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Le 18 novembre 2024, Corinne Lalo était l’invitée de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !
Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines des affaires les plus marquantes de notre époque : du scandale du sang contaminé au nuage de Tchernobyl, en passant par la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.
Elle est aussi coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre « Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas », offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique souvent passée sous silence. Grâce à ses recherches, elle apporte un éclairage important sur l’impact de ces substances chimiques sur notre organisme.
Ces dangers invisibles qui envahissent nos maisons
Les perturbateurs endocriniens, omniprésents dans notre quotidien, représentent une menace invisible mais grave. Ces substances chimiques, qui perturbent nos hormones, se trouvent dans les matelas, textiles, produits d’hygiène et emballages plastiques. Elles sont liées à des problèmes tels que l’infertilité, les cancers hormonodépendants et les maladies métaboliques.Dans la chambre, les matelas traités aux retardateurs de flamme et les meubles en panneaux de particules libèrent des substances nocives dans l’air intérieur. Dans la salle de bain, les cosmétiques regorgent de parabènes et phtalates, provoquant des troubles hormonaux et augmentant les risques de cancer. En cuisine, les ustensiles en téflon, les boîtes plastiques contenant du bisphénol A (BPA) et les pesticides contaminent nos aliments, exposant notre santé à des substances hormonotoxiques.
Vos ustensiles de cuisine pourraient vous rendre malade
Le bisphénol A (BPA), présent dans les boîtes de conserve, tickets de caisse et plastiques, imite les œstrogènes et perturbe le système endocrinien. Il est associé à l’obésité, au diabète, aux troubles cardiovasculaires et neurologiques. Chez les enfants, il peut provoquer des retards de développement et des troubles comportementaux.Les ustensiles antiadhésifs en composés perfluorés libèrent des toxines volatiles lorsqu’ils sont chauffés ou abîmés. Les emballages plastiques, au contact d’aliments chauds ou exposés à la lumière, aggravent encore l’exposition. Ces substances s’accumulent dans notre corps et augmentent les risques de maladies chroniques.
Malgré ces dangers, les lobbies industriels retardent les interdictions pour préserver leurs profits, mettant la santé publique en péril. Cela impose une vigilance accrue et des efforts individuels pour limiter notre exposition.
Comment agir face à ces dangers invisibles ?
Pour réduire les risques, privilégiez des matériaux comme le verre ou l’inox en cuisine et remplacez les cosmétiques classiques par des produits naturels exempts de parabènes et phtalates. Dans la chambre, optez pour des matelas et meubles sans traitements chimiques et aérez régulièrement votre intérieur.Cependant, les actions individuelles ne suffisent pas. Il est essentiel de faire pression pour des réglementations strictes et exiger des alternatives sûres. La santé des générations futures, ainsi que celle des écosystèmes déjà gravement impactés par ces substances, est en jeu.
Ne laissez pas ces menaces invisibles compromettre votre santé ! Pour mieux comprendre les objectifs de Big Pharma, accédez à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 18 novembre 2024, Alexandre Juving-Brunet était l’invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !
Alexandre Juving-Brunet est une figure publique connue pour son engagement dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est fait remarquer par son implication dans des initiatives citoyennes et a été médiatisé pour ses prises de position sur des questions de souveraineté nationale et de résistance civile.
Macron et l’échec d’une France souveraine
La victoire de Donald Trump et le Brexit ont bouleversé les équilibres politiques mondiaux, ouvrant une chance de renverser l’élite mondialiste. Pourtant, en France, cette opportunité a été gâchée. En 2017, alors que les peuples rejetaient massivement les élites globalistes, Emmanuel Macron a accédé au pouvoir grâce à une alliance entre médias, multinationales et institutions financières. Son élection a scellé la victoire des forces mondialistes. Toute opposition crédible a été méthodiquement écrasée, laissant le champ libre au projet globaliste.Aujourd’hui, les médias verrouillent le débat public, empêchant l’émergence de figures alternatives. Si les patriotes ne réalisent pas l’urgence, la souveraineté française sera abandonnée à une Europe fédérale soumise à la mondialisation. L’action immédiate est impérative, car attendre condamnerait la France à la soumission.
L’Europe, nouveau terrain de jeu des élites mondialistes
L’État profond américain, fragilisé par Trump et les crises économiques, semble investir l’Europe pour asseoir son influence. Les institutions européennes imposent une gouvernance supranationale coupée des peuples. Bruxelles efface les identités nationales et souverainetés populaires, sous l’impulsion d’Emmanuel Macron, partisan d’une Europe fédérale où les nations ne seraient que des régions administratives.Ce projet avance rapidement. Si cette vision se concrétise, la souveraineté française disparaîtra dans une Europe technocratique centralisée. Toute opposition sera neutralisée avant de pouvoir émerger.
Les patriotes doivent agir pour contrer ce plan. Ne pas réagir équivaudrait à abandonner la France aux intérêts étrangers, notamment ceux de l’État profond américain. La lutte pour la souveraineté nécessite une mobilisation immédiate et sans concession.
Une opposition forte pour défier les élites
Les patriotes doivent surmonter leurs divisions internes et querelles inutiles. Ces dissensions affaiblissent le mouvement et renforcent le système en place. Pour espérer renverser les élites mondialistes, il est essentiel d’unir les forces et de proposer une alternative crédible et ambitieuse.Certaines figures comme Alexandre Juving-Brunet, avec son discours appelant à une rupture totale avec le système actuel, mobilisent déjà une partie des Français. Mais pour constituer une véritable alternative, il faut dépasser les discours et élaborer une stratégie capable de rivaliser avec l’appareil politico-médiatique des élites.
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Saknas det avsnitt?
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Le 17 novembre 2024, Alex Bram et Ralf étaient les invités de Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde, pour parler du déclin de la France et des actions concrètes à entreprendre pour éviter le pire.
Alex Bram est un YouTubeur spécialisé dans les analyses business pour inspirer les futurs entrepreneurs. Après avoir abandonné ses études d’ingénieur, il a lancé sa chaîne YouTube. Il croit que l’attention est le nouveau pétrole et aide ses abonnés à créer du contenu rentable tout en partageant ses propres stratégies pour réussir sur YouTube.
Ralf est un créateur de contenu éclectique explorant la métaphysique, la sexualité, la critique culturelle, et bien plus. Libre penseur, il rejette tout dogme ou académisme. Ses sujets les plus audacieux se retrouvent sur Patreon, où il aborde des thèmes subversifs sans filtre.
Tous deux animent également une chaîne commune, le Bram & Ralf Show.Un constat alarmant pour la France
La France traverse une crise économique majeure résultant des politiques désastreuses menées par les élites depuis des décennies. Appauvrissement généralisé, dette publique galopante et délitement du tissu social illustrent un déclin rapide.
Ce déclin est exacerbé par une perception de trahison de l’État envers son peuple, notamment via une immigration massive et incontrôlée, considérée comme favorisant un « grand remplacement » démographique. Ce bouleversement, aggravé par l’insécurité croissante, divise la société en communautés isolées et alimente les tensions.
Le féminisme radical, le wokisme et la promotion de valeurs progressistes fragilisent encore l’identité française. En mettant l’accent sur les minorités et les questions LGBT, ces idéologies nourrissent un rejet des racines historiques et affaiblissent la cohésion sociale, participant à une déstructuration de l’unité nationale.
Les boomers, qui ont bénéficié d’une période de prospérité, portent leur part de responsabilité. Leur vision à court terme et leur consumérisme excessif ont contribué à l’émergence de dirigeants comme Emmanuel Macron, symboles d’une gestion délétère.
