Avsnitt

  • Écouter le saxophoniste Joe Henderson, c’est accepter de sortir de sa zone de confort.

    Avec lui, tout pouvait arriver et c’est ce qui rendait sa musique si palpitante.

    Lyrique, douce, caressante, cÎté pile
Robuste, volcanique, indomptable, cÎté face.

    Sa carriĂšre s’étend sur plus de trois dĂ©cennies, du dĂ©but des sixties jusqu’au au milieu des annĂ©es 90
Et si son premier album, « Page One », paru en 63 chez Blue Note, s’inscrivait dans l’esthĂ©tique hard-bop en vogue Ă  l’époque, Joe Henderson a trĂšs vite Ă©largi le champ des possibles, regardant un moment du cĂŽtĂ© de l’avant-garde et du jazz perchĂ© et Ă©lectrique, sans jamais se dĂ©partir du lyrisme qui l’a caractĂ©risĂ© dĂšs le dĂ©but


    La récente réédition en vinyle par Craft Recordings de « Power To The People » paru en 1969, nous en apporte une éclatante démonstration.

    Joe Henderson est aussi au cƓur d’un hommage exceptionnel que va lui rendre le saxophoniste Pierre Bertrand, ce soir au Duc des Lombards, et demain au Peillon Jazz Festival, dont la 4e Ă©dition ouvre d’ailleurs ses portes dans quelques heures
On transmet nos pensĂ©es les plus chaleureuses Ă  toute ses Ă©quipes.

    Pour chacun de ces concerts, Pierre Bertrand sera accompagnĂ© par le trompettiste argentin Diego Urcola, qui a jouĂ© avec Joe Henderson, il y a une trentaine d’annĂ©es, ainsi que Denis Leloup au trombone, Eric Legnini au piano, Thomas Bramerie Ă  la contrebasse et Franck Agulhon Ă  la batterie


    Une équipe exceptionnelle, on peut le dire, qui est sur ce notre scÚne ce midi !


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  • Un choc, une dĂ©flagration, un tremblement de terre !

    La musique d’Isaiah Collier est tellement intense, tellement habitĂ©e qu’on ne s’est toujours pas remis de son album « Parallel Universe », sorti Ă  l’automne dernier


    Un patchwork fascinant, puisant autant dans l’hĂ©ritage de ses maĂźtres John Coltrane et Pharoah Sanders, que dans la ferveur du gospel, la rĂ©volution funk des annĂ©es 60 et 70, la connexion avec l’Afrique, sa filiation avec l’histoire musicale de sa ville, Chicago, et avec son esprit frondeur.

    On ne s’est donc toujours pas remis de son disque
Et ça tombe bien, il le prĂ©sente depuis hier et ce soir encore au Duc des Lombards, Ă  Paris
Ce sont ses premiers concerts en France !

    Demain, Isaiah Collier sera aussi à l’affiche du festival Django Reinhardt de Fontainbleau


    Et le voici, TE VOICI ISAIAH, ce midi sur la scĂšne du Deli Express, en compagnie de Julian Davis Reid au piano, Micah Collier Ă  la contrebasse et James Russell Sims Ă  la batterie !


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  • Il y a des albums qu'on attendait depuis tellement longtemps, qu’ils nous rendent sacrĂ©ment heureux !

    Prenez Lukmil Perez, par exemple : depuis qu’il a quittĂ© sa Havane natale, il y a 25 ans pour s’installer en France, il s’est imposĂ© comme un batteur majeur et incontournable.

    C’est simple, on le voit tellement partout, auprĂšs de Giovanni Mirabassi, Jacky Terrasson, Roberto Fonseca, MĂ©lanie Dahan, que c’est probablement l’un des musiciens qui vient le plus Ă  la radio pour participer Ă  des sessions musicales.

    Depuis toutes ces annĂ©es, Lukmil Perez Ă©tait tellement occupĂ© Ă  mettre son talent au service des autres, qu’il n’avait jamais pris le temps d’enregistrer un disque sous son nom. C’est dĂ©sormais chose faite !

    Le projet s’intitule « Airotele Ona – CroisĂ©es Inattendues ». C’est un hommage plein de chaleur et de tendresse Ă  sa terre natale, Cuba, enregistrĂ© avec sa garde rapprochĂ©e parmi lesquels, les musiciens qui l’accompagnent ce midi dans Deli Express, et qu’on retrouvera aussi Ă  ses cĂŽtĂ©s mercredi en concert au Bal Blomet, Ă  Paris : Irving Acao au saxophone, Jorge Vistel Ă  la trompette et Felipe Cabrera Ă  la contrebasse


    Bienvenue messieurs...

