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Le 2 mai 2025, Mike Borowski revenait sur son dernier micro-trottoir. Verdict sans appel : 99 % des français n’ont jamais entendu parler de Klaus Schwab ni du ‘Great Reset’. Pourtant, ce projet pourrait bouleverser nos vies bien plus qu’on ne l’imagine…
Mais au fond, le Great Reset, c’est quoi ? Un projet obscur ou une transformation planifiée du monde ? Cet article vous éclaire.
Ignorance organisée sur le Great Reset
Place de la Bastille : lieu d’histoire et de passage. Mais sur Klaus Schwab, Davos, le Great Reset ? Silence total. À part une personne, personne ne connaît. Ce vide est révélateur d’un écart profond entre population et centres de décision globaux.
Ce n’est pas un simple oubli, c’est une ignorance organisée. Les grands médias, intégrés à des groupes financiers, ont cessé d’informer sur les structures réelles du pouvoir. À la place : émotions, diversions, fictions politiques. La société reste déconnectée des vrais leviers de décision.
Le Great Reset n’est pas une rumeur : c’est un programme officiel du Forum économique mondial, relayé par des dirigeants politiques et économiques majeurs. Pourtant, il est absent des grands médias. Ce silence est stratégique, non accidentel.
Qui contrôle vraiment le Great Reset ?
Le pouvoir n’a plus le visage du politique. Il s’incarne dans les partenariats public-privé, la transition numérique et l’idéologie technocratique. Klaus Schwab promeut depuis des années la fusion entre États, entreprises et technologies. Tout est public, mais sans débat.
Cette opacité protège un système. Le citoyen ne vote ni pour Davos, ni pour BlackRock, ni pour les grandes agences internationales. Pourtant, ce sont elles qui orientent les décisions en matière de santé, d’énergie, de finance, d’éducation. La démocratie est contournée.
L’« État profond » désigne ce pouvoir sans mandat, où se croisent bureaucraties, multinationales, groupes d’influence. Il agit loin des regards, en ridiculisant ceux qui le dénoncent, en détournant l’attention, en brouillant les mots.
Réinformer le public : comprendre le Great Reset est vital
Cette enquête de terrain révèle l’ampleur du défi. Les médias indépendants doivent aller au contact direct. Réinformer, c’est éveiller, redonner le goût de comprendre. Le savoir devient un acte de résistance.
GPTV Investigation fait ce choix : documenter l’ignorance, proposer des clés, provoquer le débat là où les esprits ne sont pas encore formatés. Il ne suffit plus d’exister en ligne, il faut occuper le terrain.
Cette reconquête passe par les faits, la clarté, la présence. Chaque vidéo, chaque témoignage, chaque explication devient une brèche dans le mur du silence. Une population éclairée devient ingouvernable de l’extérieur.
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Le 2 mai 2025, Marc-Gabriel Draghi, Thierry Meyssan, Jean-Michel Jacquemin Raffestin et Gilles Lartigot, étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Marc-Gabriel Draghi est juriste, auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire du capitalisme et la monnaie, dont Le règne des marchands du temple et La Grande Narration. Il alerte sur les ambitions du Forum économique mondial et ses risques pour les nations.
Thierry Meyssan est écrivain et journaliste, fondateur du Réseau Voltaire. Il s’est fait connaître mondialement avec L’Effroyable Imposture, remettant en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001.
Jean-Michel Jacquemin Raffestin, essayiste incisif, décrypte les manipulations politiques et les mécanismes de domination. Dans Ne leur pardonnez pas... (vol. 3), il poursuit sa critique des élites.
Gilles Lartigot est conférencier et auteur engagé pour une alimentation saine. Son œuvre phare EAT dénonce les dérives de l’industrie alimentaire.
Trump déstabilise pour mieux imposer sa vision
Derrière ses provocations, Trump suit une ligne stratégique claire : imposer une transition entre l’ancien ordre mondial et un nouveau paradigme géopolitique. Sa doctrine : déstabiliser pour renégocier.
Ses décisions s’inscrivent dans une logique de choc destinée à repositionner les États-Unis comme centre manufacturier de l’Occident. Les droits de douane deviennent outils de rééquilibrage industriel.
Sa guerre commerciale n’est qu’une manifestation d’un affrontement plus vaste contre une mondialisation favorisant les chaînes d’assemblage éclatées. Il défend un capitalisme enraciné, souverain, tourné vers la résilience.
Deux capitalismes en guerre
Ce n’est plus une guerre entre États, mais entre modèles économiques : d’un côté, les multinationales délocalisées ; de l’autre, une vision souveraine de l’économie, fondée sur l’autonomie productive.
Trump ne cible pas la Chine pour elle-même, mais pour sa fonction centrale dans le capitalisme global. Il prône un capitalisme national, fondé sur la relocalisation, la fin du libre-échange unilatéral et l’indépendance stratégique.
Vers une recomposition totale de l’ordre mondial
Trump agit aussi sur le terrain symbolique. En remettant en cause le récit du 11 septembre, il dénonce une trahison intérieure qui aurait dévoyé les États-Unis. Il prépare ainsi une rupture avec les élites financières et sécuritaires.
C’est une guerre globale : information, récits, modèles. À une élite mondialisée, Trump oppose un peuple dépossédé, à l’État profond, une nation souveraine. Chaque geste s’inscrit dans un conflit civilisationnel au cœur de l’Occident.
Derrière la caricature, un stratège avance méthodiquement ses pions pour refonder l’équilibre mondial.
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Le 1er mai 2025, Vladimir Fédorovski, Philippe de Veulle et Pascal Mas étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Vladimir Fédorovski est un écrivain et ancien diplomate d’origine russo-ukrainienne, naturalisé français. Il a été porte-parole de la perestroïka sous Mikhaïl Gorbatchev avant de s’exiler en France au début des années 1990. Depuis, il s’est fait connaître comme auteur de nombreux ouvrages mêlant histoire, politique et récits intimes sur la Russie et ses dirigeants.
Philippe de Veulle est avocat au barreau de Paris, docteur en droit, diplômé du CEDS et de Paris Descartes. Il est spécialiste du droit des affaires, international et pénal financier.
Pascal Mas est analyste des rapports de force internationaux, axé sur la résilience nationale face aux influences extérieures. Il voit en la Russie un modèle de résistance.
Trump change la donne stratégique
Le retour de Trump en janvier 2025 bouleverse le dossier ukrainien. Il rompt avec l’approche idéologique de Biden. Pour lui, l’Ukraine est un fardeau inutile. Il gèle des aides militaires et exige la révision des engagements. Ce tournant choque les Européens et isole Kiev.
Trump considère la guerre comme une distraction. Il prône des négociations directes entre Kiev et Moscou. Le soutien américain n’est plus acquis, rendant l’Ukraine vulnérable. L’illusion d’une victoire occidentale s’effondre.
