Avsnitt
-
La route vers la première baisse de taux du cycle de la banque centrale américaine n'est pas un long fleuve tranquille. Les investisseurs jouent à se faire peur sur la dynamique économique des Etats-Unis, avec des suréactions au moindre indicateur économique qui traduisent une nervosité accrue. Comme il reste presque deux semaines avant la fameuse décision de la Fed, la volatilité a toutes les chances de rester élevée lors des prochaines séances.
-
Après une journée fériée, Wall Street a démarré sa semaine et son mois boursier par une sévère contreperformance. Les angoisses de crash économique sont revenues sur le devant de la scène par une sorte d'alchimie dont les marchés financiers ont le secret. En choisissant Nvidia comme victime expiatoire, il faut dire qu'ils avaient décidé de faire les choses en grand.
-
Saknas det avsnitt?
-
Le weekend prolongé des investisseurs américains hier n'a pas beaucoup aidé les marchés du vieux continent à prendre une trajectoire franche. Le principal enjeu de la séance, à Wall Street, sera de savoir si le S&P500 signe un nouveau record, puisqu'il ne lui manque que 0,4% pour effacer sa marque du 16 juillet dernier. En attendant, nous aurons droit à quelques statistiques macroéconomiques et au drama gouvernemental français, qui ne va pas tarder à fêter son second mois d'expédition des affaires courantes avec un nouveau badge de dérapage budgétaire incontrôlé.
-
Si vous avez coupé les ponts pendant deux mois avec les marchés financiers, la mise à niveau de rentrée ne sera pas très compliquée : les espoirs et les doutes de septembre 2024 sont assez proches de ceux de juin 2024. Sur les marchés actions, un optimisme teinté de prudence domine.
-
Les marchés actions ont franchi avec succès les deux principaux écueils de la fin août, le symposium de Jackson Hole et les résultats de Nvidia. Les regards se tournent désormais vers les ultimes données sur l'économie américaine avant la probable première baisse de taux du cycle de la Fed, dans trois semaines. En Chine, les autorités ont l'air décidées d'en faire un peu plus pour relancer la machine. Voici ce qui nous occupera ce matin, en plus d'un mini-bilan aoûtien.
-
Difficile d'échapper à Nvidia ce matin. Le groupe américain, nouvelle rockstar du marché, a publié de très bons résultats mais communiqué des perspectives moins explosives que prévu. L'un dans l'autre, le titre est sanctionné hors séance, mais on ne peut pas dire, en tout à potron-minet en Europe, que la publication a créé un traumatisme sur les marchés actions.
-
Les investisseurs ont sélectionné un réveil de marque Nvidia pour sortir de leur torpeur. Réveil en sursaut ou réveil en douceur ? Réponse ce soir, avec les résultats du géant de l'intelligence artificielle, qui fait partie depuis peu du cénacle des sociétés qui sont en capacité de rougir ou de verdir la cote boursière en fonction de ce qu'elles ont à raconter. Pour le reste… pas grand chose.
-
Les marchés se sont mollement enthousiasmés hier en Europe pour la confirmation du retour de la Fed américaine à une politique monétaire plus souple. Aux Etats-Unis, la fête avait déjà eu lieu et il a fallu compter sur le bon vieux secteur pétrolier pour tenir la baraque. Les investisseurs se tournent désormais vers les résultats de Nvidia, demain soir, pour entretenir la flamme.
-
Les marchés actions occidentaux ont progressé la semaine dernière. Une hausse entérinée vendredi par une position très souple de la banque centrale américaine, qui a validé implicitement le lancement d'un cycle de baisse des taux, c’est-à-dire exactement ce que les investisseurs espéraient.
-
Les places financières ont calmé le jeu hier, dans l'attente du discours que doit prononcer le patron de la Fed depuis Jackson Hole cet après-midi. Le plus probable est que le scénario de base, celui qui plaît aux investisseurs, ne changera pas beaucoup. Je vais revenir sur les enjeux de cette journée et sur le coup d'après, en essayant de ne pas rendre trop morose une chronique dans laquelle j'ai été forcé par les méchants démons de la finance d'écrire le mot "taux" 13 fois.
