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La fin 2024 fera-t-elle mentir les statistiques qui font de décembre le mois boursier le plus susceptible de finir en hausse de l'année ? L'affaire est assez mal embarquée depuis que la banque centrale américaine a recommencé à faire les gros yeux au marché et que le bras de fer budgétaire a repris entre républicains et démocrates au Congrès.
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La Réserve fédérale américaine a abaissé ses taux hier, mais son message de prudence a glacé Wall Street. Les marchés semblent avoir été pris à contre-pied, même si le discours de Jerome Powell n'a fait que prendre acte des doutes qui assaillent les financiers ces dernières semaines. Quoi qu'il en soit, la séance a été rude hier à New York.
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Saknas det avsnitt?
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La Fed s’apprête à jouer au Père Noël des taux, mais pourrait garder le martinet à portée de main en 2025. Pour patienter jusqu'à l'annonce prévue ce soir, les responsables du divertissement boursier ont ressorti un serpent de mer du marché, le mariage entre Nissan et Honda, pimenté par la présence de Renault au capital et le taiwanais Foxconn, qui rôderait dans les parages.
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En deux semaines, Broadcom a pulvérisé tous les records, propulsé par la frénésie des investisseurs en quête d’alternatives à Nvidia. Le Nasdaq jubile, mais les multiples de valorisation s’affolent. La course aux super-héros de l’IA ne ralentit pas en attendant le verdict de la Fed demain soir.
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Les marchés actions occidentaux ont livré une semaine en clair-obscur, rattrapés par les doutes sur la trajectoire des taux directeurs aux Etats-Unis. Cette incertitude s’invite à nouveau au menu avec une décision de politique monétaire de la Fed prévue mercredi soir. Si une baisse de 25 points de base semble acquise, c’est la suite des événements qui titille les investisseurs, déjà préoccupés par les premières manœuvres du second mandat de Donald Trump.
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La macroéconomie a pris une place importante, comme prévu, cette semaine, avec une grosse série de modifications de taux directeurs des banques centrales. D'autres sujets importants ont gravité autour, notamment la Chine, les projets de Donald Trump et la force de traction de l'intelligence artificielle sur les marchés actions. Sans oublier la traque en cours pour retrouver le premier ministre français, porté disparu depuis plusieurs jours.
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Wall Street célèbre ses stars technologiques, avec un Nasdaq qui pulvérise les records. Pendant ce temps, Elon Musk entre dans l’histoire des fortunes planétaires, tandis que l’Europe observe de loin cette euphorie, lestée par ses propres défis.
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Les banques centrales reviennent sur le devant de la scène. Après l'Australie hier, c'est au tour des autorités monétaires du Canada et du Brésil de se prononcer aujourd'hui, avant la Suisse et la Zone euro demain. Quant à la banque centrale américaine, sa décision n'est attendue que la semaine prochaine, mais un jalon important se profile cet après-midi avec l'inflation de novembre aux Etats-Unis, dernier gros indicateur susceptible de changer la donne de fin d'année.
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Je suis heureux de vous annoncer que nous fêtons aujourd'hui le 1000e épisode de ce podcast et que vous êtes, depuis dix jours, plus de 100 000 abonnés à la version écrite de cette chronique. La séance de lundi a été marquée par le bond des actions chinoises et par la baisse des actions américaines. On peut ajouter à cela la hausse de la Bourse de Paris à contre-courant du reste de l'Europe, parce que le CAC40 est devenu une sorte d'ETF sur l'économie chinoise.
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Alors que le S&P 500 multiplie les records, les marchés mondiaux continuent de suivre la locomotive américaine, dopée par la politique économique de Donald Trump. Les investisseurs font peu de cas des tensions. Les amateurs de banques centrales, si toutefois ils existent, vont en avoir pour leur argent cette semaine avec une grosse série d'annonces, notamment celle de la BCE jeudi.