L’Amérique ne se sacrifiera pas pour Kiev. Cette rupture fragilise l’OTAN. Des pays européens cherchent à renouer le dialogue, mais Kiev campe sur ses positions. Le plan de Trump est clair : stabiliser les relations avec Poutine et se concentrer sur la Chine. L’Ukraine devient une monnaie d’échange.
Le sabotage occidental des négociations
La paix aurait pu être signée dès 2022 à Istanbul. Mais Londres, Berlin et Washington imposent l’arrêt des discussions. Leur objectif : épuiser Moscou. Depuis, chaque tentative de négociation est sabotée par l’entourage de Zelensky, lié aux réseaux atlantistes.
L’Occident espérait une guerre d’usure. Mais la Russie tient bon, l’armée avance, les pertes ukrainiennes s’accumulent. Pourtant, la ligne ne change pas. Toute voix discordante est censurée, toute idée de paix diabolisée.
ONG, médias, think tanks alimentent la fiction d’une guerre noble. Le champ politique est verrouillé. La paix est taboue, la diplomatie enterrée.
Zelensky, symbole d’un pouvoir déconnecté
Zelensky gouverne sous régime d’exception. Son mandat est expiré, mais il reste au pouvoir, sans élections ni contre-pouvoir. Médias contrôlés, partis d’opposition interdits, dissidents pourchassés : la démocratie est suspendue.
Il refuse tout compromis, car sa survie politique dépend de la guerre. Dicté par ses soutiens étrangers, il n’incarne plus son peuple mais une stratégie extérieure. Sa légitimité s’effondre à mesure que les pertes s’aggravent.
Le pays est épuisé. Mobilisations, désertions et refus de combattre se multiplient. Zelensky n’est plus un héros, mais un exécutant d’un scénario étranger. L’Ukraine s’effondre, et lui-même devient un obstacle à la paix. Son remplacement se prépare déjà en coulisse. La chute du régime n’est plus qu’une question de temps.
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Le 1er mai 2025, Mike Borowski demandait aux Français s’ils acceptent de vivre sous contrôle numérique, sans liberté d’expression, ni souveraineté, après cinq ans de dérives politiques et de persécutions sanitaires, sur GPTV Investigation !
L’État a broyé des vies
Les mesures sanitaires ont provoqué un effondrement humain massif. Soignants suspendus, familles précarisées, suicides : un système punitif a remplacé la protection. Le refus d’un produit expérimental a suffi pour écarter des professionnels expérimentés, sans débat ni recours.Des faits concrets : perquisitions, écoutes, licenciements, violences. Une infirmière dénoncée, un soignant devenu balayeur. Le pouvoir a méthodiquement brisé les réfractaires.
La société elle-même a participé : soignants insultés, frappés, méprisés. L’hystérie a servi une stratégie de division et de dissuasion. Le message était clair : résister, c’est disparaître.
Des milliers de citoyens ont perdu emploi, logement, dignité. Jetés hors du système, ils n’ont pas été victimes d’un virus, mais d’un appareil politique qui a choisi l’exclusion. Ces cicatrices révèlent la faillite morale d’un pouvoir qui a nié la justice.
Le pouvoir a perdu la guerre du récit
Ceux qui ont tout perdu ont trouvé une conscience nouvelle. Leur éveil a brisé l’uniformité du discours. Le doute a changé de camp.
Une contre-société s’organise. Figures persécutées devenues repères, réseaux indépendants, publications libres : le monopole de l’information est terminé. Ceux qualifiés de « complotistes » sont désormais écoutés.
En voulant écraser les divergents, le pouvoir a révélé son vrai visage : autoritaire, fermé. Même les obéissants doutent désormais. L’autorité s’effondre, remplacée par la répression.
Les résistants ne sont plus seuls. Ils portent un espoir : celui d’une liberté retrouvée. Leur choix de vérité a un prix, mais il les rend inébranlables.
La peur ne suffit plus. Le système peut menacer, mais il ne convainc plus. Il a perdu la parole, et avec elle, le peuple.
Vers une société sous tutelle
Depuis cinq ans, les libertés fondamentales ont reculé. Le confinement a ouvert la voie au pass sanitaire, puis vaccinal : le contrôle numérique est devenu la norme. Le DSA, la censure et la fermeture de médias critiques ont renforcé cette dérive.
La liberté de circulation est limitée par les ZFE. La liberté financière recule avec le plafond de retraits et l’euro numérique. La liberté d’expression s’éteint dans l’autocensure. Les réseaux censurent, la justice punit, les familles se taisent.
Une génération entière naît dans ce climat : elle ne connaît pas la liberté perdue. Se faire tracer, payer sans espèces, s’autocontrôler : c’est vu comme pratique. L’habitude remplace la vigilance.
Le peuple est administré comme une base de données. Gouverner devient gérer les comportements. La démocratie glisse vers une illusion bureaucratique, où le citoyen n’est plus acteur mais cible.
Ceux qui perçoivent ce glissement sont marginalisés, mais essentiels. Car ils sont les derniers à défendre un choix vital : liberté ou servitude.
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Le 1er mai 2025, Nicolas Stoquer dévoilait comment Macron, en pleine crise de mégalomanie, aurait déclenché une escalade irréversible contre la Russie… jusqu’à menacer Moscou le 9 mai, sur GPTV.
Macron déchaîne les hostilités contre Moscou
Emmanuel Macron, dans une posture ouvertement belliqueuse, affirme avoir « convaincu les Américains » d’accroître la pression sur la Russie. Il ne s’agit plus de diplomatie, mais d’un appel à l’intensification du conflit. Le président français se positionne en chef de guerre, pousse à de nouvelles sanctions et évoque un cessez-le-feu comme prétexte à une offensive renforcée. Cette stratégie ne vise plus le consensus, mais l’imposition.
Macron prétend que Trump se serait durci face à Poutine, alors que tout indique un rapprochement entre Moscou et la future administration américaine. Il façonne une réalité parallèle pour justifier des actes potentiellement irréversibles. Cette posture, perçue comme arrogante, inquiète jusque dans les cercles européens proches.
Kiev galvanisé par l’Occident
Après les propos de Macron, Kiev se sent renforcé. Roman Kostenko, haut responsable de la sécurité, évoque une attaque contre Moscou le 9 mai, jour sacré pour la Russie. Objectif : frapper la Place Rouge, alors que Poutine et Xi Jinping célèbrent la victoire sur le nazisme. C’est plus qu’une provocation : une attaque contre la mémoire historique russe.
Le message est limpide : le respect des commémorations n’existe plus pour l’Occident. Bombarder une cérémonie à forte charge symbolique serait un acte de rupture absolue. Soutenue par Paris, Berlin et Washington, l’Ukraine pousse les limites du tolérable. Loin d’appeler à la retenue, les élites occidentales laissent faire, voire encouragent.
