Avsnitt
-
-> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.
Caroline Stein, responsable du mĂ©cĂ©nat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses dĂ©buts en tant quâĂ©ditrice chez Somogy jusquâĂ son rĂŽle actuel oĂč elle gĂšre une collection d'entreprise de plus de 1000 Ćuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions dâart, des expositions quâelle organise, et de son soutien Ă des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne Ă©coute !
Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Caroline Stein, responsable du mĂ©cĂ©nat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses dĂ©buts en tant quâĂ©ditrice chez Somogy jusquâĂ son rĂŽle actuel oĂč elle gĂšre une collection d'entreprise de plus de 1000 Ćuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions dâart, des expositions quâelle organise, et de son soutien Ă des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne Ă©coute !
1â30 â Caroline Stein Ă©voque son parcours initial en littĂ©rature.
8â00 â Caroline raconte sa premiĂšre embauche chez les Ă©ditions Somogy, travaillant sur des catalogues d'expositions et son introduction au milieu musĂ©al.
9â53 â Elle dĂ©crit son immersion dans les institutions culturelles et les festivals Ă travers ses projets, dont Chroniques Nomades Ă Honfleur.
11â00 â Caroline parle de son travail avec le collectif Planches Contact et sa collaboration avec des photographes sur des projets comme Made in China et Made in France.
19â50 â Caroline explique la dynamique de Tendance Floue, un collectif inspirĂ© par Magnum.
23â30 â Elle dĂ©crit sa rencontre avec Jean-François Camp au festival photo de Vannes et son travail sur une exposition rĂ©alisĂ©e dans des conteneurs puis ses annĂ©es chez le laboratoire Dupon.
30â00 â Son arrivĂ©e chez Neuflize OBC en 2017, oĂč elle intĂšgre la banque pendant sa rĂ©organisation et participe Ă la cĂ©lĂ©bration des 20 ans de la collection d'art.
39â00 â Caroline explique la vision derriĂšre la collection Neuflize OBC, centrĂ©e initialement sur le portrait, puis Ă©voluant vers des thĂšmes comme la figure humaine et la mĂ©moire.
45â00 â Elle partage son expĂ©rience sur le renouvellement des accrochages dans le cadre de la collection Neuflize OBC.
52â00 â Caroline offre des conseils aux photographes sur la maniĂšre de soumettre un dossier Ă la fondation, avec des recommandations pratiques pour ĂȘtre efficace et pertinent.
54â00 â Elle mentionne son implication dans le collectif Les Filles de la Photo et lâouvrage Y voir clair dans lâĂ©cosystĂšme de la photographie.
55â30 â Caroline discute des mĂ©cĂ©nats et de lâimportance des programmes pĂ©dagogiques dans le cadre de ses soutiens culturels Ă des institutions comme Jeu de Paume et La MEP.
1â02â15 â Elle aborde les dĂ©fis de travailler dans un Ă©tablissement bancaire, notamment le lien Ă crĂ©er entre lâart et des collaborateurs souvent Ă©loignĂ©s de ce milieu.
1â04â00 â Caroline revient sur la mĂ©diation qui reprĂ©sente 80 % de son travail, un rĂŽle clĂ© pour valoriser la collection Ă la fois en interne et auprĂšs des partenaires.
1â06â00 â Elle conclut avec des conseils sur la gestion d'une collection dâentreprise, insistant sur lâimportance de lâĂ©quilibre entre lâinterne (collaborateurs) et lâexterne (partenaires et publics).
Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Saknas det avsnitt?
-
-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.
Mara Weiss is the lead curator of the Victoria & Albert Photography Centre, completed in 2023 in London. In this episode, we talked about her studies at Harvard and Princeton and her projects as Curator of Photography at the Victoria and Albert Museum in London since 2007. We discussed developments she has observed in the field of museum photography, such as the integration of photography into permanent spaces like at MoMA, but not yet at the V&A, and the importance of the acquisition group, which not only enables more acquisitions but also takes on new roles, such as organizing events and travels with patrons. She also gave us some advice for people who want to become curators in a museum like her. I hope you enjoy this episode!
