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Les six derniers stagiaires du MediaLab relatent leur expérience au sein du centre de remobilisation professionnelle de Vivre Fm. Cette émission marque l'aboutissement de leur stage de deux mois. Ils nous racontent leur expérience et leur parcours.La radio Vivre FM gère Medialab, un centre de formation dédié aux personnes ayant ou ayant eu des troubles psychiques, sorties du marché de l'emploi et désirant y retourner.Medialab
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Les six derniers stagiaires du MediaLab relatent leur expérience au sein du centre de remobilisation professionnelle de Vivre Fm. Cette émission marque l'aboutissement de leur stage de deux mois. Ils nous racontent leur expérience et leur parcours.La radio Vivre FM gère Medialab, un centre de formation dédié aux personnes ayant ou ayant eu des troubles psychiques, sorties du marché de l'emploi et désirant y retourner.Medialab
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Aujourd’hui on parle musique et handicap avec une émission spéciale art et santé mentale consacrée aux Rencontres internationales autour des pratiques brutes de la musique. Ces Deuxièmes Rencontres sont l'occasion de découvrir des artistes qui oeuvrent aux marges de la création sonore contemporaine. Une partie d’entre eux est liée au monde du handicap psychique et mental. Quelles sont ces pratiques brutes de la musique ? Qui sont ces artistes qui les utilisent ?On le découvre grâce à nos artistes invités parmi lesquels Tristan, 16 ans, et Quentin, 24 ans. Ils forment le groupe Les Harry's en compagnie de six autres jeunes adultes autistes qui pratiquent l'improvisation bruitiste et l'expérimentation sonore. Ils jouent régulièrement et collaborent avec des artistes tels que Fantazio ou Phil Minton. Ils animent également un mercredi sur deux l'émission Radio Tisto sur Radio Libertaire. Ils s’expriment aux côtés de Julien Bancilhon, musicien du groupe et psychologue, à l'hôpital de jour d'Antony (92) où leur groupe est né et se retrouve.Le Collectif Astéréotypie, ce groupe rock composé de quatre jeunes adultes autistes, est représenté ici-même par Stanislas Carmont, 19 ans, auteur interprète et Christophe Lhuillier, guitariste du groupe, qui est aussi l’éducateur spécialisé qui encadre les jeunes à l'Institut médico-éducatif alternance Bourg la Reine d’où ils sont issus. Le Collectif Astéréotypie présente en exclusivité l’un des titres de son deuxième album « L’Energie positive des dieux » qui sort le 27 avril prochain.Ces Rencontres internationales autour des pratiques brutes de la musique sont organisées dans le cadre de la 14e édition du Festival Sonic Protest.Vous pourrez entre autres retrouver les Harry's mercredi 14 mars à 14h pour une rencontre publique. Le Collectif Astéréotypie jeudi 15 mars à 18h pour un showcase à l'occasion de la sortie de leur nouvel album. Samedi 10 mars, de 11h à 11h15, retrouvez Stanislas Carmont pour une intervention/performance (Collectif Astéréotypie).Plus d'infos sur les tables-rondes, ateliers et concerts de ces rencontres : http://www.vivrefm.com/admin/podcasts/fiche/14260Le programme complet des Rencontres internationales autour des pratiques brutes de la musique : http://www.sonicprotest.com/Ces 2e Rencontres internationales autour des pratiques brutes de la musique sont présentées par l'association Sonic Protest dans le cadre de la 14e édition du festival Sonic Protest, avec le mécénat de la fondation Entreprendre pour Aider.Fonds de dotation Entreprendre pour aider : http://www.entreprendrepouraider.org/
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Née au Sénégal, à Goudiri, près de Dakar, Salamata souffre depuis toute petite des conséquences d'une poliomyélite qui affectent sa vie. Perçue "comme un fardeau" en raison de son handicap, la jeune femme est tenue à l'écart et fuit le regard des autres. Elle a honte de son corps.Tout change lorsqu'elle arrive en France à l'âge de 38 ans. Salamata s'épanouit alors grâce à des rencontres bienveillantes et une acceptation du handicap physique plus présente dans les mentalités. Elle devient active professionnellement. Salamata Dramé décide aujourd'hui de donner à d'autres qui subissent ce qu'elle a vécu au Sénégal. Et c'est pour venir en aide aux personnes handicapées de son village d'origine qu'elle crée l'association des Handicapés de Goudiri et Environnants (AHGE). Pour Salamata, insérer les personnes handicapées dans le monde du travail est essentiel.Liens vers l'association "Handicapés de Goudiri et Environnants" (AHGE) :https://www.facebook.com/ahgeassociation.org/http://ahge-association.org/
