Avsnitt
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Serge de Lenz, surnommé le "gentleman cambrioleur", est condamné à 10 ans de prison pour 40 effractions. Enfermé à Melun, il mène une vie de prisonnier exemplaire en travaillant à l’imprimerie de l’établissement. Serge parvient à se réinventer temporairement grâce à une organisation pour anciens détenus. Il reprend le pseudonyme de Serge de Fontenay, se fait passer pour un jeune homme d'excellente éducation, et trouve un emploi modeste à Dieppe.
Mais derrière sa remarque réhabilitation, Serge ne tarde pas à renouer avec son passé tumultueux. À Dieppe, il mène une triple vie, entre son travail d’ouvrier, ses mondanités, et ses relations amoureuses multiples. Il se rapproche d’un riche châtelain américain qui le prend sous son aile. Ayant gagné sa confiance et obtenu un accès privilégié à son château et à ses précieuses collections, Serge se retrouve en position idéale pour préparer un nouveau coup spectaculaire qui pourrait le relancer dans la sphère criminelle…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1. -
Le 1er juillet 1926, Yoann Vinpassagère est arrêté par la police. Cet homme a été vu au bord du Danube à Vienne, jetant à l’eau une boîte contenant un chat mort. Ayant déjà été condamné pour vol et agression, cet homme est interrogé par les autorités. Lorsqu’on lui demande où se trouve sa femme il avoue l’avoir tuée, sans le voir, en l’assommant. En enquêtant sur Yoann Vinpassagère, la police apprend qu’il a violé sa fille quand elle avait 16 ans. La jeune fille a mystérieusement disparu quand elle a voulu le dénoncer.
Après ces troublantes découvertes, Vinpassagère est traduit en justice pour les meurtres de sa femme et de sa fille. Devant le juge, Yoann avoue sans mal le meurtre de sa femme. Il l’a frappée pendant une dispute et a dépecé son cadavre. Etant boucher, Yoann Vinpassagère a découpé sa femme sans problème de la même manière qu’un porc…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1. -
Saknas det avsnitt?
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Le 4 décembre 1967, Robert Durant rentre seul de l’école. Sur le chemin, il se fait kidnapper. Les parents Durant reçoivent une lettre anonyme avec une demande de rançon de 20 000 francs pour récupérer le petit Robert. En examinant ce courrier, la police constate que les mots ont été formés par des lettres découpées dans des journaux pour enfants. Des passants annoncent que Robert était en compagnie d’un jeune homme en sortant de l’école. La police arrête un adolescent de 15 ans, nommé Jean-Paul. Il était dans le même collège que le petit Robert avant d’y être renvoyé. Il raconte à la police servir d’intermédiaire à deux gangsters avec qui il a partagé la rançon. En enquêtant sur lui, plusieurs témoignages décrivent Jean-Paul comme un garçon étrange, faisant peur à son entourage. La police comprend qu’il a agi en réalité seul pour kidnapper et tuer le petit Robert… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
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Maurice Martin, 25 ans, n’arrive pas à trouver un travail. De par son physique, tout le monde le refuse car il est trop beau pour faire une simple profession. Désespéré, il décide d’aller à la facilité en séduisant une jeune femme prénomée Alice. Elle lui fait croire qu’elle a de l’argent et qu’elle peut l’aider à trouver un emploi. Ils partent ensemble à Alger pour refaire leur vie et devenir riche. Mais ce voyage devient vite un cauchemar. Maurice ne trouve pas de travail et Alice est obligée de danser pour obtenir de l’argent. Le couple rentre à Marseille. Maurice continue à chercher désespérément du travail pendant qu’Alice part en tournée dans des théâtres et des casinos. Pendant ces voyages elle rencontre un riche homme qui lui donne beaucoup d’argent. Elle se rapproche de cet homme et finit par oublier son véritable amour… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
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Une mort pas naturelle
Le 12 mars 1956, Martine est retrouvée morte sur le sol de sa cuisine. Elle est presque nue, les bras repliés vers la tête, une blessure apparente sous le sein gauche. Près de sa tête se trouve le révolver de son mari, Jean. Dès le début de l’enquête, les policiers trouvent plusieurs preuves, notamment des tâches de sang sur des vêtements. La piste du suicide
C’est la troisième fois que Jean est veuf. Interrogé par des journalistes concernant le potentiel suicide de sa femme, Jean leur explique qu’il fait de la recherche scientifique pour découvrir les radiations émises par les corps vivants. Jean utilise ses expériences pour prouver le suicide de Martine. De son côté la police essaye de le rattraper pour démontrer qu’il a tué sa femme…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1. -
