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  • Dans le monde de l'art, les histoires les plus inspirantes naissent souvent des rencontres les plus inattendues, et parfois même par des messages qui surgissent au détour d'un réseau social. Je parle ici de Instagram ou vous pouvez y retrouver le compte ART au féminin et celui de mon invité du jour objectum.cp.

    Aujourd'hui, je vous invite donc à plonger dans l'un de ces récits, une histoire qui commence par un simple message et qui nous transporte dans l'univers d'une profession souvent méconnue : celle de commissaire-priseur.

    Il y a quelques semaines donc, un message émergeait de l'océan numérique. Un message porteur d'une révélation. Mon invitée, Héloïse Debaudus, commissaire-priseur, a choisi de partager son histoire au micro de ART au féminin, de dévoiler les coulisses de ce métier très souvent méconnu et pourtant essentiel au fonctionnement du marché de l’art.

    Pour beaucoup d'entre nous (et j’en fait partie), le monde des ventes aux enchères évoque des images de grandes salles prestigieuses, réservées à une élite fortunée.

    Mais derrière cette façade se cachent des professionnels passionnés, des femmes et des hommes qui, comme Héloïse, consacrent leur vie à l'estimation, à la valorisation et à la vente d'œuvres d’art.

    À travers cet épisode, Heloise et moi vous invitons à découvrir le métier de commissaire-priseure sous un nouveau jour, à explorer ses nuances et ses défis. Car derrière chaque marteau frappant, chaque adjudication remportée, se cache une histoire de passion, de compétence et de détermination.

    A travers cet épisode il sera question d’évoquer le parcours professionnel de mon invité, ses fonctions et responsabilités, l’organisation des ventres aux enchères, l’expertise et l’évaluation, le marche de l’art et ses tendances, il sera aussi question de droit et de législation, et enfin la relation avec les clients.

    Cher.e auditeur.ice.s, préparez-vous à être transportés au cœur du monde de l'art, à travers le regard expert et inspirant de mon invitée, Héloïse Debaudus, une commissaire-priseure qui nous ouvre les portes de son métier avec générosité et authenticité.

    Vous pouvez aller plus loin en écoutant son podcast : Objectum

    Bonne écoute !

    N’hésitez pas à partager et commenter !! ♥

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  • « A quoi bon mentir et poser. Il est évident que j'ai le désir , sinon l'espoir, de rester sur cette terre de quelque moyen que ce soit. Si je ne meurs pas jeune j'espère rester comme une grande artiste. Mais si je meurs jeune je veux qu'on puisse un jour publier mon journal qui ne peut pas être autre chose qu’intéressant. »

    Marie Bashkirtseff

    Bonjour et bienvenue sur ART au féminin. Je suis Aldjia, la fondatrice de cette chaîne de podcast, et je suis ravie de vous retrouver, pour ce tout nouveau épisode.

    Comme dis lors des deux premiers épisodes de cette saison 5, le paysage foisonnant de l'impressionnisme résonne souvent à travers les noms de Monet, Renoir, ou Degas. Pour ne citer qu’eux.

    En effet, lors de mes recherches, j’ai constaté que les récits traditionnels se concentrent fréquemment sur les figures masculines qui ont laissé leur empreinte sur l'impressionnisme. Les femmes impressionnistes quand a elles sont souvent occultées, reléguées à l'ombre de leurs homologues masculins. On en cite peut-être une ou deux, comme Berthe Morisot et Mary Cassatt.

    Cependant, en creusant un peu plus, nous découvrons qu'elles sont bien plus nombreuses, et c'est précisément ces artistes dont on parle le moins que je souhaite mettre en avant au fil des épisodes de cette saison.

    Vous le savez certainement déjà, si vous suivez le compte Instagram ART au féminin, j’ai décidé lors des futurs épisodes de partager sur la vie et l’art de :

    Eva Gonzales Mary Cassatt Marie Bashkirtseff

    Lors des deux précédents épisodes j’ai partagé avec vous sur la vie et l’art d’Eva Gonzales, et Mary Cassatt. Des épisodes que vous pouvez écouter sur la plateforme de votre choix.

    Aujourd’hui, je vous retrouve pour le tout dernier épisode de cette saison impressionniste. Un épisode sur Marie Bashkirtseff.

    Née dans l'Ukraine de 1858, dans une famille de la noblesse fortunée mais troublée, Marie Bashkirtseff s'épanouit dans les tourbillons de l'art et de la littérature dès son plus jeune âge. Ses voyages à travers l'Europe avec sa mère, loin des scandales et des dissensions familiales, nourrissent sa passion précoce pour la création artistique.

    Elle intègre l'Académie Julian de Paris, ou elle trouve enfin le terreau fertile nécessaire à l'épanouissement de son talent. Sous la tutelle de maîtres éminents et aux côtés d'artistes prometteurs, Marie élabore une œuvre qui oscille entre naturalisme et humanisme, capturant avec une sensibilité les émotions et les réalités de son époque.