    On va vous entendre sur notre scĂšne dans une poignĂ©e de secondes. Le temps de prĂ©ciser que le grand Chucho Valdes, lĂ©gende et prophĂšte en son pays, fait mĂȘme une apparition, le temps d’un morceau qu’on va bien sĂ»r Ă©couter au cours de cette Ă©mission.


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  • 25 ans ! Un quart de siĂšcle, ça se fĂȘte !

    Alors pour que notre anniversaire soit inoubliable, on l’imagine dans la joie, la musique et le partage !

    On l’imagine avec VOUS !

    Et mĂȘme plus que ça : Vous ĂȘtes les hĂ©ros de la soirĂ©e qu’on vous mijote le lundi 23 septembre au Théùtre du ChĂątelet, Ă  Paris et qu’on a baptisĂ© « Jazz CĂ©lĂ©bration ».

    Je m’explique !

    Pendant des mois, on vous a demandé de voter pour vos 25 titres de jazz favoris : Vos 25 tubes !

    Vous avez Ă©tĂ© des milliers Ă  participer Ă  plĂ©bisciter la liste qu’on est heureux de vous rĂ©vĂ©ler depuis ce matin.

    Avant de la prĂ©ciser, j’en entends qui demandent : « Mais qu’allez-vous en faire ? »

    C’est simple, doc : ces 25 morceaux vont ĂȘtre rĂ©arrangĂ©s et rejouĂ©s, donc, au ChĂątelet par la crĂšme de la scĂšne actuelle
Mais oui, des musiciens qui vont dĂ©filer et les interprĂ©ter !

    On peut déjà vous dire que China Moses sera présente, ainsi que The Amazing Keytone Big Band, Mario Canonge, Jeanne Michard, Hugh Coltman, Kareen Guiock-Thuram, Fanou Torracinta, parmi de nombreux autres...

    Tout Ă  l’heure dans les Matins Jazz, Marine et Mathieu vous ont rĂ©vĂ©lĂ©s cinq titres : The Girl From Ipanema, Georgia on my Mind, Cantaloup Island d’Herbie Hancock, Fever & Song For My Father d’Horace Silver.

    On vous dévoile les autres ce midi dans Deli Express !

    The Girl From Ipanema
    Song For My Father
    Fever
    Cantaloupe Island
    Georgia On My Mind
    Take Five
    My Favorite Things
    Naima
    ‘Round Midnight
    So What
    Strasbourg / St.Denis
    Desafinado
    Minor Swing
    Birdland
    Soul Bossa Nova
    Petite Fleur
    I Put A Spell On You
    My Baby Just Cares For Me
    Don’t Know Why
    Ascenseur pour l’Echafaud
    St Thomas
    What A Wonderful World
    Black Orpheus
    In A Sentimental Mood
    Poinciana


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  • 10 petits centimĂštres qui ont changĂ© sa vie !

    Un soir chez lui, alors qu’il Ă©tait adolescent, Yvonnick PrenĂ© est tombĂ© sur un harmonica posĂ© au sommet d’une commode.

    IntriguĂ©, il s’en est emparĂ© pour le ramener le lendemain Ă  l’école et en jouer dans la cour de rĂ©crĂ©. Quelle idĂ©e avait-il derriĂšre la tĂȘte, Ă  ce moment-lĂ  ? On va lui poser la question.

    Ce qui est sĂ»r, c’est qu’il l’a dĂ©finitivement adoptĂ© et que ce petit instrument lui a mĂȘme ouvert les portes du monde.

    AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© avec Jean-Jacques Milteau et Greg Zlap, notre bonhomme s’est immergĂ© dans la scĂšne jazz parisienne, intĂ©grant notamment un collectif de jeunes musiciens qui se rassemblaient au squat Rivoli.

    Depuis une quinzaine d’annĂ©es, la suite de son parcours s’écrit Ă  New York oĂč il rĂ©side dĂ©sormais.

    C’est lĂ  qu’Yvonnick PrenĂ© a enregistrĂ© son nouvel album, « Jobim’s World ». Un hommage touchant et intimiste au gĂ©nie de la bossa nova, Antonio Carlos Jobim, enregistrĂ© en duo avec Geoffrey Keezer au piano.

    Pour nous le présenter ce midi, te voici sur notre scÚne Yvonnick, avec un autre pianiste : Manuel Rocheman.


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  • Pendant cinq ans, de 1989 Ă  1994, notre invitĂ© est passĂ© tous les soirs Ă  la tĂ©lĂ© amĂ©ricaine.