L’impact de Trump et un exemple à suivre
L’élection de Donald Trump a marqué une rupture en Occident, incarnant une révolte contre l’État profond et la pensée unique. En valorisant la fierté nationale et le rejet de l’assistanat, Trump offre un modèle de souveraineté et de retour aux valeurs fondamentales. Sa critique du wokisme, des médias mainstream et des lobbies surpuissants est perçue comme une ouverture vers une renaissance culturelle et politique.
Trump appelle à reprendre son destin en main, à rejeter l’idéologie de la victimisation et à restaurer la dignité nécessaire pour bâtir un avenir solide.
Les solutions pour un renouveau
Malgré ce constat accablant, des solutions existent. Il faut adopter un pragmatisme salvateur et tirer parti des opportunités numériques. L’expatriation offre une alternative pour échapper à la décadence locale et bénéficier d’un meilleur environnement socio-économique. Parallèlement, l’entreprenariat numérique permet de créer des richesses indépendamment des contraintes locales.
Pour un redressement, les Français doivent rejeter les idéologies destructrices, réaffirmer leur identité et reprendre le contrôle de leur avenir. En refusant la culture de l’échec et en valorisant leur patrimoine, ils peuvent espérer restaurer une France forte et unie.
Pour accéder à des analyses exclusives et des conseils pratiques pour naviguer dans un monde en crise, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 17 novembre 2024, GPTV Investigation demandait aux Français leur avis concernant l’idée du gouvernement de nous priver encore plus d’argent, en nous faisant travailler gratuitement 7 heures par an.
Suppression d’un jour férié : une mesure désespérée pour des caisses vides
La situation budgétaire française est critique, avec une dette dépassant 3 000 milliards d’euros. Le gouvernement, pour renflouer les caisses, envisage de supprimer un jour férié, comme ce fut le cas avec le Lundi de Pentecôte travaillé en 2004. Cette idée pourrait générer des fonds, mais suscite un rejet massif. Pourquoi ? Les Français, déjà confrontés à des sacrifices constants, s’interrogent sur l’efficacité de telles mesures.Une transparence budgétaire pour regagner la confiance des citoyens
Face à cette impasse, une question revient : où va l’argent des contribuables ? S’inspirer du projet GOBE (Government Budget Expenditure) déployé aux États-Unis par Donald Trump et Elon Musk pourrait être une piste. Ce système révolutionnaire offre une transparence totale des dépenses publiques via une plateforme accessible à tous, permettant ainsi de dénoncer les gaspillages et de mieux comprendre l’utilisation de l’argent public.Comparatif européen : des heures de travail non récompensées
La suppression d’un jour férié s’ajoute à une autre source de frustration : un temps de travail élevé en France sans compensation salariale équivalente. Les Français travaillent en moyenne 1 514 heures par an, contre 1 332 en Allemagne ou 1 352 aux Pays-Bas. Pourtant, leur salaire médian plafonne à 2 000 euros brut mensuels, bien en deçà des 2 900 euros allemands ou des 2 800 euros néerlandais.Cette inégalité est accentuée par une inflation galopante, érodant encore davantage le pouvoir d’achat. Tandis que les prix augmentent, les salaires stagnent, laissant les ménages face à une équation impossible : travailler davantage sans voir leur rémunération suivre le rythme des coûts.
Nouvelle taxe : une pression fiscale toujours plus forte
En plus de la suppression potentielle d’un jour férié, le gouvernement envisage de nouvelles taxes pour combler le déficit budgétaire. Avec une inflation record, ces prélèvements supplémentaires risquent d’aggraver le quotidien des Français, déjà écrasés par des sacrifices financiers. Cette situation soulève une question : jusqu’où les citoyens peuvent-ils supporter ces efforts, sans contreparties visibles ?De nombreuses voix plaident pour des réformes structurelles avant d’alourdir encore la pression fiscale. Pourquoi ne pas commencer par réduire les dépenses inutiles, optimiser les budgets publics et revoir les privilèges des élus ? Un système inspiré du modèle GOBE pourrait révolutionner la gestion des finances publiques et redonner confiance aux contribuables.
Conclusion : le ras-le-bol des citoyens
La suppression d’un jour férié, combinée à une taxation accrue, pourrait bien provoquer une réaction d’exaspération massive. Les citoyens, déjà accablés par l’inflation et les prélèvements fiscaux, voient d’un mauvais œil les mesures économiques du gouvernement. Alors que l’État continue de demander toujours plus à ses habitants, une meilleure gestion et une transparence accrue apparaissent comme des solutions incontournables pour éviter une fracture durable entre les gouvernants et le peuple.
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Le 17 novembre, Mike Borowski analysait sur Géopolitique Profonde, le dîner secret Macron-Soros.
Rencontre secrète à l’Élysée : Alexander Soros et Emmanuel Macron au cœur d’un dîner confidentiel
Le 11 novembre, alors que la France commémorait l’Armistice de la Première Guerre mondiale, une réunion discrète se déroulait à l’Élysée. Emmanuel Macron recevait Alexander Soros, le fils de George Soros, à l’occasion du « 7e Forum pour la Paix ». Cette rencontre, soigneusement tenue à l’écart des projecteurs médiatiques, suscite des interrogations. Pourquoi cet échange a-t-il été passé sous silence par les grands médias ?La présence d’Alexander Soros, considéré comme le successeur de son père dans les cercles de la gauche libérale mondiale, laisse penser que des discussions stratégiques d’importance ont pu avoir lieu. Était-ce simplement une réunion de courtoisie, ou bien des recommandations précises ont-elles été faites pour orienter la politique française et européenne dans un contexte de tensions internationales croissantes ?
Un agenda dissimulé ? Le rôle de Soros dans les politiques progressistes mondiales
L’influence croissante d’Alexander Soros sur l’agenda mondialiste en Europe et aux États-Unis soulève des questions quant à son rôle dans cette rencontre. Alors que Kamala Harris a échoué à imposer son leadership aux États-Unis, il apparaît comme un relais pour les idéaux de la gauche libérale.Aurait-il offert des conseils au président Macron sur des réformes à venir ? Le synchronicité ce dîner, juste après des élections américaines cruciales, alimente les théories selon lesquelles des orientations politiques à l’échelle internationale pourraient être redéfinies. L’absence de couverture médiatique amplifie ces spéculations : un tel silence serait-il orchestré pour étouffer les interrogations sur l’implication d’une figure aussi controversée qu’Alexander Soros dans les affaires françaises ?
En période de crise économique et sociale, toute influence extérieure sur les décisions nationales risque de susciter méfiance et désapprobation parmi les citoyens.
Des dépenses publiques critiquées : une rencontre qui interroge sur la transparence
Au-delà des discussions de fond, le coût de ce dîner à l’Élysée laisse un arrière goût. En période de rigueur budgétaire, alors que la population subit les effets de l’inflation et des réformes, les dépenses de l’État suscitent la polémique.Les contribuables français ont-ils financé ce tête-à-tête confidentiel entre élites ? Cette question relance le débat sur la gestion des fonds publics, alors que de nombreuses voix appellent à plus de transparence. Emmanuel Macron, régulièrement critiqué pour son style de gouvernance jugé déconnecté des préoccupations populaires, risque d’envenimer encore davantage les tensions avec cette nouvelle affaire.
Le manque de transparence autour de ce dîner, tant au niveau des coûts que du contenu des échanges, ne fait qu’intensifier le climat de défiance envers les institutions. Ce rendez-vous secret pourrait bien symboliser une fracture de plus entre le pouvoir et le peuple, dans un contexte où chaque geste politique est scruté et interprété à travers le prisme des inégalités sociales.