    Mais son destin tragique lui arrache la vie à l'âge de 26 ans, emportant avec elle un potentiel artistique et des aspirations inachevées. Mais dans le sillage de sa brève existence, Marie Bashkirtseff laisse derrière elle un héritage, un témoignage de son génie et de sa lutte pour l'émancipation des femmes dans le monde de l’art.

    Et c’est d’ailleurs grâce a son journal qu’elle nous a laissé, qu’elle a été redécouvert.

    Alors, l’épisode « Marie Bashkirtseff et l'Héritage d'une Vie Trop Courte » c’est maintenant.

    Bonne écoute !

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  • « La voix des peintres ne s’entend pas, elle se lit à travers leurs oeuvres, et c’est à un rôle d’interprète qu’est voué celui ou celle qui souhaite les entendre attentivement … Les artistes elles-mêmes ont semé beaucoup de petits cailloux pour nous aider à trouver le chemin, de tableau en tableau. »

    La peinture au féminin - Berthe et Mary Cassat - Denise Brahimi - Editions Jean Paul Rocher

    Comme dis lors des deux premiers épisodes de cette nouvelle saison, le paysage foisonnant de l'impressionnisme résonne souvent à travers les noms de Monet, Renoir, ou Degas. Pour ne citer qu’eux.

    En effet, lors de mes recherches, j’ai constaté que les récits traditionnels se concentrent fréquemment sur les figures masculines qui ont laissé leur empreinte sur l'impressionnisme.

    Les femmes impressionnistes quand a elles sont souvent occultées, reléguées à l'ombre de leurs homologues masculins. On en cite peut-être une ou deux, comme Berthe Morisot et Mary Cassatt.

    Cependant, en creusant un peu plus, nous découvrons qu'elles sont bien plus nombreuses, et c'est précisément ces artistes dont on parle le moins que je souhaite mettre en avant au fil des épisodes de cette saison.

    Vous le savez certainement, si vous suivez le compte Instagram ART au féminin, j’ai décidé lors des futurs épisodes de partager sur la vie et l’art de :

    Eva Gonzales Mary Cassatt Marie Bashkirtseff

    Lors du précédent épisode j’ai partage avec vous sur la contribution a l’histoire de l’art et l’histoire de l’impressionnisme d'Eva Gonzalès.

    Souvent associée à Édouard Manet, son mentor, Eva Gonzalès déploie dans son œuvre une fusion subtile entre la tradition académique et l'audace de l'avant-garde, arrivant ainsi à capturer la vie quotidienne et ses relations humaines, dans une période charnière de l'histoire de l’art.

    Je vous invite a écouter l’épisode 3 en lien avec la saison impressionniste, sous le nom : « Eva Gonzalès, lumière sur une pionnière impressionniste » sur la plateforme de votre choix.

    Vous pouvez aussi aller plus loin en lui laissant 5 étoiles sur votre plateforme d’écoutes et le partager autour de vous. Ça m’aide beaucoup.

    Aujourd’hui, je vous retrouve pour vous parler de la vie et l’art de Mary Cassatt.

    Née en 1844 dans une Amérique en pleine mutation, Mary Cassatt a bravement navigué dans un monde artistique dominé par les hommes pour devenir l'une des rares femmes à s'imposer dans le monde de la peinture. Son voyage l'a menée des rives de sa Pennsylvanie natale aux salons parisiens animés, où elle a été profondément influencée par les maîtres impressionnistes français et a trouvé sa voix artistique.

    À travers cet épisode, nous explorerons les multiples facettes de la vie et de l'œuvre de Mary Cassatt, des premières étapes de sa formation artistique aux sommets de sa carrière, en passant par les défis qu'elle a dû affronter en tant que femme artiste à une époque de changements tumultueux. Il sera également question d’évoquer ses peintures les plus célèbres, et ainsi plonger dans les détails de son style et de son approche de l’art.

    Bonne écoute.

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  • Bonjour et bienvenue sur ART au féminin. Je suis Aldjia, la fondatrice de cette chaîne de podcast, et je suis ravie de vous retrouver, pour ce tout nouveau épisode.

    Comme dis lors des deux premiers épisodes de cette nouvelle saison, le paysage foisonnant de l'impressionnisme résonne souvent à travers les noms de Monet, Renoir, ou Degas. Pour ne citer qu’eux.

    En effet, lors de mes recherches, j’ai constaté que les récits traditionnels se concentrent fréquemment sur les figures masculines qui ont laissé leur empreinte sur l'impressionnisme. Les femmes impressionnistes quand a elles sont souvent occultées, reléguées à l'ombre de leurs homologues masculins. On en cite peut-être une ou deux, comme Berthe Morisot et Mary Cassatt.

    Cependant, en creusant un peu plus, nous découvrons qu'elles sont bien plus nombreuses, et c'est précisément ces artistes dont on parle le moins que je souhaite mettre en avant au fil des épisodes de cette saison.

