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  • Le 21 septembre 2024, François Martin, Philippe Murer et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer sur GPTV Actu !

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Philippe Murer est un économiste français proche des milieux souverainistes et écologistes. Il publie régulièrement des articles et des livres sur l’économie et l’environnement, dans lesquels il critique la politique monétaire de la Banque centrale européenne, le libre-échange, la dette publique et le réchauffement climatique. Il est l’auteur de “Comment réaliser la transition écologique, un défi passionnant” et vient de créer le Mouvent Politique Citoyen.

    Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    Les BRICS+ : vers un nouvel ordre mondial ?
    Le monde s’oriente vers un système multipolaire, avec les BRICS+ (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) sous l’impulsion de la Chine et de la Russie. Pourtant, les États-Unis restent une menace pour l’Europe par leur domination économique et énergétique.

    L’Europe : entre déclin et soumission
    Nous assistons à des bouleversements économiques majeurs. L’Europe semble être la perdante, tandis que les États-Unis renforcent leur économie. L’Europe, autrefois puissante, est aujourd'hui dépendante.

    La désindustrialisation frappe même des puissances comme l’Allemagne. La crise énergétique accentue cette situation, profitant aux États-Unis qui vendent leur gaz plus cher à l’Europe et imposent leur leadership.

    Les BRICS : un nouvel ordre mondial ?
    Les BRICS gagnent en influence. Leur PIB dépasse celui du G7, redistribuant les cartes. La Chine y joue un rôle clé. Les BRICS+ visent à contrer les États-Unis et à proposer un modèle alternatif. La dédollarisation pourrait déstabiliser l’économie américaine.

    Les États-Unis : prédateurs ou alliés de l’Europe ?
    Les États-Unis, sous prétexte d’alliance, nuisent à l’Europe en dominant des secteurs clés comme l’énergie et la finance. Leur protectionnisme exacerbé ne laisse aucune place à la concurrence européenne. Jusqu’à quand l’Europe jouera-t-elle ce jeu dangereux ?

    Une Europe en voie de disparition
    Le déclin européen, couplé à son alignement sur les États-Unis, soulève des questions. L’Europe peut-elle encore se relever ? La montée des BRICS symbolise la perte d’influence de l’Occident, et l’Europe doit choisir entre suivre les États-Unis ou se rapprocher des BRICS pour préserver son autonomie.

    Ne manquez pas notre émission sur GPTV Actu pour répondre à la question : L’Europe doit-elle choisir entre les BRICS et les États-Unis ?

    Recevez chez vous la revue mensuelle de Géopolitique Profonde pour des analyses exclusives sur l’avenir économique de l’Europe et la montée en puissance des BRICS.

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  • Le 21 septembre 2024, Paul Marie Coûteaux était l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel sur GPTV !

    Paul-Marie Coûteaux est un homme politique et essayiste français. Ancien diplomate, il est surtout connu pour être l’un des principaux théoriciens du souverainisme en France. Il a été député européen de 1999 à 2009, siégeant d’abord sous l’étiquette du Rassemblement pour la France (RPF) de Charles Pasqua. Coûteaux a ensuite évolué dans différents cercles politiques, notamment en se rapprochant du Front National de Marine Le Pen. Penseur critique du mondialisme et fervent défenseur d’une France indépendante, il milite activement pour la défense de la souveraineté nationale face aux institutions supranationales comme l’Union européenne.

    L’émergence du souverainisme en France
    Le souverainisme est né dans les années 1990, sous l’impulsion de figures comme Philippe Séguin, Charles Pasqua et Jean-Pierre Chevènement, qui s’opposaient au traité de Maastricht. Celui-ci, signé en 1992, instaurait l’union économique et monétaire européenne, réduisant l’autonomie des États. Ces personnalités estimaient que cela menaçait la souveraineté nationale en subordonnant les décisions françaises à une Europe fédérale.

    Aujourd’hui, la question se pose : la souveraineté est-elle toujours une protection efficace contre le mondialisme ? Qui pourra incarner ce combat à l’avenir ?

    Le dilemme du RN

    Le Rassemblement National (RN) semble aujourd’hui prendre un tournant stratégique. Longtemps perçu comme le principal représentant du souverainisme en France, le RN de Marine Le Pen s’éloigne de plus en plus de ce courant. En se préparant à gouverner, le parti souhaite apparaître plus « respectable » aux yeux de l’électorat et des élites. Le souverainisme, autrefois central dans son discours, est désormais vu comme un fardeau trop lourd à porter dans une société de plus en plus mondialiste.

    Ce changement se reflète également dans le choix du Rassemblement National de se rapprocher de personnalités politiques convetionnelles, comme Michel Barnier, l’actuel Premier ministre et ancien commissaire européen. En adoptant ce positionnement, le RN espère élargir son électorat et gagner en respectabilité auprès des élites. Toutefois, cette stratégie pourrait bien marquer un tournant décisif dans la relation du parti avec l’idée de souveraineté. La question demeure : ce pari stratégique portera-t-il ses fruits ou signifiera-t-il l’abandon définitif de cette idée fondatrice ?

    Le souverainisme n’est pas mort

    Les petits partis souverainistes, quant à eux, ont toujours rencontré des difficultés à imposer ce courant sur la scène politique nationale. Marginalisés, souvent perçus comme anachroniques ou précaires, ils peinent à rassembler une base électorale solide. Pourtant, le peuple français, confronté à une mondialisation débridée, semble toujours en quête de souveraineté. Face à des institutions supranationales de plus en plus puissantes, la demande pour une politique qui redonne à la France sa liberté d’action est plus que jamais d’actualité.

    Pour Paul-Marie Coûteaux, le souverainisme n’est pas mort, mais en pleine transformation. Il s’agit désormais de savoir qui saura incarner cette idée dans les prochaines années. Alors, qui prendra le relais de cette lutte essentielle pour l’indépendance nationale ?

    Pour des analyses approfondies et des enquêtes exclusives sur les enjeux politiques et géopolitiques actuels, plongez dans la revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 21 septembre 2024, Mike Borowski commentait le scandale sexuel impliquant Puff Daddy et exposant des élites corrompues et un réseau de manipulation, rappelant étrangement l’affaire Epstein sur GPTV Actu.

    La chute de Puff Daddy

    Depuis l’arrestation de Puff Daddy, alias Sean Combs, le 16 septembre à New York, les révélations se multiplient. Accusé de trafic sexuel, il est accusé de comportements abusifs durant des décennies. Sean Combs aurait abusé physiquement et psychologiquement de nombreuses femmes et exercé un contrôle sur son entourage. Il aurait utilisé des drogues pour maintenir ses victimes sous son emprise, créant un climat de terreur et forçant d’autres personnes à protéger ses secrets.

    Incarcéré dans une prison de Brooklyn, Puff Daddy voit ses demandes de libération sous caution rejetées. Son état mental se serait dégradé, et il est désormais placé sous « surveillance suicide ». Cette histoire ne rappelle-t-elle pas celle d’Epstein ?

    Une histoire qui se répète

    L’affaire rappelle celle de Jeffrey Epstein, dont le réseau d’abus sexuels a révélé la corruption des élites. Comme Sean Combs, Epstein était impliqué dans un scandale mondial touchant des personnalités influentes. Avant que la justice ne puisse tout dévoiler, Epstein a été retrouvé mort, officiellement suicidé, bien que sa surveillance devait être infaillible. Officieusement, ce suicide aurait permis de protéger des individus haut placés.