Victoria and Albert Museum Photography Centre: https://www.vam.ac.uk/info/photography-centre?srsltid=AfmBOoqZSZoHt_zH-w0WkTrxPvSA0vbM_JfMgzoZeuYPCyhXZDN2IUl7
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Marta Weiss is the lead curator of the Victoria & Albert Photography Centre, completed in 2023 in London. In this episode, we talked about her studies at Harvard and Princeton and her projects as Curator of Photography at the Victoria and Albert Museum in London since 2007. We discussed developments she has observed in the field of museum photography, such as the integration of photography into permanent spaces like at MoMA, but not yet at the V&A, and the importance of the acquisition group, which not only enables more acquisitions but also takes on new roles, such as organizing events and travels with patrons. She also gave us some advice for people who want to become curators in a museum like her. I hope you enjoy this episode!
1:44 â Her childhood and her love of visiting museums.
4:15 â Her studies at Harvard in art and her internships in museums in the USA and Europe.
10:15 â Her job as a photo editor for a graphic design company and her dissertation at Princeton on 19th-century British photography, staged photography, and photo albums from the late 1830s to 1870. She spent two years in the UK for her PhD and conducted archival research at the V&A in the print room.
14:20 â Her job at the V&A, the V&A Photography Centre, and the projects she undertakes as a curator of this center.
18:15 â Her team: three people when she arrived, now seven permanent positions, and the other roles at the V&A (conservators, loans, art handlers, interpretation team, web team, programming teamâŠ) = 700 people work at the V&A.
21:50 â Developments she has observed in the field of museum photography since she began:
- Photography has been integrated into permanent spaces (like at MoMA, but not at the V&A).
- The importance of the photography acquisition group, an increasingly significant aspect of her work.
25:30 â Advice for curators: Take every opportunity to examine photographs as objects, study photo books.
28:30 â She feels fortunate to have focused on early photography at the beginning of her studies, as having a deep understanding of the history of photography makes it easier to build upon that to engage with the present.
29:15 â It is valuable to have some hands-on experience, to know how things are made. This includes making photographs, both digital and analog.
Victoria and Albert Museum Photography Centre: https://www.vam.ac.uk/info/photography-centre?srsltid=AfmBOoqZSZoHt_zH-w0WkTrxPvSA0vbM_JfMgzoZeuYPCyhXZDN2IUl7
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.
Patrick Delat a Ă©tĂ© le directeur du Centre dâart contemporain photographique â Villa PĂ©rochon depuis sa crĂ©ation jusquâĂ 2024 et dans cet Ă©pisode on est revenu sur les projets photographiques quâil a menĂ©s Ă Niort depuis les annĂ©es 80. Il nous a expliquĂ© lâhistoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menĂ©e par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles et de passionnĂ©s depuis trente ans. On a parlĂ© des enjeux et de lâimportance de fĂ©dĂ©rer le collectif autour dâun projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultĂ©s quâil a pu rencontrer en tant quâassociation Ă financement public. Merci Ă lui, longue vie au CACP-Villa PĂ©rochon et bonne Ă©coute !
Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Patrick Delat a Ă©tĂ© le directeur du Centre dâart contemporain photographique â Villa PĂ©rochon depuis sa crĂ©ation jusquâĂ 2024 et dans cet Ă©pisode on est revenu sur les projets photographiques quâil a menĂ©s Ă Niort depuis les annĂ©es 80. Il nous a expliquĂ© lâhistoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menĂ©e par une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles et de passionnĂ©s depuis trente ans. On a parlĂ© des enjeux et de lâimportance de fĂ©dĂ©rer le collectif autour dâun projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultĂ©s quâil a pu rencontrer en tant quâassociation Ă financement public. Merci Ă lui, longue vie aux Rencontres de la jeune photographie internationale et bonne Ă©coute !
2â35 - Son parcours en tant quâanimateur puis directeur de centre socioculturel et sa rencontre avec la photographie.
7â50 â Animateur dâun atelier photo et sa participation avec la crĂ©ation dâun collectif Ă LâEurope Dâart dâArt en 1989 pendant quelques annĂ©es.
12â â Envie de continuer son projet autour dâun collectif avec le soutien de la ville et la crĂ©ation dâune association en 1994, Pour lâInstant.
13â â La rĂ©sidence comme pĂ©riode protĂ©gĂ©e pour sâinterroger sur sa pratique avec 8 rĂ©sidents autour dâune personnalitĂ© de la photographie.
14â- Un format qui Ă©volue sur la pĂ©riode et la durĂ©e et la crĂ©ation de la Villa Perochon, un centre dâart dĂ©diĂ© Ă la photo en 2013 puis premier centre photo dâintĂ©rĂȘt national en 2018.