Aujourd’hui, attaquer Moscou n’est plus impensable. C’est présenté comme légitime, au nom d’une guerre qui dépasse la défense du territoire : il s’agit désormais d’éradiquer un peuple et son identité.
Une Europe entraînée vers la folie guerrière
Macron n’est pas seul dans cette escalade. Friedrich Merz, futur chancelier allemand, alimente lui aussi la rhétorique guerrière. Il affirme que l’Europe est « immédiatement menacée » par la Russie, évoquant sabotage, désinformation et empoisonnements. Cette peur justifie une posture de confrontation totale.
Sous l’impulsion de Paris et Bruxelles, l’Union européenne devient le relais actif de l’OTAN. Merz renforce l’idée d’un bloc atlantiste en guerre psychologique, obsédé par la diabolisation de Moscou pour dissimuler ses propres échecs. L’Europe ne défend plus la paix : elle prépare un affrontement direct avec une puissance nucléaire.
Les opinions publiques, pourtant opposées à un conflit généralisé, sont ignorées. Chaque discours, chaque geste, prépare les esprits à la guerre. Ce qui était évitable devient inévitable. Macron, Merz et leurs alliés jouent avec le feu, prêts à sacrifier la stabilité du continent sur l’autel de leur orgueil.
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Le 1er mai 2025, le Capitaine Alexandre Juving-Brunet, Oskar Freysinger, François Martin et le Général Dominique Delawarde étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer !
Alexandre Juving-Brunet est un ancien capitaine de gendarmerie engagé dans plusieurs initiatives citoyennes. Médiatisé pour ses prises de position sur la souveraineté nationale et la résistance civile, il est devenu une figure marquante des mouvements alternatifs.
Oskar Freysinger, homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC et ex-parlementaire, a aussi été Secrétaire d’État. Aujourd’hui écrivain et chroniqueur, il vient de publier Verseau, après Animalia (éd. Serena).
François Martin est géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Fort de 40 ans dans le commerce international, il a parcouru plus de 100 pays et parle six langues.
Le Général Dominique Delawarde, saint-cyrien, a servi dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère. Ancien chef « Situation-Renseignement-Guerre électronique » de l’état-major opérationnel, il a commandé le 7e BCA à Sarajevo (1994-1995) et dirigé les officiers de liaison aux États-Unis.
Trump, révélateur du déclin américain et architecte d’un projet politique global
Trump incarne une rupture avec les élites qu’il tient pour responsables du déclin des États-Unis. Il donne voix à une colère populaire face à l’échec du globalisme. Son projet politique vise à reconstruire une souveraineté nationale autour de l’ordre, de l’autorité et d’une réinterprétation assumée du passé.
Il ne cherche pas à revenir à l’ancien monde, mais à l’adapter à la réalité contemporaine. Son leadership redéfinit l’influence américaine : recentrée, lucide, dégagée des illusions universalistes.
Un leadership repositionné face à la multipolarité montante
Trump prend acte de la multipolarité montante et ajuste sa stratégie. Il privilégie les rapports de force clairs, les négociations bilatérales et l’intérêt national. Face à l’Ukraine, au Proche-Orient ou aux BRICS, il adopte un réalisme fonctionnel et rejette toute ambition idéologique.
La réindustrialisation devient pour lui un levier d’indépendance stratégique. Il voit la multipolarité non comme une menace, mais comme une opportunité de repenser l’influence américaine hors du cadre interventionniste.
Le trumpisme comme réponse culturelle à la crise de sens occidentale
Trump répond à une perte de repères par un récit clair, fondé sur les valeurs traditionnelles et la souveraineté populaire. Il ne propose pas une idéologie, mais un cadre identitaire dans un monde désorienté.
Il devient un repère symbolique au-delà des États-Unis, porté par ceux qui rejettent le désenchantement démocratique et les dérives multiculturalistes. Son projet politique s’affirme comme une refondation culturelle face à un système en crise.
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Le 30 avril 2025, François Dubois, Patrick Pasin et Christian Cotten étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
François Dubois, ancien adjudant de la Gendarmerie nationale française, est devenu lanceur d’alerte et auteur. Il enseigne le droit pénal, collabore avec Profession Gendarme et Strategika.fr, et milite pour la résistance des forces de l’ordre face à la tyrannie républicaine. Il présente son dernier livre, Captionem, qui dévoile le projet de remplacement progressif de l’humain par la machine.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Christian Cotten, psychosociologue, est fondateur du parti « Politique de Vie ». Connu pour ses positions atypiques, il a accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité et déposé plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.
La progression fulgurante de l’intelligence artificielle et de la robotique n’est pas un simple accident de l’histoire. Derrière l’écran brillant du progrès technologique se cache une ambition froide et implacable : celle de l’État profond. À travers une gouvernance secrète, il orchestre l’essor d’outils capables de remodeler radicalement la société humaine, non pour l’émanciper, mais pour l’asservir.
Comment l’État profond expérimente un totalitarisme numérique grâce à l’intelligence artificielle
Depuis des décennies, l’État profond perfectionne en toute discrétion une gouvernance technocratique totale. Objets connectés, reconnaissance faciale, analyse prédictive : un filet invisible entoure chaque individu. La pandémie mondiale a servi de laboratoire pour tester ces outils à grande échelle.
L’intelligence artificielle n’est pas qu’un simple outil : elle est l’ossature d’un nouveau totalitarisme. Elle anticipe, encadre et réprime toute dissidence. Chaque geste, parole ou émotion est capté, disséqué, utilisé pour construire un système de contrôle absolu.
De Skynet à la réalité : vers un monde sans humains
Ce qui relevait de la science-fiction devient la feuille de route de certaines élites. Skynet n’est plus un fantasme : la fusion de l’IA et de la robotique annonce un monde où l’humain est jugé obsolète. Dans l’armée, l’industrie et même les services sociaux, la substitution est en marche.
Le but n’est pas d’améliorer l’homme, mais de le rendre superflu. Le transhumanisme, sous couvert d’utopie technologique, vise à éliminer l’imprévisibilité humaine. Ce projet d’automatisation extrême est porté par ceux qui veulent façonner une société sans âmes, totalement contrôlée.
La technologie moderne, une prison dorée pour l’humanité
Sous couvert de confort, l’hyperconnexion tisse une cage numérique. Chaque appareil connecté, chaque plateforme sociale, chaque assistant vocal est un maillon d’un réseau de surveillance mondiale. La liberté individuelle s’érode sous l’apparence du progrès.
Déconnecté de la nature et de sa propre essence, l’homme moderne devient une donnée manipulable. Ce n’est pas un accident, mais une stratégie visant à installer une gouvernance froide, totalitaire, déshumanisée. Plus qu’un avenir dystopique, c’est l’essence même de l’humanité qui est aujourd’hui menacée.
