Avsnitt
-
Saknas det avsnitt?
-
Les articles partitifs s'utilisent pour exprimer une quantité qu'on ne peut pas compter:
Masculin : du > du pain, du fromage, du vin,du thin,du sucre.
FĂ©minin : de la > de la crĂšme, de la limonade, de la sauce,de la confiture.
Pluriel : des > des confitures, des gĂąteaux, des biscuits. -
Les aticles indéfinis: un(masculin singulier) une (féminin singulier) des (masculin et féminin pluriel)
1-Los artĂculos se emplean siempre con un sustantivo y lo acompaña en genero y nĂșmero y
no definen una cosa conocida y precisa
Un camion,un paysage,une table....des enfants... -
Les aticles définis le(masculin singulier) la (féminin singulier) les (masculin et féminin pluriel)
1-Los artĂculos se emplean siempre con un sustantivo y lo acompaña en genero y nĂșmero y definen una cosa conocida y Ășnica.
Le camion,le soleil,la tour Eiffel....les enfants... -
Le Corbeau et le Renard
Maßtre Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
MaĂźtre Renard, par lâodeur allĂ©chĂ©,
Lui tint Ă peu prĂšs ce langage :
« Hé ! bonjour, monsieur du Corbeau.
Que vous ĂȘtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte Ă votre plumage,
Vous ĂȘtes le phĂ©nix des hĂŽtes de ces bois. »
Ă ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard sâen saisit, et dit : « Mon bon monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dĂ©pens de celui qui lâĂ©coute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. »
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, quâon ne lây prendrait plus. -
La Cigale et la Fourmi
La Cigale, ayant chanté
Tout lâĂ©tĂ©,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prĂȘter
Quelque grain pour subsister
JusquâĂ la saison nouvelle
« Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant lâaoĂ»t, foi dâanimal,
IntĂ©rĂȘt et principal. »
La Fourmi nâest pas prĂȘteuse ;
Câest lĂ son moindre dĂ©faut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle Ă cette emprunteuse.
â Nuit et jour Ă tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
â Vous chantiez ? Jâen suis fort aise :
Eh bien ! Dansez maintenant ! » -
Le futur proche
verbe aller+ verbo infinitivo
je vais manger.nous allons boire un verre..... -
Les pronoms toniques sont :
moi.toi,lui,elle,nous,vous,eux,elles.
Usos :
Antes de un pronombre sujeto :Moi, je suis suisse !
Con ni y et : Eux et les enfants partent en vacances.Ni lui ni elle le savent !
Con c'est : C'est nous les responsables ! -
la tête/les cheveux/les oreilles/l'oreille/les yeux/un oeil/le nez/le front/la bouche/les sourcils/les cils/les dents/la joue/le menton/le cou/la gorge/la langue/les épaules/la poitrine/les seins/le bras le coude/la main/les doigts/l'ongle/le ventre/l'estomac/le nombril/le dos/le derriére/la jambe/le genou/la cheville/le pied/les doigts de pied.
-
Le terme de « chaos » nâest pas un vain mot pour dĂ©finir la situation qui rĂšgne autour de lâaĂ©roport de Kaboul, derniĂšre enclave contrĂŽlĂ©e par des forces Ă©trangĂšres en Afghanistan, alors que des milliers dâAfghans tentent dây pĂ©nĂ©trer pour fuir le nouveau rĂ©gime taliban.
QualifiĂ©e, vendredi 20 aoĂ»t, par le prĂ©sident amĂ©ricain, Joe Biden, de « lâune des opĂ©rations les plus difficiles » de lâhistoire des Etats-Unis, elle met Ă rude Ă©preuve les caractĂšres les plus solides et lâissue de vingt ans de prĂ©sence occidentale dans le pays.
Le Monde a pu contacter des sources militaires et policiĂšres prĂ©sentes dans lâenceinte mĂȘme de lâaĂ©roport de Kaboul assiĂ©gĂ© par des dizaines de milliers dâAfghanes, dâAfghans, souvent venus avec leurs enfants, dans lâespoir de franchir les hauts murs de protection et les deux ou trois rangĂ©es de barbelĂ©s.
ChargĂ©s de sĂ©curiser lâenceinte de lâaĂ©roport, les 6 000 marines amĂ©ricains et les centaines de SAS britanniques et de soldats français du commandement des opĂ©rations spĂ©ciales (COS) ne veillent pas seulement Ă ce que les avions puissent atterrir et dĂ©coller. Des blindĂ©s anglo-saxons ont Ă©tĂ© postĂ©s contre les portes des trois principaux accĂšs Ă lâaĂ©roport afin quâelles ne soient pas enfoncĂ©es par la foule. Par ailleurs, ils sont, chaque jour, missionnĂ©s par leur gouvernement respectif et les ambassadeurs encore sur place, pour tenter dâaller chercher des aspirants au dĂ©part bloquĂ©s de lâautre cĂŽtĂ© des murs dâenceinte.
