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Préparez-vous à plonger au cœur de l'innovation numérique ! Dans cet épisode spécial, nous revenons sur un événement majeur pour le Maroc et la région : l'inauguration hier, le 17 juin 2025, du tout nouveau centre de recherche et développement (R&D) d'Oracle à Casablanca.
En présence du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et de la ministre de la Transition numérique, Amal El Fallah Seghrouchni, ce centre d'excellence est une véritable rampe de lancement pour l'innovation dans le cloud et le développement de l'intelligence artificielle au Maroc.
Actuellement, 300 experts y contribuent déjà, mais l'ambition est grande : atteindre le chiffre impressionnant de 1 000 professionnels marocains d'ici 2027-2028. Au-delà des chiffres, ce projet est une formidable opportunité pour nos jeunes talents, visant à créer des emplois d'avenir et à développer des compétences de pointe. Une collaboration étroite avec les universités locales est d'ailleurs déjà en place, offrant des stages et intégrant de nombreux jeunes ingénieurs qualifiés.
Cet investissement va permettre le développement de nouvelles solutions IA, comme pour la rédaction de contrats ou les marchés publics au Maroc.
Cette implantation stratégique vient consolider la position du Maroc comme un pôle d'innovation numérique incontournable pour toute l'Afrique et le Moyen-Orient. Et ce n'est pas tout ! Oracle a également annoncé la création de deux régions cloud publiques au Maroc, à Casablanca et Settat, un atout majeur pour accélérer la transformation numérique des entreprises et des startups dans la région. Un épisode à ne pas manquer pour comprendre les enjeux et les perspectives de cette initiative transformatrice !
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Plongez au cœur d'une transformation numérique sans précédent ! Le Maroc est en passe de devenir un acteur majeur de l'intelligence artificielle (IA) et du cloud dans la région EMEA. Découvrez comment le pays se prépare à accueillir un centre de données d'IA de nouvelle génération, alimenté par des énergies renouvelables, capable d'atteindre une puissance colossale de 500 mégawatts. Ce projet ambitieux est bien plus qu'une simple infrastructure : c'est le catalyseur d'une révolution technologique qui promet de redéfinir le paysage numérique du continent et de positionner l'intelligence artificielle au Maroc sur la scène mondiale.
Dans cet épisode, nous explorerons les facettes clés de cette initiative hors normes. Tout d'abord, il s'agit d'une alliance stratégique mondiale : un consortium de géants comme Naver (IA, cloud), NVIDIA (IA), Nexus Core Systems (infrastructure IA), Lloyd Capital (investissement) et TAQA (énergie renouvelable) s'unit pour donner vie à ce projet. Naver Cloud, en tant qu'opérateur de plateforme, garantira des services IA intégrés de pointe.
Ce choix n'est pas un hasard : le Maroc est un hub géostratégique incontournable, à seulement 15 km de l'Europe et doté d'une connectivité sous-marine multiple. Le pays est idéalement positionné pour devenir un hub central pour l'IA souveraine en EMEA et un pôle numérique pour l'Afrique et le monde arabe.
La technologie de pointe et la durabilité sont au cœur de ce projet. La première phase, opérationnelle dès la fin de l'année avec 40 mégawatts, intégrera les puces Blackwell (GB200) de NVIDIA, le tout alimenté par une infrastructure 100% renouvelable. De plus, la souveraineté des données est une priorité, garantissant une gestion locale de toutes les données, du stockage à l'exploitation, et assurant ainsi une indépendance technologique cruciale.
Ce centre représente également un tremplin pour les startups marocaines. Imaginez l'impact ! Les jeunes entreprises locales auront un accès direct et abordable à une puissance de calcul inégalée, stimulant ainsi leur innovation et leur compétitivité mondiale dans le domaine de l'IA.
