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Le 25 mars 2025, Anon Whitsler, Stéphanie Reynaud et Jean-Luc Robert étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Anon Whistler est une créatrice de contenu indépendante, engagée dans une critique ouverte des élites et des narratifs officiels. Elle s’est fait remarquer en relayant les enquêtes controversées sur l’identité de Brigitte Macron. Elle est spécialiste des questions de pédocriminalité sur les réseaux sociaux. Présente sur YouTube, TikTok et Twitter, elle incarne une voix dissidente, aujourd’hui confrontée à la censure, notamment avec la suppression de son compte principal sur TikTok.
Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.
Jean-Luc Robert est auteur et conférencier, ancien psychologue spécialisé en troubles du comportement. Il dénonce la surmédicalisation de la santé mentale. Son livre Neuro divers + alerte sur les dangers du surdiagnostic et de la marchandisation de la psychologie.
Pédocriminalité sur les réseaux : la guerre silencieuse qui cible nos enfants
Alors que les réseaux sociaux explosent, des prédateurs sexuels les exploitent pour traquer les enfants. TikTok, Instagram, Facebook, X : aucune plateforme n’échappe à ce fléau. Face à l’inaction des géants du numérique, des créateurs engagés se dressent en sentinelles.
Une tiktokeuse française, suivie par plus de 100 000 abonnés, dédie ses vidéos à identifier et exposer les techniques des prédateurs. Mais ce travail citoyen ne suffit pas à contenir la menace.
Les réseaux sociaux comme zone de chasse privilégiée
Près de 750 000 prédateurs seraient actifs chaque jour sur Internet. Les plateformes ne sont plus des espaces anodins, mais des passerelles directes vers les mineurs. Les prédateurs créent de faux profils, infiltrent des communautés, manipulent par messagerie privée, extorquent des contenus explicites, souvent avec des photos d’enfants publiées par leurs parents.
Des algorithmes inefficaces face à une criminalité mutante
Les plateformes prétendent modérer, mais leurs outils sont dépassés. L’objectif reste l’engagement, non la protection. Les signalements restent souvent sans effet. Instagram teste des comptes « jeunes » peu efficaces. TikTok communique plus qu’il n’agit. X laisse prospérer des cercles cryptés inquiétants.
Les prédateurs s’adaptent, contournent les restrictions, exploitent les failles, échappant à la détection.
Éduquer et protéger : la résistance commence à la maison
La première protection vient des familles. Il faut éduquer les enfants à la vigilance numérique : ne pas partager d’images, repérer les signaux d’alerte, comprendre les mécanismes de manipulation. Des créateurs engagés sensibilisent les jeunes par des formats qu’ils écoutent, bien plus que les campagnes officielles. Leur rôle est devenu crucial dans la lutte contre ces prédateurs invisibles.
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Le 25 mars 2025, Nicolas Stoquer vous accueillait sur Géopolitique Profonde pour un sujet d'actualité brûlant : le procès de Gérard Depardieu.
Une traque idéologique masquée en croisade judiciaire
Gérard Depardieu, 76 ans, est aujourd’hui sommé de comparaître pour agressions sexuelles présumées sur deux femmes lors du tournage des Volets verts, en 2021. Mais au-delà des faits reprochés, c’est un homme, un symbole, un archétype qui est jugé. L’accusé n’est plus seulement un comédien : il incarne le « mâle blanc hétérosexuel » de plus de cinquante ans, cible favorite des nouvelles inquisitions féministes radicales. Dans cette mécanique bien huilée, le soupçon devient preuve, la dénonciation fait office de condamnation, et la justice n’est plus qu’un théâtre pour mettre en scène la culpabilité essentialisée d’un groupe.
Le mouvement #MeToo, fusionné avec l’idéologie décoloniale et woke, ne cache plus son projet : déconstruire, puis éradiquer l’image du vieux mâle blanc, présenté comme la source unique de toutes les violences. L’idée n’est plus d’individualiser la faute, mais d’essentialiser le crime : l’homme blanc serait potentiellement un agresseur, toujours suspect, même sans preuve, parce que né homme, parce que né blanc.
Une indignation à géométrie variable
L’acharnement médiatique et militant contre Depardieu révèle l’hypocrisie profonde des nouveaux tribunaux moraux. Des dizaines de militantes se sont rassemblées devant le tribunal de Paris, clamant « Les violeurs, on vous voit ». Mais ces mêmes voix se taisent devant les viols de rue, les agressions perpétrées par des délinquants étrangers, parfois sous OQTF. Le silence sur ces violences n’est pas un oubli : il est idéologique. Dans la grille de lecture néo-féministe, l’agresseur acceptable est blanc, hétéro, âgé. L’autre, l’« opprimé racial », bénéficie d’une immunité militante.