-
Les investisseurs attendent toujours le discours du patron de la banque centrale américaine demain depuis le symposium de Jackson Hole, mais on a le sentiment que rien ne pourrait détourner la Fed du lancement d'un cycle d'assouplissement monétaire en septembre. "Cycle d'assouplissement" ne signifie pas que des banquiers vont noyer le marché sous du Cajoline, mais qu'ils vont progressivement rendre l'argent moins donc plus abondant en réduisant leurs taux. Le marché aime ça. Pour patienter jusqu'à demain, je vous propose des histoires de statistiques, des PMI, de l'or et des enseignes de distribution.
-
Les investisseurs attendent toujours avec impatience le discours que doit prononcer vendredi le patron de la banque centrale américaine, dans lequel ils s'attendent à entendre confirmation d'un scénario favorable pour le monde de la finance. En l'occurrence le lancement, en septembre, d'un cycle de baisse des taux directeurs aux Etats-Unis. Pour patienter, je vous propose un bilan des indices boursiers après deux mois d'été et quelques anecdotes matinales sur le dollar, la Chine et Walmart.
-
Les marchés n'arrêtent plus de monter, dans une actualité qui a tendance à se clairsemer depuis la mi-août. Qu'à cela ne tienne, les investisseurs ont trouvé comme chaque année un nouvel horizon dans le Wyoming, à Jackson Hole, au pied du Grand Teton, apparemment nommé ainsi par des francophones émus par la forme de la montagne. Le chef de la Fed doit y prononcer un discours vendredi, ce qui suffit à tenir en haleine les marchés.
-
La grosse agitation baissière démarrée mi-juillet a été remplacée par une grosse agitation haussière depuis le 6 août sur les marchés boursiers. Tous les regards restent braqués sur la politique monétaire américaine, qui doit prendre une inflexion décisive en septembre. Malgré les remous, la narration n'a donc pas vraiment changé depuis des mois.
-
Les investisseurs ont parfois une mémoire de poisson rouge. C'est commode puisque ça leur permet de s'enthousiasmer à la hausse après avoir oublié qu'il y a dix jours, ils frôlaient la dépression nerveuse. Il faut dire que les planètes semblent se réaligner en faveur d'un avenir économique relativement prévisible, donc propice à la prise de risque. La psychologie du marché tient parfois à peu de choses.
-
Les remous qui ont démarré mi-juillet ont l'air de se calmer sur des marchés financiers qui ont repris des couleurs ces derniers jours. Ils restent en-deçà de leurs meilleurs niveaux de l'année, mais l'ambiance s'est réchauffée à mesure que grandit l'espoir d'accéder à de l'argent moins cher dans les mois à venir, grâce aux baisses de taux. Nouveau test aujourd'hui avec les chiffres de l'inflation américaine de juillet.
-
Les places boursières occidentales ont repris leur souffle hier, en attendant une nouvelle série de données macroéconomiques américaines. La volatilité se réduit, même si la géopolitique proche-orientale a crispé le marché pétrolier. En Chine, les autorités cherchent à reprendre le contrôle du marché obligataire avec des méthodes peu orthodoxes. Autant de sujets que nous allons balayer ce matin, en conviant aussi Bernard Arnaud et ses potes milliardaires.
-
Pour celles et ceux qui ont une mémoire de bulot, ou qui étaient simplement en vacances, je rappelle que l'Europe boursière s'était réveillée lundi dernier en constatant que la bourse japonaise avait décroché de 12%. Cela n'augurait rien de bon pour la suite. Et puis en fait, pas tant que ça. Profitons de cette journée du lundi pour faire le point sur la situation, parler pour la 100e fois de carry trade et prendre des nouvelles de mon voisin.
-
Hier, la tension est retombée d'un cran sur les marchés grâce à des données rassurantes sur l'emploi aux Etats-Unis. Ceci dit, je crois que les investisseurs avaient déjà décidé, avant cette annonce, de faire rebondir les indices après avoir jugé que leur réaction du début de semaine était excessive.
-
Hier, les indices américains ont échoué à poursuivre le rebond entrevu mardi. Ce n'est pas faute d'avoir essayé, mais ça n'a pas fonctionné. L'Europe s'est bien mieux comportée, avec un rebond presqu'intégral, si l'on excepte la gamelle de la star Novo Nordisk. La volatilité, donc la nervosité, reste élevée. C'est l'objet de la chronique du jour, où l'on croise des Allemands, Cathie Wood, du Ricard, JPMorgan et une divination sur la prochaine marotte des investisseurs.
- Visa fler