Dans un village tranquille de la Somme, la disparition soudaine de Jacques Ferreira, un artisan portugais respecté, bouleverse les habitants. Parti un soir de 1947 sans prévenir, il laisse derrière lui sa femme Simone et des dettes auprès de ses ouvriers. Rapidement, les rumeurs s’installent : a-t-il fui au Portugal, lassé de la violence et des infidélités de Simone, ou a-t-il été victime d’un acte criminel orchestré par cette dernière et son amant, Marcel Gouin ? Pendant six ans, l’affaire reste une énigme, classée par les autorités comme un simple abandon de domicile. Pourtant, un ami fidèle de Jacques, Lino Machado, refuse de croire à cette version et mène une enquête discrète, convaincu que la vérité est plus sombre. C’est finalement en 1953 qu’un nouveau commandant de gendarmerie relance l’enquête, intrigué par des éléments troublants autour d’une maison autrefois louée par Simone et son amant… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
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Un matin de Noël 1954, à Trouville, Pierre Gillet, un agent immobilier, est accusé d’avoir empoisonné la femme du docteur Valancourt. Le commissaire en charge de l’enquête est intrigué. Il découvre un homme qui lui ressemble étrangement, mais dont la vie est à l’opposé de la sienne : Pierre Gillet possède une belle maison mais y mène une existence trouble marquée par une relation tumultueuse avec la victime. Pendant son interrogatoire, Pierre Gillet raconte son histoire d’amour de 15 ans, qui se résume avec passion et tension. Entre jalousie, regrets et incompréhensions, l’amant dépeint un tableau poignant de leur vie commune, tandis que le commissaire tente de démêler la vérité sur les événements de cette nuit tragique… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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L'affaire de "L'enfant nu de la Saint-Sylvestre" retrace une sombre histoire d’infanticide. En ce 1er janvier 1936, le corps sans vie d'un jeune garçon de 6 ans est découvert dans un fossé à Versailles. Malgré une enquête nationale d'envergure et la médiatisation des faits, l'identité de l'enfant reste un mystère durant plus de dix mois. Après autopsie, les médecins révèlent une mort par asphyxie ainsi que des fêlures de la boîte crânienne. Le docteur Paul relève par ailleurs une particularité sur le corps de l’enfant : une petite verrue sur l’oreille droite. C’est alors qu’une nouvelle lettre parvient au commissariat, celle d’une jeune mère, qui n’a pas revu son enfant depuis plusieurs années. Son père, Frédéric Moyse, un homme menteur et manipulateur qui ne s’est jamais occupé de son fils, l’avait subitement retiré de chez sa nourrice quelques mois avant la découverte de “l’enfant nu”… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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Dans une petite ville paisible du Nord, Henri, un jeune industriel brillant de 26 ans, vit avec sa femme Alice et leurs deux enfants dans un pavillon attenant à son usine. Une nuit de juillet, après avoir entendu des bruits suspects dans son jardin, Henri s’arme de son revolver. Une fusillade éclate, et dans la confusion, Alice est grièvement blessée. Interrogé par la police, Henri raconte avoir été victime d’une tentative de meurtre par un cambrioleur. La situation prend un tournant inattendu lorsque la mère d’Alice affirme que sa fille a accusé son mari d’avoir voulu la tuer. Au fil de l’enquête, des éléments troublants émergent : l’absence de témoins, un chien silencieux, et des incohérences dans les preuves. Tandis que les soupçons s’accumulent autour de Henri, Alice adopte une attitude ambivalente, compliquant davantage l’enquête… Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :
Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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Jeanne, une étudiante sérieuse et réservée, mène une vie tranquille et studieuse. Son quotidien se bouscule lorsqu’elle rencontre Paul, un brillant étudiant en médecine au caractère charmeur et insouciant. Attirée par son charisme et son assurance, elle découvre à ses côtés une nouvelle facette de la vie, pleine de promesses et d'émotions. Cependant, leur relation met rapidement en lumière leurs grandes différences : tandis que Jeanne est sincère et attachée à des valeurs solides, Paul se montre plus détaché, vivant l’instant sans se soucier des conséquences.
