Avsnitt

  • 👟Le #sport rassemble, que ce soit en bas d’un immeuble, dans une salle de sport ou dans un stade, nous nous réunissons pour assister ou effectuer des prouesses physiques.

    Le sport est censé être accessible à tout le monde. Si certaines activités nécessitent un matériel coûteux, la plupart des sports sont gratuits ou presque. Dès lors qu’ils sont organisés en #compétition, ils deviennent un moment #spectaculaire mêlant politique, argent et pouvoir.

    🏅Comme de nombreuses activités sociales, le sport est soumis à des normes. Que ce soit la participation, l’organisation ou les règles du jeu en lui-même, tout est codifié. Est ce que ces règles sont équitables ? Qui, aujourd’hui, peut participer aux compétitions et pourquoi ? Ces problématiques concernent-elles seulement le sport de haut niveau ?

    🎧Reflets d'un autre monde est une fiction sonore, n'hésitez pas à porter un casque pour une écoute idéale.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 👛Avec la pandémie du covid, on a eu l’impression que les étudiant·es étaient subitement devenu·es pauvres. Pourtant le virus n’a fait que mettre en lumière la situation dans laquelle de nombreux·ses étudiant·es sont aujourd’hui. On dit d’ailleurs que nous sommes précaires, mais qu’est ce que ce mot veut dire ? Est ce juste un synonyme de pauvre ? Est ce que la précarité est uniquement liée à l’argent ?

    👩‍🎓Nous avons demandé à Diana, étudiante tout juste diplômée qui nous livre la rétrospective de ses années à l'université. Pour élargir notre regard sur la situation actuelle, nous avons questionné deux sociologues : Marie Clémence Le Pape, spécialiste des aides familiales et Elise Tenret, chargée de mission à l’Observatoire Nationale de la vie étudiante.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Saknas det avsnitt?

    Klicka här för att uppdatera flödet manuellt.

  • 😨Le stress ou l’anxiété, tout le monde en ressent. C’est un continuum, et chaque individu se place sur ce spectre. Lorsque cela devient trop envahissant et que nos émotions nous empêchent d’agir, on parle de troubles anxieux. Pour celles et ceux qui se situent à l’extrême de ce spectre, souffrir de ces troubles n’est pas une impasse. Des solutions thérapeutiques existent, les troubles ne sont pas inéluctables.

    🙆‍♀️Emma, étudiante en première année à l’université, nous raconte comment elle a été diagnostiquée et la manière dont elle gère au quotidien ses troubles.

    👨‍⚕️Le professeur et psychiatre Nicolas Franck nous parle des origines de ces troubles et des manières d’accompagner les individus en souffrance.

    📓Si vous étudiez à l’université Lyon 1 et que vous souhaitez bénéficier d’une salle en petit comité, vous pouvez en faire la demande. Nous vous conseillons de vérifier avec la mission handicap si cela est possible pour votre formation.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 👩‍🎓Faire une thèse est l’ultime étape de l’enseignement supérieur, quand on commence une thèse, on s’engage pendant plusieurs années auprès d’un laboratoire pour participer à la recherche scientifique. Même si l’image commune de la recherche est un travail collaboratif, enrichissant, passionnant, la réalité nous montre l’inverse. Milieu compétitif et violent, l’enseignement supérieur n’est pas toujours un contexte de travail bienveillant.

    ⛔ Pour participer à la construction de meilleures conditions d’études et briser le silence face aux violences, nous allons à la rencontre d’Alicia, doctorante en physique qui nous parle de son vécu de doctorante et de Camille, membre du collectif CLASHES (Collectif de lutte contre le harcèlement sexuel dans l’enseignement supérieur) qui revient sur le contexte de thèse et les différentes violences inhérentes au milieu.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 🆘 Les #transphobies dans le milieu #médical prennent plusieurs formes. Du manque de cours sur le sujet aux #discriminations en passant par les blagues déplacées, les #transidentités souffrent encore d’une forte stigmatisation partout dans notre société. Le secteur de la santé ne fait pas exception.

    🩺 La question de l’accueil de la patientèle trans questionne le fonctionnement de l’institution médicale au niveau de la caractérisation des transidentités.