17â30 â Un financement public de la ville, de la Drac et de la rĂ©gion
20â â Importance de la mĂ©diation avec le premier emploi de lâassociation dĂ©diĂ© Ă un mĂ©diateur culturel.
23â50 â Durant les 15 ans premiĂšres annĂ©es uniquement des bĂ©nĂ©voles dont lui et il est salariĂ© Ă mi-temps en 2012. Avant lâouverture de la Villa Perrochon, il avait deux vies : directeur de centre socioculturel et bĂ©nĂ©vole de lâassociation Pour lâInstant.
27- Les Ă©tapes de crĂ©ation dâune association comme la sienne :
_ proposer une idée et aller vers les gens qui sont intéressés de tous niveaux sociaux et professionnels pour créer un collectif et fédérer les énergies.
_ lâanimer en gardant des contacts frĂ©quents et construire le projet ensemble.
_ structurer petit Ă petit et se donner des objectifs sans contrainte de temps.
32â â Lâancrage territorial lâa protĂ©gĂ© des changements de municipalitĂ©s.
34â20 â Les rĂ©sidences des Rencontres de la jeune photographie internationale.
41â20 â Son conseil pour les photographes qui postulent aux rĂ©sidences : ĂȘtre sincĂšre dans ce que lâon propose et ne pas suivre les tendances. Oser prĂ©senter ce que lâon est, ce quâon veut ĂȘtre et ce quâon veut dire.
44â30 â Il a des projets aprĂšs la Villa Perochon, mais câest trop tĂŽt pour en parler.
46â â Ses conseils pour des personnes qui souhaitent crĂ©er une association comme la sienne : lâattention doit ĂȘtre portĂ©e au projet, car le projet fait le lien entre tout ce quâon peut mettre en place.
Il est important de mesurer le projet et les moyens que lâon dispose au quotidien. Aujourdâhui plein de dispositifs financiers peuvent dĂ©tourner le projet. Il est important de se tenir Ă son projet politique et sincĂšre, mais ce nâest pas la chose la plus simple Ă faire.
48â30 - Il a Ă©tĂ© tentĂ© de faire une carriĂšre de photo, mais il a fait le choix de travailler sur un projet photo collectif. On doit faire des choix douloureux en se demandant oĂč on veut aller et pourquoi.
Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.
In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive.
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive.
1'40 - Born in the late '60s, he was influenced by TV culture and movies by Fellini, Godard, etc.
6' - He quickly realized that he wanted to be involved with images because he found pleasure in looking at them and thinking about how they fit into the world.
9' - After his graduation, he was invited to curate shows and write texts. He became known for making unexpected connections between things. For example: an exhibition at Le Bal about Anonymous Americans in film.
19' - Why it is important to write to a writer if you think their work is good.
20'30 - Writing as an addiction.
23'10 - Juggling multiple projects: working on 3 shows and 8 books at the same time. He does not support repetition.
27'30 - The first text he wrote as a professional and his book for Phaidon, "Photography and Art."
32'10 - The magazines he created with the auction house Christie's and the collector Christina Belker.
37' - His experience in NY at the ICP, managing the program for 5-6 years.
45' - Now, exhibitions are collaborations between photographers and curators because, most of the time, the photographer has an idea of what the show will look like. Making exhibitions is part of their work.
47'40 - Advice for curators: you need to go beyond your ego in helping the artist create the work they can't do on their own. Itâs tempting to say, "I will do it like this." But it is important to move past that phase.
51'30 - Advice for writers: just write, whether it will be published or not, and your writing will improve. Donât be afraid to approach people you admire. Stay interested and aware of the possibilities. There is no formal career path.
53'15 - Now, he says yes to only 10% of the proposals he receives. If his heart is not in it, he cannot say yes. He cannot do something he is not interested in because it would kill the thing he loves. One important thing is to keep your curiosity alive.
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.
Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier dâĂ©ditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets quâelle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres dâArles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă Paris en 2014 et elle sâoccupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec lâĂ©quipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !
Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier dâĂ©ditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets quâelle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres dâArles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă Paris en 2014 et elle sâoccupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec lâĂ©quipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !
2â â IntĂ©ressĂ©e par la littĂ©rature italienne, assistante du photojournaliste Federico Patellani, professeur dans une Ă©cole de photo et sa premiĂšre collaboration dans la presse hebdomadaire en tant quâĂ©ditrice photo.
9â12 â Son expĂ©rience au Corriere della Sera, puis chez CondĂ© Nast.