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Le 17 novembre 2024, Finn Andreen et Laurent Artur du Plessis étaient les invités du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois vivant en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Il est réputé pour ses analyses éclairantes sur les rapports de force mondiaux et intervient régulièrement dans les médias pour décrypter les dynamiques internationales.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu, auteur de "Au cœur de la 3e guerre mondiale", un ouvrage où il explore les tensions géopolitiques actuelles.
Retour sur l’élection présidentielle américaine de 2024
L’élection de 2024 a marqué un tournant dans la politique américaine. Après deux mandats de Joe Biden, critiqué pour sa gestion de l’économie et de l’immigration, Trump a fait campagne sur le thème de la « restauration de la souveraineté américaine ». Il a mis en avant des priorités telles que la lutte contre l’immigration illégale, l’opposition à l’idéologie woke et la réduction des interventions militaires coûteuses.
Malgré une troisième tentative d’assassinat contre lui, Trump a remporté l’élection du 5 novembre 2024. Dans un contexte d’inflation élevée, de crise migratoire sans précédent et de tensions sociales, son slogan « Make America Great Again » a résonné auprès d’un électorat en quête de solutions.
En outre, l’alliance symbolique entre Trump et Elon Musk, a séduit de nombreux jeunes électeurs.
Raisons et impacts de cette victoire
La victoire de Trump traduit un basculement idéologique aux États-Unis. Son discours nationaliste et anti-progressiste a mobilisé une base en quête de changement après une décennie de politiques progressistes. Son retour à la Maison-Blanche implique un repositionnement stratégique des États-Unis.
Trump affirme vouloir une cessation rapide des hostilités en Ukraine, favorisant un rapprochement inédit avec la Russie, ce qui pourrait bouleverser l’équilibre géopolitique mondial. Il réaffirme aussi sa volonté de contenir l’influence chinoise, en particulier en Asie et en Afrique.
Par ailleurs, il a relancé les Accords d’Abraham, consolidant les relations entre Israël et plusieurs pays arabes, dans l’objectif de stabiliser la région.
Paix mondiale ou nouveaux conflits ?
Trump divise sur sa capacité à maintenir la stabilité mondiale. D’un côté, son pragmatisme en politique étrangère a apaisé certaines tensions. De l’autre, son style imprévisible inquiète, notamment en Chine et en Iran, où ses actions sont perçues comme des menaces.
Sa sécurité personnelle demeure une question clé. Les tentatives d’assassinat à son encontre illustrent l’hostilité qu’il suscite, tant au sein du « deep state » que parmi les élites mondiales.
Son modèle GOBE (Grandeur, Optimisme, Business, Éthique), centré sur la transparence des dépenses publiques et une gestion éthique, a renforcé sa popularité auprès des électeurs.
Trump et l’État profond : confrontation à venir ?
Trump annonce une volonté de démanteler les structures jugées obsolètes de l’État profond. Cette initiative pourrait déclencher une opposition féroce des multinationales, des institutions financières et du complexe militaro-industriel.
La question essentielle reste : assiste-t-on à la fin d’un ordre mondial dominé par les élites, ou à l’intensification d’une lutte pour préserver leur contrôle ?
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Le 16 novembre 2024, Annabelle de Villedieu était l’invitée de Nicolas Stoquer, dans Le Monde Réel sur Géopolitique Profonde !
Annabelle de Villedieu est une médium clairvoyante depuis plus de 20 ans et est une thérapeute accomplie spécialisée en déprogrammation des mémoires cellulaires. Également musicothérapeute et praticienne en soins chamaniques et tantrisme, elle allie des approches spirituelles et thérapeutiques pour guider ceux qui cherchent à se reconnecter à leur essence profonde.
Transformez vos épreuves en force intérieure
Les épreuves de la vie ne sont jamais fortuites. Elles jouent un rôle essentiel dans notre évolution personnelle, nous poussant à affronter nos peurs et nos faiblesses pour mieux nous comprendre. Ces moments, souvent éprouvants, peuvent devenir des leviers de croissance personnelle si on les aborde avec une ouverture d’esprit et une volonté de transformation.
La résilience est une capacité accessible à tous. Elle consiste à voir les difficultés non comme des obstacles insurmontables, mais comme des opportunités déguisées. En adoptant une posture introspective, ces expériences deviennent des outils pour avancer avec une énergie renouvelée. La vie est en constante évolution, et cette dynamique offre la possibilité de transformer les douleurs en forces positives.
Accepter la dualité, c’est déjà initier une croissance intérieure et embrasser le potentiel de transformation qu’offre l’existence.
Les vibrations qui façonnent notre réalité
L’univers repose sur des fréquences et des vibrations, éléments invisibles mais fondamentaux. Comprendre ces principes permet de saisir l’impact de nos pensées, émotions et choix sur notre environnement. Cette conscience est cruciale pour retrouver un équilibre personnel et collectif.
Nos émotions, qu’elles soient positives ou négatives, émettent des vibrations influençant notre réalité. Une dissonance vibratoire peut se manifester par un mal-être ou des blocages, nécessitant une ré-harmonisation de notre énergie intérieure. Ce processus passe par une écoute attentive de ces signaux subtils et un travail conscient pour ajuster notre état énergétique.
Ces interconnexions peuvent transformer des blocages profonds en opportunités de guérison et de renouveau. Cultiver une conscience vibratoire permet de se libérer des influences négatives et de construire une vie alignée sur ses aspirations. Cette approche, loin d’être théorique, est un outil concret pour améliorer son quotidien.
Devenez l’architecte de votre vie
Le véritable pouvoir réside en chacun de nous, bien qu’il soit fréquent de se sentir dépossédé face aux événements extérieurs. Cette illusion, souvent renforcée par des croyances limitantes ou des structures sociales rigides, peut être surmontée en retrouvant son pouvoir créateur.
Ce cheminement demande un travail introspectif pour reconnaître, accepter et guérir ses blessures. Bien que difficile, ce processus est la clé pour dépasser ses limitations et accéder à une liberté intérieure. Prendre conscience de ses forces et faiblesses permet de devenir l’architecte de sa propre vie.
Créer une réalité alignée sur ses valeurs et aspirations nécessite des choix cohérents et un engagement profond. Chaque décision, même minime, peut constituer une base solide pour une vie harmonieuse et pleine de sens. Ce chemin, qui demande discipline, courage et persévérance, mène à une sérénité durable et une confiance en l’avenir.
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Le 16 novembre 2024, Mike Borowski analysait le scandale Pierre Palmade, révélateur d’un système où les élites bénéficient d’un traitement de faveur, malgré un accident gravissime qui a détruit des vies et exposé les privilèges d’une justice complaisante, sur GPTV Actu.
La vérité derrière le scandale Pierre Palmade
Le procès de Pierre Palmade, prévu pour le 20 novembre, est bien plus qu’un simple événement judiciaire. Il illustre un système où les élites semblent bénéficier de traitements de faveur. Le 10 février 2023, sous l’emprise de cocaïne, Palmade a causé un accident gravissime. Une femme enceinte a perdu son enfant, un enfant de six ans a été grièvement blessé, et d'autres victimes subissent encore des séquelles physiques et psychologiques.Malgré la gravité des faits, Palmade n’a pas été immédiatement incarcéré. Il a été assigné à résidence avec un bracelet électronique, une décision incomprise et dénoncée par l’opinion publique. Pourquoi un tel privilège, alors qu’un citoyen ordinaire aurait été emprisonné ?