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Le 30 avril 2025, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde pour passer au crible un sujet d’actualité.
Le canular parfait d’un animateur devenu stratège du vide
Cyril Hanouna ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2027. L’information, absurde, a pourtant été prise au sérieux jusqu’à ce qu’il révèle lui-même la supercherie.
Il en explique les ressorts avec jubilation : en distillant de fausses confidences, en fabriquant un programme fictif et en misant sur la trahison humaine, il a orchestré un coup de communication spectaculaire pour promouvoir ses émissions. Une manœuvre médiatique cynique et précise.
Ce qui aurait dû être balayé a pris l’allure d’une potentielle candidature. Valeurs Actuelles a publié un article tapageur sur un « candidat Hanouna », avec sondage, programme fantasque et promesses irréalistes : SMIC à 2 200 euros, suppression de la Sécurité sociale, réduction du nombre de parlementaires.
Le grotesque n’a pas freiné la propagation. Ce buzz massif révèle une société saturée de faux-semblants où même les absurdités deviennent crédibles.
Une politique du vide au service du spectacle
Ce canular est un miroir tranchant de la classe politique. La facilité avec laquelle une farce devient fait politique traduit l’échec d’un système incapable d’imposer une hiérarchie de crédibilité.
La scène politique française est devenue un théâtre où la moindre rumeur fait événement. Le silence des idées cède à la surenchère des personnalités. Hanouna s’en amuse : dans ce désert intellectuel, une blague bien ficelée suffit à créer l’illusion du pouvoir.
Ce n’est plus la pertinence qui fait autorité, mais l’ampleur du buzz. La politique est devenue divertissement, calibrée pour réseaux sociaux et plateaux TV. Les figures sérieuses sont marginalisées, les trublions deviennent des figures d’identification. L’emballement autour de cette fausse candidature expose une vérité brutale : l’opinion est guidée non par les idées, mais par l’émotion immédiate.
Cyril Hanouna candidat 2027 : révélateur d’une époque ivre de mensonges
Nous ne savons plus distinguer le vrai du faux. Ce trouble collectif découle d’années de propagande institutionnelle et médiatique. À force de discours biaisés sur le climat, les crises sanitaires ou les conflits géopolitiques, les pouvoirs en place ont érodé les repères de vérité. L’esprit critique s’est dissous dans le relativisme généralisé, rendant tout plausible, même l’impensable.
C’est dans ce climat d’incertitude que prospèrent les canulars. Hanouna montre que la société est prête à croire n’importe quoi, pourvu que ce soit spectaculaire. Les fake news sont devenues le carburant du débat public. Les médias mainstream et leurs « fact-checkers » autoproclamés n’échappent pas à cette dérive. À force de vouloir contrôler le récit, ils ont perdu leur autorité morale, poussant le public vers l'ironie ou la crédulité.
Ce canular présidentiel, aussi dérisoire soit-il, révèle une fracture civilisationnelle. Nous ne croyons plus en rien, mais nous croyons tout. Ce vertige cognitif annonce une chute inévitable. Plus dure sera la réalité lorsqu’elle reviendra frapper à la porte.
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Le 30 avril 2025, Finn Andreen, Nikola Mirkovic, Fabien Bouglé et Stéphane Bonnard étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen, entrepreneur et auteur suédois basé en France est spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques et les rapports de force mondiaux.
Nikola Mirkovic , auteur diplômé de l’European Business School et Président de l’association Ouest-Est, a mené de nombreuses missions humanitaires au Donbass en guerre ainsi qu’au Kosovo et en Métochie. Il est régulièrement invité par les médias francophones et internationaux pour ses analyses géopolitiques.
Fabien Boulgé, expert en politique énergétique et auteur du livre La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial, analayse les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.
Stéphane Bonnard, expert en géopolitique et spécialiste de l’armement a notamment servi au SGDN, Secrétariat Général à la Défense Nationale et anime la chaîne Réinformation sur le Monde.
Le rejet politique et l’humiliation géopolitique brisent l’édifice européen
L’effondrement de l’Union Européenne devient inévitable. Les peuples rejettent en bloc leurs élites, exaspérés par des décennies de trahisons et de soumission. Ce rejet profond traduit une rupture irréversible entre les gouvernés et ceux qui prétendent gouverner.
Sur le plan géopolitique, l’Europe n’est plus qu’un pion. L’ambition initiale d’une puissance souveraine s’est muée en humiliation permanente, de l’alignement atlantiste à l’échec face aux grandes puissances. Le rachat de Nord Stream par des intérêts américains scelle l’évidence : l’Europe a cessé d’exister politiquement.
Comment l’effondrement de l’Union Européenne a détruit les peuples et les États
L’UE n’a pas seulement échoué ; elle a détruit ce qui faisait la force des nations européennes. Sous le joug de Bruxelles, souverainetés et identités ont été anéanties. L’illusion de prospérité cachait la désindustrialisation, le surendettement, et la dislocation sociale.
Aujourd’hui, l’effondrement économique s’accélère. Les peuples réalisent enfin qu’ils n’ont plus d’avenir dans une structure qui les a sacrifiés à la domination américaine. Le rêve européen est devenu un cauchemar d’impuissance et de dépendance.
L’effondrement de l’Union Européenne, révélateur de la chute occidentale
L’Amérique, en tentant de maintenir l’Europe sous tutelle, prépare aussi sa propre chute. La crise énergétique européenne, aggravée par l’idéologie des énergies renouvelables, dévoile la vulnérabilité structurelle du continent.
L’effondrement des réseaux énergétiques en Espagne et au Portugal n’est que le premier signe de l’implosion systémique. Le Sud Global observe et anticipe l’émergence d’un monde multipolaire. L’Occident, fondé sur l’expansion permanente, atteint ses limites.
Dans cette débâcle, une opportunité pourrait surgir : reconstruire une Europe libre, souveraine, ancrée dans ses racines, prête à s’ouvrir à un nouvel équilibre mondial.
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Le 29 avril 2025, le Capitaine Fabre-Bernadac, Christian Cotten et Franck Layré-Cassou étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Le Capitaine Jean-Pierre Fabre Bernadac, ancien officier de la gendarmerie française, préside le collectif Place d’Armes, qui regroupe d’anciens militaires préoccupés par l’évolution de la France et milite pour une restauration de l’ordre et des valeurs républicaines.
Christian Cotten, psychosociologue français, fondateur de « Politique de Vie », s’est illustré par ses prises de position atypiques, notamment sa plainte déposée contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité en décembre 2024.
Franck Layré-Cassou, passionné d’histoire et fervent napoléonien, est auteur d’ouvrages sur l’Empereur et a été candidat sous Reconquête! à Paris. Il milite désormais au Rassemblement National.
