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C'est un des logos les plus reconnaissables au monde. Une silhouette de joueur de basket qui dribble sur un fond bleu et rouge. Le joueur est en blanc, et ressort parfaitement. A ses pieds, trois lettres : N – B – A
Depuis 1969, ce logo est celui de la plus grande ligue de basket professionnel au monde. Il n'a été retouché qu'une seule fois, et très légèrement. C'était en 2017.
Mais en-dehors de ça, pas question de toucher à ce qui est devenu l'identité de la NBA, et surtout une marque qui se vend à travers le monde.
Comment est né ce logo ? Quel joueur se trouve dessus et pourrait-il changer un jour ?
C'est ce qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de basket.
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C'est peut-être le plus gros échec de la carrière de LeBron James.
En juin 2011, un peu moins d'un an après sa signature retentissante avec le Heat de Miami, le voilà en finale NBA. Le Big Three qu'il forme avec Dwayne Wade et Chris Bosh est programmé pour gagner.
En face, une équipe de Dallas qui s'est glissé là de manière convaincante, mais qui ne fait pas vraiment peur à Miami non plus. Encore une fois, il y a LeBron James, Dwayne Wade et Chris Bosh. Le titre de ce Heat de Miami semble inévitable. Pourtant, rien ne va se passer comme prévu pour LeBron James et sa bande.
A la fin, c'est Dirk Nowitzki qui va soulever le trophée.
On vous raconte comment, aujourd'hui dans Histoires de basket.
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Saknas det avsnitt?
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Les Jeux olympiques de Munich en 1972 ont marqué la grande et la petite histoire. La grande avec l’attentat perpétré contre les athlètes israéliens, le 5 septembre. Onze sportifs avaient été tués après une prise d’otages de plusieurs heures. Un événement tragique qui place tout le reste au second plan.
Et le reste, la petite histoire donc, c’est une finale olympique de basket légendaire entre les États-Unis et l’URSS. Elle a été disputée le 9 septembre, en pleine guerre froide entre les deux pays. Une finale au finish complètement dingue, avec des retombées qui dure encore aujourd’hui pour les familles des joueurs américains.
C’est ce qu’on vous raconte aujourd’hui dans Histoire(s) de Basket. Un épisode écrit par Jonathan Demay.
Episode diffusé une première fois le 9 avril 2024.
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En NBA, Iron Man ne porte pas toujours un masque et une armure.
Il ne vole pas non plus. Seul point commun avec Tony Stark, c'est probablement d'avoir des revenus très confortables.
Iron Man en NBA, c'est le joueur qui a joué le plus de matchs à la suite. Celui qui évite donc les blessures, tout en restant assez bon pour qu'on ait besoin de lui.
Actuellement, après la saison NBA 2023-2024, l'Iron Man de la NBA s'appelle Mikal Bridges. Il a joué 474 matchs de suite. Concrètement, cela fait six saisons qu'il est dans la NBA sans avoir raté un match.
Mais il est encore loin, très loin, du record de l'Iron Man ultime.
A.C. Green a joué 1192 matchs NBA de suite ! Cela fait 14 saisons de suite sans rater un match ! Une record complètement fou, qui semble presque impossible à battre. Mais A.C. Green, c'est aussi un joueur complètement atypique dans l'histoire de la NBA.
Son parcours et son record, c'est ce qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de basket.
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Durant la longue saison régulière, les joueurs NBA passent leur temps entre les parquets, les avions et les chambres d'hôtels. Comme ils voyagent beaucoup et jouent plusieurs fois par semaine, le sommeil est capital pour leur santé et leurs performances. C'est pourquoi les hôtels sont des lieux très importants.
Dernière preuve en date : l'équipe américaine avait loué un hôtel entier à Paris pour les Jeux olympiques cet été. Le tout pour la modique somme de 15 millions de dollars ! On ne rigole pas avec les conditions de vie des joueurs.
Mais que se passe-t-il si l’hôtel n'est pas aussi accueillant... Et que se passe-t-il si l'hôtel est carrément... hanté ?