    Puff Daddy connaîtra-t-il le même sort ? Est-il en danger à cause des révélations qu’il pourrait faire sur les élites qu’il a fréquentées ? Les parallèles avec l’affaire Epstein laissent entrevoir une justice peut-être manipulée pour protéger des intérêts bien plus vastes.

    Un réseau sombre

    Ce n’est plus une coïncidence : Epstein, Maxwell, Weinstein, et maintenant Puff Daddy. Ces scandales révèlent des schémas d’abus et de manipulation au sein des élites. Pourquoi ces figures de pouvoir sont-elles impliquées dans des affaires aussi sordides ? Il devient difficile de croire que ces cas sont isolés. Derrière le succès et la fortune se cachent des individus qui semblent agir en toute impunité, protégés par leurs connexions.

    Certains parlent de réseaux encore plus sombres, évoquant des pratiques pédosatanistes et des rituels macabres où ces figures de pouvoir joueraient un rôle actif. Puff Daddy aurait-il été un acteur clé dans ces cercles ? Ses connexions et son influence pourraient avoir permis la perpétuation de pratiques abominables. Si cela est prouvé, cela ouvrirait la porte à des révélations bien plus graves que de simples abus. Jusqu’où ces élites sont-elles prêtes à aller pour satisfaire des désirs inavouables et conserver leur pouvoir ?

    Pour comprendre les véritables enjeux, plongez au cœur de nos analyses détaillées avec la revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 21 septembre 2024, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski, sur la chaîne GPTV !

    Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité.
    Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, mettant en lumière les dangers de la marchandisation de la santé mentale.

    Une génération sous pilules

    Depuis quelques années, l'industrie pharmaceutique cible de plus en plus les enfants, créant une dépendance à long terme. En encourageant les parents à opter pour des solutions médicamenteuses, Big Pharma façonne une génération croyant que leur bien-être repose uniquement sur les médicaments, même sans réels problèmes de santé. Cette normalisation commence dès le plus jeune âge, banalisant l'idée que tout malaise, aussi mineur soit-il, doit être traité par des pilules.

    Un business juteux

    La multiplication des diagnostics de HPI, HPE et TDAH chez les enfants soulève des doutes. Bien que certains aient besoin d’un suivi, la majorité ne présente aucun symptôme significatif. Pourtant, les parents, influencés par la société, se ruent sur des tests psychologiques. Ces diagnostics, souvent erronés et basés sur des critères flous, alimentent un marché lucratif. Des thérapeutes peu scrupuleux exploitent l’angoisse parentale, proposant des suivis coûteux sans justification. L'intérêt économique prime ainsi sur le bien-être des enfants, qui se retrouvent enfermés dans un cycle médical sans fin.

    Une alliance silencieuse

    L’Éducation nationale joue un rôle dans ce processus en promouvant des solutions médicalisées pour les problèmes comportementaux. Les campagnes de sensibilisation et la pression sur les enseignants pour détecter des troubles renforcent cette tendance.

    Cette alliance tacite entre l’Éducation nationale et les laboratoires pharmaceutiques crée un climat d’hypocondrie généralisée. En instaurant un climat de peur autour de la santé, les laboratoires trouvent dans les écoles un terrain fertile pour asseoir leur influence. Les enseignants et les psychologues scolaires deviennent des relais de ce système. En encourageant les diagnostics précoces et les traitements pour des troubles souvent bénins, l’Éducation nationale contribue à façonner des générations entières d’enfants qui grandissent convaincus que chaque inconfort, chaque difficulté, doit être traitée par des médicaments.

    Vous vous interrogez sur l’influence croissante de Big Pharma sur la santé de vos enfants ? Ne vous laissez pas manipuler par les campagnes et discours bien rodés. Plongez dans la Revue Mensuelle de Géopolitique Profonde pour comprendre les véritables enjeux de ces pratiques !

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  • Le 20 septembre 2024, Philippe Murer était l’invité de l’émission Le Monde Réel, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    Cet économiste et homme politique français, ancien membre du Parti socialiste, s’est progressivement imposé comme une figure incontournable du souverainisme, prenant souvent des positions à contre-courant de la gauche traditionnelle. Son cheminement politique a été marqué par son rejet de l’européisme et son plaidoyer pour un retour à la souveraineté nationale, tant sur le plan économique que monétaire.

    Un tournant politique avec le « Non » au référendum de 2005

    En 2005, lors du référendum sur la constitution européenne, Philippe Murer se distingue en soutenant le « non », un choix qui allait à l’encontre de la ligne majoritaire au sein de la gauche française, souvent acquise à l’idée d’une intégration européenne plus poussée.

    Ce refus marque une rupture significative dans son parcours. Le résultat du référendum, avec une majorité de Français opposée à la constitution européenne, renforce sa conviction que l’Union Européenne, telle qu’elle se développe, n’est pas au service des peuples, mais plutôt des élites économiques et politiques.

    De la gauche à la droite il n’y a qu’un pas

    En 2014, Philippe Murer rejoint le Rassemblement National (RN), attiré par les positions souverainistes du parti à l’époque. Cependant, en 2017, il décide de quitter la formation lorsque le conseil national du RN vote pour l’abandon de la défense de la souveraineté nationale.

    Ce changement de cap marque une divergence profonde entre Philippe Murer et la nouvelle orientation du parti, le poussant à rompre avec une structure politique qui, selon lui, ne répondait plus aux aspirations souverainistes initiales.

    La création du Mouvement Politique Citoyen en 2024

    En 2024, face à ce qu’il perçoit comme l’échec des partis souverainistes à s’unir, Philippe Murer décide de fonder le Mouvement Politique Citoyen. Ce nouveau parti vise à rassembler les citoyens autour de la défense de la souveraineté nationale, tant sur le plan économique que politique. Son initiative est soutenue par Olivier Piacentini et Laurent Henninger, convaincus que l’avenir de la France réside dans un retour à une indépendance complète vis-à-vis des institutions européennes et internationales.

    Diviser pour mieux régner ?

    Cependant, la création de ce mouvement soulève des interrogations. Le paysage politique français est déjà marqué par une fragmentation des mouvements souverainistes. Depuis la création de l’Union Populaire Républicaine (UPR) par François Asselineau en 2007, d’autres figures comme Florian Philippot avec Les Patriotes, Francis Lalanne et même Dieudonné, ont également tenté de structurer l’opposition à l’Union Européenne.

    Cette prolifération des mouvements souverainistes pourrait-elle fragmenter davantage l’électorat ? Certains estiment qu’au lieu de fédérer les forces autour d’un projet commun, la multiplication de ces initiatives divise les électeurs et affaiblit le mouvement souverainiste dans son ensemble. La question de l’efficacité réelle de la création d’un énième parti politique se pose donc, d’autant plus que la montée des extrêmes, notamment à droite, crée une concurrence féroce dans l’espace politique souverainiste.

    Pour aller plus loin dans l’analyse géopolitique, recevez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde et restez informés sur l’avenir de la France face à la mondialisation.

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  • Le 20 septembre 2024, Nicolas Stoquer recevait Laurent Artur du Plessis, Finn Andreen et Lara Stam sur GPTV Actu pour une émission au sujet du conflit entre la Russie et l’OTAN.

    Laurent Artur du Plessis, journaliste et géopolitologue, reconnu pour ses analyses pointues des relations internationales, notamment concernant les conflits majeurs du XXIe siècle.

    Finn Andreen, spécialiste des relations internationales, expert dans les questions de défense et de diplomatie, il apporte une vision globale et nuancée sur la situation en Ukraine.

    Lara Stam, chroniqueuse à Radio Courtoisie, est connue pour ses prises de position tranchées sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.

    L’Occident : un soutien aveugle aux États-Unis, mais à quel prix ?