11â10 â Son expĂ©rience en tant que directrice artistique des Rencontres dâArles en 1998 suite Ă lâinvitation de Bernard Millet et sa famille française, qui a commencĂ© avec la rencontre de Christian Caujolle.
17â30 â Commissaire invitĂ©e Ă Photo España en 2002 et dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă Paris en 2014.
22â20 â Son mĂ©tier dâĂ©ditrice photo chez Glamour pendant deux ans, puis Ă la Gazzetta dello Sport pendant douze ans, lâarrivĂ©e des banques dâimages et sa derniĂšre expĂ©rience dans la presse chez Famiglia Cristiana pendant quatre ans.
37â â La crise de la presse italienne avec la baisse des budgets et lâarrivĂ©e des agences en ligne. Il nây a plus dâĂ©diteurs photo, ce sont maintenant des iconographes.
42â â LâarrivĂ©e de lâIA lâenthousiasme, mais il faut protĂ©ger les auteurs en trouvant des rĂšgles.
47â40 â Elle travaille pour les archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico depuis 2013 avec lâassistant du photographe et son Ă©quipe. Elle fait des expositions, des livres et a crĂ©Ă© un site avec un ancien collĂšgue.
50â â Son conseil pour de futurs Ă©diteurs photo : frĂ©quenter le milieu de la photo en se dĂ©plaçant physiquement et en allant Ă Arles, Perpignan... et lire.
53â â Elle lit LibĂ©ration, LâĆil de la photographie, le Guardian et parfois la presse italienne.
53â30 â Son conseil pour de futurs photographes : il est important de rĂ©flĂ©chir Ă ce quâon aime vraiment. On peut ĂȘtre un excellent photographe tout en ayant un autre emploi comme banquier ou mĂ©decin.
Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.
With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.
3â11 â He worked as a coordinator in a photo co-op and was part of a socialist community.
10â30 â Started working for Magnum as a salesperson with Neil Burgess.
17â15 â Became the director in London when Neil Burgess went to NY.
19â10 â Went to NY to find economic routes.
21â56 â The first book he worked on was a history of Georges Rodger.
30â50 â He returned to London, worked for Phaidon, created many books, and stayed for 10 years.
36â45 â In 2000, he started his own publishing house.
46â â When he started at Aperture, they were considering stopping the publication of magazines and books, but he doubled the price of the magazine, made it more luxurious, with themes, and focused on social justice. It was a gamble.
54â â He aimed to create a more inclusive company, both in the magazine and in the company itself.
56â30 â Income at Aperture at that time: 10% from exhibitions, 30% from sponsorships and grants (individual gifts), and the remaining from book and magazine sales.
59â25 â He moved back to London, got ill, and continued to work on books.
1â01 â Evolution in photography: social media. Before, there were no emails. You did things with people you could meet in person. Now itâs a tyranny.
1â04â10 â His advice for photographers and publishers: Clarify the purpose and narrative. If you find that clarity, nothing can stop you.
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://lesvoixdelaphoto.fr/
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Pour la troisiĂšme confĂ©rence rĂ©alisĂ©e devant un public durant les Rencontres dâArles 2024, je suis entourĂ©e dâUrs Stahel, conservateur Ă la fondation MAST Ă Bologne et Arthur Mettetal, historien des chemins de fer et spĂ©cialiste du patrimoine ferroviaire et industriel. Dans cette conversation on est revenu sur les enjeux et leurs rĂŽles de commissaires Ă travers les exemples des expositions dont ils sont les commissaires aux Rencontres dâArles cette annĂ©e : « Quand les images apprennent Ă parler » et « Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire ». Un grand merci Ă l'interprĂšte Anita Saxena et trĂšs bonne Ă©coute !
3â30 - Urs Stahel : son travail Ă la fondation MAST et sa rencontre avec la collectionneuse Astrid Ullens de Schooten Whettnall.
8â10 â La genĂšse de lâexpo « Quand les images apprennent Ă parler » et la construction de la collection A.
12â50 â Le choix de sĂ©lection des photographies de cette collection composĂ©e de diffĂ©rentes Ă©crire qui rendent compte de la rĂ©alitĂ© des sociĂ©tĂ©s et dâhistoires industrielles.
19â10 â Cette exposition est le travail dâune toute petite Ă©quipe composĂ©e de trois personnes.
