Avsnitt
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Détresse psychologique, découragement et départ
Au Mesnil-Amelot, le suivi médical et psychiatrique est pratiquement absent pour accompagner les retenus. Confrontées à la détresse psychologique et aux suicides de plusieurs personnes retenues, qui manquent souvent cruellement de soin, Sonia et Manon perdent espoir. L’impuissance est à la hauteur de leur découragement. Tiraillées entre un sentiment d’échec et leur volonté de poursuivre le combat, elles décident de quitter définitivement le Centre de rétention : c’est là leur dernier recours.
Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Dernier recours
Juristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.
Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.
Remerciements :
Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. -
Au cœur de la violence (policière)
Face aux violences policières qui sévissent dans le Centre de rétention administrative, Manon et Sonia se sentent démunies et impuissantes. Terrorisées, peu de personnes retenues osent porter plainte, alors même que la violence se développe entre elles. Leurs témoignages, mêlés à ceux des deux juristes, font le portrait d’un système où règnent l’humiliation et le déferlement de violence. Et les évolutions politiques ne font qu’aggraver la situation…
Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Dernier recours
Juristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.
Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.
Remerciements :
Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. -
Saknas det avsnitt?
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Anatomie d’un système vicié
Situé à proximité de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot accueille 240 personnes étrangères menacées d’expulsion. Sonia et Manon, juristes à la Cimade, nous entraînent dans leur quotidien à leur côté dans cette « cage ».
Face à des politiques toujours plus répressives, à des conditions de rétention dramatiques et au désespoir des retenus, leur marge de manœuvre est devenue quasi inexistante. Se pose alors la question d’abandonner leurs postes, pour ne plus servir de caution à un système défaillant gangréné par l’injustice…
Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Dernier recours
Juristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.
Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.
Remerciements :
Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. -
Est-ce que le commerce, c’est la paix ?
Mehdi et Thomas se penchent sur des questions agro-alimentaires. Ils comprennent vite que le commerce du halal bat son plein, indépendamment des déchirements qui marquent le Moyen-Orient. Dans la street food ou la viande de luxe, le marché halal progresse avec des certifications peu claires. Le label « kashalal » des deux amis doit ainsi trouver sa place et son discours dans un environnement tourmenté, d'autant que leur concurrent à plusieurs longueurs d'avance… Mais au fait, qui a besoin d’eux ?
Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Kashalal
Entre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants.
Avec
Anatole Jacot, juriste à l'INPI ; Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue ; Haim Bendao, rabbin de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille ; Joseph Melloul, entrepreneur ; Khalil Merroun, recteur de la mosquée d'Evry ; Mohamed Hocine Benkheira, anthropologue ; Slim Loumi, boucher ; un représentant de la société Twilson. -
Cachez ce sang que je ne saurais voir !
Il est temps de rentrer dans le vif du sujet. Avant de pouvoir déposer le label de leur viande unificatrice, Mehdi et Thomas commencent à se renseigner auprès d’abattoirs, mais tout s’avère compliqué. De plus, un sacrificateur, une vétérinaire, deux anthropologues et un rabbin ont des discours aux antipodes sur la souffrance animale et sur la dimension religieuse de l'abattage. Les deux amis ne sont pas vraiment au bout de leurs peines : la viande kasher doit en plus être transformée par le sel ou le feu, et se limiter à l'avant de l'animal en souvenir du patriarche Jacob. Tout concourt à l'échec, l’arrivée imprévue de la concurrence n’est pas sans compliquer les choses…
Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Kashalal
Entre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants.
Avec
Abdelllatif Bidar, sacrificateur ; Alaa Gafouri, ingénieur agronome ; Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue ; Haim Bendao, rabbin de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille ; Martine Vannetzel, vétérinaire ; Michel Gugenheim, grand rabbin de Paris ; Michel Sarfati, rabbin et président de l'AJMF ; Mohamed Hocine Benkheira, anthropologue ; fidèles de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille. -
Ouvrir des portes
Mehdi et Thomas commencent leur aventure de réunion des juifs et musulmans. Première étape : comprendre ce qu’est le kasher et le halal. Et ce n’est pas une mince affaire. Qu’est-il autorisé, qu’est-il interdit, et pourquoi ?