    Depuis le début du conflit en Ukraine, l’Occident s’aligne sur les États-Unis, adoptant une position de soutien inconditionnel à Kiev contre la Russie, « quoi qu’il en coûte ». En se voulant les champions d’une guerre prétendument au service de la démocratie, les pays occidentaux engendrent de lourdes répercussions pour leurs citoyens, notamment les Français.

    La guerre, nécessitant un soutien militaire constant, entraîne également des sanctions économiques qui affectent directement la vie quotidienne. Le prix du gaz et du gazole explose, impactant lourdement les ménages. Les sanctions contre la Russie ont déstabilisé son économie, mais elles ont aussi provoqué une hausse des prix de l’énergie en France.

    La question se pose : jusqu’où ira cette folie guerrière, et l’Occident est-il prêt à sacrifier son propre peuple pour une guerre qui n’est pas la sienne ?

    L’Ukraine à la croisée des chemins : continuer ou négocier ?

    Autrefois vue comme la victime héroïque de l’agression russe, l’Ukraine commence à perdre du terrain sur la scène internationale. Le conflit s’enlise, et l’Occident hésite entre poursuivre la guerre ou rechercher la paix. Mais quelle paix envisager ?

    Vladimir Poutine a toujours été clair : il s’oppose à toute extension de l’OTAN en Europe de l’Est. Il exige également que Kiev garantisse les droits des citoyens russophones et reconnaisse les réalités territoriales actuelles, dont l’annexion de la Crimée et le statut des régions de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia.

    Ces revendications compliquent toute perspective de paix et posent une question cruciale : l’Occident acceptera-t-il ces conditions pour mettre fin au conflit, ou continuera-t-il à soutenir Kiev malgré les sacrifices croissants ?

    Macron et l’Union Européenne : jusqu’où ira-t-il ?

    En 2005, les Français ont voté « non » au référendum sur la Constitution européenne. Pourtant, Emmanuel Macron reste inflexible sur la France au sein de l’Union Européenne et dans le camp occidental, malgré les coûts énormes que cela engendre.

    Macron a reconnu qu’un référendum sur l’Union Européenne pourrait aboutir à un « Frexit ». Néanmoins, il garde le cap du « va-t-en-guerre », sacrifiant les intérêts des Français au profit d’une guerre qui ne concerne pas directement la France et nuit à l’économie nationale.

    Jusqu’où ira-t-il ? Va-t-il continuer à soutenir une guerre qui creuse le fossé entre les élites et les citoyens ?

    Jusqu’où ira-t-il dans cette logique ? Va-t-il continuer à soutenir une guerre qui ne fait que creuser le fossé entre les élites et les citoyens ordinaires ?

    Pour aller plus loin dans l’analyse des enjeux géopolitiques et comprendre les impacts réels de cette guerre sur l’économie française, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde .

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  • Pascal Mas est l’invité du Libre Journal de Gépolitique Profonde animé par Nicolas Stoquer, en compagnie de Lara Stam, sur GPTV ACTU.

    La Russie et l’Islam : une relation historique marquée par les épreuves

    L’histoire de la Russie et de l’Islam est complexe, marquée par des périodes de tensions mais aussi par une longue cohabitation.

    Aujourd’hui, sous la présidence de Vladimir Poutine, cette relation a pris une dimension stratégique et philosophique cruciale, symbolisée par la vision d’un « Président de tous les Russes », où la communauté musulmane s’intègre pleinement dans le cadre national, devenant « d’abord russe, et ensuite musulmane ».

    Sous Poutine, une politique de réconciliation et d’intégration a stabilisé ces régions. La Tchétchénie est devenue un exemple de paix retrouvée sous l’égide de dirigeants locaux loyaux au Kremlin, tandis que le Tatarstan, avec Kazan comme capitale, symbolise la prospérité économique et culturelle des musulmans au sein de la Fédération de Russie.

    « Président de tous les Russes » : une philosophie d’unité nationale

    La force du discours de Vladimir Poutine réside dans l’idée d’une unité indissociable, où toutes les composantes ethniques et religieuses de la Russie sont reconnues et intégrées sous une bannière nationale.

    Les musulmans de Russie, environ 10 % de la population, sont encouragés à s’identifier d’abord comme russes, tout en pratiquant leur foi dans un cadre où l’islam est respecté et valorisé comme une partie intégrante de l’identité nationale.

    Cette philosophie permet à la Russie d’éviter les fractures internes que l’on observe dans de nombreux pays européens, où les communautés musulmanes se sentent souvent mises à l’écart. La stabilité relative en Tchétchénie et au Tatarstan témoigne de cette intégration réussie, où la loyauté à l’État prime sur les différences confessionnelles.

    Kazan : symbole d’une union prospère

    La ville de Kazan, capitale du Tatarstan, incarne parfaitement cette symbiose entre l’islam et la Russie. Métropole dynamique, elle est un centre culturel et spirituel important pour les musulmans russes.

    Le choix de Kazan pour accueillir le prochain sommet des BRICS+ en octobre 2024 est révélateur de son importance stratégique et économique. Cela montre également comment la Russie, en s’appuyant sur ses régions musulmanes, aspire à jouer un rôle central dans un monde multipolaire en plein essor.

    Une réflexion sur l’assimilation des musulmans en France

    La cohabitation réussie entre Russes et musulmans contraste avec la situation en France, où la question de l’assimilation reste problématique. En Russie, l’intégration se fait dans le cadre d’une identité nationale forte, où les musulmans sont perçus comme une partie essentielle du tissu social et historique.

    En France, la tension entre les Français dits de souche et l’immigration arabo-musulmane s’accentue, souvent alimentée par des débats sur la laïcité et la place de l’islam.

    L’approche inclusive mais ferme de la Russie permet d’élargir la réflexion sur les défis des nations européennes. L’exemple russe montre qu’une intégration réussie ne passe pas nécessairement par l’assimilation forcée, mais par la valorisation des différences au sein d’une identité nationale partagée.

    Un modèle qui, bien qu’imparfait, offre des pistes de réflexion pour les pays cherchant à apaiser les tensions ethnico-religieuses tout en préservant leur cohésion nationale.

    Quittez la dictature numérique et financière, avec la revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 20 septembre 2024, Dimitri de Kochko, le Capitaine Pierre Plas et Alexandre Artamonov étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphael Besliu, sur GPTV.

    Le thème central de l'émission était la désinformation et la propagande dans les relations entre la Russie et l'Occident, à un moment où le risque d'escalade militaire reste élevé.

    Les invités : trois figures aux parcours distincts

    Dimitri de Kochko est une personnalité bien connue dans le milieu des médias et de la culture russe en France. Journaliste, réalisateur et militant associatif, il est président fondateur de l’association France-Oural et de l'association Stop russophobie. Il est aussi à l'origine du Prix Russophonie et des Journées du Livre Russe.

    Le Capitaine Pierre Plas, ancien officier de renseignement français, a servi dans les Troupes Aéroportées et à la Direction du Renseignement Militaire. Après 21 ans de service, il a quitté l'armée en raison de plusieurs interventions chirurgicales. Il est aujourd’hui un expert en géopolitique, souvent critique des manipulations médiatiques, notamment sur des sujets comme le conflit en Ukraine.

    Alexandre Artamonov, ancien conseiller en aéronautique civile du Ministre des Transports en Russie (2006-2011), a fait un virage radical en s'investissant dans les médias. Il est devenu directeur du Service français du Consortium médiatique public Rossiya Segodnya et créateur de ProRussia.tv. Depuis 2015, il est également animateur à la radio russe « Radonezh » et rédacteur en chef du Service français de Pravda.ru.