« Un défi épineux »
Les scĂšnes les plus dramatiques se dĂ©roulent souvent lors de ces tentatives de rĂ©cupĂ©ration. Car les soldats ne peuvent pas sortir de lâaĂ©roport, zone sous contrĂŽle taliban. Ils aperçoivent souvent, derriĂšre la foule agglutinĂ©e, Ă quelques dizaines de mĂštres, les personnes quâils sont supposĂ©s rĂ©cupĂ©rer.
Ce fut le cas, vendredi, pour le groupe de vingt-cinq Afghans, recommandĂ©s par BenoĂźt Hamon, lâancien candidat Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle française, que les membres du COS et les policiers français du RAID nâont pas pu atteindre alors quâils se trouvaient à « vingt-cinq mĂštres », selon le rĂ©cit dâun tĂ©moin direct. Au mĂȘme moment, ils pouvaient voir une femme lancer son bĂ©bĂ© sur les barbelĂ©s dans lâespoir quâil soit sauvĂ© par les soldats et quâelle soit admise Ă le rejoindre.
Câest lâun des paradoxes de cette opĂ©ration, a insistĂ©, vendredi, le chef de lâAlliance atlantique (OTAN), Jens Stoltenberg : « Nous avons davantage dâavions que de passagers, car câest un dĂ©fi de plus en plus Ă©pineux de permettre Ă ces personnes dâarriver jusque dans lâaĂ©roport. »
DâoĂč la solution provisoire et ponctuelle trouvĂ©e, samedi, de rassembler les gens dans dâautres points de la capitale et dâaller les chercher en hĂ©licoptĂšre. DâaprĂšs une source amĂ©ricaine issue de la communautĂ© du renseignement, les talibans ne quadrillent pas les abords de lâaĂ©roport conformĂ©ment Ă leur engagement auprĂšs de Washington afin de ne pas interfĂ©rer dans lâopĂ©ration en cours.
NĂ©anmoins, les nouveaux maĂźtres du pays apprĂ©cient peu la prolongation de ces Ă©vacuations. Vendredi, en dĂ©placement Ă Khost (est), lâun des poids lourds du rĂ©gime, Anas Haqqani, a ainsi dĂ©clarĂ© que « les personnes qui se pressent Ă lâaĂ©roport de Kaboul pour fuir sont une insulte faite au pays ».
Des combattants talibans patrouillent et ont installĂ© des checkpoints Ă certains endroits clĂ©s. Ils vĂ©rifient, de maniĂšre alĂ©atoire, les identitĂ©s des hommes. Selon le renseignement amĂ©ricain, ils privent beaucoup dâentre eux de leur passeport, mĂȘme Ă©trangers, Ă lâexception des Occidentaux, ils en enrĂŽlent de force dâautres et passent Ă tabac les plus rĂ©calcitrants.
Des rafales dâarmes automatiques sont entendues Ă lâextĂ©rieur et Ă lâintĂ©rieur de lâaĂ©roport ; il sâagit souvent de tirs de sommation, mesures expĂ©ditives contre des personnes jugĂ©es incontrĂŽlables ou dangereuses, situĂ©es de part et dâautre de lâenceinte.
« Kill lists »......
Alors que la situation chaotique autour de lâaĂ©roport focalise lâattention, le mĂȘme renseignement amĂ©ricain a transmis Ă ses alliĂ©s sur place des notes rĂ©vĂ©lant que les talibans traquent, dans le mĂȘme temps, dans la ville, des Afghans ayant travaillĂ© pour lâOTAN. De nombreuses perquisitions auraient dĂ©jĂ eu lieu sous couvert de collecte dâarmes dans les domiciles privĂ©s dans la capitale. Mais ils disposeraient Ă©galement de kill lists (« liste de personnes Ă Ă©liminer »), sur lesquelles certains noms auraient dĂ©jĂ Ă©tĂ© rayĂ©s.
Enfin, plus surprenant, ces Ă©lĂ©ments dâinformation indiquent que des combats auraient eu lieu entre des groupes talibans au sein mĂȘme de Kaboul. « Il pourrait sâagir, explique un diplomate occidental, prĂ©sent dans lâaĂ©roport et joint par Le Monde, dâaffrontements liĂ©s Ă des pillages, mais aussi Ă des rivalitĂ©s internes laissant penser que la course au pouvoir a dĂ©jĂ dĂ©butĂ© au sein du mouvement taliban. »
Le nouveau rĂ©gime est aujourdâhui concentrĂ© sur la formation dâun gouvernement transitoire et la mise en place dâinstitutions pour remettre le pays en marche. Quand ce travail sera accompli, dans les prochains jours, ont-ils annoncĂ©, lâopĂ©ration dâĂ©vacuation risque de devoir prendre fin.
En prĂ©vision de cette issue, le ministre russe des affaires Ă©trangĂšres, SergueĂŻ Lavrov, sans doute plus inquiet quâil ne lâavait laissĂ© paraĂźtre depuis la chute de Kaboul, le 15 aoĂ»t, a demandĂ©, vendredi, Ă lâOTAN, selon nos informations, des crĂ©neaux de vols pour que la Russie mĂšne ses propres Ă©vacuations. - Visa fler