Un soir, après une dispute particulièrement intense, un accident de voiture bouleverse leurs vies. Cet événement est un électrochoc pour Jeanne et Paul. Ils doivent faire face à leurs émotions les plus profondes et examiner leurs décisions passées. Entre amour, remords et le poids des erreurs, leur relation est mise à l’épreuve…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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Le 22 avril 1961, une femme est retrouvée morte sur une voie de train. En arrivant sur place, la police hésite entre un assassinat, un accident ou un suicide. La victime, Hedwige Chunfeld, habitait dans une maison bourgeoise de Hanovre, qu’elle partageait avec un couple de personnes âgées qu’elle considérait comme ses parents. Pendant l’interrogatoire de la police, la vieille dame raconte que Hedwige lui avait avoué être enceinte de 4 mois mais que le père de l’enfant ne voulait pas rester avec elle.
Hedwige avait également confié à sa colocataire que l’homme dont elle était enceinte avait tenté de la tuer sur un pont de chemin de fer. La jeune fille a réussi à survivre en se cramponnant à un tablier métallique…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
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Promotion et distribution : Marie Corpet
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En début d’année 1938, Karl Mayer cherche à joindre le procureur de Berlin par courrier. Il insiste en précisant qu’il a des révélations à faire à la justice. Pendant plusieurs semaines il envoie des lettres mais sans succès. Il n’arrive pas à obtenir de rendez-vous avec le procureur. Finalement il décide de se rendre dans un commissariat pour avouer le meurtre de sa femme trois mois auparavant. Mais les policiers ne lui demandent aucun détail et lancent une enquête.
Quelques jours plus tard, des policiers se rendent chez Karl Mayer. Mais l’appartement est vide, tout y est rangé soigneusement mais la poussière témoigne d’une absence d’habitant. Ils trouvent une lettre de Karl Mayer qui décrit sa solitude. Il y révèle ce qu’il est exactement arrivé à sa femme…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.
Crédits :Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
Rédaction et production : Raphaëlle Mariatte
Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
Création du visuel : Sidonie Mangin
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Entre 1946 et 1947, Rudolf P. a tué 60 personnes en Allemagne. Alors qu’il est déjà condamné à 12 ans de prison, il avoue en détails 9 de ses crimes. Mais il ne souhaite pas en dire plus et laisse la police chercher par elle-même les 51 autres cadavres. Après ces aveux, Rudolf est jugé aux assises d’Hanovre, où des journalistes du monde entier sont venus contempler ce monstre authentique.
Le tueur en série doit expliquer pourquoi il a commencé à tuer toutes ces personnes. Il avoue que pour lui ce n’est pas possible d’avoir du plaisir avec une femme sans la ruer. Pour lui, il est nécessaire d’assassiner des femmes. Quatre psychanalystes assistent au procès et doivent trouver l’origine de la perversion de Rudolf. Mais l’accusé contredit chaque expert et avoue simplement qu’il a utilisé son droit de tuer et qu’il ne compte pas s’arrêter là…
Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.
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Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud
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Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus
Promotion et distribution : Marie Corpet
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Le 13 avril 1947, un commerçant de Hambourg est tué à plusieurs coups de hache par Rudolf P. Il est vite arrêté et emprisonné avant d’être condamné à 12 ans de bagne en 1949. Il est également obligé de suivre des soins dans une clinique spécialisée. Après un an d’incarcération, Rudolf veut travailler dans l’administration pénitentiaire. Pour prouver qu’il serait un parfait bourreau de prison, il avoue avoir tué 60 personnes entre 1946 et 1947. Il propose même à des policiers de le guider sur les lieux de ses crimes.
Un jeu de piste géant débute pour exhumer les corps des victimes de Rudolf. Au bout de 9 crimes avoué et raconté en détails, Rudolf se lasse de cette chasse aux cadavres. Les policiers doivent se débrouiller pour trouver les 51 autres corps en utilisant les premiers récits du monstrueux criminel…
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Le 23 octobre 1966, à Milford en Australie, une petite fille de huit ans disparaît alors qu’elle sortait promener son chien. La police ratisse la région pour retrouver Wendy. Le lendemain, Neville, un jeune homme de 22 ans, déclare avoir trouvé le corps de la fillette en allant pêcher. Il guide les policiers jusqu’à un sentier mais aucun cadavre n’est présent. Cependant ils trouvent une chaussure d’enfant.
Ne retrouvant toujours pas Wendy, les policiers commencent à soupçonner Neville. Ils pensent qu’il a tué la petite fille sans le vouloir et ne sait pas comment l’avouer. En relevant des empreintes, un expert scientifique affirme même que l’enfant est monté dans la voiture de Neville. Mais le corps de Wendy reste introuvable. Sans cadavre ils ne peuvent pas prouver réellement que Neville est un criminel…
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En février 1957, près d’Orléans, des gendarmes découvrent un homme agonisant près de son cyclomoteur. Il semble avoir été victime d’un délit de fuite. Mais rapidement, des détails troublants apparaissent : l'absence de traces sur la chaussée et la disposition inhabituelle des objets suggèrent une possible mise en scène. L’enquête révèle que la victime est liée à un guérisseur local, qui se trouve être l’amant de sa femme.