Cette indignation sélective est le produit d’un double standard insupportable. Le prédateur sexuel n’est dénoncé que s’il incarne la domination blanche masculine. L’immigré violent est quant à lui excusé, contextualisé, parfois même présenté comme une victime du système occidental. Cette logique perverse tord la réalité et insulte les vraies victimes, utilisées comme prétexte pour une croisade idéologique.
La déshumanisation assumée du « porc blanc »
Depardieu est jugé, mais c’est surtout son image qui est exécutée. La détestation de son physique, de son âge, de ses excès passés, vient nourrir un récit de répulsion sociale. On ne lui reproche pas seulement des gestes déplacés : on le hait pour ce qu’il est devenu dans l’imaginaire progressiste – un vestige du patriarcat triomphant. Sa trogne d’ivrogne, son humour graveleux, son corps hors norme sont devenus les stigmates du mal à abattre.
Dans les discours militants, la bestialisation atteint des sommets. On parle de « bête à abattre », on décrit des « mains souillées », des « jouets » humains entre ses doigts. Ce n’est plus de justice qu’il s’agit, mais d’extermination symbolique. La haine du monde d’avant, le rejet de la virilité traditionnelle, se cristallisent dans la figure honnie du vieux mâle blanc. Le projet est clair : il faut effacer les Polanski, les Depardieu, les reléguer au musée des horreurs patriarcales, et rêver d’un monde purifié de leur existence.
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Le 25 mars 2025, Youssef Hindi et Sylvain Ferreira étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Ses travaux de recherches sont tournés principalement vers l’étude des origines des idéologies modernes, de leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il a récemment publié son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent : Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
L’Occident en chute libre
L’Occident n’est plus ce phare moral qu’il prétendait être. Son aura, bâtie sur la victoire contre le communisme et la défense proclamée des libertés, s’effondre dans une hypocrisie sans nom. Hier promesse démocratique, il défend désormais l’indéfendable. Sa prétention universaliste craque sous ses contradictions géopolitiques et morales.
L’alignement inconditionnel sur Israël, malgré les massacres en Palestine, illustre cette duplicité. L’Occident ferme les yeux sur les violations du droit international, tout en accusant la Russie pour les mêmes faits. Il soutient le séparatisme selon ses intérêts, mais le réprime ailleurs. Ce deux poids deux mesures est la marque d’un empire à bout de souffle.
La jeunesse rejette l’ordre occidental
Une contestation profonde monte dans la jeunesse occidentale. Les jeunes, désabusés par la rhétorique moralisatrice des élites, rejettent l’idéologie dominante. Aux États-Unis, beaucoup fuient l’armée, écoeurés par les guerres impériales. En Israël, la rue s’oppose à Netanyahou. Ce rejet, massif et générationnel, traduit une rupture culturelle.
L’Occident ne convainc plus. Il effraie même. Son vernis démocratique ne cache plus son autoritarisme technocratique. Ce divorce entre le peuple et ses dirigeants annonce un basculement : l’effondrement intérieur d’un modèle épuisé.
Une alternative portée par la multipolarité
Face au chaos stratégique occidental, une autre voie émerge. Donald Trump et ses alliés patriotes contestent le complexe militaro-industriel et prônent une désescalade globale. Leur but : désarmer l’unipolarité agressive et instaurer une multipolarité équilibrée. Paix en Ukraine, stabilisation du Proche-Orient, fin du chaos sont envisageables si cette vision l’emporte.
Mais l’État profond, les lobbies sionistes et les élites bellicistes européennes résistent. Ils craignent la fin de leur pouvoir. Pourtant, la transition est inévitable. Le monde change. L’ordre ancien s’effondre. Deux voies se dessinent : une guerre prolongée ou un nouvel équilibre entre puissances souveraines.
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Le 24 mars 2025, Farid Dms Debah, Jean-Luc Robert et Laurence Beneux étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Farid DMS Debah, réalisateur, producteur et écrivain, est président de l’association Touche pas à mon enfant – Europe, qui lutte contre la pédophilie et toute forme d’abus et d’exploitation sexuels. En 2024, il a initié la Grande Marche Contre la Pédocriminalité, parcourant 1 500 kilomètres à travers la France et la Belgique pour sensibiliser à cette cause.
Jean-Luc Robert, auteur et ancien psychologue spécialisé en troubles du comportement chez l’enfant, dénonce la surmédicalisation. Dans Neuro divers, il alerte sur le surdiagnostic et la marchandisation de la santé mentale.
Laurence Beneux, journaliste, a travaillé pour Le Figaro, Paris-Match, L’Express, et pour l’émission 90 minutes sur Canal+. Elle est co-auteure, avec Serge Garde, de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles et l’auteure de Droits des femmes et des enfants : l’intolérable indifférence.