    Un tournant critique dans les relations Russie-Occident

    Les relations entre la Russie et l'Occident sont à un point de bascule. La guerre en Ukraine exacerbe les tensions mondiales. Deux scénarios se dessinent : une escalade militaire ou une paix fragile. Poutine exige la reconnaissance des territoires annexés et que l'Ukraine ne rejoigne pas l'OTAN, des demandes rejetées par l’Ukraine et ses alliés.

    Désinformation et risques d’escalade militaire

    Le risque d'escalade reste élevé, notamment autour des centrales nucléaires. Des attaques sous faux drapeau pourraient justifier une intervention militaire des alliés de l’Ukraine.

    La désinformation dans les médias joue un rôle central. Elle manipule les opinions publiques pour préparer à un conflit plus large. En Occident, toute opposition à l'intervention en Ukraine est perçue comme une trahison, rendant tout débat impossible.

    L’implication de la France dans le conflit

    L’implication des forces spéciales françaises en Ukraine, souvent occultée et bien que non confirmée, pose des questions sur le rôle réel de la France dans ce conflit et pourrait intensifier le débat public.

    L'Europe à la croisée des chemins

    Face à une Russie de plus en plus isolée et une Ukraine épuisée, l'Europe se trouve à un tournant décisif. Soutenir indéfiniment l'effort de guerre ukrainien est coûteux, tant politiquement que financièrement. Renoncer à ce soutien serait perçu comme une victoire pour Poutine, renforçant son emprise sur les territoires conquis. L'Europe doit donc jongler entre le soutien à l'Ukraine, la désescalade des tensions et la préservation de son ordre interne.

    Dans ce contexte, les initiatives diplomatiques de pays non-alignés comme la Turquie ou la Chine pourraient jouer un rôle central dans l’établissement des bases d’un cessez-le-feu.

    Pour aller plus loin dans votre compréhension des enjeux géopolitiques actuels, recevez dès maintenant votre revue Géopolitique Profonde.

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  • Le 19 septembre 2024, Charles Carpentier est l’invité de Cyril Gaucher dans notre émission L’avocat Du Diable, en direct sur GPTV !

    Charles Carpentier est un étudiant à l’ESCP, auteur et fondateur de La Sphère, un collectif dédié à l’analyse des enjeux contemporains, notamment en matière de stratégie numérique et de géopolitique. Passionné par les transformations technologiques et leurs impacts sur la société, il combine son expertise académique et pratique pour proposer des perspectives critiques sur la domination des GAFAM et les questions de souveraineté numérique.

    Les géants qui contrôlent nos vies

    À ses débuts, Internet incarnait une véritable révolution. L’absence de frontières et la liberté de circulation de l’information ouvraient des perspectives incroyables pour les citoyens et les entreprises. Cependant, cet espace de liberté s’est transformé sous l’emprise de quelques géants du numérique, désormais connus sous le sigle GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft).

    Leur puissance économique est vertigineuse : à elles seules, les GAFAM affichent une capitalisation boursière cumulée de plusieurs milliers de milliards de dollars. Cette richesse leur permet d’étendre leur influence sur les secteurs clés de l’économie mondiale. Amazon domine le e-commerce, Google contrôle la recherche en ligne, et Facebook façonne la manière dont des milliards de personnes s’informent et interagissent.

    Les GAFAM au pouvoir

    Malgré leurs dérives, il est impossible de nier que les GAFAM ont été les architectes d’une transformation sans précédent dans l’histoire de l’humanité. En 20 ans, ils ont non seulement connecté le monde, mais également démocratisé l’accès à la connaissance et repoussé les limites de l’innovation avec des technologies comme l’intelligence artificielle et le cloud. Cependant, cette concentration de données personnelles leur confère un pouvoir de contrôle énorme sur les utilisateurs.

    En outre, leur réputation a été ternie par des scandales liés à la vie privée et à l’ingérence dans les processus électoraux. Malgré une défiance croissante envers ces entreprises, leur influence demeure forte, grâce à leur omniprésence dans la vie quotidienne et leur contrôle sur l’information.

    Une alliance silencieuse

    L’influence des GAFAM dépasse les sphères économique et technologique. Leur contrôle des réseaux sociaux et des moteurs de recherche leur permet de modeler l’accès à l’information et d’influencer les opinions. Lors de la présidentielle américaine de 2020, ils ont été accusés de soutenir les Démocrates via des algorithmes influençant la diffusion de contenu.

    Certains suggèrent qu’il existe une alliance tacite entre les GAFAM, leur permettant de se partager le marché. En Russie et en Chine, des alternatives nationales ont émergé, prouvant qu’il est possible de résister à leur domination mondiale.

    Pourquoi l’Europe semble-t-elle si faible face aux GAFAM ?

    Malgré des tentatives de taxation ou de régulation, comme le projet de taxe européenne sur les GAFAM, les mesures prises restent insuffisantes pour contrer leur emprise.
    L’Union européenne n’a pas su bâtir un écosystème numérique capable de rivaliser avec ces mastodontes, laissant ses citoyens et ses entreprises dépendants de leurs services. L’Europe parviendra-t-elle à s’émanciper un jour de cette domination numérique ?

    Les GAFAM touchent à notre liberté, notre vie privée et même à l’avenir de la démocratie. Pour aller plus loin dans l’analyse et découvrir des perspectives alternatives, explorez la revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 19 septembre 2024, Myriam Palomba et Andrzej Linowiecki étaient les invités de Mike Borowski, en direct sur GPTV ACTU !

    Myriam Palomba est une journaliste et directrice de rédaction française, connue pour son travail dans la presse people. Elle a occupé des postes clés dans des magazines tels que Public et est également active dans la production de contenu digital. Palomba se distingue par son franc-parler et son regard critique sur les médias et la politique.

    Andrzej Linowiecki est un écrivain et historien polonais spécialisé dans les mouvements d'opposition en Europe de l'Est, notamment ceux qui ont lutté contre le communisme. Il a écrit plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Pologne, en particulier sur le mouvement Solidarnosc, et son rôle dans la chute du régime soviétique.

    Élection ou illusion ?

    Dans une démocratie moderne, l'élection est présentée comme le moyen ultime pour changer les choses et façonner l'avenir du pays. Mais est-ce vraiment le cas ? Peut-on espérer renverser un système simplement en votant ? Cette vision idéaliste masque une réalité bien plus complexe. En effet, malgré les alternances politiques, les grandes orientations économiques, internationales ou sociales demeurent largement inchangées.

    Le véritable pouvoir semble se situer au-delà des élections, entre les mains d'élites économiques et institutionnelles qui préservent leurs intérêts, quel que soit le résultat des scrutins. Les élections ne sont qu’une façade destinée à maintenir l'illusion de la démocratie, alors que les vraies décisions sont prises en coulisses. Comme l'avait si bien résumé Coluche : « Si voter changeait quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit. »

    Sommes-nous en réalité dans une dictature qui ne dit pas son nom ?

    Une révolution sans urnes

    L’histoire nous enseigne que les grands bouleversements politiques ne se font pas toujours dans les urnes. Le cas de Solidarnosc, en Pologne, est un exemple frappant. Dans les années 1980, ce

    Ce qui est particulièrement intéressant dans cette histoire, c'est que Solidarnosc n'a pas cherché à prendre le pouvoir par les élections, qui étaient contrôlées et truquées par le régime. Au lieu de cela, ils ont utilisé d’autres moyens : la grève, la désobéissance civile, et la mobilisation de la société à grande échelle. L'Union soviétique semblait, à l'époque, aussi inébranlable que peut l'être aujourd'hui le système européen, pourtant c’est la volonté populaire, organisée en dehors des cadres institutionnels, qui a fait basculer l’histoire.