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On est toujours sans nouvelles de la baisse des actions françaises, qui en sont désormais à six séances consécutives de progression. Même l'indice phare de la bourse américaine, le S&P500, a lâché prise hier après avoir battu cinq fois d'affilée sa marque la plus élevée de l'histoire.
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Tandis que le gouvernement Barnier rend les armes après une censure prévisible, la France entre dans une nouvelle période d'incertitudes politiques. Appelé à la démission par la gauche, Emmanuel Macron a par le passé affirmé qu'il ne quittera pas le navire avant la fin du mandat en 2027. Sur le front économique, les marchés financiers semblent pour l'instant ignorer le tumulte hexagonal, préférant célébrer l'euphorie américaine et l'explosion des cryptomonnaies. Les prochains jours s'annoncent d'autant plus décisifs que la scène internationale reste, elle aussi, agitée.
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Entre l’effondrement annoncé du gouvernement Barnier, la loi martiale avortée en Corée du Sud et les records de Wall Street, les marchés s’agitent au gré des tensions politiques. La France pourrait bien payer cher son chaos institutionnel, tandis que les investisseurs cherchent des havres de paix… ailleurs.
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Les marchés actions occidentaux continuent à progresser. Même en France, où le CAC40 vient d'enchaîner trois séances de hausse en dépit d'une situation politique plutôt mal embarquée en matière de stabilité. Il en sera question dans les lignes qui suivent, avec quelques réflexions sur la bulle étasunienne, Notre-Dame de Paris, la Chine, un Kangoo et un mini-faucon.
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Les indices américains n'ont eu besoin que d'une demi-séance vendredi pour aller décrocher des records et clôturer un mois de novembre boursièrement faste. La bourse de New York était fermée vendredi pour la fête de Thanksgiving, suivie traditionnellement par une séance écourtée le vendredi. En France, le gouvernement joue un quitte ou double sur le budget. La zone euro est plus fragilisée que jamais.
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La dernière séance boursière du mois de novembre s'annonce relativement calme parce que les investisseurs américains ont déserté les marchés avec le jeudi férié de Thanksgiving. Ceux qui ne sont pas partis en weekend n'auront droit aujourd'hui qu'à une demi-séance, puisque Wall Street ferme traditionnellement à 13h00 pour le "Black Friday". En ce qui concerne l'Europe, je vais parler d'Atos et de BCE.
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Oui, je sais, ce titre est à la limite de la dystopie. Pendant que les Etats-Unis vont passer la journée à s'acharner sur des volailles dodues et des plats peu digestes à base de courge, l'Europe va essayer de se remettre la tête à l'endroit en tentant d'oublier les déboires politiques français. Hier, les marchés actions ont baissé, même si les investisseurs américains ont bénéficié d'un indice favorable à une baisse des taux de la Fed le 18 décembre.
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Curieuse ambiance sur les marchés. Les Européens se demandent quand la foudre Trump va leur tomber dessus via une déclaration enflammée sur le réseau Truth Social, comme elle est tombée sur le Canada, le Mexique ou la Chine avant-hier. Wall Street signe de nouveaux records pendant que le reste des places boursières doute. En France, l'ambiance est, comment dire, pas terrible.
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La tectonique des plaques financières a pas mal évolué sur la journée d'hier. Deux faits majeurs ont marqué la séance boursière, avant qu'un troisième ne vienne rebattre les cartes post-clôture aux Etats-Unis. On va prendre les choses dans l'ordre : Wall Street adore Bessent, les rumeurs de cessez-le-feu au Proche-Orient plombent le pétrole et la défense, Trump révèle les premières cibles de ses surtaxes douanières.
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Les publications trimestrielles d'entreprises touchent à leur fin pendant que la future administration américaine se met en place. En Europe, le spleen est toujours palpable sur certains marchés, notamment en France où les Jeux Olympiques ne masquent déjà plus le manque de dynamique économique et les dissensions politiques. Les banques centrales vont revenir sur le devant de la scène en décembre avec des enjeux forts mais divergents des deux côtés de l'Atlantique.
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