L’impunité judiciaire des pédocriminels en France
La justice française traite trop souvent la pédocriminalité avec légèreté. Peines réduites, classements sans suite, enquêtes bâclées : le système favorise l’impunité. Le “consentement” est parfois invoqué pour des mineurs. Les peines sont faibles face au nombre de victimes, et les condamnations trop rares.
Les blocages sont structurels : formation insuffisante des magistrats, tribunaux saturés, crainte des erreurs judiciaires. La parole de l’enfant reste souvent mise en doute. Les victimes affrontent une justice lente et peu protectrice. L’indifférence institutionnelle entretient une complicité silencieuse.
Les lanceurs d’alerte sont isolés. Enseignants, éducateurs, médecins qui signalent sont peu protégés, parfois poursuivis, ce qui freine la prévention, perpétuant l’omerta.
L’ombre des élites et la complicité institutionnelle
Des membres des élites politico-médiatiques sont protégés malgré leur implication. Les cas Matzneff ou Duhamel révèlent un système de protection mutuelle, tolérant la pédocriminalité au nom d’idéologies dévoyées. Le silence dépasse la sphère religieuse.L’inaction de l’État est organisée. Agents réintégrés, plaintes ignorées, enquêtes stoppées : les institutions protègent les puissants. Une architecture politique du silence se construit sur les connivences et les intérêts.
Des voix comme Karl Zéro dénoncent depuis des années, souvent marginalisées. Traités de complotistes malgré des preuves solides, leurs alertes sont ignorées pour mieux protéger les réseaux.
Une omerta médiatique et politique construite
Malgré des chiffres alarmants, la pédocriminalité est absente des grands médias. Un enfant sur cinq agressé, la France 3e producteur mondial d’images pédopornographiques : ces réalités sont tues. Ce silence est un choix politique.Journalistes et rédactions pratiquent l’autocensure. La proximité avec le pouvoir verrouille le sujet. Prétexte : “protéger l’image”, “éviter les polémiques”. Résultat : une anesthésie collective.
Politiquement, rien de sérieux n’est engagéet l’État refuse d’affronter le cœur du problème. Ce silence organisé est un crime d’État.
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Le 24 mars 2025, Nicolas Stoquer décryptait comment Hidalgo impose une écologie punitive pour exclure les automobilistes et effacer la France des travailleurs, sur GPTV.
Hidalgo efface le Paris des travailleurs
Anne Hidalgo a méthodiquement transformé Paris en terrain hostile pour quiconque dépend de la voiture, soit la majorité des travailleurs. Sous couvert de transition écologique, elle impose un urbanisme punitif : réduction des voies, pistes cyclables inutiles, limitation du périphérique, zones à trafic limité. Ce n’est pas une adaptation mais une guerre contre ceux qui ne rentrent pas dans le moule bobo.
Rendre piétonnes 500 nouvelles rues est une accélération brutale de cette logique d’exclusion. Chaque contrainte supplémentaire sur les automobilistes est une attaque directe contre la mobilité populaire. Ceux qui vivent loin, travaillent de nuit, ou n’ont pas les moyens d’habiter le centre sont poussés à l’exode.
Hidalgo impose une vision totalitaire de la ville : fluide, verte, propre… mais artificielle, déshumanisée, débarrassée de ses classes laborieuses. Elle rêve d’un Paris-musée réservé aux fonctionnaires, touristes et militants écolo-progressistes. L’automobile, symbole de liberté, devient l’ennemi. Derrière cette croisade verte, se cache une haine sociale : celle des travailleurs.
L’automobiliste, nouveau bouc émissaire de la gauche radicale
L’automobiliste incarne aujourd’hui la France périphérique, celle qui travaille, se déplace, vit hors des quartiers huppés. Pour une gauche déconnectée, il devient la cible idéale : diabolisé, culpabilisé, persécuté.
Derrière la guerre à la voiture se cache un objectif plus vaste : remplacer le peuple historique par une clientèle idéologiquement docile. Les politiques de mobilité, de logement, de mixité sociale organisent un tri : ceux qui refusent l’idéologie dominante sont exclus, les autres sont intégrés, subventionnés, protégés. C’est la stratégie Terra Nova : diviser, casser la France populaire au profit d’un nouveau peuple urbain, communautaire, mondialisé.
Le modèle parisien est le laboratoire de cette vision. La marginalisation de l’automobile n’est pas un caprice écolo, mais un acte politique : refuser la mobilité, c’est refuser à certains le droit d’exister en ville. Hidalgo ne veut pas d’un Paris fonctionnel, mais conforme à sa vision idéologique. Une capitale vidée de ceux qui la font vivre.
Une démocratie de façade pour une dictature urbaine
Les votations citoyennes d’Hidalgo ne sont pas démocratiques, mais des outils de légitimation. Question orientée, communication biaisée, logistique décourageante, faible participation : tout est calibré pour valider une décision déjà prise.