    Solidarnosc nous enseigne que lorsque les élections ne permettent plus d’exprimer la volonté populaire, d'autres voies, plus directes, peuvent se révéler plus efficaces.

    Une opposition contrôlée

    Depuis des années, les mouvements souverainistes cherchent à réformer le système de l'intérieur, mais leurs efforts semblent condamnés à l'échec. Pourquoi ? Parce que jouer selon les règles d

    On peut alors se demander :

    La prise de pouvoir doit-elle emprunter d’autres voies ?Faut-il envisager des actions plus radicales, comme un coup d'État ou une prise de contrôle directe des institutions ?Les souverainistes jouent-ils le rôle d'opposition contrôlée, offrant simplement l'illusion d'une véritable alternative.

    Pour approfondir ces réflexions sur les véritables dynamiques du pouvoir et les alternatives à la voie électorale, découvrez des analyses exclusives dans la revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Laurence Beneux est l’invitée du Libre Journal des Controverses animé par Mike Borowski pour dénoncer un sujet mondialement tabou : le militantisme pédocriminel et l’impunité totale depuis plus de 50 ans, sur GPTV ACTU.

    Journaliste indépendante, Laurence Beneux a travaillé pour Le Figaro, Paris-Match, L’Express… ainsi que pour l’émission d’investigation « 90 minutes » sur Canal+. Elle est également la co-auteure, avec Serge Garde, de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles (cherche midi, 2000), et l’auteure de Droits des femmes et des enfants : l’intolérable indifférence (Michalon, 2017).

    Le sujet de la pédocriminalité reste l’un des plus tabous, non seulement en France, mais aussi à l’échelle mondiale. Malgré de nombreux scandales, l’impunité des responsables semble persister, alimentant la colère et l’indignation.

    Aujourd’hui, sur GPTV ACTU, Laurence Beneux, journaliste indépendante et auteur de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles, intervient dans le Libre Journal des Controverses animé par Mike Borowski pour dénoncer cette réalité insoutenable.
    L’impunité des responsables : un fléau en France

    En France, le silence autour des affaires pédocriminelles est assourdissant. L’une des affaires les plus médiatisées, l’affaire d’Outreau, a révélé des dysfonctionnements graves dans le traitement de la pédocriminalité par la justice. Cependant, cette affaire n’est qu’une goutte d’eau dans un océan de scandales étouffés.

    En dehors de la France, des affaires comme celle des CD de Zandvoort montrent l’ampleur internationale de ces réseaux pédophiles et la protection dont bénéficient leurs membres.

    Un militantisme pro-pédophilie inquiétant

    Depuis plus de 50 ans, un militantisme pro-pédophilie tente de normaliser des comportements inacceptables en cherchant à repousser les limites de la loi sur les relations sexuelles avec des mineurs.

    Dans les années 70-80, la France a vu se développer des mouvements militants pro-pédophilie qui prônaient une libéralisation des relations sexuelles entre adultes et enfants.

    En 1979, le journal Libération a choqué en publiant une une provocante : « Apprenons l’amour à nos enfants », reflétant un climat où certains intellectuels et militants cherchaient à légitimer ces pratiques au nom de la « libération sexuelle ».

    Cette époque a vu la montée de groupes comme le Front de Libération des Pédophiles, qui défendaient ouvertement des positions pro-pédophilie, tentant dangereusement de redéfinir les notions de viol et d’agression sexuelle.

    Corruption au sein de la justice : un problème systémique

    Ce qui choque profondément, c’est la corruption présumée au sein même de la justice française. Plusieurs magistrats ont été impliqués dans des affaires de pédopornographie et pédocriminalité, certains étant même accusés d’ignorer délibérément des cas pour des raisons obscures.

    Pourquoi des juges ferment-ils les yeux sur ces crimes ?

    Ce phénomène, loin d’être isolé, soulève des questions graves sur l’intégrité du système judiciaire, en France et dans de nombreux pays.

    Un problème global qui demande une action urgente

    Le combat contre la pédocriminalité est un défi mondial, et l’impunité des responsables ne fait qu’aggraver la situation.

    L’heure est venue de lever le voile sur ces réseaux et de s’interroger sur les raisons pour lesquelles tant de crimes restent impunis.

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  • Le 19 septembre 2024, le Capitaine Jean-Pierre Fabre Bernadac et le capitaine Gérard Hardy étaient les invités de Nicolas Stoquer, accompagné de Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Le capitaine Jean-Pierre Fabre Bernadac est un ancien officier de la gendarmerie française, connu pour ses prises de position critiques vis-à-vis de l’évolution de la société française, notamment sur les questions de sécurité et d’immigration. Il est le président du collectif Place d’Armes, une organisation regroupant d’anciens militaires préoccupés par la direction que prend la France. Ce collectif milite pour une restauration de l’ordre et des valeurs républicaines.

    Le capitaine Gérard Hardy, vice-président du collectif Place d’Armes, est un ancien officier de l’armée française ayant servi avec distinction au sein des forces armées. Fort de son expérience militaire, il s’est investi dans des causes touchant à la sécurité et à la souveraineté de la France. Son engagement au sein de Place d’Armes reflète une volonté de rassembler les anciens militaires autour de questions cruciales telles que la défense des valeurs républicaines, la préservation de l’identité nationale et la lutte contre la montée de l’insécurité.

    La France en chute libre

    La France s’enfonce de plus en plus dans une décadence sont les signes sont omniprésents, et l’un des plus récents fut donné lors des cérémonies d’ouverture des Jeux Olympiques Paris 2024. Nous avons assisté à une mise en scène imprégnée d’idéologies woke, de références LGBT, et même de symboles satanistes. Cette inversion des valeurs révèle un malaise profond où tout se vend, y compris les hommes, qui n’échappent pas à cette logique mercantile. La corruption gangrène non seulement les institutions, mais aussi les esprits.

    Nous vivons à une époque où le culte du laid domine, où la vérité est devenue relative, sujette aux interprétations farfelues. La société française est forte avec les faibles, mais faible avec les forts. Quant à l’individu, il est sacralisé, exigeant sa jouissance immédiate. Le tout sous le regard de l’anti-France, prête à tourner en dérision les fondements de la nation.

    Une nation divisée

    Cette inversion des valeurs ne dégrade pas seulement la France moralement, elle menace aussi son unité nationale. La division règne, opposant les Français sur des questions de race, de genre ou de classe sociale. Diviser pour mieux régner semble être la stratégie du gouvernement, qui alimente ces fractures au lieu de les apaiser.

    À cela s’ajoute une défiance grandissante envers les institutions et ceux qui les dirigent. Les médias, les élites politiques, tout est remis en question. Pourtant, une institution suscite encore confiance et respect : l’armée.

    Revenir aux sources pour redresser la France

    Si les Français interrogés dans les études d’opinion continuent de faire confiance à l’armée, pourquoi ne pas envisager une refondation de la France autour des valeurs militaires ? Loyauté, Courage, Service : des vertus qui ont permis à la France de devenir une nation forte. Est-il temps de renouer avec ces valeurs guerrières?

    Ce retour aux sources permettrait de restaurer l’ordre et la cohésion nationale en donnant aux citoyens un sens du devoir. Loin des excès individualistes, un tel modèle pourrait redonner à la France la force et la dignité qui lui manquent cruellement aujourd’hui.

    Pour une analyse approfondie de la situation actuelle et des enjeux qui menacent l’avenir de notre pays, explorez la revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 18 Septembre 2024, Alban d’Arguin était l'invité de Mike Borowski, sur GPTV.