    A cette Ă©poque, il dirigeait le groupe qui officiait dans le Late Show d’Arsenio Hall
A ce titre, il a accompagnĂ© Bill Clinton et son saxophone. Mais aussi Ray Charles, BB King, Whitney Houston ou James Brown.

    Avant cette consĂ©cration, Michael Wolff avait dĂ©jĂ  un sacrĂ© parcours : il a Ă©tĂ© l’un des derniers pianistes de Cannonball Adderley, le directeur musical de Nancy Wilson. On l’a aussi croisĂ© auprĂšs de Sonny Rollins !

    Mais l’un de ses plus grands crushs musicaux restera Ă  jamais Bill Evans dont il cĂ©lĂšbre le rĂ©pertoire et l’hĂ©ritage sur son nouvel album, « A Letter to Bill Evans », notamment enregistrĂ© avec Mike Clark, le batteur des Headhunters, et qu’il prĂ©sente ce soir et demain au Duc des Lombards, Ă  Paris.

    On ne pouvait pas passer Ă  cĂŽtĂ© de cette occasion d’inviter Michael Wolff dans Deli Express. D’autant que ses venues en France sont extrĂȘmement rares et qu’il se produit avec un trio majuscule : François Moutin Ă  la contrebasse et Jeff Boudreaux Ă  la batterie



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  • ’Euro de football en ce moment en Allemagne...

    Le Tour de France, et les Jeux Olympiques et Paralympiques bientît prùs de chez vous


    Mais aussi la myriade de festivals de jazz qui vont se tenir durant la saison estivale. Et pour certains mĂȘme, d’ici quelques jours.

    C’est le cas du BarriĂšre Enghien Jazz Festival, avec de jeudi Ă  dimanche, 18 concerts pour la plupart gratuits, rĂ©partis sur trois scĂšnes autour du lac et du casino.

    Vous avez bien entendu : 18 concerts ! Du Lady Quartet de l’organiste Rhoda Scott, au mythique Golden Gate Quartet
Mais aussi Electro Deluxe, Kimberose


    Et nos deux invités de ce midi :

    D’abord une chanteuse au groove, aux bonnes vibrations et Ă  l’énergie communicative. Depuis prĂšs de 30 ans, elle fait tomber les barriĂšres entre jazz et soul
Et on peut l’entendre sur nos ondes, un jeudi par mois Ă  19h, avec son Ă©mission Made in China
 China Moses sera Ă  l’affiche pour le jour de la clĂŽture, dimanche Ă  14h.

    Et pour ouvrir ce Deli, voici celui qui inaugurera cette 23e Ă©dition, jeudi en fin d’aprĂšs-midi
Un pianiste de 21 ans qui ne jure que par le boogie-woogie
Un genre musical centenaire qu’il continue Ă  magnifier avec ses Boogie Messengers
Ensemble, ils ont rĂ©cemment sorti l’album « Back To Basics » 

    Voici Nirek Mokar, en compagnie de Claude Braud au saxophone, Stan Noubard Pacha Ă  la guitare, Bruno Rousselet Ă  la contrebasse, et Patrick Mucci Ă  la batterie !


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  • Ces derniers temps, lorsque notre invitĂ© monte sur scĂšne, nous autres simples mortels, vivons bien plus qu’un concert !

    PlutĂŽt une expĂ©rience intense, basĂ©e sur la spontanĂ©itĂ©, l’énergie, la libertĂ©.

    Tout peut arriver et c’est ce qui rend ces moments aussi prĂ©cieux et aussi bons !

    D’autant que notre bonhomme a plus d’une corde Ă  son arc : saxophoniste, flĂ»tiste, clarinettiste, cornettiste, pianiste, chanteur, rappeur, prĂȘcheur
C’est un empĂȘcheur de tourner en rond !

    Depuis qu’il a quittĂ© son Canada natal pour s’installer en France, il y a un peu moins de dix ans, Jowee Omicil nous fait un bien fou ! On se prend Ă  rĂȘver que c’est l’imagination, la fantaisie, la reconnexion Ă  nos Ă©motions qui sauveront notre pauvre monde !

    Il fait bouger les lignes et rassemble des autour de lui des personnalités aussi diverses que les frÚres Moutin, Ibrahim Maalouf, Ludovic Louis !

    Il a mĂȘme tapĂ© dans l’Ɠil de Damien Chazelle qui l’a enrĂŽlĂ© dans sa sĂ©rie The Eddy.

    Il y a quelques mois, Jowee Omicil sortait un album fascinant une longue suite de 21 titres, totalement improvisĂ©s et enregistrĂ© d’un seul jet, dans un mĂȘme Ă©lan.

