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Les espoirs d'envolée des indices après le triomphe électoral de Donald Trump se sont heurtés à quelques vents contraires la semaine dernière. Les investisseurs ont toujours le doigt sur la gâchette de la prise de risque, mais ils sont mal à l'aise avec un certain nombre d'éléments, en particulier l'évolution des taux directeurs aux Etats-Unis dans une configuration baisse des taxes / hausse des barrières douanières.
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Le Trump Trade a croisé la route du patron de la Fed un peu plus tôt que prévu. Jerome Powell a laissé entendre que le rythme des baisses de taux tant attendues pourrait être moins vif que ne l'espère le marché, parce que l'économie US va bien. Le petit drapeau rouge de l'inflation a resurgi en crispant un peu les investisseurs.
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Les secousses consécutives à l'élection de Donald Trump pour un second mandat à la tête des Etats-Unis continuent à se propager. Les investisseurs ont tendance à rapatrier leurs paris haussiers sur Wall Street, ce qui pénalise les autres places, pendant que des mécaniques profondes et sans doute durables se mettent en place, notamment sur le marché des changes.
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Pendant que Donald Trump tisse sa toile, la tectonique des plaques financières continue à s'ajuster. Après les réactions reptiliennes qui ont profité aux actifs offrant le plus d'effet de levier à court terme, des mécaniques plus fondamentales entrent en action, en particulier autour des projections de taux directeurs et de la nouvelle donne commerciale. Dans ce contexte, l'Europe trinque.
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Alors que l'Europe boursière a tenté un réveil hier, Wall Street a hésité, pénalisée par ses valeurs technologiques. Le vieux Dow Jones et le S&P500 ont toutefois terminé en hausse, sur de nouveaux records. Les actifs censés profiter de l'élection de Donald Trump ont continué à flamber.
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Cette journée de commémoration de la fin de la Grande Guerre est fériée dans certains pays, mais elle n'est pas chômée sur les marchés financiers. L'actualité est toujours largement Trumpo-centrée, les décideurs de tout poil cherchant à prévoir ce qui va se passer au cours des quatre prochaines années.
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Le triomphe électoral de Donald Trump et une réunion de la Fed parfaitement en ligne avec les attentes des financiers permettent aux marchés de continuer sur leur lancée. L'indice S&P500 est en passe de dépasser la barre symbolique et inexplorée des 6000 points, 9 mois après avoir allègrement effacé celle des 5000.
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Sauf à habiter sur la lune ou à disposer d'une force de caractère inaltérable pour se soustraire à toute forme d'emprise médiatique, échapper à l'élection présidentielle américaine semble à peu près impossible. C'est donc la grosse actualité du jour et le probable psychodrame des heures à venir. Le marchés financiers sont, sans surprise, dans un mode attentiste.
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La 45e semaine de l’année 2024 permettra de désigner le ou la 47e locataire de la Maison Blanche aux Etats-Unis. C’est évidemment une semaine charnière pour les marchés financiers, d’autant qu’elle hébergera aussi plusieurs décisions de politique monétaire et quelques centaines de résultats d’entreprises.
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Les marchés actions sont restés très volatils, et baissiers, à moins d'une semaine de l'élection présidentielle aux Etats-Unis. Les résultats d'entreprises continuent à provoquer des variations exubérantes. Les publications de 5 des 7 magnifiques cette semaine ont ajouté à la confusion : Alphabet et Amazon ont brillé, Microsoft et Meta ont coulé et Apple n'a rassuré personne. Octobre 2024 restera dans les annales comme un mois modérément baissier.
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Les marchés jouent à se faire peur pour Halloween, ce qui est plutôt dans l'ordre des choses. La proximité de l'élection présidentielle américaine et quelques mauvaises surprises sur les résultats d'entreprises pèsent sur le moral des troupes. Et si le S&P500 américain est quasiment au même niveau qu'il y a une semaine, il y a pas mal de variations extravagantes sur les actions.
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Les trucs qui sont au plus haut ou presque ce matin : le Nasdaq, l'or, le bitcoin et la température au bord du lac d'Annecy. Ceux qui sont au plus bas : la dynamique des sociétés européennes et la cote de popularité d'Emmanuel Macron. Il y a énormément de publications de résultats d'entreprises aujourd'hui et une bonne épaisseur de statistiques. Autant dire que j'ai passé un début de matinée difficile.
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A une semaine de l'élection présidentielle américaine, la tension politique monte mais n'affecte qu'indirectement les marchés financiers, occupés à décortiquer les résultats des entreprises. Si le scrutin est omniprésent en arrière-plan, Wall Street a montré par le passé qu'elle savait s'accommoder de toute situation. La journée de mardi sera marquée par les résultats d'Alphabet après la clôture.
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Une grosse semaine s'annonce, qui précède une grosse semaine. Dans les jours qui viennent, un grand nombre de résultats d'entreprises sont attendus des deux côtés de l'Atlantique. Puis place à l'élection présidentielle américaine et à une décision sur les taux directeurs US la semaine suivante.
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La saga des résultats d'entreprises a encore animé la cote hier. Des gains de plus de 20% pour Tesla et Molina aux Etats-Unis, des plongeons spectaculaires pour Edenred et Michelin en France, on ne sait plus où donner de la tête. Ça permet quand même de patienter en attendant de savoir si le monde sera croqué à la sauce démocrate ou à la sauce républicaine dans moins de deux semaines.
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Le grand marathon des publications trimestrielles a commencé, avec de bonne surprises chez Carrefour ou Tesla, des mauvaises chez Michelin ou Dassault Systèmes, Gucci (Kering) qui n'en finit plus de déprimer et Renault qui tient le choc. Le tic-tac de l'élection présidentielle américaine fait de plus en plus de bruit et profite au dollar. Il y a aura beaucoup de tout aujourd'hui : beaucoup de résultats, beaucoup de politique et beaucoup de macro.
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Les marchés actions ont mis la pédale sur le frein depuis quelques jours. Les investisseurs sont contrariés par trois trucs. Primo, le manque de second souffle du rebond chinois. Secundo, l'incertitude créée par l'élection présidentielle américaine. Tertio, le recul des probabilités d'un assouplissement monétaire spectaculaire aux Etats-Unis. Le tout avec une saison des résultats qui démarre mi-figue, mi-raisin et l'épée de Damoclès d'un dérapage dans la crise au Proche-Orient.
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Le marché obligataire a pris un coup de chaud hier, ou de froid, selon que l'on se place du côté des prix ou des rendements. Alors qu'ils ne devaient avoir d'yeux que pour les résultats d'entreprises, les investisseurs s'intéressent à nouveau au rythme des baisses de taux. Ce qui va m'amener à parler ce matin de Trump, de Fed, de SAP, de Nvidia ou encore de BRICS.
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A deux semaines de l'élection présidentielle américaine, les investisseurs vont se focaliser sur la pléiade d'annonces de résultats d'entreprises pour tenter de continuer à faire monter les arbres boursiers jusqu'au ciel. La Chine a rejoint ce matin le clan des banques centrales qui poursuivent leurs baisses de taux. La toile de fond géopolitique reste agitée, entre sommet des BRICS en Russie et guerre au Moyen-Orient.
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La première grosse semaine de publication de résultats trimestriels a accouché de performances contrastées selon les entreprises, ce qui n'a pas empêché plusieurs indices de toucher des records. L'IA, la Chine et la géopolitique continuent à fournir le contexte, pendant que le compte à rebours accélère avant l'élection présidentielle américaine.
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