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Guillaume Alemany n'a pas froid aux yeux. A l'âge de 22 ans, il s'exile à l'étranger. D'abord quelques mois en Angleterre, puis en Thaïlande. Il y travaille dans une association humanitaire le jour, et court les filles la nuit.Alléché par la promesse d'un emploi en Australie, il s'y rend mais rien ne se passe pas comme prévu et il devient sans-abri, contraint à dormir dans les rues de Brisbane. Après son retour en France, il fuit de nouveau vers la Thaïlande. Le pays qui lui donne le surnom de Kawi.Ce n'est que vers l'âge de 27 ans qu'il réalise que le mal-être qu'il fuit ainsi a une explication : le syndrome d'Asperger.Il explique son parcours dans son autobiographie, parue aux éditions l'Harmattan, "Les aventures de Kawi - Parcours d'un jeune Asperger"
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Comment ne pas se laisser berner par une substance addictive, comment comprendre la dépendance et la vaincre ?Alix, notre témoin d'aujourd'hui, peut d'autant mieux nous l'expliquer qu'elle a elle-même vécu l'addiction à la drogue durant 18 ans.Vingt ans après, elle nous confie cette expérience dramatique qu'elle analyse avec la compréhension de la psychologue professionnelle qu'elle est devenue. Pour recevoir de l'aide, le site de l'association de Narcotiques Anonymes : www.narcotiquesanonymes.org/
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Brillante cadre d’une entreprise de transport, Rosa y gère des années durant le service clientèle. Elle commande des équipes composées majoritairement d’hommes. Au bout de 10 ans, un beau matin, elle ne peut se lever et partir travailler. C’est le burn-out, conséquence probable de deux agressions survenues sur son lieu de travail.Sa vie s’écroule. Rosa va mal, voire très mal pendant plusieurs années. Elle parvient tout de même à se former à un nouveau métier, la comptabilité. Elle retrouve un emploi mais doit s’interrompre après deux ans d'activité suite à un nouveau burn-out.Devenue agoraphobe, dépourvue d’estime et de confiance en elle, sa personnalité évolue, elle ne peut plus vivre comme avant.Aujourd’hui près d’une décennie plus tard, elle va mieux, elle se "sent renaître tel un phénix". On aborde son parcours avec elle, en commençant par l’époque où tout allait bien.
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Irène Philippin, l’héroïne du film documentaire « Les voix de ma sœur », est âgée de 24 ans lorsqu'elle est diagnostiquée schizophrène. Elle ne peut poursuivre ses études musicales au Conservatoire de Rueil-Malmaison tant les voix qui l'assaillent l'handicapent. Lorsqu'elle se lance dans la poésie, elle découvre qu'écrire des vers en alexandrin fait taire ses voix. La poésie la sauve de la souffrance.Irène rencontre Jacqueline Dupuis par l'intermédiaire de sa soeur Cécile Philippin. Elles vont rapidement travailler ensemble pour créer "Le Défilé des âmes", un recueil de poésies que Jacqueline illustre.Depuis l'âge de 50 ans, Jacqueline est victime de crises d'angoisse au point de renoncer à sa carrière professionnelle qu'elle adorait et de vivre en recluse. Elle se fait violence pour venir aux rendez-vous de travail avec sa co-auteur et passer outre sa phobie des transports en commun. Elle nous explique ce que son travail de dessinatrice et sa collaboration avec Irène lui apporte. Pour commander le recueil de poèmes : [email protected] 52 68 23 74
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Eric travaille dans le bistrot familial lorsqu'il est agressé par deux hommes, sans raison. Cela bouleverse sa vie : sa colonne vertébrale est touchée avec des séquelles irréversibles. Mais les conséquences sont également psychologiques : crises d'angoisse, insomnies, peur de sortir, dépression. Deux ans et demi après cette agression, Eric souffre toujours et n'a pu retravailler.Mais il a remonté la pente grâce à une psychothérapie et un stage au sein du Medialab, le Centre de remobilisation professionnel de la radio Vivre FM. Un stage qui redonne confiance à Eric, le confronte au travail en groupe et lui permet de retrouver "le goût des autres".Eric commence, en ce moment-même, un bilan d'orientation pour préciser sa démarche de retour à l'emploi. Il est sur le bon chemin, et il nous explique son parcours au micro de Vivre FM pour le grand témoin bien dans sa tête.