22â â Arthur Mettetal : dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du fonds de dotation Orient Express et historien. Son rapport Ă la photo est venu avec un projet, en 2010-2011, sur lâusine Metal Europe, dans le Pas de Calais. Puis rĂ©alisation dâune thĂšse sur lâhistoire de lâOrient Express. RĂ©flexions sur lâutilisation de photos pour documenter et crĂ©er de lâarchive, mais aussi lâutilisation dâimages comme source de lâhistoire. RĂ©alisation dâune premiĂšre expo Ă Arles en 2021, intitulĂ©e : « Orient express & cie. »
25â55 âValorisation dâune recherche historique en la partageant au plus grand nombre.
27â21 â La genĂšse de l'exposition.
30â â Comment il a sĂ©lectionnĂ© les Ćuvres et documents Ă inclure : un coup de foudre visuel avec une sĂ©rie. Ce nâest pas une histoire exhaustive de la nourriture dans les diffĂ©rentes mobilitĂ©s, mais partir de sĂ©rie dâimages et crĂ©er un cheminement intelligible. Histoire des innovations, des chemins de fer, et de la maniĂšre dont les entreprises utilisent la photo pour se crĂ©er une culture de marque.
32â30 â Lâenvers du dĂ©cor de lâexposition : Il est tout seul sur le fonds de dotation et il sâest entourĂ© de lâĂ©diteur Textuel pour faire un livre et lâexposition est co-produite par les Rencontres dâArles. Ils travaillent sur le fonds depuis 6 ans et ils ont eu trois mois pour ce projet.
36â45 - Arthur Metttal : ses conseils pour des personnes qui souhaitent devenir commissaire dâexposition :
- Se confronter Ă des fonds dâentreprises, car ils sont magnifiques et certains sont en danger.
- Dans une pratique historique, ne restons pas dans les archives papier classiques, mais utilisons lâimage comme source de lâimage en allant sur le terrain.
38â30 â Urs Stahel : ses conseils pour de futurs commissaires : On a lâidĂ©e quâil y a une seule histoire de la photographie, mais il y a une histoire oubliĂ©e de lâhistoire, il sâagit de lâhistoire de la production et des industries.
Quand les images apprennent Ă parler : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1548/quand-les-images-apprennent-a-parler
Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1550/wagon-bar
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Pour la deuxiĂšme conversation enregistrĂ©e en public durant les Rencontres de la Photographie Ă Arles, jâai Ă©tĂ© invitĂ©e par la Galerie Triangle Ă Ă©changer sur la thĂ©matique des rĂ©flexions Ă©cologiques dans le milieu de la photographie. Avec Jean-Matthieu Gautier de la revue EPIC et NadĂšge Tixier-Lamaison de la galerie Triangle nous avons explorĂ© leurs parcours, leurs projets et leurs conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans une revue ou exposĂ©s dans une galerie.
Ă travers leurs expĂ©riences, nous avons parlĂ© des rĂ©flexions quâils ont pour faire des projets plus Ă©cologiques avec du cĂŽtĂ© de la revue EPIC : ne pas avoir de publicitĂ© pour ne pas pousser Ă la consommation, imprimer en France et ne pas ĂȘtre disponible en kiosque pour Ă©viter dâenvoyer des exemplaires au pilon. Et du cĂŽtĂ© de la Galerie Triangle : essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois, utiliser des papiers et cartels moins chimiques et se dĂ©placer en transport en commun.
Ce quâon peut retenir de cette discussion, câest que personne nâest irrĂ©prochable, mais quâil est important de faire au mieux avec ses propres contraintes en se posant des questions pour chercher des alternatives plus Ă©cologiques en demandant des conseils autour de soi.
1â50 â Jean-Matthieu Gautier : sa formation de journaliste, ses premiĂšres expĂ©riences professionnelles puis sa rencontre avec Ambroise Touvet de lâagence Oblique.
La relance de la revue EPIC et son format de présenter des séries photo au long cours avec la parole des photographes.
5â15 â Son rĂŽle chez EPIC et le reste de son Ă©quipe.
6â50 â Ses conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans EPIC.
11â - La genĂšse et les Ă©volutions de la revue EPIC avec comme partis pris de ne pas avoir de publicitĂ© et dâimprimer en France.
13â07 - Leurs rĂ©flexions sur la façon de faire un magazine alignĂ© avec ses sujets engagĂ©s :
Se dĂ©tacher de lâactualitĂ© immĂ©diate pour se documenter avec un long temps de rĂ©flexion, mais aujourdâhui la rĂ©flexion de faire Ă©voluer ce postulat.