C'est ce qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de basket. Un épisode écrit par Jonathan Demay.
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Même si quelques anciens parlent encore de « smash », le mot « dunk » s’est imposé au fil des années en France pour désigner ce geste qui consiste pour un joueur « à effectuer une claquette pour faire rentrer le ballon dans le cercle sans quitter la main. » C’est la définition du mot que l’on peut trouver sur la toile.
Ce que cette définition ne dit pas, c’est que le « dunk » ne concerne que le basket, et il en est même devenu un geste symbole, au même titre que le dribble ou le shoot.
Comment ? C’est ce qu’on vous raconte aujourd’hui dans Histoires de basket avec le premier dunk de l’histoire.
Texte de cet épisode écrit par Fabrice Auclert. Episode diffusé une première fois le 2 janvier 2024.
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Les Celtics ont connu des histoires uniques lors de la Draft. Et parfois, hélas, tragique comme lorsqu’ils avaient sélectionné Len Bias en 1986 en 2e position. Annoncé comme l’adversaire numéro 1 de Michael Jordan pour les années à venir, l’ailier de Maryland est retrouvé mort, deux jours plus tard, victime d’une overdose.
Heureusement, il y a aussi des Draft bien plus heureuses, et même mémorables comme en 1982. Cette année-là, avec le 225e choix, au 10e tour, les Celtics choisissaient Landon Turner.
Sa particularité ? Il est paraplégique !
Une histoire aussi méconnue qu'incroyable, qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.
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Des facultés auditives réduites à 25% dès la naissance. Un père polygame. Un voyage en Europe qui le laissa fauché. Un séjour dans l’antichambre de la NBA et une pige improbable à Cleveland : c'est l’histoire extraordinaire de Lance Allred, premier basketteur sourd à avoir foulé un parquet pro américain.
C’était en 2008 avec les Cleveland Cavaliers. A l’époque, Victor Wembanyama avait 4 ans…
Un parcours incroyable pour ce gars de 2 mètres 11 qui a grandi en Utah dans une famille menée par un père Mormon fondamentaliste.
On vous raconte tout ça dans cet épisode d'Histoires de basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.
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Grant Hill, c’est un ancien joueur soyeux. Superbe à voir jouer. C’est aussi une carrière ruinée par les blessures, et ça l’a sans doute empêché d’être l’un des meilleurs joueurs de sa génération.
Grant Hill, c’est également un joueur qui a réussi, au moins le temps d’une année, à être plus populaire que Michael Jordan. Et pas n’importe quel Michael Jordan. Celui de 1996, fraîchement revenu de sa première retraite – lancé dans une saison record avec la Bulls.
À 23 ans, l’ailier des Pistons va pourtant récolter plus de votes pour le All-Star Game que la superstar mondiale de Chicago.
Retour sur les débuts en NBA d’un des joueurs les plus marquants des années 90.
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C’est LA chaussure de basket la plus connue au monde. La Air Jordan 1 est bien plus qu’une simple paire de baskets : c’est une icône culturelle qui a transcendé les frontières du sport, de la mode, et de la société.
Créée dans les années 1980, cette chaussure est devenue un symbole intemporel de style mais aussi de rébellion puisqu’elle avait été d’abord interdite par la NBA ! Au final, sa sortie marque le début d’une vraie révolution dans le domaine des chaussures de basket, mais aussi des sneakers, ces chaussures de sport devenues chaussures de mode.
La Air Jordan 1, c'est aussi le début de la marque Jordan. Et de la fortune qui va aller avec.
On vous raconte tout ça dans cet épisode d'Histoires de basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.
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Utiliser un joueur de basket pour amadouer un dictateur. Oui, aujourd'hui, il est une nouvelle fois question de diplomatie et de sport.
L’anecdote est assez incroyable. Pourtant, elle n’est revenue aux oreilles de Steve Kerr qu'en 2021, presque 9 ans après les faits. Car l'affaire remonte à 2012. Cette année là, fraîchement réélu, Barack Obama cherche un moyen d'entrer en contact avec Kim Jong-Un. A l'époque, le dictateur nord-coréen est en poste depuis à peine un an, suite au décès de son père, Kim Jong il.