Les deux amis dressent la table de leurs interrogations : pour faire une viande à la fois kasher et halal, pour réunir ceux qui, contrairement à eux, s'obligent à la pratique, ils rencontrent un rabbin marseillais, un anthropologue spécialiste de droit musulman, des clients et des consommateurs. Bilan : le halal paraît simple mais surinterprété et le kasher si compliqué qu'on choisit parfois de suivre les prescriptions sans se poser de questions. Il faut aussi trouver un agneau pour la mise en pratique, mais qui tiendra le couteau ?Kashalal
Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Entre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants. -
Après le travail, la retraite
Après toutes ses missions, Karl songe désormais à quitter l’intérim du crime et reconstruire sa vie. Entre la tentation de l’argent facile et la perspective d’un avenir plus sûr, il doit maintenant trouver sa voie. Mais rompre avec ce passé s’avère plus compliqué qu’il ne l’imaginait…
Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
L'intérim du crime
Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.
Remerciements
Merci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. -
La balance bénéfice-risque
Toutes les missions ne se valent pas. Maintenant indépendant, Karl raconte comment braquer une supérette et en dissèque chaque étape, du repérage méticuleux à l’exécution sous tension. Mais sans un réseau solide pour couvrir ses arrières, l’addition risque de se payer au prix fort….
Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
L'intérim du crime
Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.
Remerciements
Merci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. -
Arnaquer c’est cuisiner.
Fini la drogue, fini la prison : pour arrondir ses fins de mois, Karl décide de s’émanciper des grands du métier et se lance en indépendant. Seul chez lui, il devient brouteur, multiplie les arnaques amoureuses en ligne à coups de faux comptes et enroule des hommes mariés. Toute cette cuisine, il la fait sans regret : les remords, c’est pour d’autres enroules plus graves…
L'intérim du crime
Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.
Remerciements
Merci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. -
Mission : trouver son patron
Karl découvre petit à petit la puissance d’un réseau lorsqu’il rencontre son premier « grand ». Ses premières missions, c’est d’envoyer des colis en prison : une opération risquée et régie par des règles strictes. Management, risques, pression : entre l’adrénaline, l’emprise des grands et le poids de la hiérarchie, c’est tout un monde qui s’ouvre à lui…
Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
L'intérim du crime
Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.
Remerciements
Merci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. -
Les débuts de l’intérim
Karl est une petite main du crime belge. Plongé dans l’univers clandestin des rave parties belges, il fait ses premiers pas dans l’intérim du crime dans des trains. Au fil de ses premières combines qu’il appelle « enroules », il détaille l’organisation clandestine de ce marché illégal du travail, à la fois précaire, hiérarchique et tentaculaire.
Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
L'intérim du crime
Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine. -
Les murmures de l'adaptation
Les oiseaux des villes chantent plus fort que les oiseaux des champs. Pour couvrir le bruit du trafic, le merle noir ou la mésange charbonnière augmentent le volume de leurs communications. Les stratégies du vivant sont multiples, pour tenter de survivre en anthropocène. Avec l’augmentation des températures, des arbres comme le charme ou le châtaignier montent en altitude. Certaines espèces d’insectes, amphibiens et oiseaux déménagent aussi. Mais l’adaptation n’est pas toujours possible. Résultat, un appauvrissement et une homogénéisation des paysages sonores.
Avec :
- Olivier Pichard, responsable d’études au Cerema
- Marc Namblard, audio-naturaliste
Le chant de l'extinction
Quel est le son de l’extinction ? Que fait la crise du vivant à nos paysages sonores ? Disparition de milliers de chants d’oiseaux, triomphe du bruit de nos machines sur les communications animales, impact du dérèglement climatique sur le comportement des espèces… Sans que l’on s’en aperçoive, l’anthropocène modifie profondément et irrémédiablement nos mondes sonores. Bio-acousticiens, éco-acousticiens et audio-naturalistes captent jour après jour ces évolutions. Dans cette série, ils nous donnent à entendre la richesse des sons du vivant et racontent leurs découvertes les plus bouleversantes. Angle mort des réflexions sur la biodiversité, l'acoustique est un vecteur essentiel pour mieux connaître, comprendre et protéger nos écosystèmes.Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture.
Autrice Jeanne Marie Desnos Enregistrements Septembre 2024 Réalisation Charlie Marcelet Mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch Illustration Arthur Grosjean Production ARTE Radio
Biographie
Journaliste indépendante et autrice de documentaires pour Arte Radio, Slate, Louie Media ou encore Les Others, Jeanne-Marie Desnos questionne notre société à travers des récits sensibles, souvent intimes et extraordinaires. Ses créations ont été primées (Paris Podcast Festival) et recommandées par la presse (3T dans Télérama, France Inter, ELLE etc).