Pas disponible en kiosque, car cela supposerait des envois au pilon de magazines.
19â20 - Pour faire le lien avec lâexposition sur les murs oĂč cette discussion a eu lieu, il nous explique comment ils ont prĂ©sentĂ© le travail de Maxime RichĂ© dans les pages dâEPIC.
25â10 â NadĂšge Tixier-Lamaison : elle nous explique les choix qui ont Ă©tĂ© faits pour prĂ©senter le travail de Maxime RichĂ© dans lâespace dâexposition.
27â â Sa formation de photographe et les projets Ă Londres et en Australie qui lâont menĂ© Ă lancer la Galerie Triangle fin 2021 pour crĂ©er un lieu pour tout le monde et pas juste pour les connaisseurs.
30â - Ses conseils pour des photographes qui souhaitent rejoindre sa galerie.
33â20 â Comment a-t-elle choisi le thĂšme de lâexposition « Change » ?
34â50 â Les rĂ©flexions Ă©cologiques sur la façon de faire des expositions comme celle-ci : un arbitrage entre le beau, ses valeurs personnelles et des raisons Ă©conomiques, car un papier plus Ă©cologique peut coĂ»ter deux fois plus cher quâun papier classique. Essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois et utiliser des papiers et cartels moins chimiques, se dĂ©placer en transport en commun.
Le site de la Galerie Triangle : https://www.galerietriangle.com/
Le site de la revue EPIC : https://revueepic.fr/
Instagram de la Galerie Triangle : https://www.instagram.com/galerie.triangle/
Instagram de la revue EPIC : https://www.instagram.com/revueepic/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Durant la semaine d'ouverture des Rencontres de la Photographie Ă Arles, j'ai Ă©tĂ© ravie d'ĂȘtre invitĂ©e par le Festival Impulse pour rĂ©aliser une discussion sur les publications collectives et l'auto-Ă©dition. Nous explorons ces sujets avec ZĂ©lia Zinner de Neptune Journal, et Basile Le Cleacâh de l'Atelier du Palais. On a parlĂ©, en particulier, de l'importance d'ĂȘtre bien entourĂ© et d'ĂȘtre sincĂšre avec soi-mĂȘme et les autres. J'espĂšre que cet Ă©pisode en public vous plaira. Bonne Ă©coute !
1' - La genĂšse de lâAtelier du Palais, lâatelier dâimpression en risographie et la dĂ©fense de lâauto-Ă©dition.
3â10 - Rencontre et collaboration avec ZĂ©lia Zinner.
5â48 â Neptune Journal : plateforme pour des photographes femmes et non conforme au genre.
8â40 â La rĂ©ception du premier numĂ©ro et projet du second.
10â55 - La sĂ©lection des photographes pour Neptune Journal.
16â â ZĂ©lia Zinner : " Neptune Journal nâest pas une source de revenus, mais une passion ".
21â31 - Le rĂŽle de l'Atelier du Palais dans le projet Neptune Journal.
23â40 - Lâaccompagnement des photographes Ă lâAtelier du Palais.
27â10 â Exemple du livre de Simon BouillĂšre.
33â30 â Autres supports : affiches, jeux, etc.
37â10 - Faire un lieu alternatif associatif : dĂ©fis et apprentissages.
41â - Conseils pour les personnes souhaitant se lancer en auto-Ă©dition et rĂ©aliser une publication collective.
Le site de l'Atelier du Palais : https://www.librairiedupalais.fr/atelier-du-palais/
Instagram de l'Atelier du Palais : https://www.instagram.com/atelierdupalais/
Instagram de Neptune Journal : https://www.instagram.com/neptune.journal/
Instagram du Festival Impulse : https://www.instagram.com/festivalimpulse/
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.
Kent is an arts writer and Associate Professor at Montclair State University in New Jersey. In this fascinating conversation, we talk about digital culture and emerging technologies. From her love for Proust to how surrealism supported socialism and surveillance capitalism, we delve into how artists use technology in unconventional ways. We also discuss the importance of using the word "image" instead of "picture" when referring to images created by algorithms and the importance of reading and questioning things. Reading (and listening) is a community. Enjoy listening!