    Son titre : « Spiritual Healing : Bwa Kayiman Freedom Suite », inspirĂ©e par la rĂ©volte du Bois-CaĂŻman de 1791, considĂ©rĂ© comme l’acte fondateur ayant abouti treize ans plus tard, Ă  l’indĂ©pendance d’HaĂŻti.

    Un projet qu’il prĂ©sente dimanche au Maisons-Laffitte Jazz Festival
Mais si vous m’avez suivi, ce que Jowee jouera ne ressemblera en rien Ă  ce qu’il aura jouĂ© la veille, ou mĂȘme, Ă  ce qu’on trouve sur le disque


    Ce midi, on va vivre quelque chose d’inĂ©dit, avec Ă  tes cĂŽtĂ©s Jowee, Jendah

    Manga Ă  la basse et Franck Mantegari Ă  la batterie !


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  • De quoi joue notre invitĂ© ?

    Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.

    Ce qui est sĂ»r, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’ñme !

    Mais oui ! Il fallait forcĂ©ment qu’il ait le goĂ»t de l’aventure pour qu’au dĂ©but des annĂ©es 90, il quitte sa terre natale, IsraĂ«l, et aille tenter sa chance Ă  New York, lĂ  oĂč personne ne l’attendait.

    Il avait une vingtaine d’annĂ©es
Et ne le savait pas encore : ce dĂ©part vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie Ă  la myriade de musiciens israĂ©liens qui ont depuis suivi son exemple.

    Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au mĂȘme moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.

    C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a dĂ©couvert ce guitariste, biberonnĂ© Ă  Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi Ă©tudiĂ© en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !

    C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistrĂ© en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.

    Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».

    Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie


    Les voici également tous les trois sur la scÚne du Deli Express.


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  • Sa prĂ©sence Ă  Paris est tellement rare, qu’on ne pouvait pas passer Ă  cĂŽtĂ© !

    Et d’ailleurs, quand il est montĂ©, il y a deux semaines sur la scĂšne du Sunside, pour accompagner notre autre invitĂ©, tout le gotha français du saxophone Ă©tait dans la salle pour l’écouter religieusement.

    Vous l’avez compris, Dayna Stephens est un saxophoniste qui compte, et mĂȘme l’un des quadras new-yorkais les plus respectĂ©s sur son instrument.

    Kenny Barron, Brad Mehldau et Gerald Clayton ont fait appel à ses services


    Et Dayna, lui, fait partie de la team amĂ©ricaine avec laquelle Alexis Valet a enregistrĂ© son nouvel album, « Following the Sun », Ă  New York. Un projet en forme de tĂ©moignage des trois mois que le vibraphoniste a passĂ© dans la Big Apple, il y a prĂšs de deux ans, courant les jams, se frottant au niveau et Ă  l’excellence de ses musiciens, s’imprĂ©gnant de l’énergie unique de ce qui reste le cƓur mondial du jazz !

    C’est sans doute ce qui explique que chacune des huit compositions est habitĂ©e par un feu sacrĂ©, une grĂące qui en font l’un des disques les plus percutants du moment.

    Alexis Valet et Dayna Stephens ont monté un groupe spécialement pour notre Deli Express


    Les voici donc avec Simon Chivallon au piano, Cyril Drapé à la contrebasse et Paul LefÚvre à la batterie.


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  • Vous prenez sept pointures de la diaspora cubaine, parmi les plus chauds de la nouvelle gĂ©nĂ©ration, vous les rassemblez sur une mĂȘme scĂšne, et vous obtiendrez un concert explosif et inoubliable !!

    Cette idĂ©e fut d’abord celle du festival Jazz sur son 31 Ă  Toulouse, il y a sept ans.

    Mais la sauce a tellement pris que nos « siete hombres » ont choisi de ne pas en rester là, et ont carrément formé un groupe : El Comité !

    Oui, je sais, vous voulez leurs noms !! Patience, ils arrivent


    Avant, prĂ©cisons qu’aprĂšs un premier album studio, et un autre captĂ© en concert Ă  La Havane au Teatro Marti, El ComitĂ© est de retour avec « Carrousel », un projet qui dĂ©borde de groove, d’énergie et de sourire


    Ses membres ne s’interdisent absolument rien.

    Reprendre Oasis, Rosalia et The Weeknd ? Ils le font !

    Inviter Ibrahim Maalouf et le percussionniste Pedrito Martinez, ils le font aussi !

    Depuis hier, et jusqu’à demain, ils sont à l’affiche du Duc des Lombards.

