Lyssna senare

  • On poursuit cette semaine avec Séverine Deveugle, adjointe de direction à la MAS le Hameau, sur la mise en oeuvre de l'autodétermination au sein de l'établissement.

    Séverine evoque ce copilotage avec les personnes accueillies, les professionnels et les familles.

    Bonne écoute à tous!

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

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  • Episode 22 de cette 3ème saison sur la coopération et l'autodétermination

    Restranscirption de l'épisode ici

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

    - Valeurs et Valeur pour les accomp agnements aux évolutions de postures professionnelles

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  • 🎙️ Dans ce nouvel épisode, Martin va nous parler d'un sujet majeur: la santé, et notamment comment les personnes adhérent au traitement médical qui sera proposé.

    Retranscription par écrit: ici

    Martin prend exemple des régimes alimentaires que certaines personnes en situation de handicap doivent suivre. Evidemment les professionnels se posent toujours des questions.

    Martin invite à savoir si la personne a eu la bonne information sur le plan de sa santé et sur la manière de communiquer.

    Martin nous explique également la gestion autonome de la médication, de négocier avec le médecin, notamment sur des effets secondaires désagréables de certaine médication.

    François évoque également le défi pour les professionnels quand une personne refuse un soin et des conséquences de cette décision.

    Evidemment les outils de communication adaptée sont nécessaires, notamment Santé BD, pour préparer des rendez vous médicaux.

    Enfin Martin propose de travailler sur la prévention et notamment sur la formation des personnes en situation de handicap sur les questions de santé.

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

    - Chaire autodétermination et handicap de l'Université du Québec à trois Rivières

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  • #7 Communication et autodétermination!

    Retranscription par écrit: Ici

    Comment une communication auprès d'une personne en situation de handicap, valorise ou pas son autodétermination?

    Evidemement il y a des stratégies qui valorisent la personne dans son autodétermination, notamment la possibilité de faire des feedbacks (rétroactions) évaluatifs mais attention à la notion de toute puissance dans ce cadre là!

    Si on veut soutenir davantage la personne sans son autodétermination, Martin propose des feedbacks descriptifs en attirant l'attention de la personne sur les éléments à considérer.

    Martin évoque des exemples précis de la vie de tous les jours sur comment communiquer dans une posture permettant à la personne de s'autodéterminer.

    François invite également Martin à préciser son propos notamment pour les personnes n'ayant pas accès au langage oral. Le mode de communication alternatif doit permettre à la personne de faire des choix, ce qui renforcera la personne à utiliser ce mode de communciation alternatif: c'est un levier de motivation, notamment sur les apprentissages.

    Enfin, la manière de communiquer auprès des personnes relève également d'une véritable politique de bientraitance de tous les professionnels et partenaires.

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

    - Chaire autodétermination et handicap de l'Université du Québec à trois Rivières

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  • # 10 Déficience intellectuelle et autodétermination

    Dernier épisode de cette première saison!!

    Restranscription par écrit: ici

    Historiquement, on a souvent abordé la question de l'autodétermination pour les personnes vivant avec une déficience intellectuelle, notamment aux Etats Unis dans les années 90 avec des programmes d'intervention spécifique.

    Pour les personnes avec une déficience intellectuelle, tout le défi va être de développer la composante de l'empowerment, du pouvoir d'agir, de la perception du pouvoir d'agir. Certaines attitudes d'infantilisation pour ces personnes peuvent exister encore aujourd'hui, notamment lorqu'il est évoqué le fait que la personne a un "âge mental" d'un enfant de 3 ans. Evidemment la perception que l'on aura de cette personne, le risque, c'est d'être considéré comme un enfant. La notion d'accompagnement d'une personne déficience intellectuelle devient extrêmement importante pour une personne avec déficience intellectuelle. Par exemple lorsque l'on accompagne quelqu'un, on respecte le rythme de la personne, en lui laissant le temps de choisir, de faire ses choix. il y a une tendance de faire à la place de, de faire une prise en charge pour elle: c'est un risque car la personne va s'habituer à ce que
    l'on fasse pour elle. La personne s'installera dans la passivité si on prend en charge: attention au cercle vicieux! S'installe ainsi un système de dépendance de la
    personne avec déficience intellectuelle auprès de l'accompagnant.