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Les six stagiaires du Medialab relatent leur expérience au sein du centre de remobilisation professionnelle de la radio Vivre Fm. Cette émission marque l'aboutissement de leur stage de deux mois. Ils nous racontent leur expérience et leur parcours.La radio Vivre FM gère Medialab, un centre de formation dédié aux personnes ayant ou ayant eu des troubles psychiques, sorties du marché de l'emploi et désirant y retourner.Medialab
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Régine est une ancienne stagiaire du Medialab, le Centre de remobilisation professionnelle de Vivre FM.Bien qu’elle ait commencé, par nécessité, à travailler à l’âge de 18 ans et, exercé un emploi une bonne partie de sa vie, Régine est sortie du marché de l’emploi depuis plusieurs années.Tout commence en 2013, lorsqu'elle est hospitalisée pour une longue période à l'hôpital Ste Anne. On lui diagnostique une bipolarité. Elle ne peut plus exercer d'activité et doit prendre soin d'elle. Ce qu'elle fait avec succès.Après son tout récent passage au Medialab, le centre de remobilisation professionnelle de la radio Vivre FM, Régine, elle envisage de s’installer à son compte comme traductrice. Elle accepte d’être notre grand témoin aujourd’hui pour prouver que curiosité et soif d’apprendre sont des clés pour se sortir de l’apathie et de la souffrance psychique.
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En avril 2014, Laetitia est directrice de projet dans une grande entreprise lorsqu’on lui diagnostique un cancer du sein. Sous traitement durant des mois, elle est épuisée et isolée. Mais c’est l’après-cancer qui s’avère le plus difficile. L’homme avec qui elle allait fonder une famille la quitte, ses proches ne comprennent pas que tout ne redevienne pas comme avant et c’est la dépression qui la gagne.Heureusement des « sœurs » rencontrées dans des associations comme la Ligue contre le cancer, la soutiennent. Elle reprend du poil de la bête et change de vie. Elle est aujourd’hui réflexologue à son compte et en formation pour devenir naturopathe. Laetitia est un exemple à suivre pour toutes les femmes qui comme elle ont fait face à un cancer.
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"Je suis devenu moi, par la grâce de mon frère. Sa maladie a contribué à faire de moi un être en quête". Didier Meillerand témoigne de la souffrance d'avoir grandi avec un frère schizophène. Didier explique comment la maladie psychique de son aîné a influencé sa vie : il est devenu journaliste pour "mettre de l'ordre dans les mots".Ce livre est le premier récit autobiographique écrit par un frère de personne atteinte de schizophrénie sur ce sujet.Didier Meillerand a créé l'association Psychodon pour lutter contre le tabou qui pèse sur la maladie psychique et inciter les frères et soeurs de personnes atteintes : "Parlez-en" !La poire en bois, grandir avec un frère schizophrène, publié aux éditions Le Texte Vivant : https://www.letextevivant.fr/la-poire-en-bois
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Des films réalisés par et avec des patients de diverses structures de soins psychiatriques sont à découvrir les 16 et 17 novembre dans le cadre des rencontres vidéo en santé mentale.Depuis 1999, les Rencontres Vidéo en santé Mentale ont lieu à la Cité des sciences et de l'industrie à Paris, mises en place par la Cité de la santé, l'association Médiapsy Vidéo, les CEMEA, l'association L'Elan Retrouvé et le 6e secteur de l'Hôpital Maison Blanche avec le soutien de l'association L'Echange et de l'Institut Lilly.En 2017, le 16 et 17 novembre, avec la participation de Julie Bertuccelli, réalisatrice, présidente de la SCAM (Société civile des auteurs multimedias qui rassemble des réalisateurs, des auteurs d'entretiens et de commentaires, des écrivains, traducteurs)Contact :https://www.mediapsy.tv/rencontres-video-en-sante-mentale
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Emission consacrée au Médialab, le centre de remobilisation professionnelle de Vivre FM, destiné à des personnes sorties du marché de l’emploi et qui veulent y retourner. Nous accueillons 6 stagiaires du médialab aujourd’hui, ils sont nos 6 grands témoins :Nicolas, Rosa, Milève, Régine, Mathieu, Laurent. Ils sont accompangés de l’un de leurs formateurs : Rezki Mammar et ils nous racontent leur parcours jusqu’à Vivre Fm, pendant leur stage et leurs projets d’avenir