    Alban d’Arguin, titulaire de deux DEA de droit public et d'histoire du droit, a poursuivi des études d'actuariat (ISUP Paris).
    Il a déjà publié Éoliennes : un scandale d'État(éditions Synthèse nationale, 2017), qui a fait de lui l'un des pionniers de la lutte contre les éoliennes en France. Il est également connu pour son ouvrage « Réchauffement Climatique : Enquête sur une Manipulation Mondiale ».

    Passionné par la vérité et la défense des libertés individuelles, il s'attache à démonter les rouages de l'idéologie climatique qui, selon lui, repose sur des bases scientifiques biaisées et des intérêts cachés. Ses travaux interrogent les discours dominants sur le changement climatique et proposent une lecture alternative des politiques écologistes souvent dictées par des agendas économiques et politiques.

    Pourquoi le réchauffement climatique provoqué par l’homme est une hérésie ?

    L’idée que le réchauffement climatique soit principalement causé par l’activité humaine est fortement contestée par Alban d’Arguin. Selon lui, cette thèse sert des intérêts économiques et politiques qui cherchent à contrôler les ressources et les comportements individuels sous couvert de sauver la planète.

    Les véhicules électriques, par exemple, sont une dissonance cognitive flagrante : bien que présentés comme une solution écologique, leur production est hautement polluante et énergivore. On estime qu'il y a environ 20 millions de véhicules électriques en circulation dans le monde aujourd’hui, un chiffre en constante augmentation.

    Pendant ce temps, les éoliennes, vantées pour leur énergie propre, perturbent les écosystèmes terrestres et marins, endommagent les coraux et nuisent à la faune aviaire. Ainsi, alors que l’on nous exhorte à éteindre nos lumières pour économiser de l’énergie, on investit massivement dans des technologies coûteuses et écologiquement controversées.

    Un avenir de contrôle sous prétexte écologique ?

    La question du « confinement climatique » ou du « passeport climatique » semble de plus en plus plausible dans un monde où la peur est utilisée pour restreindre les libertés. En effet, les élites qui prêchent la réduction des émissions de CO2 sont les mêmes qui voyagent en jet privé pour des raisons personnelles, comme le célèbre incident de Macron en costume à New York.

    L’écologisme militant pourrait mener à des guerres à haute intensité, les ressources énergétiques devenant l’enjeu principal des conflits géopolitiques. La Russie, par exemple, paierait le prix de ses vastes réserves énergétiques, convoitées par des élites mondialisées qui cherchent à s’en approprier le contrôle sous couvert de moralité environnementale.

    Le sujet du climat n’est pas seulement une remise en question des dogmes écologistes, mais un appel à la vigilance face à une manipulation mondiale qui pourrait mener à des restrictions sans précédent des libertés individuelles.

    Pour vous protéger de l'avenir économique sombre de la France, retrouvez notre stratégie anti-CBDC.

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  • Le 18 Septembre 2024, Sébastien Périmony et Jacques Cheminade étaient les invités de Mike Borowski sur GPTV Actu, pour une émission au sujet de l'Allemagne et du contrôle des frontières intérieures.

    Sébastien Périmony est un analyste politique connu pour ses positions critiques envers l'Union Européenne, souvent invité pour discuter des questions de souveraineté et de politique internationale.

    Jacques Cheminade, fondateur du parti Solidarité et Progrès, est un homme politique français qui prône une réforme profonde des institutions européennes et des politiques économiques internationales.

    Défi à la libre circulation : une remise en question de Schengen ?

    L'Allemagne, sous la pression de la montée de l'extrême droite et face à une série d'attentats récents, a décidé de rétablir des contrôles temporaires à toutes ses frontières terrestres. Cette mesure, justifiée par la lutte contre l'immigration illégale, suscite des débats sur la compatibilité avec les accords de Schengen, qui visent à abolir les contrôles aux frontières internes entre les États membres de l'UE.

    Pourquoi les anti-européens ou les pro-européens ont-ils affirmé que la maîtrise des frontières européennes était impossible ?

    La réponse réside dans l'idéologie fondatrice de Schengen : une Europe sans frontières, synonyme de liberté de mouvement. Cependant, les récents défis sécuritaires et migratoires poussent certains pays à prioriser la sécurité nationale.

    Les critères légaux pour la restauration des contrôles aux frontières

    Les accords de Schengen stipulent que les frontières intérieures entre les États membres doivent être dépourvues de contrôles réguliers, permettant ainsi la libre circulation des personnes au sein de l'espace Schengen. Toutefois, les États membres conservent le droit de réintroduire temporairement des contrôles aux frontières intérieures en cas de menace grave pour l'ordre public ou la sécurité nationale. Cette mesure doit être proportionnée et limitée dans le temps, avec des justifications claires et une notification aux autres membres et à la Commission européenne.

    L'Allemagne a invoqué des motifs liés à la sécurité nationale, en réponse aux récentes attaques terroristes et à la pression migratoire accrue, pour justifier cette mesure. Olaf Scholz, en prenant cette décision, cherche à répondre aux préoccupations internes, notamment la crainte d'une montée de l'Alternative für Deutschland (AfD), un parti d'extrême droite qui gagne en popularité grâce à un discours anti-immigration.

    Quelles sont les véritables motivations derrière cette mesure ?

    La réintroduction des contrôles ne vise pas uniquement l'immigration illégale mais reflète aussi des préoccupations sur la sécurité intérieure et des dynamiques politiques internes. Avec l'AfD gagnant du terrain, Scholz cherche à montrer une position ferme sur l'immigration pour contrer l'opposition. Cette décision, bien que légale, soulève des questions sur la cohésion future de l'espace Schengen et les priorités divergentes des États membres face aux défis contemporains.

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  • Dans une période de crise profonde, la voix du peuple résonne avec force. Sur GPTV Investigation, notre nouveau micro-trottoir dévoile la colère des Français face à la situation politique actuelle.

    Emmanuel Macron est pointé du doigt comme le responsable d’un chaos grandissant, à la fois économique, politique et social.

    Selon les témoignages recueillis, la démocratie en France semble n’être plus qu’une façade, tandis que les problèmes se multiplient sans solutions tangibles.

    Un président autoritaire et déconnecté

    La dissolution de l’Assemblée nationale par Macron a amplifié l’instabilité politique. Les Français, déjà à bout, ont dû patienter des semaines pendant la fameuse « trêve olympique », avant que le Président annonce finalement la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre.

    Ce choix, perçu comme une continuité de la gestion actuelle, ne rassure pas. Bien au contraire, l’incertitude grandit, et les inquiétudes s’accumulent face à la préparation en urgence du budget 2025.

    Des ressources publiques spoliées, des taxes qui explosent

    La colère du peuple est alimentée par une série de mesures impopulaires : la hausse des taxes, la spoliation des ressources publiques, et une économie qui ne profite qu’à une élite.

    Les citoyens se sentent dépossédés de leur avenir, écrasés sous le poids d’un système qui semble ignorer leurs souffrances quotidiennes.

    La démocratie en France, une illusion ?

    La perte de confiance en la démocratie est l’un des éléments centraux du mécontentement des Français. Pour beaucoup, ce qui se joue aujourd’hui n’est plus une véritable démocratie. « Ce n’est plus qu’un mot vide de sens, » s’exclament certains des citoyens interrogés.

    Les institutions sont perçues comme déconnectées des réalités du peuple, et la prise de décision se fait au sommet sans consultation ni considération des besoins réels de la population.