    Et ce midi dans Deli Express, en voici six sur les sept :

    Carlos Sarduy Ă  la trompette, Irving Acao au saxophone, Rolando Luna et Harold Lopez-Nussa au piano, Gaston Joya Ă  la basse et contrebasse, Yaroldy Abreu aux percussions et Rodney Barreto Ă  la batterie.

    « Bienvenido a todos » ! Etre avec vous ce midi, c’est la meilleure fin de semaine possible !


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  • Nous sommes le jeudi 6 juin 2024, aujourd’hui et demain, toutes les antennes de France s’unissent pour la FĂȘte de la Radio.

    Alors : bonne fĂȘte Ă  toutes les radios ! Les transistors, les chaĂźne hi-fi, les postes DAB +, les autoradios, les enceintes connectĂ©es


    Bonne fĂȘte aux milliers de passionnĂ©s qui font vivre ce mĂ©dia, jour aprĂšs jour en RĂ©gion, Ă  Paris, sur le service public, les enseignes privĂ©es, les radios associatives.

    Et bonne fĂȘte Ă  vous, qui nous faites confiance pour vous fournir des bulles d’évasion, de dĂ©couverte, de divertissement, de frissons, d’informations, de bonnes vibrations.

    Ici, Ă  TSFJAZZ, on a choisi de mettre la transmission au cƓur des festivitĂ©s. Toute la journĂ©e, des lycĂ©ens impliquĂ©s depuis septembre dans un projet de web-radio, sont Ă  nos cĂŽtĂ©s : des Ă©lĂšves de 2nde et de 1Ăšre du LycĂ©e Saint-Louis Sainte-Clotilde du Raincy
On peut les applaudir !

    Et puisqu’en plus des Ă©missions auxquels ils assistent, ils s’entretiennent depuis ce matin avec tous ceux qui font l’aventure TSFJAZZ au quotidien, on peut aussi tirer notre chapeau Ă  toute notre Ă©quipe. Une radio qui marche sur ses deux jambes, ce sont des coordinatrices d’antenne, des programmateurs, des ingĂ©nieurs du son, des directrices commerciales, des journalistes, des animateurs, des responsables numĂ©riques


    Et vous savez à quoi Ɠuvre tout ce beau monde depuis tout à l’heure ?

    A vous mitonner un Deli Express aux petits oignons !

    On passe cette pause dej avec le trompettiste Ludovic Louis.

    Ludovic, c’est toujours un plaisir de t’accueillir Ă  la radio, et de cĂ©lĂ©brer ton parcours : celui d’un enfant du Havre qui a dĂ©butĂ© la trompette Ă  huit ans, et qui a fait, depuis, un sacrĂ© bout de chemin !

    AprĂšs tes Ă©tudes, tu t’es installĂ© Ă  Paris, pour vivre de ta passion
C’est lĂ , au dĂ©but des annĂ©es 2000 que tu as croisĂ© la route de Lenny Kravitz. Que s’est-il passĂ© entre vous ? Tu vas nous le raconter. En tout cas, il t’a adoptĂ© et embauchĂ© sur le champ dans son groupe
Ce qui est dĂ©jĂ  Ă©norme !

    Mais cette opportunitĂ© a totalement changĂ© ta vie : tu t’es installĂ© Ă  Los Angeles, oĂč tu rĂ©sides encore aujourd’hui, et tu as commencĂ© Ă  collaborer avec le gotha de la scĂšne amĂ©ricaine. Allez, on en cite un : Kanye West, en toute simplicitĂ© !

    Un jour, tu t’es aussi produit à Las Vegas, devant Mohamed Ali et Quincy Jones.

    Ces derniĂšres annĂ©es, Ludovic, on t’a croisĂ© dans des productions de Damien Chazelle : Babylon et la sĂ©rie The Eddy, ainsi qu’au sein du Big In Jazz Collective.

    Et sous ton nom, tu es de retour avec ton deuxiĂšme album, « If Everything Is Written » Un nouveau rĂ©pertoire Ă  ton image : festif, positif et funky, que tu prĂ©sentes en concert la semaine prochaine, les 14 et 15 juin au Duc des Lombards, Ă  Paris. On te retrouvera aussi le 7 octobre Ă  La Maroquinerie. Et te voici dĂšs ce midi sur notre scĂšne, avec Zizou Sadki Ă  la basse et deux guitaristes, Ralph Lavital et Antonin Fresson.


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  • A l’heure oĂč les rĂ©seaux sociaux sont en permanence inondĂ©s de commentaires pas toujours glorieux, oĂč chacun peut dĂ©verser librement son fiel, se cachant derriĂšre son Ă©cran, notre invitĂ©e a choisi, elle, de mesurer sa parole, de ne jamais s’exprimer pour ne rien dire.