    Vous le savez certainement déjà vu, si vous suivez le compte Instagram ART au féminin, j’ai décidé lors des futurs épisodes de partager sur la vie et l’art de :

    Eva Gonzales Mary Cassatt Marie Bashkirtseff

    Aujourd’hui, c’est donc la contribution d'Eva Gonzalès que je souhaite souligner. Souvent associée à Édouard Manet, son mentor, Eva Gonzalès déploie dans son œuvre une fusion subtile entre la tradition académique et l'audace de l'avant-garde, arrivant ainsi à capturer la vie quotidienne et ses relations humaines, dans une période charnière de l'histoire de l’art.

    En effet, Eva Gonzalès va au delà son statut de simple élève pour incarner une figure déterminée à s'imposer dans un milieu artistique. Un milieu où les femmes étaient souvent reléguées aux marges.

    Cet épisode est l’occasion de revenir sur plusieurs points de sa vie, son éducation artistique, sa transition vers l’atelier de Manet, et l’influence de ce dernier, tout en évoquant son refus d'exposer aux salons impressionnistes malgré l'influence croissante de l'impressionnisme dans son travail, ses oeuvres bien sur … Bref, je vous laisse maintenant écouter l’épisode sur : Eva Gonzalès, lumière sur une pionnière impressionniste.

    Bonne écoute.

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  • « On nous demande, avec une indulgente ironie combien il y a eu de grandes artistes femmes. Eh ! Messieurs, il y en a eu et c’est étonnant, vu les difficultés énormes qu’elles rencontrent »

    - Marie Bashkirtseff

    Bonjour et bienvenue sur ART au féminin. Je suis Aldjia, la fondatrice de cette chaîne de podcast, et je suis ravie de vous accueillir pour le lancement de cette toute nouvelle saison, la saison 05.

    Cette nouvelle saison (pour l’autodidacte que je suis) représente pour moi une nouvelle opportunité d'explorer l'art et l'histoire des femmes artistes, qu'elles aient laissé leur empreinte par le passé ou qu'elles continuent d'inspirer le monde artistique d’aujourd’hui.

    Il y a un mois j’ai partagé avec vous la partie 1 portant le nom de « L’impressionnisme Féminin : Des toiles éclatantes dans l’ombre de l’histoire »

    Le but de cet épisode était de partager sur l’histoire de l’impressionnisme. Et de comprendre, le comment et pourquoi ce moment est né.

    Ce mouvement artistique, qui a vu le jour en France au XIXe siècle, a été une révolution artistique majeure. Né en réaction aux normes académiques rigides de l'époque, portant une vision audacieuse de l'art. Avec des artistes qui ont consciemment choisi de capturer l'instantanéité de la vie quotidienne, la fugacité de la nature et la magie changeante de la lumière.

    Tout au long de cette première partie que vous pouvez écouter sur la plateforme de votre choix, j’ai cherché à comprendre ce qui a motivé la naissance de ce mouvement et les éléments qui l'ont façonné. Et aussi à explorer l'évolution du mouvement à travers les années et l'héritage précieux qu'il a laissé dans le monde de l’art.

    Comme promis, je vous retrouve aujourd’hui pour la seconde partie, qui a pour but de mettre en avant l’impressionnisme du coté féminin.

    Car ce qui rend ce podcast particulièrement spéciale, c'est toujours cette l’envie de mettre en lumière les femmes artistes souvent passées sous silence, bien qu'elles aient contribué de manière significative à l’impressionnisme.

    Lors de mes recherches pour ce podcast, j'ai constaté que les récits traditionnels se concentrent fréquemment sur les figures masculines qui ont laissé leur empreinte sur l'impressionnisme. Les femmes impressionnistes sont souvent occultées, reléguées à l'ombre de leurs homologues masculins. On en cite peut-être une ou deux, comme Berthe Morisot et Mary Cassatt.

    Cependant, en creusant un peu plus, nous découvrons qu'elles sont bien plus nombreuses, et c'est précisément ces artistes dont on parle le moins que je souhaite mettre en avant au fil des épisodes de cette saison.

    Vous l’avez compris, tout au long de cette saison, nous allons donc explorer leurs vies, leurs œuvres, et leur contribution essentielle à l'histoire de l’art, l’histoire de l’impressionnisme.

    Bonne écoute !

    Sources :

    Liste livres :

    "Les pionnières - Femmes et impressionnistes" - Éditions des Fraises. "Histoire de l'art d'un nouveau genre" - Anne Larue - Éditions Max Milo "Pourquoi n'y a-t-il pas eu de grands artistes femmes ?" - Linda Nochlin - Thames et Hudson

    Article :

    "À l'origine, le nu était masculin" Par Elsa Mourgues.

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  • Bonjour et bienvenue sur ART au féminin. Je suis Aldjia, la fondatrice de cette chaîne de podcast, et je suis ravie de vous accueillir pour le lancement de cette toute nouvelle saison, la saison 05.