Macron entraîne la France vers un conflit mondial
Emmanuel Macron engage la France sans consultation du peuple ni du Parlement. Le président outrepasse la légitimité constitutionnelle en signant des accords militaires, notamment celui du 16 février 2024 avec l’Ukraine, violant l’article 35 de la Constitution. Il expose directement la nation à un conflit avec une puissance nucléaire, en dissimulant la nature réelle des engagements français sous le terme de « missions de formation ».
Face à cette dérive, des officiers appellent publiquement au respect du cadre institutionnel. Leur message est clair : la France ne doit pas être engagée dans une guerre sans débat ni vote. Leur courage contraste avec la paralysie des institutions civiles.
L’opposition parlementaire : inertie et complicité
Alors que Macron viole ouvertement la Constitution, l’opposition se limite à des indignations verbales. Aucune motion de censure sérieuse n'est lancée. Le Parlement abdique face à l’exécutif au moment même où l’entrée en guerre menace la souveraineté nationale.
Certains députés agissent isolément, mais aucune stratégie concertée n’émerge. Ce silence parlementaire face aux engagements militaires lourds constitue une trahison politique. Le président gouverne sans opposition réelle, dans une abdication institutionnelle dramatique.
L’élimination des voix dissidentes dans l’armée
La radiation du général Coustou illustre l’éradication des voix critiques dans l’armée. Il n’a pas été sanctionné pour des fautes professionnelles, mais pour avoir rappelé que la loyauté de l’armée doit aller au peuple, pas au président.
Ce processus vise à transformer l’armée en simple outil du pouvoir exécutif, rompant avec sa tradition de défense nationale. En étouffant les opposants, Macron accélère la verticalisation autoritaire du régime. Chaque voix réduite au silence renforce un pouvoir personnel déconnecté de toute souveraineté populaire.
La radiation du général Coustou acte ainsi une volonté politique : purger l'armée de toute mémoire républicaine, installer un pouvoir qui n’admet plus la critique même institutionnelle, et précipiter la France vers un système sans contre-pouvoirs.
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Le 29 avril 2025, Mike Borowski est allé demander aux Français s’ils connaissaient le World Economic Forum, le Great Reset, Klaus Schwab ou le groupe Bilderberg, pour GPTV Investigation … et ce qu’il a découvert est tout simplement édifiant !
L’ignorance organisée : un peuple coupé de ceux qui décident
À Paris, place de la Bastille, l’expérience a exposé l’état d’anesthésie collective. La quasi-totalité ignorait ce qu’est le WEF ou le Great Reset. Cette absence de connaissance est le fruit d’une ingénierie sociale visant à créer une masse docile, incapable de comprendre les transformations imposées d’en haut. Saturés par l’immédiateté des réseaux et des contenus débilitants, les citoyens sont coupés des enjeux réels.
Le World Economic Forum, le Great Reset et Bilderberg
Davos façonne les politiques de demain. Klaus Schwab, architecte du Great Reset, veut refondre l’économie mondiale. Pourtant, ces événements échappent totalement à la connaissance populaire. La majorité ignore également l’existence de Bilderberg, espace secret où l’élite mondiale décide des orientations futures. Cette opacité protège efficacement leur domination.
Vers une société sous contrôle total
L’ignorance volontaire devient une norme sociale. Le refus de s’informer, même à l’ère numérique, traduit une soumission aux récits dominants. Le Great Reset repose sur cette dynamique : remodeler les sociétés dans la passivité. La Bastille, ancien symbole de révolte, témoigne désormais de l’indifférence face aux gigantesques mutations imposées par les élites.
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Le 29 avril 2025, Nicolas Stoquer dévoilait comment le délire écologique, la surproduction solaire, la fragilité des réseaux électriques et l’aveuglement des élites précipitent l’Occident vers un blackout généralisé, sur GPTV.
L’effondrement brutal du réseau ibérique expose une faille majeure
La coupure électrique qui a frappé l’Espagne, le Portugal et le sud de la France le 28 avril 2025 n’est pas un incident isolé. À 12h33, une oscillation atmosphérique a déséquilibré le réseau espagnol, faisant chuter la demande de 27 500 MW à 15 000 MW. L’interconnexion européenne a propagé le déséquilibre.
À Madrid, Barcelone, Lisbonne : hôpitaux, métros, feux de signalisation paralysés. Ce blackout a révélé la fragilité extrême d’un réseau dépendant d’un équilibre permanent entre production et consommation.
Les autorités parlent de phénomène météo exceptionnel. Mais c’est la structure même du réseau européen qui est en cause : il ne supporte plus de chocs extrêmes.
Le dogme écologique aggrave la vulnérabilité du système
La transition vers un mix 100 % renouvelable expose gravement les réseaux. L’Espagne, saturée à 60 % de solaire au moment du blackout, est l’exemple parfait. La surproduction intermittente a rendu le réseau incontrôlable.
Sans stockage massif ni pilotage fiable, l’intermittence du renouvelable devient un danger. Les interconnexions, censées stabiliser, deviennent des vecteurs de contagion en cas de crise.
La fiction d’un réseau sans carbone est imposée par une élite coupée des réalités physiques. La multiplication des renouvelables sans contrôle fabrique un système instable, en voie d’effondrement.
Le blackout massif devient un scénario inévitable
La panne ibérique prouve qu’un effondrement général n’est plus une hypothèse. Quelques minutes d’oscillations suffisent à faire tomber un continent entier.
Les secours d’urgence – Maroc, centrales à gaz, barrages – ont évité le pire cette fois. Mais demain ? Sans énergies pilotables, sans réalignement stratégique, un blackout prolongé entraînerait famines, violences et chaos politique.
L’excuse des cyberattaques ou de la météo cache mal l’évidence : l’Occident, par aveuglement idéologique, court à la catastrophe énergétique.
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Le 29 avril 2025, Sylvain Ferreira, le Général Emmanuel de Richoufftz et le Capitaine Gérard Hardy étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre entre 1850 et 1945. Il analyse l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et contribue à plusieurs revues. Il est l’auteur de La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Le Général de Richoufftz, surnommé le « général des banlieues », a développé une approche innovante pour réintégrer les jeunes issus de l’immigration. Dans France Sécessionniste : Que faire ?, il détaille son programme « Permis, Sport, Emploi », qui a permis à plus de 2000 jeunes d’échapper à la criminalité grâce à un partenariat public/privé mobilisé pendant six mois.
Le Capitaine Gérard Hardy, vice-président de Place d’Armes, est un ancien officier de l’armée française engagé dans la défense de la souveraineté nationale et des valeurs républicaines. Par son action, il rassemble anciens militaires autour de la lutte contre l’insécurité et pour la préservation de l’identité nationale.