    Ce qui rend chacun de ses nouveaux projets, chacune de ses nouvelles chansons encore plus percutantes et sa prĂ©sence ce midi parmi nous, d’autant plus prĂ©cieuse :

    Quelle joie et quel honneur de vous accueillir, Madeleine Peyoux !

    Bienvenue !

    DĂšs le milieu des annĂ©es 90, vous avez, avant tout le monde, imposĂ© votre style, Ă  la croisĂ©e du jazz, de la folk et de la pop, ce qui vous a valu d’ĂȘtre repĂ©rĂ©e par Jesse Harris, le producteur Larry Klein, ou d’avoir le guitariste Marc Ribot sur votre premier album.

    Vous aimez autant Billie Holiday que Bob Dylan. Autant Leonard Cohen que Muddy Waters. Et vous ĂȘtes une conteuse Ă  la plume aussi poĂ©tique qu’incisive.

    Nouvelle illustration avec « Let’s Walk », votre dixiĂšme album qui sortira le 28 juin, mais qu’on explore d’ores et dĂ©jĂ  ensemble dans Deli Express.

    Un recueil de dix chansons : aucune reprise ! Que des textes Ă  vous, engagĂ©s, pleins d’esprit, et parfois mĂȘme d’humour
Le tout magnifiĂ© par les arrangements du guitariste Jon Herington.

    Vous voici tous les deux sur la scĂšne du Deli Express !


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  • Notre invitĂ© est-il français ? AmĂ©ricain ?

    Quelle importance ! Son territoire de cƓur c’est le jazz, dont il est un ambassadeur infatigable depuis 35 ans.

    Jacky Terrasson appartient Ă  la catĂ©gorie des pianistes qui comptent, et ce des deux cĂŽtĂ©s de l’Atlantique : Paris oĂč il a grandi, et New York oĂč il a vĂ©cu pendant trente ans.

    A ses dĂ©buts, il accompagnait Abbey Lincoln et Betty Carter, deux voix qui ont marquĂ© l’histoire de cette musique.

    Et il a navigué pendant un quart de siÚcle sous le pavillon du label Blue Note.

    Avec les annĂ©es, il se fait toujours aussi joueur et virtuose
Deux facettes qui illuminent son nouvel album, « Moving on », le tout premier qu’il sort sur son propre label, Earth Sounds.

    Jacky y dĂ©construit pour mieux les sublimer, des standards tels que « Besame Mucho » et « Misty ». Il ose s’attaquer Ă  un tube planĂ©taire : « Happy » de Pharrell Williams, invite l’un des anciens batteurs de Miles, Billy Hart, les chanteuses Kareen Guiock Thuram et Camille Bertault ou l’harmoniciste GrĂ©goire Maret.

    Un nouveau répertoire enregistré des deux cÎtés de l'Atlantique, avec des rythmiques différentes, et à découvrir en concert demain, mercredi et vendredi au Bal Blomet, à Paris


    Mais on en a de la chance, car Jacky Terrasson est dÚs ce midi sur notre scÚne à nous, avec Sylvain Romano à la contrebasse, Lukmil Perez à la batterie, et en invitée de luxe, Kareen Guiock Thuram !


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  • 30 ans de discographie, ça se fĂȘte !

    Alors pour marquer le coup, notre invitĂ© a fait ce qu’il aime le plus au monde !

    Il a écrit de nouvelles compos, imaginé un groupe pour leur donner corps, et il est entré en studio.

    Le rĂ©sultat s’intitule « Long Distance ». Un album empreint de plĂ©nitude et qui dĂ©ploie avec force et tranquillitĂ© au fil de 9 plages tout le talent d’un cador français du saxophone, passĂ© Ă  ses dĂ©buts dans les groupes de RenĂ© Urtreger et Martial Solal et qui a explorĂ© sous son nom tous les formats : du trio avec guitare Ă©lectrique, Ă  l’étonnant projet vocal Octovoice !

    Cette fois, Sylvain Beuf a choisi de s’exprimer en quartet, avec Pierre-Alain Goualch au piano, Philippe Aerts à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie


    Un groupe qu’on pourra applaudir ce soir et demain au Sunside, à Paris. Mais comme on est chanceux, les voici dùs ce midi sur la scùne du Deli Express.


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  • Notre invitĂ© a longtemps mis la sonoritĂ© chaude et funky de l’orgue Hammond B3, au cƓur de son esthĂ©tique.

    Mais dans la vie, il suffit d’une rencontre pour que tout bascule.