    Cette nouvelle saison (pour l’autodidacte que je suis) représente pour moi une nouvelle opportunité d'explorer l'art et l'histoire des femmes artistes, qu'elles aient laissé leur empreinte par le passé ou qu'elles continuent d'inspirer le monde artistique d’aujourd'hui.

    Aujourd'hui, avec ce premier épisode, qui va se composer de deux partie (la première sur l’histoire de l’impressionnisme et la seconde sur la place des femmes impressionnistes), je vous invite à embarquer au cœur de l'histoire de l’impressionnisme.

    Ce mouvement artistique, qui a vu le jour en France au XIXe siècle, a été une révolution artistique majeure. Il est né en réaction aux normes académiques rigides de l'époque, portant une vision audacieuse de l'art. Les artistes impressionnistes ont consciemment choisi de capturer l'instantanéité de la vie quotidienne, la fugacité de la nature et la magie changeante de la lumière.

    Tout au long de cette première partie, nous allons chercher à comprendre ce qui a motivé la naissance de ce mouvement et les éléments qui l'ont façonné. Nous allons explorer l'évolution du mouvement à travers les années et l'héritage précieux qu'il a laissé dans le monde de l’art.

    Mais ce qui rend ce podcast particulièrement spéciale, c'est toujours l’envie de mettre en lumière les femmes artistes souvent passées sous silence, bien qu'elles aient contribué de manière significative à l’impressionnisme. Partie qui va être détaillé, à travers un second épisode.

    Car lors de mes recherches pour ce podcast, j'ai constaté que les récits traditionnels se concentrent fréquemment sur les figures masculines qui ont laissé leur empreinte sur l'impressionnisme. Les femmes impressionnistes sont souvent occultées, reléguées à l'ombre de leurs homologues masculins. On en cite peut-être une ou deux, comme Berthe Morisot et Mary Cassatt.

    Cependant, en creusant un peu plus, nous découvrons qu'elles sont bien plus nombreuses, et c'est précisément ces artistes dont on parle le moins que je souhaite mettre en avant au fil des épisodes de cette saison.

    Vous l’avez compris, tout au long de cette saison, nous allons donc explorer leurs vies, leurs œuvres, et leur contribution essentielle à l'histoire de l’art, l’histoire de l’impressionnisme.

    Alors … Bonne écoute !

    Liste livres :

    « Les impressionnistes » par Corinne Graber et Jean-François Guillou, Éditions Solar. "Impressionnisme" - Karin H. Grimme - Éditions Taschen. "Les pionnières - Femmes et impressionnistes" - Éditions des Fraises. "Le siècle des impressionnistes" - Raymond Cogniat - Éditions Flammarion. "l'ABCdaire de l'Impressionnisme" - Éditions Flammarion.

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  • « C’est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle; c’est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète. Dès qu’elle cesse d’être une parasite, le système fondé sur sa dépendance s’écroule; entre elle et l’univers il n’est plus besoin d’un médiateur masculin. »

    Simone de Beauvoir - La femme indépendante - Extraits du Deuxième sexe.

    Bonjour et bienvenue sur ART au féminin,

    Je suis Aldjia, fondatrice de cette chaine de podcast, et je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouveau épisode qui me permets encore une fois de partager avec vous l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    Toujours en lien avec la saison 4 : « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? ». (qui est aussi le titre du premier épisode de cette saison).

    Épisode, ou j’ai partagé avec vous mes recherches sur cette grande partie de l’histoire, période du renouveau artistique, littéraire et scientifique.

    La période qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs artistiques.

    À travers l’épisode « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? » je vous ai donc parlé de la place des femmes artistes à cette période tout en évoquant le nom de quelques artistes ayants marquées cette période de l’histoire. Leur consacrant ainsi un épisode par artiste.

    Il y a donc eu un épisode sur :

    Plautilla Nelli Lavinia Fontana Sofonisba Anguissola

    Et enfin

    Artemisia Gentileschi.

    Lors du précédent épisode (qui devait être le dernier de cette saison), j’ai donc partagé avec vous l’histoire et l’art de Artemisia Gentileschi, féministe de la Renaissance.

    Un épisode, que je vous invite bien sur à écouter et partager, si ce n’est pas déjà fait.

    Lors de cette saison, vous étiez nombreuses a me parler d’une autre artiste de la Renaissance : l’artiste Elisabetta Sirani.

    Suite a vos retours j’ai eu envie de vous offrir cet épisode « bonus » sur celle qui fut l’une des plus grande artiste de la période de la Renaissance.

    Celle qui malgré sa courte carrière artistique (car morte trop jeune), a produit plusieurs tableaux, dessins et gravures. Un peux moins de 200 tableaux qu’elle a eu l’intelligence de répertorier dans un carnet.

    Celle qui fut formée dans l’atelier de son père, consciente de la chance de ce privilège, et a eu envie d’ouvrir sa propre école de peinture et former d’autres femmes.

    Celle qui fut à la tête de l’atelier de son père …

    Celle qui consacra sa vie pour son art.