    💬 Aujourd’hui nous écoutons Charlie, étudiant en médecine et Maxence, membre de l’association le café des transidentités, qui nous parlent de la question trans en médecine et de pourquoi l’accueil de la patientèle pose toujours problème.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 🧕 Porter le Hijab en France est un dilemme. Le foulard, qui paraît anodin aux yeux d’une majorité, pose un problème pour une minorité. Entre laïcité et émancipation des femmes, le foulard est considéré responsable de nombreux maux

    Pourtant, les premières personnes victimes de ces stigmatisations sont les femmes qui le portent. Apprendre à connaître ces femmes est le premier pas pour déconstruire nos préjugés.

    🎧 Aujourd’hui nous rencontrons S, étudiante en master à Lyon et Foued Nasri, chercheur en sciences politiques et attaché de recherches au centre Max Weber.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • ❓Est ce que vous vous êtes déjà demandé ce qui faisait de vous un homme ou une femme ? Pour beaucoup, cette question binaire ne reflète pas la richesse de nos identités.

    🏳️‍🌈Personnes Queer et LGBTQIA+ ne se reconnaissent pas dans la norme binaire hétéronormative.

    Mais qu’est ce qu’être queer ? Quelles répercussions cela peut avoir sur nos vies quand on est queer ?

    🚪Quand exister en marge de la norme rime encore avec violences et discriminations, ne rien dire ou se cacher restent trop fréquemment une réalité.

    💬 Eugénie et Al Caudron nous apportent leur ressenti et leur expertise sur la question qu’iels connaissent très bien.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 📝Les études faites sur le logement étudiant sont unanimes : l’habitat reste le principal pôle de dépense pour les étudiant.es. Cette tension sur le marché a des répercussions très profondes sur la vie étudiante allant jusqu’à déterminer le lieu d’études. Pour les français.es comme pour les étranger.ères, trouver un logement décent à un prix abordable est devenu une mission coûteuse en temps et en énergie et qui aboutit parfois à un échec.

    🙎‍♀️Le logement cristallise les inégalités sociales, être étudiante étrangère comme l’est Zahra le démontre. Étudiante iranienne venue en France pour des études supérieures, elle s’est battue pour obtenir son diplôme. Cette bataille, comme tous les combats, n’est pas sans cicatrice…
    👱‍♂️Loïc Bonneval, chercheur au centre Max Weber sur les acteurs et actrices du marché du logement, revient sur cette tension, comment est elle apparue ? Quel impact a-t-elle sur le rapport de force entre locataires et propriétaires ? Quels sont les privilèges révélateurs de l’état du marché ? Est ce que le système d’aides fonctionne correctement ?


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 🎭 “Minorité modèle”, humour douteux, compliments déguisés, le racisme anti asiatiques porte de nombreux masques souvent invisibles.

    Problème aux racines profondes, le phénomène a pris de l’ampleur et de la visibilité pendant la pandémie du covid. La jeunesse française d’origine asiatique s’élève contre une identité étriquée, fabriquée, alimentée par des préjugés racistes.

    🚶‍♀️So, étudiante sud-coréenne, nous raconte son vécu de femme asiatique en France, au croisement du sexisme et du racisme.

    Pour nous aider à comprendre ce phénomène, Liem Khê Luguern et Amel M’Harzi, socio-historiennes, reviennent sur les notions de stéréotypes et de racisme ainsi qu’une partie de l’histoire de l’immigration sud asiatique.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 📓 Une personne porteuse du trouble dévelopemmental de la coordination. (mieux connu sous l'appellation parapluie de trouble dys) en études de médecine ? Certains prédiront un échec. Pourtant, avec des aménagements, de la considération et des encouragements, rien n’est impossible pour les personnes multidys ou présentant un trouble dédicit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

    🔎 Du diagnostic à la réussite scolaire, le parcours de ces individus peut vite être semé d’embûches. Discriminations, harcèlement scolaire, découragement, piètre estime de soi… La méconnaissance du sujet et les associations négatives qui y sont faites (fainéantise, désintérêt) fragilisent les enfants qui en sont porteurs, entravent le diagnostic des troubles et ralentit la prise en charge et les adaptations nécessaires tout au long de la scolarité et de l'université, après reconnaissance du handicap par la MDPH (Maison Départementale pour les Personnes Handicapées).

    👩‍⚕️ Marie est étudiante en 3e année de médecine et elle est ici pour nous raconter son parcours de combattante et sa réussite scolaire. Personne multydis et présentant un TDAH, elle a transformé sa différence en force là où beaucoup y voyaient une déficience.