Remerciements
Merci aux personnes interviewées, en particulier aux audio-naturalistes Marc Namblard et Olivier Pichard, d’avoir accepté de partager leurs enregistrements. Merci à celles et ceux qui ont cru en ce projet et qui m’ont soutenue tout au long de sa création. -
Les activités humaines, ces perturbatrices sonores
Sous l’eau, les ondes sonores se propagent plus vite, plus loin, et rencontrent peu d’obstacles. Dans l’obscurité des océans, d’innombrables espèces dépendent du son pour communiquer. Certaines baleines, par exemple, conversent à des centaines de kilomètres de distance. Des poissons, comme le mérou et le corb, tambourinent sur leur vessie natatoire pour attirer de futures partenaires. Trafic naval, recherche pétrolière, sonars militaires : en mer, les activités humaines ne cessent d’augmenter. Quelles conséquences sur la survie des écosystèmes ?
Avec :
- Charlotte Curé, bio-acousticienne au Cerema
- Lucia Di Iorio, éco-acousticienne à l’université de Perpignan
- Isabelle Charrier, directrice de recherche au CNRS
Merci à la biologiste Valeria Vergara, pour le partage de ses enregistrements et de ses connaissances sur la communication des bélugas.
Le chant de l'extinction
Quel est le son de l’extinction ? Que fait la crise du vivant à nos paysages sonores ? Disparition de milliers de chants d’oiseaux, triomphe du bruit de nos machines sur les communications animales, impact du dérèglement climatique sur le comportement des espèces… Sans que l’on s’en aperçoive, l’anthropocène modifie profondément et irrémédiablement nos mondes sonores. Bio-acousticiens, éco-acousticiens et audio-naturalistes captent jour après jour ces évolutions. Dans cette série, ils nous donnent à entendre la richesse des sons du vivant et racontent leurs découvertes les plus bouleversantes. Angle mort des réflexions sur la biodiversité, l'acoustique est un vecteur essentiel pour mieux connaître, comprendre et protéger nos écosystèmes.Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture.
Autrice Jeanne Marie Desnos Enregistrements Septembre 2024 Réalisation Charlie Marcelet Mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch et Charlie Marcelet Illustration Arthur Grosjean Production ARTE Radio
Biographie
Journaliste indépendante et autrice de documentaires pour Arte Radio, Slate, Louie Media ou encore Les Others, Jeanne-Marie Desnos questionne notre société à travers des récits sensibles, souvent intimes et extraordinaires. Ses créations ont été primées (Paris Podcast Festival) et recommandées par la presse (3T dans Télérama, France Inter, ELLE etc).
Remerciements
Merci aux personnes interviewées, en particulier aux audio-naturalistes Marc Namblard et Olivier Pichard, d’avoir accepté de partager leurs enregistrements. Merci à celles et ceux qui ont cru en ce projet et qui m’ont soutenue tout au long de sa création. -
Le silence des oiseaux
33% des oiseaux ont disparu en 30 ans. Quels chants avons-nous déjà perdus ? Combien pouvons-nous encore sauver ? D’autres sonorités s’éteignent, notamment celles des insectes, décimés par les pesticides ou la destruction des haies. Qui connaît de nos jours les stridulations de la courtilière, autrefois présente dans tous les champs de France ? Avec le changement climatique, les lacs ne gèlent plus dans la forêt vosgienne. Les craquements, explosions et glissandos qu’ils produisaient ne sont plus aujourd’hui qu’un lointain souvenir.
Le chant de l'extinction
Quel est le son de l’extinction ? Que fait la crise du vivant à nos paysages sonores ? Disparition de milliers de chants d’oiseaux, triomphe du bruit de nos machines sur les communications animales, impact du dérèglement climatique sur le comportement des espèces… Sans que l’on s’en aperçoive, l’anthropocène modifie profondément et irrémédiablement nos mondes sonores. Bio-acousticiens, éco-acousticiens et audio-naturalistes captent jour après jour ces évolutions. Dans cette série, ils nous donnent à entendre la richesse des sons du vivant et racontent leurs découvertes les plus bouleversantes. Angle mort des réflexions sur la biodiversité, l'acoustique est un vecteur essentiel pour mieux connaître, comprendre et protéger nos écosystèmes.
Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du ministère de la Culture.