    Il y a cinq ans, fascinĂ© par les musiques Hindoustanis, celles qu’on pratique en Inde du Nord, Matthieu Marthouret a initiĂ© une collaboration avec Mosin Kawa, un joueur de tabla et un maĂźtre du chant rĂąga installĂ© en France.

    Ça a Ă©tĂ© le point de dĂ©part d’un nouveau groupe Homeland(s), Ă©galement composĂ© de LoĂŻc RĂ©chard Ă  la guitare, et au sein duquel Matthieu s’exprime uniquement au piano, son instrument d'origine.

    Ensemble, ils viennent de sortir « Lori ». Un album hybride, colorĂ©, mĂ©tissĂ© et tellement prenant qu’on ne les loupera pas demain en concert au Son de la Terre, Ă  Paris.

    Pour nous mettre en jambe, les voici dÚs à présent sur la scÚne du Deli Express !


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  • Écrire une bonne chanson, parole et musique
Ça paraĂźt simple !

    Mais toucher immĂ©diatement le cƓur des auditeurs, grĂące Ă  elle. Avoir fait naĂźtre un air, tellement puissant et Ă©vident, que les gens ont l’impression de le connaĂźtre depuis toujours
Qu’ils le fredonnent des heures durant, et qu’ils l’aiment toujours plus avec les annĂ©es


    RĂ©ussir ce tour de force, qui n’a donc l’air de rien, ce n’est pas donnĂ© Ă  tout le monde. Et c’est un art que notre invitĂ© maĂźtrise Ă  la perfection !

    Et je ne dis pas seulement ça parce que Jessie Harris est l’auteur de « Don’t Know Why », le tout premier tube de Norah Jones, il y a maintenant plus de 20 ans.

    Non, tout ce qu’il touche se transforme en irrĂ©sistibles mĂ©lodies, en refrains qui squattent notre cerveau.

    Melody Gardot, Madeleine Peyroux, Lana Del Rey, ou plus récemment Gabi Hartmann, en savent quelque chose. Toutes ont fait appel à ses services.

    ParallĂšlement Ă  ses nombreuses collaborations, le bonhomme dĂ©borde tellement de crĂ©ativitĂ©, qu’on lui doit mĂȘme une tripotĂ©e d’albums sous son nom.

    Le petit dernier vient de sortir, et il apporte une nouvelle preuve éclatante de ce que je viens de décrire !

    « Paper Flower », c’est son titre, est une collection de onze bijoux entre folk, jazz et pop que Jesse Harris a enregistrĂ© Ă  Paris, l’une de ses villes de cƓur. C’est le rĂ©pertoire qu’il vient nous prĂ©senter Ă  la guitare et au chant, en compagnie d’Anson Jones, aux chƓurs, Richard Sears aux claviers, Christopher Thomas Ă  la basse et Jeff Boudreaux Ă  la batterie.


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  • Entre elle et la musique, c’est une histoire qui remonte Ă  loin !

    C’était au milieu des annĂ©es 60, elle Ă©tait en CM2, mais sa voix faisait dĂ©jĂ  tellement de merveilles que Molly Johnson intĂ©grait la distribution d’une adaptation de Porgy & Bess au Royal Alexander Theatre de Toronto.

    Elle ne le savait pas encore, mais c’était le dĂ©but d’un parcours exaltant.

    En pleine Saturday Night Fever, Molly Johnson a chanté dans le groupe de disco A Chocolate Affair
Elle a ensuite fondé un groupe hybride entre rock & funk, tout en se produisant parallÚlement de maniÚre occasionnelle dans des clubs de jazz.

    Et devant l’enthousiasme du public Ă  chaque fois qu’elle interprĂ©tait les standards, le jazz s’est petit Ă  petit retrouvĂ© au cƓur de son esthĂ©tique, au point d'en devenir l’une de ses ambassadrices les plus pĂ©tillantes et charismatiques au Canada.

    Mais Molly Johnson Ă©tant Molly Johnson, la note bleue se nourrit chez elle de multiples influences
Sur son dernier album en date, « Meaning To Tell Ya », paru il y a six ans, elle reprenait par exemple, Marvin Gaye et Gil Scott Heron.

    Molly, quelle joie de vous retrouver Ă  Paris !

    Vous ĂȘtes ce soir Ă  l’affiche du « ChĂątelet Fait son Jazz », l’impeccable festival qu’organise le Théùtre du ChĂątelet
Et d’ailleurs, on va aussi passer ce Deli Express en compagnie de son programmateur, Serge Kolpa.

    Mais pour commencer, vous voici sur notre scĂšne, Molly Johnson, en compagnie du pianiste Franck Amsallem et Benjamin Petit au saxophone.