Et Kim Jong Un a une passion tout ce qu'il y a de plus commune : le basket. Plus précisément la NBA. Et encore plus précisément les Chicago Bulls. Alors pourquoi ne pas utiliser Steve Kerr, ancien joueur des Bulls pour l'appâter ?
C'est la naissance de cette idée et un résultat final plutôt inattendus qu'on vous raconte dans cet épisode d'histoires de basket.
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Le sport peut parfois briser les frontières. C’est ce qui est arrivé le 12 février 1989 à Houston. Ce jour-là, Rimas Kurtinaitis était devenu le premier joueur à participer au All-Star Game NBA sans avoir joué dans la ligue américaine. Mais pas n’importe quel joueur. Un Soviétique.
À l’époque, le mur de Berlin est encore debout pour quelques mois. L’URSS a encore un peu plus de deux ans devant elle, et nous sommes donc encore dans la guerre froide. La fin de la guerre froide, mais la guerre froide quand même.
Avec sa belle coupe mulet et son affreux maillot, Rimas Kurtinaitis est donc un pionnier, une curiosité pour le public réuni au Texas.
Mais surtout un basketteur qui a vécu une belle aventure.
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Les Jeux olympiques 2024 se sont terminés par une finale exceptionnelle entre les Etats-Unis et la France. Tom Cruise a transmis le drapeau olympique à la maire de Los Angeles
Pour fêter tout ça, je vous propose aujourd’hui de revenir 40 ans en arrière, et justement de nous plonger dans l'histoire des Jeux Olympiques de 1984 à Los Angeles. Plus précisément dans le tournoi masculin de basket.
Car c'est cette année-là, à LA, que Michael Jordan, alors jeune espoir du basket-ball américain, a coulé les fondations de sa renommée mondiale. A l'époque, il n'est même pas encore en NBA. Mais il va déjà montrer que l'avenir est prometteur.
Et c'est ce qu'on vous raconte aujourd’hui dans Histoires de basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.
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Imagine-t-on LeBron James, Kevin Durant, Joel Embiid ou Victor Wembanyama n’avoir aucune marge de manœuvre quant à la suite de leur carrière, être en permanence dépendant du bon vouloir de leurs dirigeants ? Et tout ça à vie, ou presque !
Evidemment, non. A la fin de leur contrat, ils peuvent signer dans l'équipe de leur choix. LeBron James et Durant n'ont d'ailleurs jamais hésité à le faire.
Mais ce qui est vrai aujourd’hui ne l’a pas toujours été. Le concept de « free agent », le joueur libre de signer où il veut, et donc de « free agency » n’est pas né avec la ligue. Cette liberté absolue du joueur, de signer où il le souhaite n'est pas si ancienne. Pas du tout même. Le premier vrai free agent, c'était Tom Chambers. Et c'était en 1988 !
Comme souvent aux Etats-Unis, il a fallu s'élever contre les puissants, et quelques actions en justice.
C'est ce qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de basket, sur la base d'un article de Samuel Hauraix.
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32, 33, 24, 3, 9, 23. Attention, inutile de prendre des notes, ce ne sont pas les numéros gagnants du prochain tirage du Loto. Mais bien les numéros des maillots de Magic Johnson, Larry Bird, Kobe Bryant, Allen Iverson, Tony Parker et Michael Jordan évidemment. Des numéros mythiques pour les fans.
On peut d’ailleurs souligner que le numéro 3 d’Allen Iverson, mais aussi de Chris Paul ou Dwyane Wade, est celui qui a été le plus porté dans l’histoire de la NBA. Le site Basketball Reference annonce que 360 joueurs ont arboré ce numéro dans leur dos.
En revanche, plusieurs numéros n’ont jamais trouvé preneur, dont le fameux 69. Histoire(s) de basket vous explique pourquoi, et surtout comment Dennis Rodman – qui d’autre ?! – a essayé de faire sauter cet interdit tacite.