Le Maroc n'en est pas à son coup d'essai, et dispose d'une expertise nationale solide. L'"African Supercomputing Center" de l'UM6P, le supercalculateur le plus puissant d'Afrique, démontre l'engagement du pays dans la recherche et l'innovation. Enfin, ce projet s'inscrit dans la vision royale ambitieuse du Roi Mohammed VI pour "Digital Morocco 2030", affirmant le leadership du Maroc en matière d'IA et de numérisation dans la région.
Le Maroc se positionne pour devenir une force motrice de l'innovation en IA, non seulement pour son propre développement, mais aussi pour l'ensemble du continent africain et de la région arabe. Ne manquez pas cet épisode pour comprendre les enjeux et les opportunités de cette révolution !
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Saknas det avsnitt?
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Découvre comment, en moins de trente ans, le Maroc est passé d’acteur émergent à plateforme aéronautique de premier plan et leader africain incontesté. Cet épisode explore une transformation industrielle guidée par une vision royale claire et des plans stratégiques audacieux.
Au programme :
• Une base industrielle solide : près de 140 fournisseurs approvisionnent Boeing, Airbus, Safran & co.
• Le pari du “best cost” marocain : un mix unique qualité-productivité-proximité.
• Le capital humain en fer de lance : l’Institut des Métiers de l’Aéronautique (IMA) forme une main-d’œuvre 100 % marocaine, hautement qualifiée.Nous verrons les retombées concrètes — exportations record de 26,4 MMDH en 2024, plus de 20 000 emplois qualifiés — et la montée en gamme : le taux d’intégration locale a bondi de 17 % à plus de 40 %, le Royaume produisant désormais une part croissante des composants d’aéronefs modernes.
Cap sur l’avenir :
• Innovation et R&D avec l’Africa Center of Manufacturing Excellence (ACME), fruit du partenariat Boeing-UM6P.
• Développement des carburants d’aviation durables (SAF).
• Émergence d’une filière défense nationale, portée par la commande publique au Maroc, pour renforcer la souveraineté industrielle.Monte à bord et découvre comment le Royaume consolide sa place dans le ciel mondial tout en dessinant l’aviation de demain.
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Dans cet épisode, nous décortiquons le gigantesque pipeline Nigeria-Maroc : 5 600 km de conduites sous-marines et terrestres, 13 pays côtiers connectés et un espoir commun: alimenter l’Afrique de l’Ouest et du Nord en gaz, stimuler l’industrialisation et accélérer la transition énergétique. Au programme :
Genèse politique: comment Lagos et Rabat ont convaincu la CEDEAO, la BAD et plusieurs bailleurs arabes de soutenir le projet, et quels appels d’offres structurent déjà la phase d’ingénierie.
Tracé stratégique: un corridor qui longe le littoral atlantique pour desservir le Sénégal, la Mauritanie, puis l’Europe via l’Espagne.
Retombées économiques: création d’emplois locaux, production d’engrais, électrification rurale, diversification des recettes pétrolières nigérianes et avalanche d’appels d’offres pour les BTP et la fourniture d’équipements.
Défis géopolitiques: sécurité maritime, financement pharaonique (25 milliards USD) et rivalité avec le gazoduc algérien Medgaz.
Promesse climatique: un gaz « pont » pour remplacer le charbon et préparer l’intégration des énergies renouvelables régionales.
Un projet XXL qui pourrait redessiner la carte énergétique du continent et propulser l’Afrique sur la scène mondiale. Branche tes écouteurs : chiffres, risques, opportunités… et tous les prochains appels d’offres à surveiller.
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Dans cet épisode, on explore en profondeur l’ambition du Maroc de devenir un acteur incontournable de la mobilité électrique mondiale. Une ambition fondée sur plus de 20 ans de développement industriel, portée par des groupes comme Renault et Stellantis, mais aussi par l’émergence d’un champion national : Neo Motors, qui a déjà décroché plusieurs appels d’offres publics, notamment auprès de l’armée marocaine.