    👩‍🏫 Nicole Bouin, professeure à la retraite, diplômée en psychologie cognitive et formatrice au sein de l’association atoutdys, nous éclaire sur le spectre des troubles dys et les difficultés que ces individus rencontrent au cours de leur scolarité mais aussi leurs forces, méconnues et sous estimées…

    Ressources et liens sur notre site : https://egalite-diversite.univ-lyon1.fr/2023/04/04/amphi25s3ep1/


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Amphi 25 saison 3 : viens, on t'emmène !

    Je suis Jane, je travaille pour la mission égalité-diversité de Lyon 1 et tous les jours, dans le tram j’observe les gens, leurs questionnements et leurs inquiétudes :
    j’aurais dû mettre le mauve, le rouge ça se voit trop
    J’espère que le prof va pas faire de remarque sur mon foulard
    C’est ouvert l’épicerie solidaire aujourd’hui ?
    Demain je vais témoigner, c’est promis
    Oh non y a encore qu’un seul plat végé à la cantine
    je vais arriver en retard c’est sûr
    je vais encore devoir tout leur expliquer
    C’est rien je vais survivre de toute façon je pas le temps de m’en occuper faut que je bosse
    Je mettrai bien du rouge à lèvres et une robe aujourd’hui
    Mais qu’est ce que je peux y faire !
    Ce n’est pas normal que je ressente de la honte, ce n’est pas moi le problème
    Comment je vais faire pour boucler ma fin de mois ?

    On est face aux autres, dans un espace clos, où l’on se touche presque sans se voir. On est lié·es par nos insécurités. Malgré ces vécus en commun, le jugement des autres nous pèse et perdure…

    Prochaine station : Amphi 25
    L’amphi 25, c’est un espace d’écoute bienveillant et sécurisant, quand j’arrive, je sens que je peux être moi-même, que chacun·e peut s’exprimer librement. Dans ce lieu utopique, on a l’occasion de se rencontrer, de se découvrir, comme nulle part ailleurs. On parle diversité, égalité et discriminations.


    Entre deux cours, on se rencontre, on se raconte nos vies, nos différences, ce qui nous lie, les épreuves surmontées et les leçons retenues. Pour cette saison 3, des chercheuses, des chercheurs et des personnes qui travaillent sur le terrain viendront nous parler des inégalités qui nous façonnent et parfois nous dépassent le tout entrecroisé de témoignages et de vécus.

    Je vous invite vous aussi dans l’Amphi 25, tous les 15 jours à partir du 4 Avril sur vos plateformes de podcast préférées.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • 🖼 Le cargo coincé dans le canal de suez, le grumpy cat, Keanu Reeves, the math lady, le petit ami distrait, le doge….

    Est-ce que ces images vous semblent familières ? Vous en avez sûrement déjà croisé au détour de quelques clics sur internet. Ce sont des mèmes. Ces légendes d’internet sont drôles, sarcastiques, inspirées. Et si elles étaient plus que ça ?

    🧑🏻‍🔬Dans cet épisode bonus, Taïmé – qui a réalisé la saison 2 d'Amphi 25 dans le cadre de son alternance de Master à la Mission Égalité-Diversité de l'Université – raconte sa recherche produite pour son mémoire. Elle nous parle des Mèmes, qu'elle a étudiés, et de leur utilité informative et pédagogique sur des sujets de société, en l’occurrence les mèmes féministes, queer et LGBTQIA+ qu'elle caractérise comme outil médiatique de militantisme.

    🤳 💪“Je fais pas de sport, je fais des mèmes.”. Sur son compte @lobbygouine, Clèm, une "mèmeuse", crée des mèmes féministes et LGBTQIA+. Elle nous explique son processus créatif, éditorial, et ce que son travail lui a apporté.

    ❣️ Bonne écoute, merci pour votre fidélité tout au long de cette saison 2 !

    📚 Lien du mémoire ici : "http://egalite-diversite.univ-lyon1.fr/files/2022/09/PACALON_MEME_MEMOIRE.pdf"


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Buter sur un mot, avoir les mains moites, se répéter, reprendre sa phrase, une, deux, trois fois, c’est un sentiment que toutes personnes a connu lors d’un passage à l’oral. Mais pour les personnes bègues, c’est un quotidien qui génère fatigue psychique, sentiment d’être incompris, honte…

    Cilia est étudiante en master didactique des sciences à Lyon 1, et fervente militante pour l’inclusion des personnes bègues. Elle nous parle de son parcours, de ses difficultés et de ses aspirations.