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Sue souffre d’une maladie chronique génétique la drépanocytose qui impose des hospitalisations régulières. Malgré les difficultés rencontrées, Sue réussit ses études, devient Juriste internationale et s’investit pour des ONG à l’étranger.Elle est sur une mission au Maroc lorsque les autorités s’en prennent à son ONG et l’expulsent sans ménagement vers la France.Cette expulsion et son contexte traumatique engendre chez elle un syndrome de stress post traumatique. Elle perd son emploi et lutte seule contre ce trouble encore mal pris en charge en FranceElle témoigne de son parcours pour surmonter ses difficultés et être mieux dans son corps, mieux dans sa tête
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Grandir avec une anomalie génitale, vivre dans la peur que cela se sache, c'est ce qu'a vécu Paul Houstal. Né sans organes génitaux apparents, il subit de nombreuses opérations de chirurgie réparatrice qui aboutissent à lui donner un micro-pénis.Il s'imagine alors ne pas être tout à fait "un vrai homme".Tout change grâce à trois femmes qui marquent sa vie. Et Pascal possède aujourd'hui ce que beaucoup d'hommes n'ont pas :une compagne aimante, deux enfants et un emploi de cadre valorisant.Il assume sereinement sa différence et en parle ouvertement au micro de Vivre FMPaul Houstal publie "Le secret des gentils monstres, Vivre avec une malformation sexuelle" aux éditions l'Harmattan
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Christophe Chauché, qui a aujourd’hui dépassé la trentaine, dit de lui-même : « Je suis dyslexique, dysorthographique, dysphasique, dysgraphique, dyspraxique. Cela fait beaucoup de choses pour une seule personne mais j’aurais pu aussi être dyscalculique… » Heureusement, ce n'est pas le cas puisqu'il est aujourd'hui comptable ! Il témoigne de son parcours compliqué mais positif et porteur d'espoir. Il co-écrit le guide pratique d'"Aide aux Dys : Comment optimiser les chances des enfants Dys ? Quels intervenants ? Qu'attendre d'eux ?". Des conseils pour tous les parents et professionnels qui s'occupent d'enfants en difficulté d'apprentissage. Lexique :*dyspraxie : trouble du développement moteur et de l'écriture*dyscalculie : trouble des activités numériques*dyslexie : trouble spécifique de la lecture*dysphasie : trouble du langage oral Christophe Chauché est co-auteur et auteur de :_"Aide aux Dys : Comment optimiser les chances des enfants Dys ? Quels intervenants ? Qu'attendre d'eux ?" aux éditions Tom Pousse _"Notre meilleur copain ou comment expliquer la dysphasie aux enfants" aux éditions Tom Pousse
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Aujourd'hui stabilisé, Florent Babillote souffre de schizophrénie affective depuis ses 13 ans. Diagnostiqué à 25 ans, il a connu l'univers de l'hôpital psychiatrique côté patient durant un mois. Des années plus tard, il va mieux et passe le concours pour devenir aide-soignant. Il effectue alors un stage au sein même de l'unité qui l'avait accueilli, mais cette fois côté soignant. Parallèlement, il rencontre Catherine, aujourd'hui son épouse et se lance dans l'écriture.Paru en 2013 aux éditions Laïus, son premier livre Obscur Clarté, lui permet de montrer qu'on peut être atteint de schizophrénie et vivre bien dans sa tête, bien dans sa vie.Il continue aujourd'hui de témoigner au travers de conférences, ou de concert-lecture comme celui donné au profit de la recherche sur les maladies psychiatriques, vendredi 10 novembre à 20h15, à la Cité internationale des Arts.Contacts :http://obscure-clarte.over-blog.com/http://www.place-au-piano.org/&plapino.htm
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Auteur, scénariste, journaliste, Adeline Grais-Cernea vit sa première crise d'angoisse à l'âge de 18 ans. Une angoisse épuisante, handicapante qui ne la quitte plus et l'envahit dix ans durant.Aujourd'hui maîtrisée et en recul, elle reste malgré tout présente. Adeline nous explique tout dans son livre "Adieu chère angoisse" qui paraît aux éditions Payot. Un récit intime de son histoire et de ce qu'elle a mis en place pour aller de l'avant.Un livre inspirant pour ceux qui vivent l'Angoisse et souhaitent aller mieux dans leur tête.Adeline est par ailleurs investie et bénévole au sein de l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque qui prend en charge des enfants atteints de maladies cardiaques du monde entier.Contacts :http://www.payot-rivages.fr/payot/livre/adieu-ch%C3%A8re-angoisse-9782228918619http://adelinegraiscernea.com/Le blog d'Adeline Grais-Cernea : https://episode0.fr/author/adelinegraiscernea/
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