Charlotte Kent's website: https://ckent.art/
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Charlotte Kent is an arts writer and Associate Professor at Montclair State University in New Jersey. In this fascinating conversation, we talk about digital culture and emerging technologies. From her love for Proust to how surrealism supported socialism and surveillance capitalism, we delve into how artists use technology in unconventional ways. We also discuss the importance of using the word "image" instead of "picture" when referring to images created by algorithms and the importance of reading and questioning things. Reading (and listening) is a community. Enjoy listening!
2â42 â Childhood with a diplomat father and a film critic mother.
8â15 â We don't like the same art at all ages. She loved Renoir's paintings as a child and now loves landscapes.
9â30 â In college, she studied philosophy, became an artist's model, and began viewing art differently.
10â57 â She went to graduate school to read Proust on art. She was interested in why certain writings about art are excluded from history. She studied 1930s surrealism and its support for socialism.
14â23 â She examined the contemporary period by disrupting art historical discourse.
14â54 â In NY after 2011, a campaign said: If you see something, say something. This worried her as it hindered education, which could teach people to interpret the world visually using art.
17â03 â Artists working on surveillance led her to consider emerging technology. She was interested in unconventional uses of this technology by artists.
20â32 â In 2020, she was unhappy with the NFT conversation as it ignored older practices. The same issue existed with AI, which has been a concern since 2010 due to filter bubbles and algorithms.
25â45 â The 20th century disrupted authority by disrupting historical styles. How is it disruptive to be disruptive now?
27â â There is a place for new aesthetics because people want to rest their eyes.
35â â Mobile devices and social platforms influenced photography by allowing many photos and creating styles on platforms like Tumblr, Flickr, and Instagram. We now appreciate selfies' new angles.
43â30 â Many artists ask: why use the media they use? Every medium has its history, politics, social influence, and practices. This is a challenge for artists, who often face questions about their methods.
48â â She worries when photographers avoid engaging with other practices using technology.
50â30 â With algorithmically generated works, she prefers "image" over "picture" to address the complexities of input, systems, text, tagging, and algorithms. However, discussing photography's role in people's experiences remains essential. How do we manage this for the audience?
55â10 â Reading is important. Reading is a community.
57â45 â She does not believe in the hierarchy of art.
1â02 â Exercise for her students: choose an artwork and view it in person for an hour twice a week for one or two months.
Charlotte Kent's website: https://ckent.art/
Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Stay updated with the podcast: https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
You can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.
Avec MĂ©lanie Scarciglia et Christophe Boutin, nous avons parlĂ© de livres dâartistes. Nous sommes revenus sur la genĂšse des deux maisons dâĂ©dition quâils ont fondĂ©es ensemble, Onestar Press et Three Star Books. En parcourant leurs projets, nous avons abordĂ© les Ă©volutions du milieu de lâĂ©dition, comme lâarrivĂ©e de la technologie print on demand au dĂ©but des annĂ©es 2000, qui leur a permis de faire de petites quantitĂ©s de tirages, mais aussi les premiĂšres Ă©ditions des foires du livre dâart en 2005, telles que Printed Matter Ă New York, qui ont aussi accompagnĂ© le dĂ©veloppement du marchĂ© du livre dâartiste. Dans cet entretien, nous avons parlĂ© des multiples quâils ont faits : tirages, chaises, Ă©tagĂšres, des PDF de leurs livres qui sont disponibles en libre accĂšs et de leur processus de travail basĂ© sur une conversation avec des artistes pouvant prendre jusquâĂ 10 ans pour rĂ©aliser un ouvrage. Bonne Ă©coute !
Le site de Onestar press : https://www.onestarpress.com/
Le site de Three Star Books : https://threestarbooks.com/
Bénéficiez de 25% de remise sur touts les titres onestar press, pour des commandes supérieures à 100 avec le code promo : LESVOIX.
Le code est valable du 26 Juin au 2 juillet.
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
Avec MĂ©lanie Scarciglia et Christophe Boutin, nous avons parlĂ© de livres dâartistes. Nous sommes revenus sur la genĂšse des deux maisons dâĂ©dition quâils ont fondĂ©es ensemble, Onestar Press et Three Star Books. En parcourant leurs projets, nous avons abordĂ© les Ă©volutions du milieu de lâĂ©dition, comme lâarrivĂ©e de la technologie print on demand au dĂ©but des annĂ©es 2000, qui leur a permis de faire de petites quantitĂ©s de tirages, mais aussi les premiĂšres Ă©ditions des foires du livre dâart en 2005, telles que Printed Matter Ă New York, qui ont aussi accompagnĂ© le dĂ©veloppement du marchĂ© du livre dâartiste. Dans cet entretien, nous avons parlĂ© des multiples quâils ont faits : tirages, chaises, Ă©tagĂšres, des PDF de leurs livres qui sont disponibles en libre accĂšs et de leur processus de travail basĂ© sur une conversation avec des artistes pouvant prendre jusquâĂ 10 ans pour rĂ©aliser un ouvrage. Bonne Ă©coute !