    Juliette DeChassey, orthoponiste et spécialiste des troubles de la fluence nous explique le bégaiement à la lumière des dernières recherches scientifiques.

    Vincent Valdelièvre est délégué régional de l’association Parole Bégaiement. En tant que personne bègue, il nous parle de l’importance des espaces de paroles quand on bégaie, avec l’exemple de concours d’éloquence de l’association.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Bisexualité, pansexualité, polysexualité…

    Beaucoup de termes émergents et encore peu expliqués suscitant l’interrogation, voire le rejet . Ce qui rapproche ces définitions est le fait de ne pas être une monosexualité, contrairement à l’homosexualité ou l’hétérosexualité. Ces orientations sexuelles spécifiques produisent également des discriminations spécifiques.

    Laurianne, partage son expérience de l’exploration de sa sexualité à travers les jeux vidéo.

    Catherine Deschamps, anthropologue, autrice du Miroir bisexuel, nous explique les origines de la bi/panphobie. En cause ? Notre mode de pensée binaire. Elle lie directement ces discriminations aux dynamiques de genre.

    Richard de SOS Homophobie, fait partie de la cellule biphobie et panphobie de l’association. ll nous parle de ses actions d’interventions en milieu scolaire et des impacts de la stigmatisation de la bi/pansexualité.

    Bonne écoute !


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Amphi 25 Saison 2 épisode 7: Moustache et nail art : le genre et son expression

    Vous êtes vous déjà posé la question de ce qui montre votre genre ? Cheveux, vêtements, langage corporel, voix… Dans cet épisode, on vous propose une introspection dans ce langage particulier qu’est l’expression de genre.

    Léo, étudiant·e en sport à Lyon 1, aborde son rapport au genre et à son expression à travers son expérience du sport.

    Stéphanie Kunert, chercheuse en science de l’information et de la communication, nous explique le concept de genre, et nous parle normes de genre et langage grâce à la sémiologie, la science qui étudie les signes.

    Enfin, le Conteur sans histoire renverse les normes de genre et nous parle des différentes figures du drag.

    Glossaire (définitions du petit robert):

    Personne cisgenre

    Concerne une personne dont l'identité de genre correspond au sexe biologique qui lui a été assigné à la naissance

    Personne non binaire

    Personnes dont l'identité de genre se situe en dehors du modèle de genre binaire homme ou femme.

    Personne transgenre

    Personne dont le genre ne correspond pas au sexe biologique qui lui a été assigné à la naissance

    Queer

    Personne dont l'orientation sexuelle ou l'identité de genre ne correspond pas aux modèles dominants.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • ⚠️ Trigger Warning : cet épisode mentionne les questions de suicide et santé mentale

    Une période stressante, le mémoire à rendre et la peur de l’avenir qui s’additionnent…

    Dans cet épisode, on parle de santé mentale. Nous verrons comment la question de genre a un lien avec la psychophobie. En effet, les représentations masculines ne permettent pas l’expression des émotions par peur du jugement : la supposée faiblesse remettrait en cause la masculinité.

    La conséquence ? Les hommes ont moins souvent recours aux professionnel·les de la santé mentale.

    Cet épisode participe également à déconstruire les stéréotypes associés aux personnes souffrant de problèmes de santé mentale.

    Roland, notre témoin, fait le récit de son expérience d’un épisode dépressif qu’il a traversé et partage tout ce qui lui a permis de se reconstruire.

    Yannick Gansel, psychiatre et anthropologue, spécialiste de la vulnérabilité chez les adolescents et adolescentes, nous explique les rapports entre genre et santé mentale et comment la précarité ou la discrimination aggravent ces problèmes.

    Anne-Laure Krikorian, psychologue au SSU, Service de Santé Universitaire, nous fait part de ses observations issues du contact direct avec les étudiant.es. Avec elle, nous (re)découvrons les ressources disponibles au SSU, très impliqué dans la prévention et le suivi en santé mentale chez les étudiant·es

    Bonne écoute !


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Cette version de l'épisode 5 est allégée, c'est à dire qu'elle est sans musiques et bruitages. Elle offre ainsi une écoute plus sereine aux personnes avec une hypersensibilité auditive.