La votation du 23 mars sur la piétonnisation de 500 rues suit ce schéma. Le projet est ficelé, les résultats connus d’avance. Cette pseudo-participation est une opération de propagande. On fait voter les convaincus, pendant que les classes populaires, épuisées, s’abstiennent. Leur silence devient alors un prétexte pour continuer.
Hidalgo ne gouverne pas, elle applique une feuille de route idéologique. Chaque votation est une étape vers un Paris hostile à la France réelle. Ce n’est plus de la gestion municipale, c’est une dictature urbaine, où la ville devient un outil de rééducation. Ce n’est plus Paris, mais une caricature post-nationale, sans mémoire, sans peuple.
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Le 24 mars 2025, François Martin, Carlo Brusa et David Van Hemelryck étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Il possède 40 ans d’expérience dans le commerce alimentaire international, a travaillé dans plus de 100 pays, parle six langues et est reconnu pour ses analyses internationales pointues.
Carlo Brusa est un avocat italien à la cour de Paris, spécialiste du droit du sport et du droit international. Fondateur de l’association Réaction 19, il conteste les mesures sanitaires liées à la pandémie, qu’il qualifie de “dictature sanitaire”, et se veut défenseur des libertés fondamentales.
David Van Hemelryck est un militant politique français, diplômé de l’École polytechnique et pilote de ligne. Il s’est fait connaître en 2013 avec la campagne « Hollande Démission » et milite activement pour la destitution d’Emmanuel Macron, estimant que les présidents trahissent la volonté populaire.
Une stratégie de la peur pour maintenir le pouvoir
Depuis 2020, Macron instrumentalise les crises pour instaurer un climat de peur, détourner l’attention de ses échecs et renforcer son contrôle. En exploitant la crise sanitaire, il a imposé des mesures liberticides et marginalisé les voix critiques. Ce schéma se répète avec la guerre en Ukraine, utilisée pour dramatiser la situation, justifier un pouvoir centralisé et imposer une vigilance constante. Toute opposition est assimilée à une trahison, détruisant le débat démocratique au profit d’un autoritarisme insidieux.
Une comparaison historique honteuse et dangereuse
Comparer Poutine à Hitler franchit une ligne rouge idéologique. Cette analogie sans fondement historique sert une stratégie émotionnelle visant à légitimer l’alignement sur l’OTAN et la rhétorique belliqueuse occidentale. En manipulant la mémoire de 1940, Macron réduit la guerre à une opposition simpliste entre Bien et Mal, empêchant toute lecture géopolitique rationnelle et toute solution diplomatique. Il aggrave les tensions, isole la France et sacrifie sa souveraineté à une croisade idéologique.
La quête pathologique d’un leadership européen
Macron veut incarner le leader d’une Europe post-américaine. Il espère combler le vide laissé par le retrait des États-Unis, malgré une absence de moyens économiques, militaires et de soutien populaire. Sa posture, nourrie par une ambition personnelle, est irréaliste et périlleuse. Il utilise l’éventuel rapprochement Trump-Poutine pour s’imposer comme rempart européen, au risque de désintégrer l’unité du continent et d’aligner la France sur des intérêts étrangers. Son rêve de grandeur devient un danger pour l’Europe.
Ce que l’élite ne veut pas que vous sachiez sur le pouvoir… découvrez-le en cliquant ici.
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Le 23 mars, replongez dans l’énergie incroyable de la soirée Géopolitique Profonde du 1er mars 2025 avec cette vidéo souvenir.
Que vous ayez été parmi nous ou que vous ayez manqué ce moment fort, cette vidéo vous permettra de revivre l’intensité, les échanges, la chaleur humaine et la force collective qui ont marqué cette soirée hors norme.
Une affluence incroyable, bien au-delà de nos attentes
Plus de 800 personnes réunies au Salon des Miroirs à Paris, c’est bien plus que ce que nous avions imaginé. La soirée Géopolitique Profonde du 1er mars a été un moment unique, intense, profondément marquant. Voir autant de visages, autant d’énergies rassemblées autour d’une même volonté : comprendre le monde autrement, partager nos idées, et bâtir ensemble.
La salle était pleine à craquer, certains ont dû patienter à l’entrée… Mais l’ambiance était là, forte, chaleureuse, déterminée. C’est une preuve éclatante que notre mouvement prend de l’ampleur. Nous étions nombreux, très nombreux, et ce n’est qu’un début.
Des intervenants engagés, un public à l’écoute
Cette soirée a brillé aussi par la qualité et la sincérité des échanges. Merci à Pierre Jovanovic, Alexandre Juving-Brunet, Lucien Cerise, François Asselineau, Florian Philippot, Antoine Cutitta, Nicolas Vidal, Frigide Barjot, François Martin, Liselotte Dutreuil, Irina Dubois, Philippe Herlin et bien d’autres encore !