Depuis cet accident, les excès de l’artiste ont été mis en lumière. Ses soirées de chemsex, mêlant drogue et sexualité, étaient fréquentes dans son ancienne résidence. Ces pratiques impliquaient parfois des personnalités influentes, révélant des réseaux et protections bénéficiées par Palmade. Cette affaire n’est pas seulement judiciaire : elle expose les failles de la justice et les inégalités sociales en France.
De Paris à Bordeaux : une fuite stratégique ?
Après avoir vendu sa maison parisienne, associée aux scandales, Palmade s’est installé à Bordeaux. Ce déménagement semble répondre à une stratégie de communication visant à réduire l’attention médiatique.Les rumeurs évoquant une protection directe ou indirecte de l’Élysée ne peuvent être ignorées. Palmade est soupçonné de bénéficier de relations privilégiées, notamment via Mimi Marchand, experte en relations publiques pour les élites. Cette dernière aurait joué un rôle dans la gestion de son image et son éloignement des projecteurs.
Ces protections ne sont pas uniques à Palmade. Dans l’histoire, de nombreuses personnalités impliquées dans des affaires graves ont échappé à des sanctions sévères grâce à leurs connexions. Cette indulgence met en lumière un système de privilèges alimenté par des réseaux d’intérêts entre médias, politiques et justice.
La justice française à l’épreuve du procès Palmade
Ce procès est une opportunité d’exposer ces dysfonctionnements, mais les attentes sont faibles. Pourquoi Palmade n’a-t-il pas été incarcéré après l’accident ? Pourquoi les élites semblent-elles systématiquement protégées par la justice ? Ces questions restent sans réponses claires.Si ce procès se solde par une peine symbolique, cela ne ferait que renforcer la défiance des citoyens envers les institutions. Ce scandale dépasse la personne de Pierre Palmade. Il reflète une société où les puissants échappent régulièrement à leurs responsabilités. Le peuple réclame des actes concrets et une justice impartiale.
Ce moment pourrait être une chance de rétablir la confiance dans un système judiciaire largement critiqué. Mais il ne faut pas se contenter de solutions superficielles destinées à préserver les élites.
Pour comprendre les réseaux de pouvoir et les privilèges occultes qui gangrène notre société, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 16 novembre 2024, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, mettant en lumière les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Féministe à la télévision et prédateur en coulisses
Gérard Miller n’a jamais été le féministe qu’il prétendait être. Derrière ses discours flatteurs et ses apparitions médiatiques en défense des droits des femmes, se cache un prédateur. Aujourd'hui, 67 femmes l'accusent de viols, exposant la véritable nature d’un homme qui utilisait son image de militant comme couverture. Ce n’est pas une simple accusation, mais une vérité éclatante. Son masque tombe, dévoilant un homme qui a cyniquement exploité le féminisme pour gagner la confiance des médias et du public tout en poursuivant ses propres intérêts sordides.Cette imposture révèle l'hypocrisie d’une certaine élite qui prêche des valeurs mais les piétine en coulisses. Le cas de Gérard Miller n’est pas isolé. Il illustre un fossé profond entre ce qui est proclamé en public et ce qui est pratiqué dans l'ombre. Miller n’a jamais été un allié des femmes, mais bien leur bourreau, protégé par une façade médiatique complice.
Gérard Miller protégé par un système complice
Les élites médiatiques et politiques de gauche ont sciemment ignoré les agissements de Gérard Miller. Ce silence n’est pas accidentel : il est complice. Les médias, habituellement prompts à dénoncer les comportements déviants, se taisent étrangement quand il s’agit de l’un des leurs. Cette impunité orchestrée démontre que certaines figures sont protégées à tout prix, même lorsqu’elles commettent les actes les plus odieux. Ce silence est une trahison des principes que ces institutions prétendent défendre.Ce n’est pas seulement une question de parti pris ; c’est une volonté délibérée de dissimuler la vérité pour maintenir l’image de la gauche bien-pensante. Les médias dominants montrent ici leur vrai visage : celui d’une machine de propagande prête à étouffer les faits pour sauvegarder des alliances politiques et idéologiques. Gérard Miller a profité de cette protection, et aujourd'hui, ce mur de silence illustre l’emprise de certaines élites sur les discours publics.
Quand le « camp du bien » défend l’indéfendable
Miller a exploité son pouvoir et son statut pour intimider, manipuler et violer en toute impunité. Protégé par des réseaux influents et une gauche bien-pensante refusant de regarder la réalité en face, il a pu perpétrer ses crimes sans être inquiété. Ces faits, soutenus par des témoignages accablants, dévoilent la mécanique de ses abus. L'absence de sanctions illustre bien le privilège dont jouissent certains.Il est inadmissible qu’en 2024, une figure comme Gérard Miller puisse encore échapper à des conséquences judiciaires. La gauche bien-pensante qui se considère comme le « camp du bien », ne peut plus prétendre défendre les opprimés tout en protégeant des agresseurs en son sein.
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Le 15 Novembre 2024, Pierre Jovanovic était l’invité du Monde Réel, animé par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Ensemble, ils abordaient la découverte de la tombe de l’Apôtre Pierre, une aventure archéologique menée par Margherita Guarducci, éminente archéologue et épigraphiste italienne, qualifiée de « la plus mystérieuse des aventures du XXe siècle ».Pierre Jovanovic, journaliste économique, éditeur, est auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime également la chaîne Pierre Jovanovic – La revue de presse. Il vient de publier 888: « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ».
La découverte de la tombe de Saint Pierre : une aventure archéologique extraordinaire
Parmi les grandes découvertes archéologiques, celle de la tombe de l’Apôtre Pierre, identifiée par Margherita Guarducci, marque l’histoire par son importance spirituelle. Tout commence en 1939 lorsque Pie XI exprime son souhait d’être enterré près du tombeau de Saint Pierre. Des fouilles secrètes sous la Basilique Saint-Pierre sont alors entreprises, jusqu’à ce qu’un ouvrier découvre par accident une nécropole romaine enfouie depuis des siècles.
En 1956, Margherita Guarducci, spécialiste en épigraphie, prend la tête des fouilles. Grâce à ses compétences en déchiffrement, elle met au jour des inscriptions qui situent la tombe du premier Apôtre, cachée dans un labyrinthe souterrain.
Une reconnaissance papale et scientifique
En 1968, le Pape Paul VI confirme officiellement l’authenticité des reliques de Saint Pierre. Lors d’une audience privée, il déclare : « Je la remercie, en mon nom et en celui de l’Église, d’aujourd’hui et de demain. » Jusqu’à son dernier discours en 1978, il réaffirme leur importance pour les fidèles.
Margherita Guarducci, archéologue florentine et professeure à l’Université La Sapienza de Rome, a consacré 40 ans de sa vie à ces recherches. Entre 1956 et 1958, elle analyse les graffitis du célèbre « mur G » de la nécropole, où sont retrouvés les ossements attribués à Saint Pierre. Ses découvertes sont publiées dans une œuvre monumentale : I graffiti sotto la Confessione di San Pietro in Vaticano.
Une enquête digne d’un roman d’aventures
Guarducci combine méthode scientifique et intuition pour interpréter les indices laissés par les premiers chrétiens. En 1967, à la demande de Paul VI, elle accompagne le Patriarche Athénagoras dans la nécropole. Ensemble, ils découvrent des inscriptions mêlant les noms du Christ, de Marie et de Pierre.
Un héritage entravé, mais triomphant
Malgré son succès, Guarducci doit affronter des critiques et ses désaccords avec la méthodologie des fouilles précédentes lui valent des hostilités. Après la mort de Paul VI, elle est écartée du Vatican, et son ouvrage Pierre, fondement de l’Église est retiré de la vente.