On revient sur les étapes clés de cette stratégie : la transformation du pays en hub de production automobile, le développement d’un écosystème complet autour des batteries électriques, et l’installation imminente de la première gigafactory d’Afrique à Kénitra, portée par Gotion High-Tech. Cette usine sera alimentée par un parc éolien de 500 MW, permettant de produire des batteries à faible empreinte carbone, un avantage stratégique dans un contexte de réglementation environnementale européenne de plus en plus stricte.
L’épisode aborde aussi la montée en puissance du Maroc dans les matériaux critiques, grâce à l’OCP (phosphates) et à Managem (cobalt, graphite, recyclage de batteries), qui transforment les ressources naturelles locales en actifs technologiques à haute valeur ajoutée. Ce niveau d’intégration vertical, unique en Afrique, fait du Maroc bien plus qu’un simple assembleur : un pays capable de concevoir, produire et exporter des véhicules électriques et leurs composants, tout en répondant aux exigences des marchés publics au Maroc et des grandes plateformes d’appels d’offres internationales.
Un épisode dense, concret et passionnant, pour comprendre comment un pays du Sud est en train de prendre le virage de l’électromobilité… en tête de peloton.
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Dans cet épisode, on explore comment la Coupe du Monde 2030, co-organisée par le Maroc, l’Espagne et le Portugal, s’impose comme une opportunité historique pour le Royaume. Bien au-delà du football, le Mondial devient un catalyseur de projets structurants et un véritable accélérateur du Nouveau Modèle de Développement.
Le Maroc prévoit plus de 322 milliards de dirhams d’investissements dans les infrastructures, le transport, le tourisme, le sport et les services. On parle ici de LGV entre Kénitra et Marrakech, d’un nouveau réseau aéroportuaire, du Grand Stade Hassan II à Benslimane, et d’un vaste programme de rénovation urbaine dans plusieurs régions.
Cette dynamique s'accompagne d’une montée en puissance des appels d’offres au Maroc, touchant tous les secteurs : BTP, ingénierie, logistique, hôtellerie, équipements publics… Des centaines de marchés publics sont déjà lancés, ouvrant des opportunités concrètes pour les entreprises locales et internationales.
On analyse aussi l’ingénierie financière derrière ce méga-projet (partenariats public-privé, dette privée, financements extérieurs), l’impact attendu sur l’emploi et les territoires, et l’héritage que le Maroc espère construire bien au-delà de 2030 : infrastructures durables, image renforcée à l’international, et montée en compétences de toute une génération.
Un épisode pour comprendre comment un événement planétaire devient un levier de souveraineté, d’attractivité… et d’accélération stratégique.
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Entrée en vigueur le 1er septembre 2023, la réforme des marchés publics (Décret n°2-22-431) modernise la commande publique pour en faire un levier de développement économique et social. Pour votre entreprise, cela signifie de nouvelles opportunités et de nouveaux défis.
Voici les changements majeurs à retenir :
Évaluation multicritères : Les offres ne sont plus jugées uniquement sur le prix, mais sur leur valeur globale ("mieux-disante"), incluant des critères de qualité, d'innovation et de responsabilité sociale des entreprises (RSE).Dématérialisation obligatoire : La soumission des offres et la gestion des garanties financières se font désormais exclusivement en ligne, via le Portail Marocain des Marchés Publics (www.marchespublics.gov.ma).Soutien aux entreprises nationales : Le décret renforce la préférence nationale en accordant un avantage de 15% aux entreprises marocaines et en réservant 30% des marchés aux très petites, petites et moyennes entreprises (TPME).Délais de paiement encadrés : Un délai de paiement maximal de 60 jours est désormais garanti pour le règlement des commandes publiques, avec l'application d'intérêts moratoires en cas de retard.Pour prospérer sur le marché public au Maroc, il est essentiel de vous adapter. Investissez dans le numérique, développez des offres à forte valeur ajoutée et maîtrisez ces nouvelles règles pour saisir les opportunités offertes par cette réforme.