Il faut aussi saluer la contribution précieuse des artistes engagés, dont Sarah Jane, Francis Lalanne qui ont offert des performances musicales pleines d’émotion et de sens. Grâce à leurs voix, à leurs instruments, ils ont apporté une profondeur et une chaleur humaine à l’événement. Ils ont fait vibrer la salle, avec sincérité, et nous leur adressons toute notre gratitude.
Un grand merci également à Lara Stam, Nicolas Stoquer, Raphael Besliu, Mike Borowski… et à tous ceux qui ont partagé leur vision, leur engagement, leur passion.
Chacun a apporté une pierre à l’édifice, avec des interventions fortes, sans filtre, dans un esprit de dialogue et de transmission. Le public, attentif et réactif, a fait de cette soirée un véritable moment de partage vivant et authentique.
Une énergie collective qui ne demande qu’à grandir
Cette soirée restera gravée. Pas seulement pour son succès, mais pour ce qu’elle a permis : nous réunir, créer du lien, ressentir la force d’un collectif qui se construit. Oui, nous avons noté ce que nous devons améliorer, et nous nous y attellerons avec cœur. Mais l’essentiel est là : nous avons lancé quelque chose de grand, ensemble.
La prochaine soirée sera encore plus belle, encore plus forte, dans un lieu plus ambitieux. Nous avons déjà hâte d’y être. Car c’est en nous retrouvant, en échangeant, en grandissant ensemble que nous ferons rayonner nos idées communes et notre vision du monde.
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Le 23 mars 2025, Mickaël est allé à la rencontre des Français, micro à la main pour GPTV Investigation, afin de recueillir leurs avis sur une question brûlante : la France est-elle en train de basculer vers l’extrême droite ?
La France bascule-t-elle vraiment vers l’extrême droite ?
Des rues populaires aux centres-villes, les réponses fusent, tranchées, passionnées. Entre méfiance envers les élites, peur de l’avenir et colère sociale, une fracture profonde se dessine.
L’idée d’un glissement de la France vers l’extrême droite ne relève plus d’un fantasme marginal. C’est aujourd’hui une perception partagée, alimentée par l’essor électoral du Rassemblement National, la banalisation de certains discours identitaires et le brouillage volontaire des repères politiques.
Mais derrière ce débat, un autre affrontement bien plus stratégique se dessine : celui entre une élite politico-médiatique qui verrouille le débat public et une population en quête de rupture avec le système.
Extrême droite : un mot devenu arme politique
Le terme “extrême droite” a été vidé de son sens pour devenir un outil d’intimidation idéologique. Réclamer la souveraineté des frontières, dénoncer l’immigration massive ou vouloir sortir de l’Union européenne ne relèvent plus d’une doctrine extrême, mais d’un rejet lucide d’un modèle en faillite. Assimiler ces positions à de la xénophobie est une manœuvre grossière qui sert à disqualifier le débat et maintenir l’ordre établi. L’obsession à diaboliser les opinions dissidentes trahit une panique de caste.
Les témoignages confirment cette fracture. Une femme déclare : « Pourtant je suis pas raciste. », tout en affirmant voter Le Pen depuis ses 18 ans. Une autre lance sans détour : « L’Europe c’est la mort. Faut sortir comme les Anglais. » Ces phrases, brutes, brisent les caricatures médiatiques. Elles révèlent une adhésion non pas à un projet haineux, mais à un désir profond de souveraineté et de protection, face à un système perçu comme hostile.
Le vrai basculement, c’est la fin du monopole idéologique
L’élite politique et médiatique ne craint pas l’extrême droite : elle craint de perdre son emprise sur les consciences. Elle instrumentalise la peur pour interdire la critique, museler les oppositions et dépolitiser les masses. Cette stratégie a été rodée avec le Covid, renforcée avec l’Ukraine, répétée avec le climat ou la menace “fasciste”. L’objectif reste le même : empêcher toute alternative sérieuse au système en place.
Ce n’est pas la France qui bascule, c’est le système qui s’effondre. Les Français ne veulent plus d’un débat sous contrôle, d’une démocratie à géométrie variable, ni d’un univers médiatique uniformisé. Ils réclament un pouvoir qui protège, une souveraineté retrouvée et un discours de vérité. Et ce réveil dérange. Car il signe la fin d’un monopole : celui de ceux qui prétendent penser à la place du peuple.
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Le 23 mars 2025, Mike Borowski vous attendait pour un direct sur un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde :
Le 22 mars 2025, plus de 150 artistes et figures publiques de gauche, dont Annie Ernaux, Médine, Guillaume Meurice ou Assa Traoré, ont manifesté contre le racisme et l’extrême droite.
Une mobilisation en apparence noble, relayée avec zèle par les médias dominants, mais qui contraste avec leur silence face aux graves atteintes aux libertés fondamentales durant la crise du Covid-19. Ce double standard révèle une dissonance cognitive flagrante.