L’échec total de Macron et de son agenda mondialiste
Emmanuel Macron incarne l’échec historique du projet mondialiste. En politique étrangère, économique et sociale, ses résultats sont désastreux. Au lieu de défendre la souveraineté, il agit en exécutant d’intérêts étrangers, aggravant crises et déclin.
Sur le front ukrainien, l’armée ukrainienne accumule les revers. La Russie renforce ses positions pendant que Macron poursuit l’engrenage guerrier imposé par Washington. L’Afrique illustre aussi cet échec : en RDC et ailleurs, la France perd toute influence.
Face à ces reculs, Macron isole la France et sacrifie ce qui restait de son prestige diplomatique. Ses interventions extérieures apparaissent déconnectées des intérêts nationaux et précipitent l’effondrement de l’image française.
La France intérieure au bord de l’implosion
À l’intérieur, le pays sombre dans l’insécurité, l’immigration incontrôlée et la désindustrialisation. Le Général de Richoufftz alerte depuis des années sur le risque de guerre civile si rien n’est fait pour restaurer l’ordre.
La fracture sociale s’aggrave : une élite hors-sol s’enrichit tandis que la majorité s’appauvrit. Gérard Hardy et Place d’Armes incarnent une résistance patriotique exigeant un retour au respect constitutionnel et à l’intérêt national.
Le pouvoir multiplie les mesures autoritaires : répression, instrumentalisation judiciaire, surveillance de masse. Malgré cette chape de plomb, la colère populaire enfle, rendant l’effondrement du régime inévitable sans alternative crédible.
L’armée, ultime espoir face à la dérive
L’armée française reste le dernier rempart de la Nation. Chargée de défendre non seulement le territoire mais aussi la légalité bafouée, elle pourrait stopper la dérive actuelle.
La lettre des généraux aux parlementaires constitue un avertissement solennel : face à un pouvoir devenu illégitime, l’armée doit choisir entre la soumission et le service du peuple.
Si elle agit, elle bénéficiera d’un soutien massif. Les Français n’attendent plus que des actes concrets pour mettre fin à la trahison des élites. Le destin de la France dépendra du courage ou de la lâcheté des serviteurs de la Nation.
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Le 28 avril 2025, Alain Soral et Fabrice Di Vizio étaient les invités exceptionnels de La Grande Émission , animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Alain Soral est un intellectuel et essayiste franco-suisse. Président de l’association Égalité et Réconciliation, il a également fondé la maison d’édition Kontre Kulture. Personnalité sulfureuse, ses analyses lui ont valu une persécution médiatique, politique et judiciaire colossale.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
La France traverse une crise existentielle sans précédent. À travers les fractures identitaires, religieuses et politiques, une question brutale s’impose : qui est responsable de l’assassinat de la nation française ?
Ce soir, deux invités confrontent leur analyse : responsabilité de la République, trahison par l’Union européenne, laïcité dévoyée, solution catholique. Une confrontation d’idées vitale pour comprendre si la France est condamnée ou si elle peut encore renaître.
République, ennemie intime de la France ?
La République est mise en accusation : née dans la rupture, elle aurait nié les traditions, la foi catholique et l’identité nationale. Sous prétexte d’émancipation, elle aurait méthodiquement arraché les fondements spirituels et sociaux de la France, livrant le pays aux idéologies de l’individualisme et du relativisme.
La laïcité, loin d’être neutre, aurait instauré une religion d’État sans transcendance, éradiquant toute spiritualité. Derrière cette neutralité affichée, un ordre nouveau hostile à l’âme française aurait été instauré.
Europe, République et Laïcité : instruments de la décomposition nationale
L’Union européenne apparaît comme une extension logique de la République : un projet idéologique visant à effacer les souverainetés et à diluer les identités au profit d’une uniformisation technocratique.
La laïcité, transformée en idéologie d’État, aurait vidé la société de ses repères métaphysiques, favorisant l’érosion de la cohésion nationale et précipitant la France dans l’oubli d’elle-même.
Catholicisme, dernier rempart pour la survie française ?
Le retour au catholicisme est envisagé comme une condition de survie. Sans renouer avec ce qui a fait la France — baptême de Clovis, Trône et Autel, foi chrétienne —, la nation serait condamnée à n’être qu’une coquille vide.
Le catholicisme apparaît comme une nécessité spirituelle et historique pour restaurer l’unité nationale et offrir une boussole morale à une société déboussolée. Seule une renaissance spirituelle permettrait une véritable restauration.
Le débat ouvre des questions fondamentales : faut-il sortir de la République, quitter l’Union européenne ou restaurer d’abord la primauté du spirituel pour espérer sauver la France ?
À travers cet affrontement d’arguments, c’est l’avenir même de la nation qui se joue.
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Le 28 avril 2025, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous pour une émission autour d’un sujet d’actualité brûlant, sur Géopolitique Profonde.
Macron et le conclave 2025 : une ingérence d’État au Vatican
Emmanuel Macron ne cache plus ses ambitions d’intervention dans les affaires spirituelles. Déjà coutumier de l’ingérence en Roumanie ou en Moldavie, il s’attaque désormais au cœur de l’Église catholique en cherchant à influencer le conclave de 2025.
Multipliant les contacts avec les cardinaux français, il tente de barrer la route au cardinal Sarah, figure conservatrice redoutée pour sa défense intransigeante des racines chrétiennes et de l’identité occidentale. Ce positionnement est vu comme un obstacle majeur par les réseaux mondialistes auxquels Macron est ouvertement lié.
La présence insistante du président français auprès de la dépouille du pape François, qualifié de « Pape Franc-Maçon », en dit long sur ses aspirations. En s’opposant frontalement à la candidature de Sarah, Macron entend peser sur l’avenir spirituel mondial, préférant promouvoir un successeur aligné avec les idéaux progressistes et modernistes chers aux élites globalistes.
Cardinal Sarah face aux modernistes : les enjeux du conclave 2025
Le cardinal Robert Sarah défend une Église fidèle à sa tradition bimillénaire. Opposé au wokisme, au relativisme religieux et à l’islamisme, il incarne la résistance au déclin spirituel occidental. Son élection représenterait un sursaut salvateur contre la dissolution doctrinale.
À l’opposé, les cardinaux français liés à Macron défendent une ligne moderniste, favorisant l’ouverture et l’abandon progressif des dogmes historiques. Le conclave oppose deux visions irréconciliables : une Église enracinée et souveraine contre une Église ouverte et perméable au mondialisme.
Un conclave sous haute tension géopolitique
Les révélations du cardinal Erdö ont exposé les pressions politiques exercées sur le conclave. Si elles se confirment, elles marqueraient une rupture historique dans l’indépendance spirituelle du Saint-Siège, instaurée depuis des siècles.
L’élection du prochain pape devient ainsi un enjeu géopolitique majeur. Face aux manœuvres mondialistes, la victoire d’un cardinal comme Sarah symboliserait le refus de la soumission idéologique et la préservation de l’héritage chrétien. Ce conclave ne sera pas un simple choix religieux, mais une bataille décisive pour l’avenir spirituel de l’Occident.