Episode publié une première fois le 1er février 2024.
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Au cours de la longue histoire de la NBA les règles ont souvent changé pour donner un peu plus d’intérêt au jeu.
Parmi elles, on pense à la création de l’horloge des 24 secondes pour éviter que des équipes jouent la montre avec des possessions qui durent une éternité.
Mais la NBA a aussi dû toucher à l’équipement. Avec l’arrivée de la force de la nature qu’était Shaquille O’Neal, il n’était pas rare que les paniers plient sous son poids, et la NBA a été obligée de rendre ses paniers plus résistants.
Ce n’était pas la première fois qu’on touchait au panier dans la ligue. En 1954 les Lakers et les Hawks s’étaient affronté sur un panier à 3m65 du sol.
C’est ce qu’on vous raconte aujourd’hui dans Histoires de Basket. Episode écrit par Fabrice Auclert.
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Il peut parfois émerveiller comme lorsque Marvin Gaye prend le micro lors du All-Star Game 1983, ou il peut être moqué quand Fergie, des Black Eyed Peas se loupe en 2018
et il est même parfois boycotté ou théâtre de manifestations.
Toujours est-il que l’hymne américain est toujours joué avant chaque rencontre NBA.
Mais pourquoi le Star Spangle Banner est-il joué avant chaque match NBA ?
C’est ce dont on vous parle aujourd’hui dans Histoire de Basket. Episode écrit par Fabrice Auclert.
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Le 11 janvier 2024, l’AccorArena a accueilli son troisième match de saison régulière NBA, le NBA Paris Game.
Une affiche entre les Cavaliers de Cleveland et les Nets de Brooklyn. Comme en 2020, date du premier match, et en 2023, les places se sont arrachées en quelques heures. Sans doute que la NBA aurait pu organiser deux, voire trois matches à Paris, tant l’engouement est grand dans la capitale.
Pourtant, il y a près de 40 ans, le plus grand joueur de l’histoire était passé incognito à Paris. Nous sommes en 1985. Champion olympique et meilleur rookie de la NBA, Michael Jordan est à Paris, mais personne ne le sait. Depuis les choses ont bien changé. C’est ce qu’on vous raconte, dans Histoire(s) de basket.
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Les Etats-Unis ont attaqué de la meilleure des manières les JO 2024. Certains comparent même la richesse de son effectif à la célèbre Dream Team de 1992.
Mais dans cet épisode, Histoire(s) de basket s’intéresse au pire de ce que Team USA a pu offrir.
La plus grosse déception américaine depuis que les joueurs NBA viennent sur les terrains internationaux.
Bien sûr, on écarte celle de 1998 composée de joueurs de second rang. A l’époque, la NBA était en grève et les stars de la NBA ne pouvaient pas participer à la Coupe du monde…
En revanche, en 2019, il n’y a pas de grève.
Après les succès en 2010 puis en 2014, les Etats-Unis peuvent réalise le premier triplé de l’histoire de la Coupe du monde. Sauf que le projet a vite tourné au fiasco avec une affreuse septième place dans la compétition internationale.
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Si je vous demande de me citer le geste le plus spectaculaire du basket, vous répondrez toutes et tous, le dunk ! Et même le « poster dunk », celui où on place le défenseur sur la photo en l’écrabouillant.
Même si l’adresse règne aujourd’hui, grâce à Stephen Curry et les autres gâchettes, le dunk continue de squatter les Top 10 et d’amasser des millions de vues sur les réseaux sociaux. D’ailleurs, si cette action du 25 septembre 2000 avait eu lieu aujourd’hui, il ne fait aucun doute qu’elle aurait atteint le milliard de vues !
Mais de quelle action s’agit-il ? Tout simplement du « dunk du siècle », celui de Vince Carter sur la tête du français Frederic Weis lors des Jeux Olympiques de Sydney en 2000.
On vous raconte cette envolée folle aujourd'hui dans Histoires de basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.
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- Visa fler