Quand la liberté devient à géométrie variable
Lors de la crise sanitaire, la France a imposé des mesures liberticides inédites : pass sanitaire obligatoire, suspension de milliers de soignants non vaccinés, pression sociale et professionnelle énorme sur les réfractaires à l’injection. Plus de 15 000 professionnels ont été écartés, certains sans recours ni indemnité, pour avoir défendu le droit au consentement libre.Où étaient ces artistes alors ? Annie Ernaux, si engagée, a-t-elle dénoncé ces décisions iniques ? Médine, si prompt à critiquer l’islamophobie d’État, a-t-il défendu les soignants humiliés ? Guillaume Meurice préférait moquer les “complotistes” que défendre les libertés. Quant à Assa Traoré, si active contre les violences policières, elle n’a pas dénoncé la militarisation de l’espace public durant les confinements.
Ce silence est un choix politique. Il révèle une vérité dérangeante : pour ces artistes, la liberté ne vaut que si elle sert leur agenda idéologique.
La dissonance cognitive comme ligne de conduite
Cette capacité à soutenir des idées contradictoires en se croyant cohérent est devenue la norme dans les milieux artistiques subventionnés. Ces figures ont justifié l’exclusion sociale des non injectés au nom de la solidarité, tout en se réclamant des droits humains.Ils ont applaudi les restrictions, insulté ceux qui défendaient la liberté de choix, puis manifestent contre un “climat de haine” qu’ils ont eux-mêmes alimenté. Camélia Jordana dénonçait le racisme systémique tout en soutenant la vaccination de masse et le pass. Juliette Binoche, très active sur les enjeux climatiques, est restée silencieuse pendant l’humiliation des soignants. Aucune de ces voix “libres” n’a dénoncé le chantage vaccinal ni la censure des médecins et chercheurs dissidents.
Des porte-voix du pouvoir déguisés en résistants
Sous couvert d’engagement citoyen, ces artistes épousent les discours du pouvoir. Subventionnés, omniprésents sur les plateaux TV, ils sont devenus les vecteurs d’une propagande soft. Lorsqu’il fallait défendre les libertés réelles, ils se sont tus. Aujourd’hui, ils s’érigent en conscience morale du pays. Ce n’est pas qu’une contradiction, c’est une stratégie d’occupation culturelle.En refusant de soutenir les opprimés réels — soignants suspendus, étudiants exclus, citoyens discriminés — ces artistes ont clairement choisi leur camp : celui du contrôle et de l’amnésie sélective.
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Le 23 mars 2025, Henri Wallard était l’invité de Nicolas Stoquer et Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Henri Wallard navigue entre science, industrie et affaires publiques. Ancien élève de l’École polytechnique et des Mines de Paris, docteur en apprentissage statistique, il a été le premier directeur général indépendant de l’ANDRA (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs). Il a ensuite occupé le poste de directeur général délégué chez Ipsos, où il a acquis une solide expertise de l’opinion publique. Cofondateur de NewCovalence, il œuvre aujourd’hui au déploiement de la nouvelle génération de réacteurs nucléaires.
Son livre, Mensonge d’État – Imposture climatique, publié aux Éditions Fayard, se veut une enquête-choc. Il nous fait sa présentation dans cette émission.
L’imposture climatique au service d’une transition énergétique délirante
Selon Wallard, l’État agite la peur climatique pour imposer des politiques énergétiques inefficaces. Chaque annonce est suivie d’un échec : le leasing à 100 euros pour véhicules électriques a été abandonné, victime de son absurdité bureaucratique. Aides illisibles, dispositifs complexes : le citoyen est piégé dans une technocratie coupée des réalités.
Pire encore, les décideurs manquent cruellement de compétences techniques. Des ministres sans formation dirigent la transition énergétique en écartant les ingénieurs. L’idéologie supplante l’expertise, menant à des décisions absurdes et dangereuses.
Le sabotage méthodique de l’atout nucléaire français
La France avait une avance stratégique dans le nucléaire. Elle l’a sabotée. L’arrêt de Superphénix en 1997, la suppression du projet Astrid et la vente d’Alstom ont affaibli une filière d’excellence. Résultat : la France importe de l’électricité, les coupures guettent, les prix explosent.
Le nucléaire, principale source d’énergie décarbonée du pays, est abandonné au profit d’un dogmatisme écologiste stérile. Cette posture idéologique fait fi des réalités industrielles, tout en prétendant sauver la planète.
Une transition dirigée par l’incompétence et le dogmatisme
La transition française n’est ni pensée ni pilotée. Portée par une élite technocratique déconnectée, elle cumule normes inefficaces et objectifs irréalistes. Le discours culpabilisant masque le désengagement de l’État face à ses missions essentielles.
Au lieu de bâtir sur les forces nationales, la France s’égare dans une logique punitive. On détruit l’existant sans alternative crédible. L’urgence climatique devient un prétexte pour imposer un agenda idéologique, au mépris des réalités.