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Le 28 avril 2025, François Asselineau, Claude Janvier, le Général André Coustou et Frigide Barjot étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
François Asselineau ancien haut fonctionnaire et homme politique français est président de l’Union Populaire Républicaine (UPR) depuis 2007.
Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené sa carrière dans différents cabinets ministériels de droite durant les années 1990. Il défend la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.Claude Janvier, écrivain et essayiste, est l’auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s'intitule L’État Profond Français.
Le Général Coustou, ancien officier de l’armée française, a consacré sa carrière à la défense des intérêts nationaux. Aujourd’hui, il s’engage sur un nouveau front : le renouveau patriotique, à travers le lancement de son association Pro Patria.
Frigide Barjot, humoriste et militante française, a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au mariage des couples de même sexe et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la filiation biologique et la reproduction humaine.
L’indécence d’un président en roue libre
Lors des cérémonies d’inhumation du « Pape des mondialistes », Emmanuel Macron a encore franchi un cap dans l’indécence politique. Des jardins du Vatican en compagnie de Zelensky jusqu’à l’invitation du Recteur de la Mosquée de Paris, tout a illustré sa déconnexion totale.
Macron n’a pas cherché à représenter la France, mais à séduire toutes les clientèles mondialistes. Cette mise en scène grotesque, relayée par des médias serviles, n’a trompé que les naïfs.
Sur le dossier ukrainien, il préfère l’esquive. Privé d’accès aux négociations entre Trump et Poutine, il expose l’inanité de la diplomatie française. Loin d’être un faiseur de paix, Macron est devenu un figurant dans un jeu qui le dépasse.
La faillite de Macron : mondialisme et échec économique
Sur le front intérieur, la débâcle est manifeste. Celui qui se présentait comme le « banquier providentiel » a précipité la France vers l’abîme économique. Le FMI alerte sur l’explosion de la dette. L’héritage du « quoi qu’il en coûte » empoisonne durablement les comptes publics.
Confronté à son échec, Macron semble miser sur la diversion guerrière. Derrière les sourires forcés et les grandes déclarations, se profile une stratégie cynique : préparer l’opinion à de nouveaux sacrifices sous couvert d’une illusion de grandeur retrouvée.
Les médias complices d’une vaste manipulation
La presse officielle maquille les échecs en triomphes imaginaires. Chaque rencontre diplomatique est montée en épingle, chaque revers camouflé. Cette dissonance entre la propagande et la réalité alimente une défiance croissante envers les institutions.
Les journalistes de cour, en refusant de dire la vérité sur l’isolement français, participent activement à la chute d’un pays trahi par ses propres élites. Plutôt que d’éclairer les citoyens, ils consolident un mensonge d’État qui mène la nation à la ruine.
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Le 27 avril 2025, Laurent Guyenot était l’invité de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
Laurent Guyénot est un historien et essayiste français, spécialiste de l’histoire biblique et de l’histoire des religions. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont JFK 11-Septembre – 50 ans de manipulations et Du Yahvisme au Sionisme. Il s’intéresse notamment aux rapports entre le judaïsme, le christianisme et l’islam, ainsi qu’aux enjeux géopolitiques actuels.
Israël, principal bénéficiaire de l’élimination des Kennedy
L’élimination de John F. Kennedy et de son frère Robert n’a rien d’accidentel. Elle répond à la nécessité stratégique pour Israël de préserver son programme nucléaire clandestin à Dimona. JFK avait exigé des inspections, menaçant directement les ambitions israéliennes. Sa mort a permis à l’administration Johnson de se plier aux intérêts de Tel-Aviv.
La mort de Robert Kennedy, candidat à la présidentielle, parachève cette dynamique : il incarnait la continuité de l’indépendance politique amorcée par son frère. Sa disparition a scellé l’alignement complet des États-Unis sur Israël. Les Kennedy ont été éliminés pour purger toute opposition sérieuse à l’influence sioniste croissante.
Les révélations issues des dossiers déclassifiés confirment : les Kennedy ont été abattus pour garantir la mainmise sur la diplomatie américaine. Israël, en arrière-plan, figure parmi les principaux bénéficiaires de cette purge géopolitique.
Les archives déclassifiées : un séisme dans l’histoire officielle
Les documents récemment ouverts révèlent des liens étroits entre des agents du Mossad et des acteurs majeurs du drame Kennedy. Des flux d’argent, des rendez-vous secrets, des réseaux mafieux liés au lobby pro-israélien apparaissent clairement. L’implication directe d’Israël ne fait plus de doute.
Le rôle d’intermédiaires comme Meyer Lansky, figure clé du crime organisé pro-sioniste, expose la collusion entre intérêts israéliens et agences américaines. Le « complot » longtemps qualifié de théorie marginale est désormais validé par les faits.
Depuis plus de cinquante ans, une illusion soigneusement construite masque la véritable nature de l’opération : un coup d’État géopolitique destiné à installer une nouvelle hégémonie. Le voile se déchire aujourd’hui, mettant en lumière une falsification historique d’une ampleur colossale.
Robert Kennedy Jr, symbole d’une soumission totale
Robert Kennedy Jr incarne la tragédie de sa lignée : la soumission à ceux qui ont anéanti sa famille. Malgré l’évidence des preuves, il soutient publiquement Israël, trahissant l’héritage de JFK et RFK.
Son ralliement est l’ultime victoire psychologique des réseaux néoconservateurs et sionistes américains. Cette soumission n’est pas anodine : elle symbolise l’effondrement complet de l’indépendance américaine au profit d’intérêts étrangers.
Le combat des Kennedy pour une Amérique souveraine a été enterré par la génération suivante. Le rêve d’une politique étrangère indépendante a cédé la place à un alignement total avec le Pentagone, Israël et Wall Street. La mutation est achevée, froide, méthodique, inscrite dans l’ordre imposé depuis 1963.
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Le 27 avril 2025, Mickaël demandait aux Français s’ils sont prêts à voir l’intelligence artificielle remplacer l’humain, détruire les métiers, manipuler les voix et effacer toute empathie, sur GPTV Investigation.
L’IA accélère la disparition des métiers humains
L’intelligence artificielle démantèle rapidement les métiers traditionnels. Caissiers, comptables, avocats, médecins : toutes les professions sont touchées. L’IA, plus rapide et fiable, relègue l’humain à un coût inutile. Bill Gates l’a annoncé : l’humain deviendra obsolète en une décennie.
Le chômage de masse n’est plus une menace lointaine mais une conséquence directe. Le tissu social est menacé. Ceux qui contrôlent l’IA imposent leur domination sur une population reléguée à l’inutilité programmée. La fracture entre dominants technologiques et dominés sociaux est en train de se figer de manière irréversible.