En 2013, le Pape François réhabilite son travail en exposant publiquement les reliques de Saint Pierre. Grâce à sa ténacité, l’Église retrouve le lieu où reposaient les restes du premier pape. Le cardinal Joseph Ratzinger résume cette découverte : « Unglaublich, incroyable. »
Un trésor pour l’Église et l’histoire
Margherita Guarducci, disparue en 1999 à 97 ans, repose à Grottaferrata auprès de l’anthropologue ayant examiné les ossements de Saint Pierre. Son œuvre, traduite par Pierre Jovanovic, dévoile une enquête fascinante sur les origines du christianisme.
Ne manquez pas d’enrichir votre culture avec des analyses profondes en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 15 novembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
En France, la mascarade démocratique continue, mais cette fois, elle a trouvé un nouveau visage : Jordan Bardella. Sous les feux des projecteurs, encensé par des médias qui, depuis un an, semblent prêts à tout pour le propulser, Bardella marche dans les pas d’Emmanuel Macron, dix ans plus tard.
Après la promotion effrénée de l’ancien président, c’est aujourd’hui Bardella qui devient le « chouchou » des plateaux, le « phénomène » à suivre. Entre les éditos bienveillants et les algorithmes qui le propulsent sur TikTok, la question s’impose : à qui profite cette soudaine ferveur médiatique ?
Les coulisses de la création d’un président
Les Français ne doivent pas se laisser berner : ce battage médiatique n’a rien d’une coïncidence. Alors que la justice a rendu Marine Le Pen inéligible pour 2027, le champ est libre à droite, écartant celle qui incarnait une opposition jugée « dangereuse » pour l’ordre établi. Et à gauche, où l’indigence politique règne, aucun leader ne se distingue comme un réel adversaire.Le décor est planté : Bardella devient ainsi le candidat idéal, un « produit » façonné pour être vendu aux électeurs en quête de renouveau. Jeune, dynamique, il capte l’attention d’une génération désabusée. Mais ce vernis cache-t-il autre chose qu’un nouveau Macron ? Un Macron 2.0, formaté pour le même rôle et les mêmes missions ?
Jordan Bardella : un pion ou un meneur ?
La question est cruciale : sommes-nous témoins d’une énième manœuvre orchestrée par le système pour offrir aux Français une illusion de choix ? À mesure que le narratif médiatique se déploie, le doute s’installe. Les postures de Bardella, ses discours calibrés, ses gestes soigneusement étudiés semblent suivre un script bien rodé.En apparence révolté, Bardella s’insère parfaitement dans cette mise en scène, comme s’il incarnait la dernière marionnette d’un système qui, tout en conservant les apparences démocratiques, assure sa continuité sans heurts. En 2027, verrons-nous le même théâtre, avec un acteur plus jeune pour incarner la même comédie électorale ?
La démocratie française : un spectacle sous contrôle ?
Le possible couronnement de Bardella en 2027 serait un coup de maître pour le système : une nouvelle génération séduite, des algorithmes complices, et l’illusion d’une réelle alternative. Est-ce là la fatalité de la France moderne, condamnée à vivre sous une pseudo-démocratie où les rôles sont écrits d’avance ?Peut-être est-il temps de percer l’écran de cette illusion et de reconnaître que l’ascension de Bardella n’est que la continuité d’un processus où le « changement » est soigneusement contrôlé. Derrière chaque sourire affiché, chaque geste savamment calculé, l’ombre d’une démocratie devenue pure façade. Alors, Français, jusqu’où sommes-nous prêts à accepter cette farce ?
Pour décoder les enjeux et l’avenir de la France face à cette démocratie de façade, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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Le 15 novembre 2024, Bruno Gollnisch et Aram Mardirossian étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Au programme : retour sur le procès du Rassemblement National et la COP29 à Bakou, des sujets cruciaux concernant la démocratie et l’équilibre géopolitique.
Bruno Gollnisch est un homme politique français associé au Front National, devenu le Rassemblement National. Il a débuté sa carrière politique en tant que député français de 1986 à 1988. Par la suite, il a été élu député européen, mandat qu’il a exercé de 1989 à 2019. Au sein du Front National, il a occupé plusieurs postes de direction, y compris celui de secrétaire général, délégué général et vice-président. Il a également dirigé la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2002.
Aram Mardirossian, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est un historien et juriste franco-arménien. Il est reconnu pour ses travaux sur le génocide arménien et la protection des chrétiens d’Orient. En tant que défenseur des droits de l’homme, il critique la négligence de l’État laïque français envers la christianophobie croissante. Son engagement s’étend à la défense du patrimoine religieux et des croyances chrétiennes, notamment face aux crimes haineux et aux profanations.
Première partie : un procès politique ?Bruno Gollnisch reviendra sur le procès qu’il qualifie de politique, destiné à affaiblir le Rassemblement National sous prétexte de défendre la démocratie. Ce procès fait suite à une enquête de l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) de 2017, visant des soupçons d’emplois fictifs au Parlement européen. Des assistants parlementaires du RN auraient été rémunérés par des fonds européens pour des missions supposément au service du parti en France.
« Nous n’avons enfreint aucune loi pénale. Tout ce que nous avons fait a été public, pacifique et sans ambiguïté », affirme Gollnisch. Le parquet réclame cinq ans d’inéligibilité pour Marine Le Pen, que Gollnisch perçoit comme une tentative d’empêcher sa candidature à la présidentielle de 2027. Il souligne que « tous les assistants ont travaillé » et accuse le parquet de méconnaissance des fonctions d’assistant parlementaire. Selon lui, cette affaire pourrait transformer la France en « république bananière » et devenir un « scandale international », posant un dangereux précédent pour la démocratie en Europe.
Seconde partie : la COP29 et les enjeux climatiques sous tension
La seconde partie portera sur la COP29, prévue en novembre 2024 en Azerbaïdjan, un choix controversé en raison des tensions entre ce pays et la France. La COP29 s’inscrit dans les efforts pour mettre en œuvre l’Accord de Paris de 2015. Cette édition se concentrera sur le financement de la transition énergétique et de nouvelles ressources pour atteindre les objectifs climatiques.
Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, au pouvoir depuis 2003, critique l’ingérence de la France, affirmant que son pays n’a pas de leçons à recevoir. En réponse aux accusations d’autoritarisme, il insiste sur le rôle clé de l’Azerbaïdjan dans le marché des hydrocarbures, notamment en tant que fournisseur de l’Europe. Les récents accords énergétiques avec l’UE, signés en 2022 pour réduire la dépendance à la Russie, renforcent cette position.
Pour une analyse plus approfondie de cette affaire et de ses implications géopolitiques, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 14 novembre 2024, Myriam Palomba, Laurence Beneux, Marc Daoud et Romain Pauc étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Myriam Palomba, journaliste, est connue pour son travail dans la presse people, notamment pour le magazine Public. Elle se distingue par son franc-parler et son analyse critique des médias et de la politique.
Laurence Beneux, journaliste indépendante, a travaillé pour Le Figaro, Paris-Match, et l’émission « 90 minutes » sur Canal+. Elle est co-auteure de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles, avec Serge Garde et l’auteure de Droits des femmes et des enfants : l’intolérable indifférence (Michalon, 2017).
Marc Daoud est directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel traitant de sujets tels que la médecine alternative, l’écologie, et les théories du complot. Nexus se positionne comme un média alternatif, documentant des sujets souvent controversés.
Romain Pauc est politologue et essayiste, spécialiste des mouvements sociaux et des mutations économiques. Il est apprécié pour ses analyses sociopolitiques claires et accessibles, éclairant l'impact des politiques publiques sur la population.