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Le 22 mars à 2025, Ivan Rioufol était l’invité de Nicolas Stoquer pour l'émission, Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !
Ivan Rioufol est un journaliste et essayiste français, connu pour ses positions conservatrices et souverainistes. Longtemps éditorialiste au Figaro, il s’est illustré par sa critique virulente de l’idéologie progressiste, du politiquement correct et de la pensée unique.
Il dénonce régulièrement l’islamisme, l’immigration massive, la perte d’identité nationale et les dérives autoritaires du pouvoir en place. Défenseur d’une liberté d’expression sans concession, Ivan Rioufol incarne une droite intellectuelle assumée, en rupture avec les élites médiatiques dominantes.
La gestion du Covid a installé un état d’exception permanent
Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron impose un confinement strict, amorçant un virage autoritaire majeur. Prétextant une urgence sanitaire, l’exécutif suspend les libertés fondamentales avec le soutien d’un Conseil scientifique politisé. La succession des restrictions a façonné une population docile, privée de recul critique, habituée à obéir au nom de la peur.
Le traçage numérique, les attestations, le tri entre vaccinés et non-vaccinés ont instauré un état d’exception durable. Aucun bilan sérieux n’a été établi. L’État refuse d’admettre la surestimation des risques. Le scénario de 500 000 morts n’a jamais eu lieu, mais a suffi à justifier la confiscation des droits.
Cette gestion a ancré l’idée que le pouvoir peut suspendre les libertés au nom d’une urgence. Ce modèle n’a pas disparu : il s’est institutionnalisé, sans remise en cause ni débat démocratique réel.
La propagande vaccinale a légitimé une ségrégation citoyenne
Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » a été le vecteur d’une propagande d’État fondée sur une vérité scientifique biaisée. Les vaccins n’ont pas empêché la transmission, mais ont servi de base à la mise en place d’un système de contrôle social par le pass sanitaire puis vaccinal.
L’accès aux services essentiels a été conditionné à une injection expérimentale. Les non-vaccinés ont été stigmatisés, écartés, désignés comme des ennemis publics. Cette ségrégation a été encouragée par les autorités, sans aucune excuse ni reconnaissance des effets indésirables pourtant bien documentés.
Le but n’était pas sanitaire, mais politique : redéfinir l’appartenance à la communauté nationale à travers l’obéissance. La crise a permis d’imposer un nouveau contrat social fondé sur la soumission.
La peur, moteur d’un pouvoir en quête de légitimité
Le Covid a servi à légitimer Macron comme chef de guerre. Une fois la menace virale passée, la peur de « l’extrême droite » a pris le relais pour disqualifier toute opposition. Toute critique est désormais assimilée à un danger : « complotiste », « prorusse », « radicalisé ».
Ce climat de tension continue sert à masquer la faiblesse du régime. Macron ne gouverne plus par consensus, mais par conflictualité. Il s’impose en rempart face au chaos qu’il entretient lui-même.
La guerre contre la Russie devient le nouveau théâtre de cette politique par la peur. Macron hystérise la diplomatie européenne pour masquer les fractures internes du pays. Comme pour le Covid, la peur sert à imposer un pouvoir sans légitimité populaire.
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Le 22 mars 2025, Mike Borowski dénonçait le sommet du 27 mars comme l’outil de Macron et des 27 pour empêcher la paix et imposer guerre, contrôle et dépopulation, sur GPTV !
L’Europe pousse à la guerre contre la Russie
Le sommet du 27 mars à Paris, réunissant Macron, Zelensky et plusieurs dirigeants européens, ne vise pas la paix. Il s’inscrit dans une logique d’escalade militaire contre la Russie. Derrière les discours sur la sécurité européenne se profile un plan de confrontation directe, où l’aide militaire prime sur la négociation.Berlin annonce simultanément un plan d’aide de 3 milliards d’euros, prolongeant le conflit au lieu de stabiliser la région. Macron orchestre ce front anti-russe, assumant son rôle de relais de l’État profond qui veut faire de l’Europe une base arrière du chaos mondial.
La paix rend impossible le programme globaliste
Le refus de la paix n’est pas une erreur, mais une stratégie. Guerre, inflation, contrôle numérique et dépopulation s’imposent plus facilement en période de crise. La peur permet de faire accepter lois liberticides et sacrifices économiques.
La guerre est utilisée pour instaurer le contrôle social : identités et monnaies numériques, surveillance généralisée. L’instabilité permet aux gouvernements de contourner la démocratie et de criminaliser les dissidences sous l’accusation de propagande pro-russe.
Macron incarne cette stratégie de transformation technocratique, détachée des intérêts français mais alignée sur un projet global.
Zelensky, otage politique des 27
Zelensky n’est plus libre. Maintenu par l’UE et l’Otan, il incarne une figure imposée, incapable de négocier la paix. Tout compromis signerait sa chute et celle du narratif occidental depuis 2022.
