Avsnitt
-
“Avoir une bonne idée quand on écrit une chanson c’est un peu comme l’amour. On ne sait pas pourquoi elle est différente, mais elle l’est. On ne sait pas pourquoi elle est meilleure, mais elle l’est. Elle reste dans la tête et on ne peut pas arrêter d’y penser.” - Taylor Swift
Le délire de Florie c’est d’imaginer un monde de livres où le partage est le mot d’ordre, où on tisse des liens par la lecture et l’écriture. Un monde où les mots nous inspirent et nous laissent entrevoir que tout est possible.
-
Un tout petit format pour vous partager “mes petits délires”… ces réflexions notées sur un bout de papier, envoyées dans un texto resté sans réponse ou perdues dans les notes de mon téléphone. Délirer à propos de l’amour revient toujours à raconter l’histoire d’un grand amour… bell hooks est un de mes grands amours intellectuels, mon éternelle inspiration.
-
Saknas det avsnitt?
-
“Que le corps est la réalité principale, que nous vivons dans une société sans corps, que le patriarcat est l’annulation du corps, que le capitalisme est l’emprisonnement du corps, que les tyrannies sur les corps sont la base pour la consolidation de toutes les autres tyrannies. Que la séparation entre le corps et l’esprit, la base même de la pensée patriarcale, est la soumission du corps.” - Maria Galindo
Le délire de Franco est de s’engager, comme il peut, dans des projets collectifs qui luttent contre des injustices qui lui tiennent à cœur en étant sûr que cela participe à créer un monde meilleur pour d’autres gens (et aussi pour lui-même). Apprendre, s’amuser, réfléchir, discuter…
-
« Pour que dans la ferme on ne souffre pas tant / oui, mon cher / J’espère qu’il va pleuvoir du café dans la campagne » - Juan Luis Guerra
Le délire de Julien c’est de cultiver des espaces où l’on boit l’un des meilleurs cafés: cultivé avec soin pour la planète et pour l’humain. Un endroit de rencontres où chacun.e ressort heureux.se. Un lieu de partages et d’échanges sereins. Un « safe place » pour tout le monde. Le délire de Caroline c’est d’envisager un monde où les rencontres et les partages autour d’une tasse de café nous feront comprendre que nous avons plus besoin de ponts que de frontières. Ensemble, leur délire s’appelle Synapse Torréfaction.
-
“Quand tu peux porter ce que tu ressens, qu’est-ce que tu as envie de dire ?” Jennifer Hudson
Le délire d’Angélique c’est d’avoir le plaisir de confectionner des vêtements qui ont un sens ou de créer des vêtements qui auront une histoire. Des pièces qui s’animeront, s’associeront, se partageront et se transformerons avec le temps.
-
Un tout petit format pour vous partager “mes petits délires”… ces réflexions notées sur un bout de papier, envoyées dans un texto resté sans réponse ou perdues dans les notes de mon téléphone.Réfléchir, écouter, parler, délirer… selon Lacan, le délire constitue la facette la plus problématique de la parole. Et pourtant…. aujourd’hui je vous partage “mon petit délire… sur le parler”
-
“Je joue de la musique et ça me donne accès à une telle liberté qu’elle me fait rayonner de la tête aux pieds (…) Regardant la foule, je vois enfin la réalité. Des gens qui ressentent vraiment des émotions.” Kae TempestLe délire de Vincent c’est de réfléchir et de mettre en acte des nouvelles manières de faire la fête, des nouveaux rapports aux lieux de fête et des nouvelles relations entre les gens qui font vivre ces espaces-là. En somme, son délire c’est de créer des nouvelles perspectives pour une fête plus accessible, plus juste et plus réjouissante.
-
“La perfection sera toujours l’ennuyeux privilège des dieux.” Eduardo Galeano
Le délire de Floriane c’est de vouloir tout comprendre, sans jamais y arriver. Elle cherche constamment à résoudre une équation à deux millions d’inconnus, qui englobe le passé, le présent, le futur. Pour elle, il est difficile de naître et de vivre avec la capacité de penser qu’en tant qu’être humains nous pourrions peut-être atteindre la connaissance absolue. En fin de comptes, cela est un délire de perfection. Au final, nous ne pouvons vivre qu’avec nos humbles connaissances, particulièrement fausses, particulièrement parcellaires, particulièrement biaisées.
-
Un tout petit format pour vous partager “mes petits délires”… ces réflexions notées sur un bout de papier, envoyées dans un texto resté sans réponse ou perdues dans les notes de mon téléphone. Et pour cette première fois, mon petit délire sur le graffiti… parce que “les murs crient ce que les gens n’osent pas dire.”
-
Dans un État, il n’y a pas assez de place pour la démocratie.
Le délire de Guy c’est de rassembler les gens, leur permettre de prendre du plaisir à débattre d’enjeux complexes sans agressivité mais avec passion. C’est de trouver le bon équilibre pour que l’on puisse travailler ensemble aux solutions possibles.
-
“Lorsque les femmes se détachent de l’endroit qui leur a été assigné par le patriarcat, ce détachement est douloureux, mais en même temps plaisant et il a la capacité de provoquer du désordre dans tout ce qui l’entourait, parce que chaque femme est une espèce de pilier qui soutient la structure qui l’oppresse.” Maria Galindo
Tiziri Kandi, syndicaliste et attachée parlementaire de Rachel Kéké, Marine Chatelot-Muller créatrice de la marque de boucles d’oreille engagées Do You Ear Me, Morgann Gicquel, réalisatrice engagée sur les droits des personnes trans, et Emma Nunes, qui a fait une recherche sur la place des femmes dans l’industrie du rap, se sont imaginé le monde après le patriarcat.
-
Allongée dans mon lit, le soir, je pense souvent à ce qui ne va pas dans le monde, à ce qui me préoccupe. Je pense beaucoup, oui, mais j’agis aussi… ou j’essaie au moins d’agir.
Je mène au quotidien des combats parfois solitaires, d’autres fois collectifs… mais rien ne m’empêche d’échapper à l’anxiété inhérente au capitalisme… au désespoir, à la désillusion d’avoir cru pouvoir changer un système, mais de voir au quotidien que les choses ne font qu’empirer.Pourtant, et malgré mon cynisme… j’ai encore de l’espoir.On mène tous.tes des combats, petits et grands, Il y a tellement de choses contre lesquelles on se bat, Parfois nos luttes deviennent un but en soi. Une sorte de lutte permanente quoi.Mais que se passerait-il si un jour on gagnait ? À quoi ressemblerait le monde ?
Allongée dans mon lit, le soir, je pense souvent au monde tel que je voudrais qu’il soit. Et toi, tu penses à quoi avant de t’endormir ? C’est quoi ton délire ?
C’est quoi ce délire ? Un podcast d’imagination politique