    Souvent les personnes avec DI viennent valider des comportements, ou des décisions auprès de l'adulte. Le professionnel doit toujours veiller à ne pas renforcer ces comportements. La personne doit apprendre à s'autoréguler elle-même. la personne doit apprendre à s'autodéterminer. la personne doit se poser les bonnes questions. Martin prend ici plusieurs exemples. Plutôt de donner des réponses à la personne, on va lui donner des questions pour qu'elle puisse prendre conscience de son comportement ou de ses choix.

    Comment fait-on quand les personnes nous font des demandes que nous jugeons irréalistes?

    Bien évidemment la facilité serait de dire à la personne que ce n'est pas possible. Le risque c'est que la personne pense que le choix a été fait par l'accompagnateur et non par la personne elle-même. C'est donc à cause de lui si je ne peux pas faire tel ou tel choix. La posture professionnelle attendue est donc de repartir de la demande de la personne : on accueille le projet de la personne dans un premier temps. Ensuite on va chercher les informations en lien avec son projet et on avance avec elle sur la compréhension de sa demande. Il faut donc accompagner la personne dans les différentes étapes et la confronter à la réalité. La personne pourra s'ajuster en fonction de la compréhension qu'elle aura des informations recueillies.

    Les personnes avec DI peuvent également vivre des déceptions sur leur projet de vie, comme tout le monde.

    Elles ont besoin d'être en contact avec des éléments concrets de la vie pour être en capacité de prendre des décisions.

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

    - Chaire autodétermination et handicap de l'Université du Québec à trois Rivières

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  • Restranscription de l'épisode par écrit: ici

    L'occasion d'autodétermination, nous dit Martin Caouette, c'est d'avoir la possibilité réelle de pouvoir exercer son autodétermination. Ce sont donc les contextes de vie qui nous permettront de faire des choix, de prendre des décisions, de faire valoir ces droits.

    L'accompagnement doit mener à rendre possible différentes expériences de vie. Les personnes en situation de handicap doivent vivre les mêmes rites de passages que tout le monde: exemple des rites de passage à l'école: du primaire au collège, puis au lycée...

    Peut on faire un lien entre les environnements capacitants demande François Bernard? Effectivement l'environnement a un rôle à jouer dans la capacité à s'autodéterminer. Un environnement capacitant, c'est un environnement qui est pensé, qui est réfléchi pour rendre possible des choses pour la personne. Ex: un bouton pour allumer la lumière dans une pièce: il faudra des adaptations en fonction des personnes...

    Quand on est adulte, les occasions sont nombreuses: le choix de l'habitat, les loisirs, la vie sociale, la vie socio-professionnelle, les temps d'activité, de bénévolat, l'occupation du temps libre...

    Doit on mettre en place des groupes d'habilités sociales? Quand on accompagne une personne en situation de handicap, les capacités que l'on va développer chez elle, vont venir contribuer à développer de nouvelles capacités d'autodétermination.

    Parlons des Arts, du domaine artistique: la personne peut faire des choix en fonction de la discipline artistique. Les personnes peuvent également avoir des intérêts pour le sport, notamment pour des interactions avec des personnes. Ces deux exemples sont de véritables outils pour développer les occasions d'autodétermination.

    Et au cours de la vie quotidienne? Dans les routines de la vie quotidienne, la personne a-t-elle du contrôle en tout ou partie de sa vie, notamment des temps significatifs pour la personne?

    On évoque également la question de la vie affective et relationnelle: la personne peut elle faire des choix? La personne a-t-elle des limitations sur le plan affectif? Les professionnels doivent apporter une attention toute particulière sur tout ces aspects!

    Pour en savoir plus:

    - Campus Formation pour les programmes Agir pour l'autodétermination

    - Chaire autodétermination et handicap de l'Université du Québec à trois Rivières

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