    Elisabetta Sirani, Sa vie pour son art ! C’est sur ART au féminin.

    Bonne écoute !

    La liste des Livres :

    Anne Larue - « Histoire de l’art d’un nouveau genre » - Éditions Max Milo. Émilie Hamon-Lehours - "Elisabetta Sirani - Une artiste emblématique à Bologne" - Éditions Le manuscrit savoirs. Séverine Sofio - « Artistes femmes - La parenthèse enchantée » - Éditions CNRS.

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  • « Mon illustre seigneurie, je vais vous montrer ce qu'une femme peut faire. » - Artemisia Gentileschi

    Bonjour et bienvenue sur ART au féminin.

    Je suis Aldjia, fondatrice de cette chaine de podcast, et je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouveau épisode qui me permets encore une fois de partager avec vous sur l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    Toujours en lien avec la saison 4 : « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? ». ? qui est aussi le titre du premier épisode de cette saison.

    Épisode, ou j’ai partagé avec vous mes recherches sur cette grande partie de l’histoire, période du renouveau artistique, littéraire et scientifique. La période qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs artistiques.

    À travers l’épisode « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? » je vous ai donc parlé de la place des femmes artistes à cette période tout en évoquant le nom de quelques artistes ayants marquées cette période de l’histoire.

    Comme :

    Plautilla Nelli Lavinia Fontana Sofonisba Anguissola

    Et enfin

    Artemisia Gentileschi.

    Lors du précédent épisode j’ai partagé avec vous l’histoire et l’art de Sofonisba Anguissola, star de son époque.

    Un épisode que je vous invite bien sur à écouter et partager, si ce n’est pas déjà fait.

    Aujourd’hui, je vous parle de Artemisia Gentileschi. Artiste réputée de son temps. Et pourtant oubliée malgré son talent, avant d’être redécouverte en 1876, au détriment de son art, suite aux archives en lien avec un procès pour viol. C’est qu’a partir de 1980 qu’on commence a s’intéresser à son travail.

    Artemisia Gentileschi, féministe de la Renaissance. C’est sur ART au féminin.

    Bonne écoute !

    La liste des Livres :

    Artemisia - Alexandra Lapierre - Éditions Robert Laffont Actes d'un procès pour viol en 1612 : Suivis des lettres de Artemisia Gentileschi - Éditions des femmes Histoire de l'art d'un nouveau genre - Anne Larue - Éditions Max Milo

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  • Au 02 bis, rue de Gribeauval, à Paris, une exposition est à découvrir du 09 mars au 22 avril 2023, sous le nom : « Le royaume invisible, Abstraction - Figures - Astres ».

    La galerie Diane De Polignac propose de découvrir pour la seconde fois des peintures de l’artiste Marie Raymond.

    Mais cette fois, c’est sur une autre partie de la vie et l’art de l’artiste peintre. Une période qui s’épanouit sur près de 25 ans (de 1964 à 1989).

    En effet, Après son divorce avec Fred Klein en 1961, la mort de son fils Yves Klein en 1962, puis son père un an plus tard, Marie Raymond à besoin de prendre du recule, de s’éloigner de la vie parisienne et faire son deuil.

    Dans le sud de la France, Marie Raymond peint autrement. Cette fois, c’est pour elle qu’elle peint. Et bien que ces productions soient considérées comme les plus belles de sa vie d’artiste, elles ont tout de même été invisibilisés. Pourquoi ? C’est ce que nous allons découvrir en partie à travers cet épisode.

    Vous l’avez compris, le podcast du jour est sur l’artiste Marie Raymond.

    Et pour nous permettre d’en savoir plus sur cette artiste et l’exposition « Le royaume invisible », Mathilde Gubanski réponds à quelques questions.

    Bienvenue sur ART au féminin. Je suis Aldjia, fondatrice du podcast. Je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouveau épisode qui me permets encore une fois de partager avec vous sur l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

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    À l’heure ou j’enregistre ce podcast je suis au 30 rue des Archives à Lille. Ici, se trouve Espace le carré. Un espace municipal d’art contemporain.

    Au coeur du vieux Lille, cet espace accueille des expositions collectives d’artistes émergents, dans le domaine de l’art contemporain.

    Depuis le 27 janvier et jusqu’au 19 mars, le lieux présente « Format à l’italienne XIII ».

    L’exposition regroupe les travaux des lauréats du prix Wicar - Résidence de création de la ville de Lille à Rome.

    Pour la petite histoire Le peintre et collectionneur lillois Jean Baptiste Wicar c’était établi en Italie vers 1800 et y a fait construire à Rome en 1825 un atelier. C’est ainsi en léguant une partie de sa collection. Que Lille et artistes Lillois peuvent ainsi participer aux résidences d’artistes.

    Pour cette 13eme édition sous le thème de l’Altra Roma, vous avez la possibilité de découvrir les travaux de : Jezy Knez, Anne Emilie Philippe et enfin mon invité du jour Yosra Mojtehedi. Qui présente à l’Espace le carré deux de ses oeuvres.

