Avsnitt
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Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 15 juillet 2010, à Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolé. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir découvert, en rentrant chez lui, son épouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a été attaquée par un cambrioleur qui lui a porté des coups violents à la tête. Elle meurt, lors de son arrivée à l’hôpital. Mais les gendarmes ont du mal à croire à la thèse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a été retrouvée égorgée devant la porte de sa villa, à Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La présence d’une bouteille d’essence et de plusieurs départs de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piège, pour obliger la veuve à sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharné, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes découvrent que la victime a entretenu une relation intime avec Hervé Robino, son jardinier de septembre 2013 à mai 2014.
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L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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L’affaire Rodica Negroiu rappelle à bien des égards l’affaire Simone Weber. Une région semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opératoire similaire : le poison. Le 14 décembre 1990, Raymond Jactel, un militaire à la retraite, meurt d’un accident cardiaque à l’hôpital de Nancy. En fait, il a été empoisonné à la digoxine, un médicament utilisé contre diverses affections du cœur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnée, d’autant qu’elle semble liée à la disparition suspecte de ses deux précédents maris. La femme incriminée sera finalement jugée en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a été condamnée à vingt ans de réclusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
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Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
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Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvé mort.Son épouse, vingt-six ans, en réchappe. Son témoignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a réussi à sauter juste avant la chute du véhicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mètres de la falaise abrupte, à la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il était trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime était déjà morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon émerge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomenté un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquêteurs. Le problème, c’est que les deux complices ont touché l’argent un peu trop vite et qu’ils ont mené grand train en Floride où ils se sont réfugiés. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera légitimement des explications...
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Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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Le 19 octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu à la poutre d’un appentis agricole. Il s’agit de celui d’Aurélien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est évoqué, un certain nombre d’anomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. Très vite, l'enquête s'oriente vers l'hypothèse d'un meurtre déguisé. Car en effet, Aurélien a été victime d’une très violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
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Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
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