"PRESIDENT OF FRANCE" : le dossier secret de Trump sur Macron
Lors d'une perquisition du FBI à Mar-a-Lago, résidence de Donald Trump, plusieurs documents classés "top secret" ont été saisis, dont un dossier mystérieux intitulé "President of France". Le FBI cherchait à récupérer ces documents confidentiels que l'ancien président avait emportés en quittant la Maison Blanche.
Ce document laisse penser que Trump détient des informations sensibles sur Emmanuel Macron, pouvant servir de levier de pression et compromettre Macron de façon décisive.
Certaines sources évoquent un "dossier sexuel", incluant des aspects intimes de sa vie et constituant donc une menace politique pour Macron, plaçant Trump en position dominante.Trump en position de force
L'empressement de Macron à contacter Trump après son élection prend un nouveau sens. Macron savait que Trump détenait des documents susceptibles d'affaiblir son pouvoir. Cette relation asymétrique illustre un chantage diplomatique, où des informations sensibles peuvent contraindre un dirigeant à des concessions stratégiques au bénéfice des intérêts américains.
Les spéculations sur le contenu du dossier incluent des détails financiers et personnels. Si Trump révélait ces éléments, l'image de Macron pourrait être gravement endommagée. Les relations entre la France et les États-Unis semblent donc influencées non seulement par des accords officiels, mais aussi par des secrets bien gardés.
Une menace pour Macron
La détention de ce dossier par Trump représente un levier de pression considérable sur Macron. Si son contenu venait à être révélé, cela pourrait déclencher une crise politique en France. Des rumeurs sur la vie personnelle de Macron alimentent la curiosité et ternissent potentiellement son autorité et sa crédibilité.
L'intervention du FBI pour récupérer ces documents montre l’ampleur des informations sensibles que Trump conserve sur plusieurs dirigeants, dont Macron. Ce dossier rappelle la vulnérabilité du président français, dans un contexte où une divulgation pourrait influencer son mandat, soulignant ainsi l'impact des secrets d'État sur la diplomatie internationale.
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Le 14 novembre 2024, Marie-Pascale Rémy était l'invitée de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !
Marie-Pascale Rémy, auteure et conférencière, est spécialisée dans la connaissance de soi et la spiritualité. Après une expérience de mort imminente en 1989, elle s'est orientée vers l'enseignement de Rudolf Steiner, influençant fortement son parcours. Parmi ses ouvrages, Saint Michel, renaître dans le combat spirituel explore la dimension spirituelle du combat intérieur à travers l’archétype de l’Archange Saint Michel. Elle a également écrit sur le développement personnel, l'ange gardien et les mythes du féminin.Magie noire et manipulation des masses
Depuis des siècles, la magie noire fascine et inquiète ceux qui cherchent à comprendre les forces invisibles influençant l’humanité. Ces rituels, souvent ignorés, sont bien réels et utilisés pour modeler et contrôler des masses. Contrairement aux idées reçues, la magie noire n'est pas l’apanage de quelques illuminés, mais repose sur des principes méthodiques et des symboles précis, utilisés pour exploiter les faiblesses et les peurs humaines. Les maîtres de ces arts occultes savent capter l’attention, installer le doute, et influencer les décisions de groupes entiers.
Rudolf Steiner, penseur et fondateur de l'anthroposophie, avait perçu le potentiel de manipulation des rituels magiques. Pour lui, la magie est un outil redoutable, permettant à certains d'influencer l'esprit des individus et de modeler leur vision du monde. Cette analyse reste pertinente aujourd’hui, alors que des influences invisibles continuent de s’exercer sur nos vies, souvent à notre insu.
Le pouvoir invisible du contrôle collectif
Dans Les Mythes du féminin (volume 2), notamment à travers le mythe de Cassandre et la carte XVIII du Tarot de Marseille (la Lune), se cache une clé pour comprendre les rituels occultes. La Lune représente les illusions et les mystères, incarnant une énergie ambivalente qui, maîtrisée, permet de manipuler les perceptions collectives.
Ces rituels utilisent des éléments visuels et sonores précis, un rythme répétitif et des symboles puissants pour instaurer une influence mentale invisible. L’objectif est de propager cette domination insidieuse dans les consciences, souvent sans que les individus en perçoivent la nature. Ces pratiques ne relèvent donc pas de simples fantaisies, mais de véritables outils de contrôle, utilisés depuis des temps immémoriaux pour asseoir le pouvoir de ceux qui les maîtrisent.
La manipulation par la confusion, les mystères de la Lune du Tarot
La carte de la Lune dans le Tarot de Marseille symbolise le mystère, la confusion et l’influence sur la pensée humaine. Cassandre, prophétesse maudite, incarne cette énergie de prédictions ignorées et d’avertissements négligés. C’est dans cet état de confusion que les rituels occultes trouvent leur efficacité, en plongeant les individus dans une réalité floue où règnent doute et incertitude, rendant la vérité difficile à discerner.
Ce savoir ancestral, méconnu de la majorité, dévoile des aspects insoupçonnés de notre société actuelle. La manipulation des masses par des pratiques occultes ne relève pas du mythe : elle est une réalité que seuls les initiés savent reconnaître. En comprenant ces symboles et techniques de contrôle psychologique, on accède à une connaissance réservée à une élite capable de lire entre les lignes et de déceler les vérités cachées.
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Le 14 novembre 2024, François Asselineau était l’invité exceptionnel de Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !
François Asselineau, haut fonctionnaire et homme politique français, est président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis 2007. Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a travaillé dans plusieurs cabinets ministériels sous les gouvernements de droite des années 1990. En politique, il est connu pour prôner la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, positions qui l’inscrivent dans le courant souverainiste.
Trump relance le rêve d’une Europe libre et souveraine
La réélection de Donald Trump pourrait marquer un tournant pour les souverainistes européens. Avec sa vision nationale et son rejet des structures supranationales, Trump inspire ceux qui critiquent l’Union européenne. Selon eux, l’UE, avec sa bureaucratie centralisée, empêche les nations de s’autodéterminer. Le retour de Trump redonne espoir à ceux qui souhaitent une « Europe des nations », libérée de l’influence de Bruxelles. Sa politique permettrait de remettre en question l’union technocratique actuelle et d’envisager une Europe indépendante.
L’Europe libérée des chaînes de l’OTAN
Trump est un critique virulent de l’OTAN, qu’il juge coûteuse et inutile pour les États-Unis. Sa réélection pourrait offrir à l’Europe l’opportunité de se détacher de cette alliance, souvent perçue comme une contrainte qui sert principalement les intérêts américains. La dissolution de l’OTAN sous l’impulsion de Trump pourrait être le déclencheur d’un changement stratégique en Europe, permettant aux États de reprendre le contrôle de leur propre sécurité et de bâtir une défense adaptée à leurs besoins, indépendamment de Washington.
Trump et l’État profond : un combat qui résonne jusqu’en France
En s’attaquant à l’État profond américain, Trump a montré que le pouvoir peut encore être exercé au nom du peuple. Cette lutte contre les élites corrompues trouve un écho chez les souverainistes français, qui aspirent à purger leurs institutions des influences néfastes. Trump a démontré qu’il est possible de réformer un système pour le rendre plus transparent et proche des citoyens. Pour les Français, suivre cet exemple pourrait signifier la fin des manipulations des élites et la restauration d’une souveraineté longtemps bafouée.
