proximité avec Tiphaine Auzière, l’animatrice adoucit son image, ouvre un nouveau récit : celui d’un homme désormais lié, affectivement, au pouvoir.
Marchand, confidente et protectrice, construit une couverture médiatique à double tranchant : liaison sentimentale à la surface, opération politique en profondeur. Pour Hanouna, la relation devient une arme dans son bras de fer avec le pouvoir.
L’Élysée, entre validation et prudence
Mimi Marchand affirme dans son mail que Brigitte Macron a été surprise, mais a compris que la relation était « définitive » pour sa fille. Elle promet qu’elle « fera au mieux ». Ces éléments suggèrent une connaissance directe, voire une validation tacite au sommet de l’État.
Pourtant, l’Élysée garde le silence. Le cabinet de Brigitte Macron nie toute implication, sans démentir le contenu. Tiphaine Auzière assure n’avoir « rien à voir » avec l’article. Hanouna feint aussi la surprise, mais l’empreinte de Marchand est partout : jusque dans les phrases du texte.
Cette opération de communication dépasse le registre du people. Elle illustre une stratégie médiatico-politique destinée à recadrer les rapports entre un animateur en conflit avec l’exécutif et un pouvoir soucieux de contrôler son image. En façonnant le récit, Mimi Marchand réaffirme son rôle central dans les arcanes du storytelling présidentiel.
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Le 6 avril 2025, Yves Pozzo Di Borgo et Raphaël Besliu étaient les invités du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer.
Yves Pozzo di Borgo est un homme politique français. Membre du Sénat de France de 2004 à 2017, il a représenté la ville de Paris pour l’Union Centriste. Il a également été conseiller de Paris et a occupé diverses fonctions au sein du Nouveau Centre et de l’UDI.
Raphaël Besliu est le directeur de publication de Géopolitique Profonde.Europe en désordre, République en tension : la fragmentation stratégique s’accélère
Alors que la République peine à maintenir sa cohérence judiciaire, l’Europe s’enlise dans des tentatives stériles de redéfinition stratégique. Cette revue de presse met en lumière une double dérive : l’érosion du cadre juridique et sécuritaire français et l’impasse géopolitique de l’UE face à la guerre en Ukraine. Ce tableau révèle une désintégration des piliers de stabilité, tant nationaux qu’européens.
La République entre autoritarisme juridique et insécurité quotidienne
La décision du Conseil constitutionnel validant l’exécution provisoire des peines avant appel marque une rupture : l’appel est relativisé au nom de la proportionnalité. Ce glissement entérine un état d’exception permanent, fragilisant l’équilibre entre autorité et liberté.
Parallèlement, une enseignante agressée dans les Hauts-de-Seine illustre l’abandon du corps éducatif, livré aux violences scolaires et à l’inaction de l’État. La République éducative s’effondre sous l’indifférence du pouvoir central, incapable d’assurer ses missions fondamentales.
L’Europe piégée entre guerre prolongée et mirage sécuritaire
Réunis à Paris, 31 États européens affichent une unité de façade sur l’Ukraine. En réalité, aucune stratégie commune n’émerge. Les brigades franco-britanniques ne sont qu’un palliatif. Sans vision de sortie de guerre ni autonomie stratégique, l’Europe reste soumise.
L’échec des accords de Minsk, sabotés par les Européens eux-mêmes, souligne leur incapacité diplomatique. Suivant les logiques atlantistes, l’Union a renoncé à toute diplomatie indépendante. L’Europe est un terrain d’influence, pas un acteur de paix.
Le rêve brisé d’une Europe puissance
Depuis l’après-guerre, l’Europe poursuit un projet fédéral fondé sur l’effacement des souverainetés. Mais la défense ne se mutualise pas : elle se vit. L’armée européenne est un simulacre, sans stratégie, ni cohésion, ni soutien populaire.
Le forcing sur la défense traduit un désespoir profond. Tandis que les États-Unis se retirent partiellement de l’OTAN, l’Europe tente de forcer une souveraineté qui n’existe pas. Elle dérive vers la vulnérabilité. Ce mythe d’armée commune se heurte aux réalités historiques et stratégiques que l’architecture actuelle refuse de reconnaître.
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