La déshumanisation du monde est déjà enclenchée
L’essor de l’IA supprime les liens humains authentiques. Services publics automatisés, robots conversationnels, assistants vocaux : tout est fait pour éliminer l’empathie. Chaque innovation remplace la rencontre par une interface froide.
La peur d’une société où « tais-toi et obéis » devient la norme est omniprésente. Le monde émotionnel est effacé au profit d’une mécanique impersonnelle. Ce n’est pas une évolution progressive mais une brutalité systémique, conduite par ceux qui voient dans l’IA un levier de contrôle infini.
Nombreux témoignages évoquent une nostalgie du monde « pré-automatisation ». Ce n’est pas du passéisme mais une réaction légitime face à la numérisation totale de l’être humain. Les capacités humaines – ressentir, comprendre, dialoguer – sont sacrifiées sur l’autel de l’efficacité et du contrôle.
La manipulation numérique devient une arme contre l’individu
L’IA rend possible la falsification massive de la réalité. Deepfakes visuels et vocaux permettent de faire dire n’importe quoi à n’importe qui, détruisant la confiance publique. Dans ce contexte, la vérité devient une variable contrôlée par ceux qui détiennent les algorithmes.
L’intégrité individuelle est en péril. Chaque voix, image ou vidéo peut être détournée, rendant toute défense impossible. Dans un monde saturé de faux, la société devient instable, méfiante, paranoïaque.
La surveillance numérique, associée à l’IA, construit une société de contrôle absolu. L’IA n’est pas neutre : elle est programmée pour imposer une vision du monde. Ceux qui la contrôlent redéfinissent la réalité à leur avantage. L’individu devient un pion, incapable de saisir les règles du jeu.
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Le 27 avril 2025, Mike Borowski révèlait comment la mort mystérieuse de Virginia Giuffre expose le réseau Epstein, la protection de la famille royale et l’effacement des vérités interdites, sur GPTV !
Virginia Giuffre, une cible programmée pour être effacée
Virginia Giuffre représentait une menace directe pour le réseau Epstein et ses alliés, notamment la famille royale britannique. Son témoignage précis constituait un danger existentiel pour les puissants impliqués. Depuis plusieurs années, Giuffre signalait qu’elle se savait en danger. L’accident de mars 2025, présenté comme bénin, masque une orchestration méthodique de sa disparition.
Tout indique que Giuffre a été neutralisée. Elle n’était pas qu’une victime emblématique : elle incarnait la preuve vivante de la corruption généralisée et de l’impunité des élites. Sa mort s’inscrit dans une stratégie globale visant à protéger ces réseaux en éliminant toute menace potentielle.
L’appareil monarchique britannique sur la défensive
L’implication du prince Andrew plaçait la monarchie britannique sous pression. La disparition de Giuffre élimine un risque majeur de scandale judiciaire ou médiatique. L’affaire Epstein a toujours été traitée de manière à minimiser l’impact pour la royauté. La méthode classique est appliquée : suicide précipité, communication verrouillée, aucune enquête indépendante.
La protection de la monarchie exigeait cet acte radical pour préserver l’image de l’institution, au moment où elle est déjà fragilisée dans l’opinion publique. Giuffre constituait une bombe à retardement que les puissants n’étaient plus prêts à laisser vivre.
L’opération de nettoyage mondial autour de l’affaire Epstein continue
La mort de Virginia Giuffre s’inscrit dans une série de disparitions suspectes depuis 2019 : témoins, avocats, proches, tous écartés. Ce réseau mondial agit comme une véritable organisation criminelle, neutralisant toute menace par le discrédit, l’isolement, l’intimidation ou l’élimination physique.
La disparition de Giuffre confirme que l’affaire Epstein n’est pas close. Le système reste actif, protégé par des complicités institutionnelles puissantes. L’élimination des témoins gênants est devenue une règle. Ce n’est plus seulement une guerre judiciaire : c’est une guerre de l’information où la survie des puissants passe par l’effacement systématique des vérités dérangeantes.
Giuffre n’est pas juste une victime : elle est la preuve que l’ordre social actuel repose sur la répression violente de toute dissidence. Le pouvoir n’efface pas seulement des individus ; il efface la mémoire collective des crimes commis par l’élite.
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Le 27 avril 2025, Pierre-Antoine Plaquevent est l’invité de Nicolas Stoquer et Lara Stam, pour Le Libre Journal de Géopolitique Profonde.
Pierre-Antoine Plaquevent, essayiste et expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales, est reconnu pour ses ouvrages sur la manipulation et l'ingénierie sociale orchestrées par les élites globalistes.
L’Europe, maillon faible dans la guerre des blocs
L’Europe, désarmée idéologiquement et stratégiquement, est devenue une proie, pas un acteur. Elle sert de terrain de jeu aux tensions sino-américaines. Washington impose ses normes, Pékin infiltre ses infrastructures. Bruxelles, enfermée dans le néolibéralisme, n'offre ni rêve collectif, ni souveraineté.
Réduits à des consommateurs, les Européens subissent l’effacement progressif de leur identité. Tandis que les autres empires assument tradition et civilisation, l’Europe se perd dans une technocratie sans âme.
Un projet sans âme porté par une élite ésotérique
Le pouvoir bruxellois repose sur un ésotérisme froid : sacrifier pour gouverner. Les musulmans, les Russes, les conservateurs deviennent les boucs émissaires nécessaires à la cohésion d’une Europe sans racines. Loin du christianisme, qui sacrifie pour sauver, l’élite mondialiste sacrifie pour se maintenir.
Cette dynamique ritualise l’élimination des opposants. Les campagnes contre la Russie, Orbán ou Meloni relèvent d’une liturgie inversée. En réaction, une résistance culturelle renaît : jeunes Européens redécouvrant la foi comme rempart contre le relativisme et l’atomisation sociale.
Empêcher l’Eurasie, sanctuariser Israël
La stratégie américaine reste inchangée : empêcher toute fusion eurasiatique. Maintenir la Russie en guerre, l’Europe en vassalité et l’Asie en tension sert à conserver l’hégémonie atlantiste. L’axe Moscou-Berlin-Pékin est l’ennemi à abattre.
Dans ce dispositif, Israël occupe un rôle stratégique et spirituel. Proxy militaire et foyer théologico-politique, l’État hébreu devient le pivot des tensions globales. L’alliance entre évangélistes millénaristes américains et extrémismes religieux israéliens forme un risque explosif centré sur Jérusalem.
Le cœur de la future confrontation mondiale se trouve au Moyen-Orient. Israël, loin d’être une exception, est au centre d’un dispositif où géopolitique et mystique se mêlent. L’Europe, instrumentalisée, ne joue plus pour elle-même : elle sert un projet qui la dépasse, celui de l’ingénierie d’un nouvel ordre global.
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