Trump change la donne en Ukraine
Le retour de Trump modifie également l’équilibre géopolitique en Europe, notamment concernant la guerre en Ukraine. Avec une approche isolationniste, Trump a indiqué qu’il ne s’engagerait pas indéfiniment dans un conflit n’ayant pas d’intérêt direct pour les États-Unis. Ce désengagement potentiel inciterait l’Europe à réévaluer sa position et à envisager une solution diplomatique en fonction de ses propres intérêts.
Ce retrait américain pourrait enfin libérer l’Europe des influences extérieures, l’encourageant à prendre en main son destin militaire et stratégique. La réélection de Trump redonne l’espoir d’une Europe capable de s’émanciper des guerres par procuration et de mettre fin aux conflits ne servant que les intérêts de puissances étrangères.
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Le 13 Novembre 2024, Maryvonne Bréant, Maître Bertrand Salquain, Leopold Jimmy et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Maryvonne Bréant est l’auteure du livre bouleversant « Secret défense, mon mari a disparu : 50 ans de combat pour briser le silence ».
Elle est la veuve de Gilbert Bréant, un pilote militaire français disparu en 1969 lors d’une mission secrète au Proche-Orient. Pendant plus de cinq décennies, elle a lutté sans relâche contre l’opacité de l’État français pour faire reconnaître la mort de son mari en service pour la France.En 2024, grâce à sa détermination et avec l’aide de son avocat, Maître Bertrand Salquain, elle parvient enfin à récupérer des documents confidentiels dévoilant les véritables circonstances de la disparition de son époux. Son livre témoigne de ce long combat pour la vérité face au silence des autorités.
Léopold Jimmy est un journaliste indépendant qui a couvert diverses manifestations et événements politiques. Il diffuse ses reportages via son agence LDC News.
Patrick Pasin est un conférencier, auteur et entrepreneur français connu pour ses analyses critiques sur des sujets de géopolitique, de santé publique et de souveraineté individuelle.La disparition de Gilbert Bréant : une affaire d’État étouffée pendant cinquante ans
Enceinte lors de la disparition de son mari, Maryvonne Bréant se heurte à un État déterminé à clore l’affaire. Pendant des décennies, elle sollicite les autorités en vain. Grâce à Maître Salquain, elle accède enfin à plus de 400 documents secrets en 2024.
Ces documents révèlent des échanges entre la France, la Suisse et des pays du Proche-Orient, laissant penser que la mission de Gilbert Bréant aurait enfreint des lois internationales, soulevant des questions sur l'implication de la France gaulliste dans des opérations clandestines.
Un contexte géopolitique explosif : des objectifs cachés ?
À la fin des années 1960, le Proche-Orient est en pleine tension après la Guerre des Six Jours (1967). Dans ce contexte, la France aurait envoyé des agents pour des missions secrètes, en violation d'accords internationaux.La mission de photogrammétrie de Gilbert Bréant au Koweït semble suspecte : était-ce vraiment une simple opération technique ou un prétexte pour espionner des bases militaires ? Les documents déclassifiés suggèrent un double jeu de la France, entre alliances secrètes et diplomatie.
« Secret défense : mon mari a disparu » : livre révélateur d’un scandale d’État
Dans son livre, coécrit avec Maître Salquain, Maryvonne Bréant expose les souffrances de sa famille face au silence de l’État sous de Gaulle.Les révélations exposent potentiellement un scandale d’État.
Question : comment un État peut-il sacrifier ses soldats et effacer leur existence ?La reconnaissance du sacrifice de Gilbert Bréant pourrait ouvrir la voie à de nouvelles enquêtes sur les opérations occultes de la France au Proche-Orient, remettant en question la confiance dans les institutions de l'époque. Pour Maryvonne Bréant, il s'agit de justice, de mémoire et d'honneur pour son mari disparu.
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Le 13 novembre 2024, GPTV Investigation demandait aux Français leur avis concernant la potentielle suppression d’un nouveau jour férié.
La suppression d’un nouveau jour férié : une mesure contestée pour renflouer les caisses de l’État
La France a déjà fait l’expérience de la suppression d’un jour férié en 2004, sous le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. En effet, le Lundi de Pentecôte, jour de solidarité, a été supprimé pour financer le fonds de solidarité destiné aux personnes âgées et handicapées. Cette mesure, instaurée après la canicule meurtrière de 2003, avait pour but de générer des recettes supplémentaires pour améliorer la prise en charge des personnes vulnérables. Depuis, ce jour travaillé rapporte près de 3 milliards d’euros chaque année.Aujourd’hui, le gouvernement envisage à nouveau la suppression d’un jour férié pour combler les déficits croissants des finances publiques. Face à un contexte économique tendu, cette solution semble être une voie rapide pour dégager des fonds supplémentaires. Mais est-ce vraiment la solution la plus juste ?
Le coût social : toujours les mêmes qui paient l’addition ?
Pour beaucoup de Français, cette mesure passe mal. L’idée de travailler davantage sans réelle contrepartie fait grincer des dents, surtout quand on voit que certaines catégories de la population semblent épargnées. Pendant que les salariés se voient demander plus de sacrifices, d’autres, notamment certains élus, s’accordent des hausses de salaires justifiées par « l’alignement sur l’inflation ». Cette dissonance renforce le sentiment d’injustice sociale.Ne serait-il pas plus pertinent de rechercher des économies ailleurs ? La question est sur toutes les lèvres. Pourquoi ne pas réduire certaines dépenses publiques superflues, revoir les privilèges accordés à une minorité, ou encore optimiser le budget de l’État avant d’imposer de nouveaux efforts aux citoyens déjà lourdement taxés ?
Les Français toujours plus taxés, mais pour quels résultats ?
Depuis plusieurs années, les Français ont le sentiment d’être de plus en plus pressurés fiscalement, sans pour autant constater d’amélioration dans leur quotidien. Malgré des prélèvements record, le pays n’a jamais été aussi endetté. Les services publics se dégradent : les moyens alloués aux hôpitaux sont insuffisants, le personnel soignant est en sous-effectif, et l’éducation nationale souffre également de coupes budgétaires. Alors, où va tout l’argent des contribuables ?Au final, la suppression d’un nouveau jour férié pourrait bien être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Les Français, déjà exaspérés par la situation économique et sociale, se demandent combien de temps ils devront encore payer les pots cassés.
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Le 13 novembre 2024, Aram Mardirossian était l'invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Aram Mardirossian, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est un historien et juriste franco-arménien. Il est reconnu pour ses travaux sur le génocide arménien et la protection des chrétiens d’Orient. En tant que défenseur des droits de l’homme, il critique la négligence de l’État laïque français envers la christianophobie croissante. Son engagement s’étend à la défense du patrimoine religieux et des croyances chrétiennes, notamment face aux crimes haineux et aux profanations.
La véritable histoire de l’Inquisition : contexte historique et évolutionL’Inquisition évoque souvent des images de torture, de bûchers et de persécutions religieuses, cristallisant l’idée d’un Moyen Âge obscurantiste. Cependant, la réalité historique est bien plus complexe.
L’Inquisition, initialement conçue comme un ensemble de tribunaux ecclésiastiques, visait à lutter contre les hérésies perçues comme des menaces à l’unité de l’Église catholique. Ancrée dans le droit romain, cette institution a connu plusieurs phases d’évolution, reflétant les enjeux sociaux, politiques et religieux de chaque époque.
Les origines de l’Inquisition : un Moyen Âge en quête d’unité
L’Inquisition médiévale, créée au XIIIe siècle, répondait aux hérésies dualistes comme le catharisme en Occitanie. En 1231, le pape Grégoire IX établit une structure inquisitoriale centralisée, confiée principalement aux dominicains. Le soutien des autorités civiles, comme Frédéric II, renforça la répression pour préserver l’ordre social et religieux fragilisé par les croisades albigeoises.