    J’avais hâte de recevoir Yosra Mojtahedi au micro de ART au féminin afin qu’elle partage avec nous son art, son parcourt, sur l'Iran et ses installations à l'Espace le carré.

    Bonne écoute !

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    Toujours en lien avec la saison 4 : « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? ». ? qui est aussi le titre du premier épisode de cette saison.

    Épisode, ou j’ai partagé avec vous mes recherches sur cette grande partie de l’histoire, période du renouveau artistique, littéraire et scientifique. La période qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs artistiques.

    À travers l’épisode « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? » je vous ai donc parlé de la place des femmes artistes à cette période tout en évoquant le nom de quelques artistes ayants marquées cette période de l’histoire.

    Comme :

    Plautilla Nelli Lavinia Fontana Sofonisba Anguissola

    Et enfin

    Artemisia Gentileschi.

    Lors du précédent épisode j’ai partagé avec vous l’histoire et l’art de Lavinia Fontana, une artiste qui était en avance sur son temps.

    Un épisode que je vous invite bien sur à écouter, si ce n’est pas déjà fait.

    Aujourd’hui, je vous parle de Sofonisba Anguissola. Portraitiste de talent, qui a rencontré Michel-Ange, inspiré Le Caravage, et donné des conseils de peinture à Van Dyck.

    Sofinisba Anguissola, star de son époque. C’est sur ART au féminin.

    Bonne écoute !

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    Je suis Aldjia, fondatrice de cette chaine de podcast, et je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouveau épisode qui me permets encore une fois de partager avec vous sur l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    Avez-vous écouté le podcast : « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? ». ?

    À travers cet épisode, j’avais partagé avec vous mes recherches sur cette grande partie de l’histoire, période du renouveau artistique, littéraire et scientifique. La période qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs artistiques.

    À travers l’épisode « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? » je vous ai parlé de la place des femmes artistes à cette période tout en évoquant le nom de quelques artistes ayants marquées cette période de l’histoire.

    Comme :

    Plautilla Nelli Lavinia Fontana Sofonisba Anguissola Artemisia Gentileschi.

    D’ailleurs, lors du précédent épisode j’ai partagé avec vous l’histoire et l’art de Plautilla Nelli. La première artiste de la Renaissance à Florence. Redécouverte en 2006 par Advancing Women Artists. N’hésitez pas à écouter l’épisode si ce n’est pas déjà fait.

    Aujourd’hui, je vous parle de Lavinia Fontana, connue aussi sous le nom de Lavinia Zappi.

    Bonne écoute !

    Article à lire : L'histoire de Antonietta Gonsalvus 

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  • Bonjour et bienvenue sur ART au féminin, le podcast qui raconte l'histoire et l'art des femmes artistes d'hier et d'aujourd'hui.

    Je suis Aldjia, fondatrice de cette chaîne de podcast, et je suis ravie de vous retrouver pour un nouvel épisode 100% Art et 100% féminin.

    Mon invitée du jour est : Pauline Pavec !

    Pauline Pavec est galeriste et historienne de l'art. 

    C'est en 2018, qu'elle ouvre avec son conjoint l'artiste Quentin Derouet la galerie Pauline Pavec.

    Cet épisode à été enregistré à la galerie Pauline Pavec.

    La galerie se situe au 45 rue Mesley, 75003 Paris.

    À travers cet épisode Pauline Pavec partage sur l'art et l'histoire de l'artiste Jacqueline Lamba dans le cadre de l'exposition : Jacqueline Lamba - Un arc-en-ciel en pleine nuit, regroupant une série de tableaux  sur le thème du nuage. Et c'est passionnant. 

    Bonne écoute !

    ART au féminin.

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  • Bonjour et bienvenue sur ART au féminin. 

    Je suis Aldjia, fondatrice de cette chaine de podcast, et je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouveau épisode qui me permets encore une fois de partager avec vous sur l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et aujourd’hui.

    Avez-vous écouté le podcast : « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? ». ?

    À travers cet épisode, j’avais partagé avec vous mes recherches sur cette grande partie de l’histoire, période du renouveau artistique, littéraire et scientifique. La période qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs artistiques.

    À travers l’épisode « Les femmes ont-elles eu une Renaissance ? » je vous ai parlé de la place des femmes artistes à cette période tout en évoquant le nom de quelques artistes ayants marquées cette période de l’histoire.

    Comme :

    Plautilla Nelli Lavinia Fontana Sofonisba Anguissola Artemisia Gentileschi.

    Cet épisode porte sur l’art et l’histoire de Plautilla Nelli.

    L'occasion de vous parler d'elle, et de ses oeuvres redécouvertes en 2006 par Advancing Women Artists. Il y a bien sur tellement de choses à apprendre sur cette première artiste de la Renaissance à Florence, en écoutant ce podcast.

    Bonne écoute !

    ART au féminin

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    Mon invitée du jour est : Cécile Guettier !

    Diplômée de l’école supérieure des beaux-arts de Nantes en 2018.