2â30 â MĂ©lanie Scarciglia : des Ă©tudes en histoire de lâart et cinĂ©ma.
3â30 â Christophe Boutin : une premiĂšre carriĂšre dans la musique et en tant quâartiste plasticien.
6â â Sa dĂ©couverte du livre dâartiste : il a dĂ©veloppĂ© avec son ex-femme, la libraire Florence Loevy, une activitĂ© de self-Ă©diteur.
7â43 â Le premier livre dâartiste chez Onestar Press fut un livre de Christophe, puis il a travaillĂ© avec ses amis artistes.
10â â ArrivĂ©e de la technologie d'impression Ă la demande qui permettait de tirer des ouvrages en petites quantitĂ©s.
13â â PremiĂšre diffusion de leurs livres Ă la foire du livre de Francfort en 2000, puis en 2005, premiĂšre foire du livre dâartistes Ă NY, Printed Matter.
15â30 â Les premiers acheteurs : un public de bibliophiles, puis les institutions principalement aux USA ont suivi et certaines personnes ont souhaitĂ© acheter tous les livres.
Tous les PDF des livres sont accessibles gratuitement en ligne.
19â45 â Les artistes publiĂ©s deviennent eux-mĂȘmes des Ă©diteurs en invitant un artiste.
21â20 â Maison de livres dâartistes et de multiples : photos, collages, objets, chaises, Ă©tagĂšres.
23â15 â En 2007, crĂ©ation de Three Star Books : le livre nâest plus un geste, mais une vraie conversation pouvant aller de 1 Ă 10 ans de travail.
26â40 â Leur processus de travail : on peut aller vers les artistes avec une idĂ©e technique Ă tester, ou la conversation peut venir des artistes eux-mĂȘmes.
32â30 â Exemple du livre dâartiste de Cyprien Gaillard au Sri Lanka.
39â50 â Il sâagit de livres qui doivent ĂȘtre accompagnĂ©s et ils doivent expliquer comment ils sont faits pour les vendre.
41â40 â Les dĂ©fis pour les Ă©diteurs de livres dâartistes : ils encouragent dâautres Ă©diteurs Ă faire des livres dâartistes. Plus lâinternet devient prĂ©sent, plus ce type dâouvrage devient important, car il existe un contact physique avec le regardeur et les objets.
48â48 â Des conseils pour les Ă©diteurs : il faut avoir un bon comptable et sâentourer des gens quâon aime.
Des conseils pour les artistes : si les artistes ne trouvent pas dâĂ©diteurs qui veulent les Ă©diter, il faut Ă©diter soi-mĂȘme. "Il est important de faire des choses qui vous ressemblent et ne pas se laisser faire par lâobjet imprimĂ©."
Le site de Onestar press : https://www.onestarpress.com/
Le site de Three Star Books : https://threestarbooks.com/
Bénéficiez de 25% de remise sur tous les titres Onestar Press, pour des commandes supérieures à 100 euros avec le code promo : LESVOIX.
Le code est valable du 26 Juin au 2 juillet.
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-
-> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.
« Well Done John est une phrase quâon peut dire Ă la fin dâun shoot pour dire « Bravo ! » Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. » Laure Bouvet est acheteuse dâart et elle accompagne des photographes dans leurs pratiques commerciales et artistiques avec sa structure Well Done John. Dans cet entretien, on a parlĂ© de ses expĂ©riences dâacheteuse dâart chez les agences Fred & Farid et la Chose et en tant quâindĂ©pendante, mais aussi lâĂ©volution de son mĂ©tier et de ses formations. Elle est revenue sur lâimportance de dĂ©velopper une pratique artistique Ă cĂŽtĂ© de travail de commandes pour les photographes et de lâIA qui pousse les acheteuses dâart Ă se rĂ©inventer. Bonne Ă©coute !
Le site de Well Done John : https://welldonejohn.com/fr/
Crédit photo : Ilan Deutsch @ilandeutsch.
Pour vous inscrire Ă la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletter
Pour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite
Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
- Visa fler