L’expansion de l’Inquisition : des Cathares aux sorcières de la Renaissance
Contrairement aux idées reçues, l’Inquisition ne se limita pas au Moyen Âge et atteignit son apogée entre le XVe et le XVIIe siècle, notamment en Espagne et en Italie face aux mouvements protestants. L’Inquisition espagnole, fondée en 1478, se distingua par sa sévérité envers les conversos (juifs convertis) et les morisques (musulmans convertis). La chasse aux sorcières, souvent attribuée à cette période, fut en fait plus répandue durant la Renaissance, bien que les tribunaux civils aient été plus sévères que l’Inquisition.
Une justice ambivalente : modération inquisitoriale et procédures révolutionnaires
Contrairement aux tribunaux civils, les tribunaux inquisitoriaux étaient relativement modérés et ont introduit des éléments novateurs dans le droit pénal, tels que la centralité de la preuve écrite et la procédure contradictoire. L’Inquisition condamnait rarement à mort : par exemple, durant la Terreur révolutionnaire en France (1793-1794), environ 17 000 personnes furent exécutées en deux ans, un bilan bien supérieur à celui de l’Inquisition espagnole sur toute sa durée.
Héritage et réévaluations modernes
Le legs de l’Inquisition reste controversé, oscillant entre la dénonciation d’une répression fanatique et la reconnaissance d’une institution qui, dans son contexte, chercha aussi à encadrer l’usage de la violence.
Aujourd’hui, les débats autour de cette période sont souvent teintés de lectures anachroniques, projetant les valeurs modernes sur une époque aux normes juridiques et sociales très différentes. Une réévaluation plus nuancée permet de comprendre l’Inquisition non pas comme un simple outil de terreur, mais comme un reflet des tensions politiques et religieuses de son temps.
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Le 13 Novembre 2024, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin était l'invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Jean-Michel Jacquemin Raffestin est un essayiste et analyste réputé, spécialisé dans les enjeux de société et de géopolitique, connu pour son style incisif et sans concession. Dans son dernier ouvrage, Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font – Volume 3, il poursuit sa critique des élites et des structures de pouvoir, dénonçant les manipulations et les dérives politiques qui influencent et dirigent les décisions de nos sociétés contemporaines.
Un conflit russo-occidental planifié depuis 30 ans ?
Le conflit russo-ukrainien serait le résultat d’une stratégie des États-Unis, mise en place depuis la chute de l’URSS, pour empêcher toute coopération entre l'Europe et la Russie, redoutant l’émergence d’un bloc concurrent des intérêts américains.
Une stratégie américaine d'isolement de la Russie ?
La Révolution orange en Ukraine, considérée comme une ingérence américaine, visait à installer un gouvernement pro-occidental à Kiev. Les accords de Minsk sont évoqués, certains estimant qu’ils n'étaient pas sincères. Enfin, l’expansion continue de l’OTAN, perçue comme une trahison des engagements envers Moscou à la fin de la Guerre froide, aurait alimenté les tensions autour des pipelines et des ressources énergétiques.
L’OTAN et l’escalade des tensions
L'OTAN aurait rompu ses promesses de non-expansion après la fin du Pacte de Varsovie, mettant en place un encerclement progressif de la Russie avec plus de 850 bases militaires dans le monde. Des accords déclassifiés datant de 1993 entre George H. W. Bush et Boris Eltsine auraient garanti que l’OTAN ne s’étendrait pas au-delà de l’Elbe, promesses non tenues qui auraient poussé Moscou à réagir militairement, notamment en Crimée et dans le Donbass.
L’Ukraine : un pion dans une guerre par procuration ?
L’Ukraine, loin d’être simplement un bastion de la démocratie, serait utilisée comme un pion dans une guerre par procuration des États-Unis contre la Russie. Le président ukrainien serait le produit d'une stratégie médiatique visant à exacerber les tensions avec Moscou. Par ailleurs, des accusations sont portées contre des élites ukrainiennes, soupçonnées d’avoir encouragé des milices extrémistes pour réprimer la minorité russophone, aggravant ainsi les divisions internes.
Le sabotage des gazoducs Nord Stream est également mentionné comme un acte visant à briser les liens énergétiques entre l’Europe et la Russie, affaiblissant les économies européennes tout en préservant les intérêts américains dans le secteur de l’énergie.
Les sanctions occidentales : un effet boomerang ?
Les sanctions économiques imposées à la Russie auraient renforcé son économie au lieu de l’affaiblir, en raison de la hausse des prix de l’énergie. Moscou en aurait profité pour diversifier ses partenariats, notamment avec la Chine et l’Inde. Ainsi, les sanctions auraient révélé les failles des politiques occidentales et leur incapacité à anticiper les conséquences de leurs décisions.
Pour mieux comprendre ces dynamiques et leurs répercussions sur la scène internationale, découvrez nos analyses dans votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 12 novembre 2024, Antoine Cuttitta, Philippe de Veulle, Sylvain Baron et Claude Janvier étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Antoine Cuttitta est le fondateur de l'Alliance Humaine, une organisation engagée dans la défense des valeurs humaines et sociales. Portant un regard critique sur les dynamiques de pouvoir contemporaines, il œuvre pour une société plus juste, en prônant l'autonomie, la solidarité, et le respect des libertés individuelles.
Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, notamment diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.Sylvain Baron est un activiste politique et Gilet jaune, auteur de Révolte : Essai sur la légitimité et la planification de l’insurrection populaire en France.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français, auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .
Réformer le renseignement, traquer les élites corrompues et réformer la justice
Trump souhaite réformer la CIA et le FBI, qu’il accuse de servir des intérêts partisans. Son objectif est de purger ces agences pour les recentrer sur la sécurité nationale, avec des rapports réguliers pour garantir leur transparence et leur action au service du peuple américain.
Trump cible les élites corrompues, comme Bill Gates et Anthony Fauci, accusées d’abus d’influence. Avec le soutien de Candace Owens, il souhaite traduire ces personnalités en justice pour mettre fin à leur impunité.
Pour garantir l’équité, Trump envisage des tribunaux dédiés aux affaires d’État, permettant des procès impartiaux, sans influence des intérêts privés.
Restaurer la paix mondiale et réduire l’interventionnisme militaire
Trump estime que l’État profond attise les conflits pour asseoir son pouvoir. Il propose donc de mettre fin aux guerres orchestrées, notamment entre l’Ukraine et la Russie, qu’il considère comme manipulée à des fins financières.
Trump souhaite aussi réduire les interventions militaires à l’étranger, jugeant qu’elles profitent aux entreprises d’armement. Il veut réorienter les ressources militaires vers les besoins internes pour restaurer la prospérité nationale.
Limiter l’influence des médias, des célébrités et des grandes entreprises
Trump veut limiter l’influence des médias et des célébrités, souvent alignés avec l’État profond, dans le débat politique. Il prône une régulation pour contrer la politisation des médias et l’influence des stars.
Il souhaite aussi réduire l’influence des grandes entreprises, notamment dans les secteurs technologique et financier. Par cette mesure, il vise à diminuer le lobbying pour que les lois servent les intérêts du peuple, et non d’une élite.
Revoir la participation des États-Unis aux organisations internationales
En neuvième et dernière mesure, Trump propose de restreindre l’influence des organisations internationales comme l’ONU et l’OMS, qu’il accuse d’être infiltrées par l’État profond. Il souhaite revoir la participation des États-Unis pour que les décisions de Washington servent en priorité le peuple américain.Pour aller plus loin dans l’analyse de cette transformation et de ses répercussions, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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