    Elle a déjà participé à plusieurs expositions collectives.

    En 2019, elle connait sa première exposition personnelle - RÉFRACTIONS - a la galerie Marchepied à Nantes.

    Sa seconde exposition personnelle s’est déroulée à la galerie BACKSLASH. Sous le nom « You Don’t Own Me » du 29 janvier au 26 février !

    Cerise sur le gâteau, Cécile Guettier est la lauréate du prix Villa Noailles des révélations Emerige. Qui a été décerné à Toulon à l’occasion de l’exposition des révélations Emerige de 2021. 

    Cet épisode à été enregistré à la galerie BACKSLASH en présence de l'artiste et ses oeuvres.

    la galerie se situe au 29 rue Notre-Dame de Nazareth - Paris 03.

    Fondée en 2010, la galerie spécialisée dans l’art contemporain est dirigée par deux femmes :

    Delphine Guillaud Séverine de Volkovitch

    Ainsi, à travers un bel espace de 250m2, elles mettent en avant l’art des artistes qu’elles représentent et accompagnent. Tout en publiant des monographies en lien avec ces artistes par le biais de BACKSLASH éditions. 

    À travers cet épisode l'artiste nous parle de son parcours, son art, et aussi sur la 8eme édition du prix Emerige - Villa Noailles.

    Bonne écoute !

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    Mon invitée du jour est : Barbara Penhouët ! 

    Barbara Penhouët, est une artiste peintre, illustratrice, et architecte.

    Diplômée de l’école supérieure d’architecture de Rennes en 2013.

    De retour en France, elle vit entre Paris et Marseille, après avoir passé 5 ans à Berlin.

    À Berlin, elle s'est exercée au métier d’architecte sans mettre de côté sa passion : La peinture !

    C'est dans le cadre de sa première exposition personnelle « Rayon vert » que j'ai rencontré Barbara Penhouët.

    L'exposition, « Rayon vert » est à voir à la Galerie Laure Roynette du 06 janvier au 06 mars 2022.

    À travers ce Hors-Série sous forme d'interview, l'artiste nous parle de l'exposition, de son art, et son parcours. 

    Bonne écoute !

    ART au féminin.

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    Mon invitée du jour est : Cathy Weyders !

    Cathy Weyders, artiste plasticienne belge diplômée en 2004 de l’Ecole de recherche graphique (Erg) de Bruxelles, façonne le textile dans tous ses états. Ses œuvres témoignent des bouleversements climatiques actuels en explorant les notions de survie, de confort, de nature et de sauvetage. Il est question d’eau, souvent, de voyage, toujours.

    En montant à bord de ses installations et sculptures entourées de photographies et de tapisseries, vous êtes invités à naviguer à la recherche de personnages énigmatiques tantôt évoqués, tantôt figurés. 

    D’œuvres en œuvres, le rescapé accompagne le visiteur dans la découverte du répertoire polymorphe de Cathy Weyders.

    L’artiste présente une série de tapisseries – fruit d’improvisations libres – réalisées avec un mélange de matières originales : fibres synthétiques et naturelles, plastiques, rubans, laine et autres cordages… Sur celles-ci, des motifs mystérieux aux couleurs électriques s’imbriquent pour former un tout. Leur saturation produit de nouveaux camouflages, des personnages énigmatiques prennent vie et stimulent l’imagination de celui qui les observe.

    Cathy Weyders vous propose une immersion dans un univers poétique et haut en couleur, un moment de suspension durant lequel vous vous laisserez porter par Le Cri des Sirènes.

    Une exposition proposée dans le cadre du Contrat Local d’Education Artistique ; dispositif de sensibilisation à l’art et la culture mise en place par les villes de Roubaix et Tourcoing, la DRAC Haut-de-France, le Rectorat de l’Académie de Lille et la Direction des Services Départementaux de l’Education Nationale du Nord.

    L'exposition, Le cri des sirènes est à voir à la Manufacture de Roubaix, musée de la mémoire et de la création textile, du 05-02-2022 au 20-03-2022.

    À travers cet épisode, l'artiste nous parle de l'exposition, mais aussi de son parcours et les différents niveaux de lectures de son art.

    Bonne écoute !

    ART au féminin.

    Cathy Weyders

    La Manufacture de Roubaix 

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  • Bonjour et bienvenue !

    Je suis Aldjia, créatrice de ce podcast ! 

    Ici je vous parle de l’histoire et l’art des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    Je suis comme toujours heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode 100% art et 100% féminin.

    Aujourd’hui, je vais partager avec vous mes recherches sur une période de l’histoire que j’adore : La Renaissance !

    À travers cet épisode je vais donc vous parler de cette grande partie de l’histoire, la période du renouveau artistique, littéraire et scientifique. Grande période de l’histoire qui s’épanouit sur près de trois siècles. Symbole d’une révolution de la pensée et de tous les champs.

    Un épisode sur cette grande période de l’histoire, qui va servir d’introduction à la question :

    Les femmes ont-elles eu une Renaissance ?