    Sheldon Cooper de The Big Bang Theory. Sam Gardner de Atypical. Forest Gump, du film éponyme. Ces représentations médiatiques construisent l’image que nous avons des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme. Cependant, nous verrons que ces représentations véhiculent des stéréotypes persistants qui conduisent à de la désinformation.

    Manque de représentation. Stéréotypes. Discriminations à l’intersection avec d’autres : le trouble du spectre autistique regroupe plusieurs problématiques dont nous allons traiter dans cet épisode.

    Juliette, étudiante en licence 3 de physiologie à Lyon 1, aborde avec humour ce qu’il faut dire ou ne pas dire à une personne autiste, et nous parle de son rapport très personnel au TSA (trouble du spectre de l’autisme).

    Guilhem Bonazzi, médecin psychiatre, spécialiste des troubles du neuro-développement déconstruit les stéréotypes de “l’autiste savant ou violent” en démystifiant le TSA.

    Enfin, Romain Tabone du ZEST, Zone d’expression contre la stigmatisation, nous parle des dispositifs de l’association et insiste sur l’importance de la rencontre pour déstigmatiser le TSA.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Sheldon Cooper de The Big Bang Theory. Sam Gardner de Atypical. Forest Gump, du film éponyme. Ces représentations médiatiques construisent l’image que nous avons des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme. Cependant, nous verrons que ces représentations véhiculent des stéréotypes persistants qui conduisent à de la désinformation.

    Manque de représentation. Stéréotypes. Discriminations à l’intersection avec d’autres : le trouble du spectre autistique regroupe plusieurs problématiques dont nous allons traiter dans cet épisode.

    Juliette, étudiante en licence 3 de physiologie à Lyon 1, aborde avec humour ce qu’il faut dire ou ne pas dire à une personne autiste, et nous parle de son rapport très personnel au TSA (trouble du spectre de l’autisme).

    Guilhem Bonazzi, médecin psychiatre, spécialiste des troubles du neuro-développement déconstruit les stéréotypes de “l’autiste savant ou violent” en démystifiant le TSA.

    Enfin, Romain Tabone du ZEST, Zone d’expression contre la stigmatisation, nous parle des dispositifs de l’association et insiste sur l’importance de la rencontre pour déstigmatiser le TSA.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • Après avoir fait l’état des lieux des études de santé et des stéréotypes qu’elles peuvent véhiculer, on s’intéresse à la pratique de la médecine elle-même. À travers l’exemple des violences gynécologiques et obstétricales et en partant de l’angle des professionnel·les de santé, il s’agit de comprendre la violence médicale.

    Laura nous parle de son expérience des maltraitances gynécologiques et obstétricales en tant qu’étudiante sage-femme, et sa difficulté, en tant que soignante, à en être témoin.

    Les rapports de domination passent, entre autres, par le toucher. Anaïs Choulet, doctorante en philosophie s’intéresse aux enjeux de pouvoirs dans la relation de soin à travers ce prisme.

    Enfin, Edouard Leaune, médecin psychiatre à l'Hôpital du Vinatier, nous parlera de "responsabilité sociale", cours qu'il dispense à la faculté de médecine. Il apportera des pistes et des solutions concrètes pour en finir avec les violences médicales.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

  • L’OMS, organisation mondiale de la santé, place l’accès aux soins et à la santé comme un des droits fondamentaux de l’Homme. Or, l’enseignement de la médecine reste encore très excluant pour les femmes et les minorités. Dans cet épisode, on va chercher à comprendre pourquoi à travers un regard historique.

    Nous questionnerons la notion de savoirs médicaux ou comme le dit Muriel Salle : "l'envers de la broderie". Qui produit ces savoirs ? Comment sont-ils construits ? Qu'entend on
    par "savoirs situés" ?

    Pour en discuter on rencontre Honorin qui nous parle de sa vision des cours en santé et de la manière dont ils pourraient être beaucoup plus inclusifs.

    Ensuite, on échange avec Muriel Salle, historienne, maîtresse de conférences à l'Université Claude Bernard Lyon 1 et à l'IEP de Lyon. Elle nous explique, entre autres, la notion de savoirs situés afin de pouvoir questionner les savoirs médicaux et permettre une meilleure écoute de tous et toutes les patientes.

    Enfin on retrouve l'association étudiante Clit (Collectif Libre et Inclusif pour Tous·tes) qui œuvre au quotidien pour ouvrir les regards étudiants et les études de médecine aux questions d'inclusivité.


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.