    La défiance envers les élites politiques et les médias ne cesse de croître, plongeant la société dans un climat de méfiance généralisée. Le peuple ne croit plus au système, et cela pose un sérieux danger pour l’avenir du pays.

    Quelles solutions pour sortir de la crise ?

    Ce micro-trottoir est le reflet d’un ras-le-bol généralisé. La question sur toutes les lèvres est la suivante : quelle est la solution ? Comment sortir de cette spirale destructrice ?

    Le peuple réclame du changement, mais se sent impuissant face à une classe politique perçue comme hors de portée.

    L’avenir de la France est en jeu, et le climat social montre que le pays est au bord de l’explosion.

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  • Le 18 septembre 2024, Cyril Gaucher était l’invité de Nicolas Stoquer sur GPTV Actu !

    Cyril Gaucher, analyste politique et ancien consultant en stratégie, reconnu pour ses perspectives économiques et sa capacité à décortiquer les enjeux complexes, apporte un regard pragmatique et critique sur les politiques économiques.

    À travers son expérience d’observateur international lors des élections présidentielles en Russie, il nous offre un regard unique, loin des récits convenus des médias occidentaux.

    Poutine et les élections russes : au-delà des récits mainstream

    Cyril Gaucher, observateur lors des élections présidentielles en Russie, a constaté la large victoire de Vladimir Poutine, confirmée par une participation massive des électeurs russes. Pourtant, les médias occidentaux ont qualifié ces élections de « truquées » et évoqué un manque d’observateurs internationaux.

    Contrairement à ce que martèlent les médias, Cyril Gaucher, tout comme Franck Pengam, a observé des élections rigoureusement encadrées. Loin des accusations de fraude généralisée, ce qu’ils ont vu révèle une tout autre réalité, ignorée par ceux qui ne voient la Russie qu’à travers le prisme de la propagande occidentale.

    Vladimir Poutine : un leader, mais aussi un libéral aux yeux des Russes

    Vladimir Poutine est perçu par une grande partie de la population russe comme un leader libéral. Si son image s’est ternie après l’opération militaire en Ukraine en 2022, avant cela, il avait multiplié les tentatives d’ouverture vers l’Occident, cherchant des collaborations pour apaiser la méfiance issue de la Guerre froide.

    Des initiatives comme l’accord START ou sa coopération avec la France sur des dossiers géopolitiques stratégiques ont montré sa volonté de jouer un rôle constructif dans l’ordre mondial.

    Ces gestes, souvent ignorés ou rejetés, ont contribué à l’isolement de la Russie par l’Occident. Cependant, au lieu de s’affaiblir, la Russie a renforcé ses partenariats avec les BRICS+, qui s’organisent pour concurrencer le dollar comme monnaie de référence internationale.

    L’héritage soviétique et la mentalité russe : comprendre l’URSS et la Perestroïka

    Pour comprendre l’attachement des Russes à Poutine, il faut plonger dans l’histoire soviétique. La Perestroïka sous Gorbatchev visait à réformer l’économie soviétique, mais a aussi causé une déstabilisation massive. La chute de l’URSS a marqué une crise identitaire, poussant les Russes à se tourner vers des figures fortes comme Poutine, capable de restaurer la grandeur perdue.

    Un témoignage rare et persécuté

    Contrairement à de nombreux observateurs critiques, Cyril Gaucher offre un point de vue nuancé et factuel, basé sur des observations internes. En croisant ses observations avec celles d’experts comme Matthew Bryza, il devient évident que les élections en Russie ne peuvent pas être réduites à des slogans médiatiques.

    Son témoignage détonne dans un contexte où la majorité des observateurs occidentaux sont critiques envers la Russie. Cette position a conduit à des persécutions à son égard, tout comme pour d’autres personnalités ayant exprimé une ouverture vers la Russie.

    Son analyse, étayée par une expérience directe des élections, nous offre un contrepoint à la propagande médiatique occidentale.

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  • Le 18 Septembre 2024, Didier Raoult était l'invité exceptionnel de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer accompagné de Raphaël, sur Géopolitique Profonde.

    Didier Raoult est professeur en microbiologie renommé et fondateur de l'IHU Méditerranée Infection à Marseille. Auteur, il est connu pour ses recherches sur les virus géants et pour sa position controversée sur l'hydroxychloroquine pendant la pandémie de COVID-19.

    Souvent critiqué par ses pairs pour ses méthodes non conventionnelles, Didier Raoult continue de surprendre notamment avec son ouvrage récent "Homo chaoticus" où il propose une nouvelle théorie de l'évolution liée aux épidémies.

    La théorie de Charles Darwin

    Charles Darwin, naturaliste anglais, est célèbre pour sa théorie de l'évolution par la sélection naturelle, présentée dans "L'Origine des espèces". Selon Darwin, toutes les formes de vie descendent d'un ancêtre commun, illustré par un arbre de vie où les branches représentent les différentes espèces diversifiées au fil du temps. La sélection naturelle, ou « survie du plus apte », décrit comment les traits avantageux se transmettent aux générations suivantes. Cette théorie a révolutionné la biologie, mais de nouvelles découvertes, telles que les séquences génétiques non codantes, remettent en question certains aspects de cette vision.

    Didier Raoult et les épidémies: de MPOX à la polio vaccinale

    Didier Raoult bouscule les idées reçues sur la gestion des épidémies, critiquant la philanthropie de figures comme Bill Gates et les campagnes de vaccination massive. Il dénonce les mutations constantes des virus et les effets secondaires graves des vaccins introduits rapidement sur le marché, comme ceux du COVID-19. Raoult souligne les risques des stratégies actuelles de vaccination utilisant des virus vivants, notamment le vaccin DTPolio qui a entraîné des épidémies de Polio vaccinale à Gaza. Il préconise un retour aux vaccins éprouvés utilisant des virus inactivés.

    La santé sacrifiée : quand l'intérêt privé prime sur le bien public

    En France, le sous-financement du secteur de la santé est alarmant, avec un manque de matériel performant et des réductions constantes de budget. La crise sanitaire a mis en lumière les conflits d’intérêts, notamment entre certains médecins et l'industrie pharmaceutique, liés aux commissions sur la vaccination. Ceux qui critiquent ces pratiques et défient les autorités de santé sont souvent marginalisés, soulevant des questions sur l'indépendance des décisions médicales et la véritable priorité du système de santé.

    Dans un contexte où la santé publique semble négligée, on peut se demander si le patient n'est pas devenu un simple client. La question demeure donc : à qui profite ce système malade ?

    Vous êtes intéressé par ces sujets brûlants ? Recevez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 17 septembre 2024, Ludovic Malot était l'invité de Mike Borowski, sur GPTV.

    Ludovic Malot, spécialiste en théologie et en histoire des religions, est reconnu pour ses analyses percutantes sur les bouleversements politiques et spirituels de notre époque. Auteur de plusieurs essais, il met en lumière les liens occultes entre les élites mondialistes et la dégradation de notre civilisation.

    Une guerre spirituelle

    Ces dernières années, une offensive contre la civilisation occidentale et la religion catholique, notamment en France, est menée par des forces mondialistes et d’inspiration satanique. Ces attaques visent à détruire les racines spirituelles et culturelles du pays. L'incendie de Notre-Dame de Paris en 2019, vécu comme un traumatisme national, est perçu comme le début visible d'un plan plus vaste. Les récents incendies, tels que ceux de Saint-Omer et Rouen, illustrent cette intensification. En 2023, 27 églises ont été incendiées selon l’Observatoire de la christianophobie.