Avec :
- Stanislas Wroza, bio-acousticien pour l’Office Français de la Biodiversité
- Jérôme Sueur, éco-acousticien au Muséum National d’Histoire Naturelle
- Marc Namblard, audio-naturaliste
Biographie
Journaliste indépendante et autrice de documentaires pour Arte Radio, Slate, Louie Media ou encore Les Others, Jeanne-Marie Desnos questionne notre société à travers des récits sensibles, souvent intimes et extraordinaires. Ses créations ont été primées (Paris Podcast Festival) et recommandées par la presse (3T dans Télérama, France Inter, ELLE etc).
Remerciements
Merci aux personnes interviewées, en particulier aux audio-naturalistes Marc Namblard et Olivier Pichard, d’avoir accepté de partager leurs enregistrements. Merci à celles et ceux qui ont cru en ce projet et qui m’ont soutenue tout au long de sa création. -
Mensonges, cigarettes et rébellion
Au dernier trimestre, tout le monde se fout des cours. Ce qui compte, c'est les fêtes et les manifs. Dans leurs proses de fin d'année, Aude et ses amis se questionnent, racontent leurs expérimentations et leurs difficultés. Ils définissent davantage leur personnalité, et se prennent un peu pour des grands. Mais le sont-ils vraiment ?
Confidences sur copies doubles
En faisant du tri dans la cave de ses parents, Aude a retrouvé un gros classeur rose. Dedans, une centaine de lettres écrites par ses amis entre 2006 et 2007, l'année de sa seconde. Ces "proses", comme ils appelaient pompeusement ces textes sans filtre, racontent une jeunesse parisienne d'époque, lorsque les réseaux sociaux n’existaient pas. Des lettres qui parlent de premières amours, d'amitiés fusionnelles ou d'éveil politique… Aujourd'hui trentenaires, les auteurs et autrices des proses relisent ces écrits de lycée et évoquent, avec humour, nostalgie et franchise, cette période désormais lointaine…L'autrice
Aude Villiers-Moriamé est journaliste web et radio. En 2006, elle avait 15 ans et les cheveux gras. C'est son premier podcast pour ARTE Radio.
Réalisation Charlie Marcelet Enregistrements février-mars 2024 Musiques originales Samuel Hirsch Illustration Louise Laborie Production ARTE Radio
Remerciements
Un grand merci à Anna, Antonin, Harry, Leïla, Martin, Mathilde et Nicolas pour avoir accepté de relire leurs vieilles lettres et d'échanger avec moi sans tabou sur cette époque. Immense merci, également, à l'équipe d'ARTE Radio pour leur confiance, leurs retours précieux, leur accompagnement tout au long de ce projet. Merci, enfin, à mes infatigables relecteurs et consultants, en particulier Nacho, Justine et Sarah. -
Premières amours, premiers fantasmes
Finis les enfantillages, il est temps de grandir et de sortir avec des garçons et des filles. Dans les lettres qu’ils s’échangent, Aude et ses potes fantasment sur le grand amour, s'écrivent des listes interminables de crushs, font des tests de compatibilité... Mais qu'est-ce que ça veut vraiment dire, être en couple, quand on a 15 ans ?
Confidences sur copies doubles
En faisant du tri dans la cave de ses parents, Aude a retrouvé un gros classeur rose. Dedans, une centaine de lettres écrites par ses amis entre 2006 et 2007, l'année de sa seconde. Ces "proses", comme ils appelaient pompeusement ces textes sans filtre, racontent une jeunesse parisienne d'époque, lorsque les réseaux sociaux n’existaient pas. Des lettres qui parlent de premières amours, d'amitiés fusionnelles ou d'éveil politique… Aujourd'hui trentenaires, les auteurs et autrices des proses relisent ces écrits de lycée et évoquent, avec humour, nostalgie et franchise, cette période désormais lointaine…L'autrice
Aude Villiers-Moriamé est journaliste web et radio. En 2006, elle avait 15 ans et les cheveux gras. C'est son premier podcast pour ARTE Radio.
Réalisation Charlie Marcelet Enregistrements février-mars 2024 Musiques originales Samuel Hirsch Illustration Louise Laborie Production ARTE Radio
Remerciements
Un grand merci à Anna, Antonin, Harry, Leïla, Martin, Mathilde et Nicolas pour avoir accepté de relire leurs vieilles lettres et d'échanger avec moi sans tabou sur cette époque. Immense merci, également, à l'équipe d'ARTE Radio pour leur confiance, leurs retours précieux, leur accompagnement tout au long de ce projet. Merci, enfin, à mes infatigables relecteurs et consultants, en particulier Nacho, Justine et Sarah. -
S'écrire et communiquer avant les réseaux sociaux
A la rentrée 2006, personne n'a de smartphone. Ça n'empêche pas Aude et ses amis de vouloir se parler absolument tout le temps. Quand "le gang" découvre les proses au premier trimestre, c'est tout un univers d'écriture libre et cathartique qui s'offre à eux. En relisant leurs lettres pas toujours tendres, ils se souviennent de leur entrée en seconde, de leurs découvertes amicales et de leurs premiers concerts de "baby rockeurs".