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  • Du jazz au reggae
Les yeux Ă©galement rivĂ©s sur la dance culture !

    L’Ɠuvre que notre invitĂ©e dĂ©veloppe depuis prĂšs de quinze ans est Ă  l’image des mĂ©tissages musicaux qui agitent Londres, la ville oĂč elle rĂ©side depuis toujours.

    ÉlevĂ©e dans une famille jamaĂŻcaine, Zara McFarlane a passĂ© son enfance Ă  Ă©couter les grands hĂ©ros de l’üle.

    Le jazz a aussi trĂšs tĂŽt rĂ©sonnĂ© en elle. C’était Ă  l’adolescence, notamment via ses chanteuses historiques.

    Leurs voix, leurs histoires, lui ont donné la force, la confiance nécessaires pour embrasser à son tour une carriÚre artistique.

    Sa participation, Ă  ses dĂ©buts, au programme Tomorrow’s Warriors destinĂ© Ă  aider les jeunes musiciens, lui a permis d’ĂȘtre repĂ©rĂ©e par Gilles Peterson qui a lancĂ© sa carriĂšre.

    Le jazz et le reggae donc se conjuguent à merveille, depuis toujours dans les répertoires de Zara McFarlane.

    Mais pour son nouveau projet, elle a choisi de se concentrer uniquement sur l’une de ses deux facettes, et elle honore la mĂ©moire de Sarah Vaughan, l’une de ses plus grandes influences.

    L’album s’intitule « Sweet Whispers » Il sort le mois prochain. C’est une relecture lumineuse et pleine de fraĂźcheur de l’Ɠuvre de la Divine imaginĂ©e avec la complicitĂ© du clarinettiste et saxophoniste Giacomo Smith.

    Ils sont tous les deux à l’honneur de notre Deli Express, avant leurs concerts de ce soir et demain au Duc des Lombards


    Welcome / Bienvenue Ă  vous deux.

    Vous voici en compagnie d’une team de choc. Et mĂȘme d’une team Deli Choc : avec Amaury Faye au piano, Edouard Pennes Ă  la contrebasse et David Grebil Ă  la batterie !


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  • Notre invitĂ© appartient Ă  l’une des tribus les plus iconoclastes et jubilatoires de la scĂšne jazz française


    Une gĂ©nĂ©ration qui a mis l’hĂ©donisme et la curiositĂ© au centre de ses projets, qui a grandi en regardant « L’Homme qui valait trois milliards », et qui possĂšde comme lui, une ouĂŻe ultra dĂ©veloppĂ©e, et par consĂ©quent une culture musicale XXL.

    Dans cette bande, on retrouve Thomas De Pourquery, Laurent Bardainne, Jeanne Added, Fred Pallem, ou donc, Sylvain Daniel à nos cÎtés ce midi pour nous présenter son nouvel album.

    Avant de vous donner son titre, petit retour en arriĂšre
Non, je ne vais pas remonter Ă  ses 7 ans, quand il a commencĂ© l’étude du cor d’harmonie au Conservatoire de Nantes
Je vais tout simplement revenir Ă  l’annĂ©e 1999, oĂč jeune bassiste Sylvain Daniel est parti en tournĂ©e avec Julien Lourau pour la tournĂ©e de son disque Gambit, teintĂ© d’électro. L’époque aussi oĂč il a commencĂ© Ă  se passionner pour des artistes comme les Roots ou D’Angelo.

    AprĂšs avoir Ă©tĂ© membre de l’Orchestre National de Jazz sous la direction de Daniel Yvinec, aprĂšs avoir honorĂ© la techno de Detroit avec son projet Palimpseste, aprĂšs avoir mis en musique des poĂšmes de Victor Hugo, il nous revient avec « SlyDee », une cĂ©lĂ©bration du groove sous toutes ses coutures, de la soul des seventies, Ă  des producteurs hip-hop tels que Jay Dee, en passant par Talking Heads ou Prince, bref Ă  tout ce qui le fait danser et transpirer depuis des annĂ©es.

    Un rĂ©pertoire jouissif, explosif qu’il prĂ©sente en concert ce soir au New Morning, Ă  Paris et le 27 juin aux Nuits de FourviĂšre en premiĂšre de Nile Rodgers
En attendant, Sylvain Daniel est donc notre invitĂ©, et le voici sur la scĂšne du Deli Express, en compagnie de Aymeric Avice Ă  la trompette, Bruno Ruder au piano, Arnaud Roulin aux synthĂ©s et Vincent Taeger Ă  la batterie.


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