    Ces incidents dépassent le cadre de simples actes isolés. Ils révèlent une guerre spirituelle ciblant la France, symbole de résistance à la mondialisation et bastion de l'âme chrétienne en Europe. En s’attaquant à ces symboles, les forces mondialistes tentent de détruire la cohésion spirituelle et nationale restante.

    La France en première ligne de mire

    L’incendie de Notre-Dame de Paris en 2019 a secoué la France et le monde. Beaucoup voient cet événement comme un acte délibéré des forces occultes menant cette guerre spirituelle. Ces élites, au service d'une mondialisation déshumanisante, auraient ciblé ce monument pour affaiblir le cœur spirituel de la France.

    Cet incendie s’inscrit parmi de nombreux signes d’une lutte où la religion catholique est en première ligne. La France, perçue comme la fille aînée de l'Église, est devenue le centre de cette bataille. Sa riche histoire chrétienne et sa position géopolitique en font une cible symbolique majeure. La destruction de ses symboles religieux représente un tournant dans cette guerre culturelle et spirituelle.

    La renaissance de la France

    Les événements actuels, bien que dramatiques, ont été prédits par Marie-Julie Jahenny, mystique française. Cette paysanne bretonne stigmatisée a eu plus de 3000 visions entre 1873 et 1941. Sans éducation formelle, mais en communion profonde avec le Christ, elle a prophétisé des événements tels que les guerres mondiales, la guerre d’Algérie et la crise financière de 2008.

    Parmi ses prophéties, Jahenny a averti de la montée des mondialistes et de leur plan destructeur pour la France, incluant les incendies d’églises et une guerre civile. Elle a aussi prédit la chute des élites financières et l’arrivée d’un nouveau roi messie qui restaurerait l’ordre en France après une grande tribulation. Selon elle, la France jouera un rôle central dans le retour du Christ et la restauration d’un ordre chrétien.

    Pour ne rien manquer des analyses sur ces événements et comprendre les enjeux spirituels et économiques de notre temps, explorez dès maintenant notre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 17 septembre 2024, Sébastien Périmony et Jacques Cheminade étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV ACTU !

    Sébastien Périmony est un analyste et conférencier français, actif dans le domaine de la géopolitique, notamment au sein du mouvement Solidarité et Progrès. Spécialiste des relations internationales, il se concentre particulièrement sur les enjeux liés au développement de l’Afrique, dénonçant le néocolonialisme et plaidant pour des politiques de coopération équitable entre les nations. Il milite pour un nouveau paradigme économique, axé sur l’infrastructure, la souveraineté et l’émancipation des pays en voie de développement.

    Jacques Cheminade est un homme politique français, fondateur du parti Solidarité et Progrès, qui prône une politique économique basée sur le développement des infrastructures et la souveraineté nationale. Il est connu pour ses positions critiques envers le système financier international, l’Union européenne, et les politiques néolibérales, et a été candidat à plusieurs reprises aux élections présidentielles en France.

    La chute de Thierry Breton

    Thierry Breton, ancien Commissaire européen au Marché intérieur, a été évincé par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, révélant une lutte d’influence intense au cœur des institutions européennes. Souvent critiqué pour ses positions interventionnistes, notamment sur la régulation des géants du numérique, son départ pose des questions sur les futures orientations de la Commission européenne. Elon Musk, fondateur de Tesla et propriétaire de X (anciennement Twitter), pourrait y voir une victoire contre la bureaucratie bruxelloise.

    Linda Yaccarino, présidente de X, a exprimé sa satisfaction à l’annonce de la démission de Breton, y voyant une victoire pour une régulation plus souple et une plus grande liberté d’expression en ligne. Cependant, d’autres figures interventionnistes pourraient prendre le relais, questionnant si ce départ marque réellement un changement de cap.

    Macron impuissant

    Emmanuel Macron, qui avait misé sur Breton pour renforcer l’influence française à Bruxelles, sort affaibli de cet épisode. Soutenant activement Breton, il espérait maintenir une voix forte française sur les dossiers numériques et industriels. Von der Leyen a imposé sa volonté, réduisant la marge de manœuvre de Macron face à une Commission européenne perçue comme alignée sur les intérêts allemands et globalistes. Cet échec renforce l’image d’un Macron impuissant dans une Europe de plus en plus centralisée et éloignée des intérêts nationaux.

    Un choix qui divise

    Avec Thierry Breton hors-jeu, Stéphane Séjourné, actuel chef du groupe Renaissance au Parlement européen et proche de Macron, pourrait émerger. Toutefois, son éventuelle nomination ne rassure pas, incarnant la continuité d’une politique technocratique déconnectée des réalités des peuples européens. La mainmise de Bruxelles et des élites européennes sur les décisions politiques et économiques de l’Union semble vouée à se renforcer, au détriment de la souveraineté des nations.

    Alors, qui a réellement eu la peau de Thierry Breton ?Les forces pro-liberté représentées par des figures comme Musk ?Ou les élites européennes qui continuent de pousser leur Agenda avec d’autres plans que nous ignorons encore ?

    Le départ de Breton soulève donc plus de questions sur les futurs rapports de force au sein de l’Union européenne.

    Découvrez des analyses exclusives et plongez au cœur des enjeux géopolitiques européens avec la revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 17 septembre 2024, Jean-Claude Pascal était l'invité de Nicolas Stoquer, sur GPTV ACTU.

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt profond pour l'alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, en mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, tout en s'appuyant sur ses connaissances en thermodynamique pour interpréter certains aspects des traditions hermétiques.

    Quand l’architecture rencontre la foi

    Le 13e siècle est une période de transformation spirituelle et architecturale en Europe, marquée par l’essor des cathédrales gothiques. Ces édifices symbolisent une foi triomphante et une quête d'élévation spirituelle, reflétant les mutations de l’époque. Parallèlement, le mysticisme religieux se développe, notamment en Allemagne, influençant la relation entre l’homme et le divin au-delà des dogmes traditionnels.

    Cette dynamique spirituelle engendre des tensions, notamment avec l’hérésie cathare dans le sud de la France, qui prône une vision dualiste opposant esprit pur et matière corrompue. Considérée comme une menace par l’Église catholique, cette hérésie entraîne des conflits idéologiques et des croisades.

    L'héritage d'Aristote

    La redécouverte des écrits d’Aristote bouleverse la pensée médiévale, réintroduisant l’observation et la logique dans les savoirs, influençant la théologie et donnant naissance à la scolastique. Ce courant cherche à concilier foi chrétienne et raison, redéfinissant la compréhension de la nature, de l’homme et du divin.

    En parallèle, l’alchimie se développe comme une quête de transformation matérielle et spirituelle, symbolisant l’aspiration à la purification de l’âme et au perfectionnement humain.

    Les symboles cachés des cathédrales

    Les cathédrales gothiques sont des réceptacles de symboles et de messages ésotériques, construits par des maîtres maçons détenteurs de savoirs anciens. Ces édifices mêlent mythes, traditions spirituelles et enseignements mystérieux. Chaque élément architectural renferme des allusions à des concepts profonds, souvent liés à des philosophies ésotériques ou à des croyances religieuses ancestrales. Le langage symbolique de ces monuments n’est accessible qu’à ceux possédant les clés pour les déchiffrer, faisant des cathédrales de véritables livres de pierre.

    Notre-Dame de Paris et la cathédrale de Chartres sont des exemples emblématiques de cette richesse symbolique. Leurs façades, portails sculptés et vitraux intègrent des signes liés à des traditions alchimiques, des récits bibliques et des croyances païennes. En décryptant ces symboles, on plonge dans l’univers intellectuel et spirituel du Moyen Âge, où l’architecture reflétait les préoccupations métaphysiques de l’époque.

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