Confidences sur copies doubles
En faisant du tri dans la cave de ses parents, Aude a retrouvé un gros classeur rose. Dedans, une centaine de lettres écrites par ses amis entre 2006 et 2007, l'année de sa seconde. Ces "proses", comme ils appelaient pompeusement ces textes sans filtre, racontent une jeunesse parisienne d'époque, lorsque les réseaux sociaux n’existaient pas. Des lettres qui parlent de premières amours, d'amitiés fusionnelles ou d'éveil politique… Aujourd'hui trentenaires, les auteurs et autrices des proses relisent ces écrits de lycée et évoquent, avec humour, nostalgie et franchise, cette période désormais lointaine…
L'autriceAude Villiers-Moriamé est journaliste web et radio. En 2006, elle avait 15 ans et les cheveux gras. C'est son premier podcast pour ARTE Radio.
Réalisation Charlie Marcelet Enregistrements février-mars 2024 Musiques originales Samuel Hirsch Illustration Louise Laborie Production ARTE Radio
Remerciements
Un grand merci à Anna, Antonin, Harry, Leïla, Martin, Mathilde et Nicolas pour avoir accepté de relire leurs vieilles lettres et d'échanger avec moi sans tabou sur cette époque. Immense merci, également, à l'équipe d'ARTE Radio pour leur confiance, leurs retours précieux, leur accompagnement tout au long de ce projet. Merci, enfin, à mes infatigables relecteurs et consultants, en particulier Nacho, Justine et Sarah. -
Raconté par Virginie Dubois
Jeune bookeuse ambitieuse, Virginie Dubois rêve d’imposer les fameux DJs électro C2C au plus prestigieux des festivals américains, à Coachella. Mais la route est longue et pleine d’embûches de Paris jusqu’en Californie...
Enregistrements novembre 2023 Réalisation Arnaud Forest Illustration Thomas Gozzo Extraits de C2C « Down The Road » , « Fuya », « The Cell » (Virgin / Universal) Production ARTE Radio
Backstage, dans l'ombre des stars
Ils sont régisseurs de concerts, bookeuses, manageurs ou directrices de production… Ils racontent leur métier à travers des histoires improbables dans les studios d’enregistrement, sur les tournages de clips, et les coulisses des plus grands concerts.
Backstage, saison 2, un podcast de David Commeillas sur ARTE Radio. -
Raconté par Gregoire
Porter une jupe, est-ce vraiment dangereux lorsqu’on est régisseur général sur un grand festival corse ? Greg raconte une nuit de cauchemars, les menaces de viol, et le soutien du groupe La Femme.
Enregistrements mars 2024 Réalisation Arnaud Forest Illustration Thomas Gozzo Extraits de Yüksek « Beirut MaBet Mout » (Partyfine) / La Femme « Antitaxi » (Disque Pointu) Production ARTE Radio
Backstage, dans l'ombre des stars
Ils sont régisseurs de concerts, bookeuses, manageurs ou directrices de production… Ils racontent leur métier à travers des histoires improbables dans les studios d’enregistrement, sur les tournages de clips, et les coulisses des plus grands concerts.
Backstage, saison 2, un podcast de David Commeillas sur ARTE Radio. -
Racontée par Hugo Obert
Même lorsqu’on est un directeur de production chevronné comme Hugo Obert, que faire lorsque des forains réclament des milliers d’euros de compensation pour ne pas bloquer le tournage du clip d’Angèle, et que, simultanément la carte bleue de la production atteint son plafond, pendant que la star belge commence à s’impatienter dans les loges ?
Enregistrements novembre 2023 Réalisation Charlie Marcelet Illustration Thomas Gozzo Extrait de Angèle feat. Damso « Démons » (Angèle VL Records) Production ARTE Radio
Backstage, dans l'ombre des stars
Ils sont régisseurs de concerts, bookeuses, manageurs ou directrices de production… Ils racontent leur métier à travers des histoires improbables dans les studios d’enregistrement, sur les tournages de clips, et les coulisses des plus grands concerts.
Backstage, saison 2, un podcast de David Commeillas sur ARTE Radio. - Visa fler