    Bonne écoute !

    ART au féminin.

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  • 10 novembre 2021. Italie

    Me voici à la Campo della Carità, Venezia. Devant la jolie façade de la Gallerie dell’Accademia de Venise.

    Mon enthousiasme se traduit par le sourire aux lèvres, la hâte et la soif de découverte.

    Mon pass sanitaire, mon billet et mon téléphone en main. L’envie d’en prendre pleins les yeux, mélangé à la curiosité de connaitre le nombre de femmes artistes exposées au sein même de ce bâtiment de 1750.

    Un musée rassemblant une importante collection de peintures vénitiennes.

    A votre avis, combien de femmes artistes y sont exposées ?

    Vous écoutez Art au féminin !

    Bonjour et bienvenue !

    Je suis Aldjia créatrice de cette chaine de podcast. Ici je vous parle de l’art et l’histoire des femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui.

    Ce mercredi du 10 novembre, j’ai donc essayée de découvrir en parcourant ce musée d’une surface de 12 000 M2 et riche d’environ 800 objects.

    J’en ai recensé 2 ! Deux artistes vénitiennes ! Pour 5 oeuvres ! Si on s’amuse a faire le calcule en s’attardant sur le nombre d’objects vs les 5 oeuvres cela nous donne … 0,63% ! Moins d’1% ! Mais oui ! c’est bien ça !

    Ça vous surprend ?

    Visualisez maintenant l’odalisque de Ingres portant un masque de Gorille, l’odalisque revisité par les guérilla girls portant le slogan suivant :

    « Do women have to be naked into the Met. Museum ?

    Less than 5% of the artists in the Modern Art sections are women, but 85% of the nudes are female »

    « Les femmes doivent-elles être nues pour entrer au Met. Museum ?

    Moins de 5% des artistes dans les sections d'art moderne sont des femmes, mais 85% des nus sont des femmes »

    C’était en 1985

    Je disais donc … deux artistes vénitiennes,

    Pour commencer :

    Rosalba Carriera : avec 4 oeuvres

    Un autoportrait Un portrait du consul de France Le Blond Un portrait d’enfant Un portrait d’une jeune femme.

    Des pastels sur papier que je vous invite à visualiser sur le compte Instagram ART au féminin.

    Pour ce qui est de l’artiste, je vous parle de sa vie et son art à travers l’épisode 6 de la saison 1 : Les femmes admises à l’académie royale de peinture et de sculpture. Un épisode de 12 minutes que je vous invite à écouter. Et partager.

    Vous l’avez compris, je ne vais pas vous parler aujourd’hui de Rosalba et de ces 4 pastels. Mais plutôt de la seconde artiste : Giulia Lama !

    Une peinteresse, poétesse, brodeuse (par nécessité), qui connut une existence difficile et ce dans un grand isolement.

    Une artiste oubliée parmi tant d’autres, redécouverte il y a quelques années.

    Aujourd’hui, je vous parle de la vie et l’art de cette artiste et aussi de son oeuvre exposée à la Galerie Dell’Accademia de Venise : Judith et Holopherne.

    Vous êtes sur ART au féminin, et je vous souhaite une bonne écoute.

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  • Bien le bonjour à vous qui écoutez cet épisode.

    Je suis Aldjia, la créatrice de ART au féminin !

    Le podcast qui parle de l’histoire des femmes artistes, d’hier et d’aujourd’hui.

    Je suis comme toujours heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode 100% Art et 100% féminin.

    Aujourd’hui, à travers un monologue, je vais vous parler de Guda ! L’a connaissez-vous ? Fin ce que je veux dire par la c’est plutôt, avez-vous déjà entendue parler d’elle ?

    Personnellement, j’ai découvert Guda il y a peu de temps, à travers une vidéo, brève mais intéressante. Suffisamment interessante en tout cas pour piquer ma curiosité, effectuer des recherches pour en savoir davantage sur elle et bien sur … partager ça avec vous !

    Guda est une enlumineuse de manuscrit, active au milieu du XIIe siècle, elle est surtout connue pour avoir réalisé son autoportrait dans un homéliaire (un recueil constitués de sermon ou de commentaire de passages des évangiles).

    L’autoportrait de Guda est considéré comme étant l’un des plus anciens réalisés par une artiste dans l’histoire de l’art occidental.

    A travers cette épisode, je vais donc vous parler de Guda, de ce fameux autoportrait, d’enluminures, des femmes au Moyens Age, … mais avant tout revenir sur certaines notions de l’histoire de l’art, notamment la hiérarchie des genres en peintures.

    Vous écoutez ART au féminin !

    Et je vous souhaite une bonne écoute !

    Sources :

    Guda et Claricia : deux « autoportraits » féminins du XIIe siècle

    OVIDE, METAMORPHOSES, LIVRE III

    Des pigments bleus témoignent de l’existence de femmes copistes au Moyen Age

    Les coulisses de l'émission :

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