L’affaire prend une tournure encore plus étrange lorsque des aveux pointent vers des motivations liées à la sorcellerie et à des croyances occultes. Les protagonistes évoquent des maléfices et des pratiques magiques supposées avoir influencé leurs actes. L'enquête, d’abord rationnelle, plonge dans un univers irrationnel mêlant superstitions, tensions familiales, et secrets de village, ajoutant un voile de mystère à ce qui semblait n’être qu’un banal accident…
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Russel Donghae a toujours rêvé d’être un nageur professionnel. N’ayant jamais pu atteindre la gloire, il place tous ses espoirs dans ses deux enfants. Il leur donne des entraînements très intensifs, avec une sévérité implacable. Leur enfance est un cycle infernal de spectacles de natation et de records improbables. Ce train de vie inquiète un policier qui tente d’alerter les autorités et la presse sur ces abus. Mais personne ne lui répond et le public continue de se fasciner pour les performances de ces enfants.
Alors que les exhibitions se multiplient, les signes de souffrance des enfants deviennent de plus en plus évidents, notamment chez la cadette. Malgré les interventions du policier et les témoignages de tiers, Russel persiste dans son obsession, allant jusqu'à organiser des projets insensés, comme la traversée de la Manche. Jusqu'où ira-t-il pour satisfaire son ambition ?
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En 1957, dans un paisible pavillon de la banlieue parisienne, le docteur H. mène une vie étrange et tumultueuse. Marié à la sage et élégante Marie-Claire, il partage également son quotidien avec Simone, sa maîtresse, logée au rez-de-chaussée. Simone, une femme vieillissante, instable et jalouse, se consume lentement dans cet arrangement insolite, tiraillée entre sa position d’amante et sa rivalité silencieuse avec Marie-Claire. L’atmosphère oppressante de la maison devient un véritable huis clos, où tensions et frustrations montent inexorablement.
Un soir, la situation bascule tragiquement. Une scène macabre attend la police dans la chambre conjugale : Marie-Claire a été assassinée de manière brutale. Le docteur, apparemment calme, livre un témoignage troublant, tandis que Simone avoue sa jalousie grandissante. Mais qui dit vrai ? Que s'est-il réellement passé cette nuit-là ? Entre mensonges, manipulations et révélations glaçantes, l’enquête dévoile peu à peu les sombres secrets de cette maison divisée en deux mondes…
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Hermann Webster un jeune homme ambitieux et séduisant, issu d’une famille respectable du New Hampshire. Après des études en médecine, il s’installe à Chicago où il entame une ascension intrigante. Désormais connu sous le nom de Dr. Holmes, il acquiert un drugstore dans des circonstances mystérieuses avant d'entreprendre un projet audacieux : la construction d’un hôtel. Sa conception, avec des plans complexes et des aménagements inhabituels, cache des intentions bien plus sombres.
Grâce à son charme et à son intelligence, le Dr. Holmes attire de nombreuses personnes dans son hôtel, notamment des femmes esseulées et riches. À l’abri des regards, l’hôtel devient le théâtre de pratiques macabres et ingénieuses. Avec une précision glaçante, Holmes orchestre un véritable empire criminel au cœur de Chicago. Mais malgré sa méticulosité, un détail inattendu viendra tout bouleverser, révélant peu à peu l’ampleur de ses actes monstrueux.
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Jane Montalla, 35 ans, se fait agresser au milieu de la nuit. En rentrant chez elle, cette femme traverse une cocoteraie. Soudainement elle est bousculée et sa tête heurte une pierre. Elle réussit à prévenir la police avant de tomber dans le coma. Quelques heures plus tard, à l’hôpital, elle décède à la suite d' une hémorragie cérébrale. Jane Montalla entretenait plusieurs relations avec différents amants. Très vite la police se tourne vers eux.
L’un des nombreux amants de la victime se trouve être le rédacteur en chef du journal local. Un inspecteur décide de centrer son enquête sur cet homme, qui lui paraît suspect. En remontant petit à petit la soirée de Jane Montalla, le policier se rend compte que la victime s’était disputée avec le rédacteur en chef le soir même de sa mort. Il semblerait également que la victime ait menti sur son lieu d’agression en prévenant la police…
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