Kiev est sous contrôle étroit : aucune ouverture diplomatique n’est autorisée. L’objectif est clair : maintenir la guerre pour légitimer l’agenda de l’UE. Zelensky est piégé dans une guerre sans fin dictée par des intérêts qui le dépassent.
La propagande occidentale repose sur une victimisation continue de l’Ukraine et une diabolisation de la Russie. Mais la paix fragiliserait ce récit et ferait s’effondrer la crédibilité des élites européennes, qui ont fondé leur autorité sur l’hostilité à Moscou.
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Le 22 mars 2025, Jeanne Bresciani était l’invitée de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Jeanne Bresciani est une auteure française née en Corse, engagée depuis des décennies dans une réflexion littéraire sur les crises politiques et spirituelles de notre époque. Dans son roman Locus Niger ou le fils maudit, publié aux éditions Maïa, elle met en scène la réincarnation d’Albino, fils méconnu de Mussolini, pour explorer les résonances actuelles du fascisme. À travers ce récit profondément symbolique, elle interroge la persistance du totalitarisme dans nos sociétés modernes et le rôle de la littérature face aux dérives autoritaires.
La stratégie de contrôle par la crise
Le pouvoir moderne adopte des méthodes fascistes en instaurant un climat de peur permanent. Créer la crise, enflammer l’opinion, puis imposer une solution autoritaire devient un schéma récurrent. Crises sanitaires, énergétiques ou sécuritaires servent à renforcer un État centralisé présenté comme seul rempart.
Les dirigeants s’érigent en sauveurs tandis que la peur rend les masses dociles. Cette mécanique, héritée de Mussolini, repose sur l’angoisse et non la raison. Les élites imposent un récit unique, relayé par les médias et les experts, pour justifier des mesures de plus en plus liberticides. La vérité importe peu face à la puissance de la narration dominante.
Ce modèle, intégré aux institutions modernes, étouffe le débat et empêche toute contestation. Il ne s’agit plus de gouverner, mais de manipuler l’opinion par des récits construits pour instaurer un consentement à l’oppression.
Le peuple transformé en auxiliaire de la tyrannie
La société contemporaine pousse les citoyens à devenir eux-mêmes surveillants. Par peur de l’exclusion ou par soumission, chacun devient l’œil de l’État, prêt à dénoncer voisins, collègues ou proches. Inspiré des méthodes fascistes, ce contrôle par le bas détruit le lien social et favorise une méfiance généralisée.
Les régimes totalitaires ont toujours misé sur la surveillance interpersonnelle. Aujourd’hui, ce contrôle est réactivé par la technologie, le droit et les normes culturelles. Le citoyen croit œuvrer pour le bien commun en surveillant l’autre.
Les réseaux sociaux et les campagnes officielles ne visent plus à informer mais à orienter les comportements. La délation devient un réflexe valorisé. Ce fascisme doux, maquillé en démocratie participative, façonne une société où l’oppression est intériorisée et même défendue par les opprimés eux-mêmes.
La fabrication systématique des faux héros
Les élites orchestrent crises et chaos pour ensuite se poser en sauveurs. Ce théâtre politique, directement issu de la propagande fasciste, repose sur la glorification de dirigeants prétendument vertueux. Le storytelling remplace l’action : échec devient succès, contrainte devient liberté.
Ce renversement sémantique légitime l’arbitraire. Les chefs sont célébrés non pour ce qu’ils résolvent, mais pour le rôle qu’ils jouent. Les médias de masse entretiennent cette illusion.
En glorifiant leurs oppresseurs, les peuples perpétuent leur soumission. Ce mécanisme intégré empêche toute révolte réelle : l’ennemi devient invisible, le système inattaquable, sa violence banalisée. Ce prolongement moderne du fascisme repose sur une adhésion volontaire à l’idéologie dominante.
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Le 21 mars 2025, François Asselineau, et Laurent Artur du Plessis étaient les invités du Libre journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer.
François Asselineau ancien haut fonctionnaire et homme politique français est président de l’Union Populaire Républicaine (UPR) depuis 2007.
Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené sa carrière dans différents cabinets ministériels de droite durant les années 1990. Il défend la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
L’Europe de la guerre, un mensonge historique
L’Union européenne se présente comme un projet de paix, mais selon les invités, cette image relève de la propagande. Loin de garantir la stabilité, l’UE agit comme un instrument de l’impérialisme américain. De la guerre en ex-Yougoslavie à celle d’Ukraine, elle a toujours suivi la ligne de Washington, au détriment des peuples européens.
François Asselineau rappelle que cette construction artificielle a affaibli l’Europe. Loin d’unir les nations, elle les divise et les pousse à l’affrontement. Bruxelles, et particulièrement Ursula von der Leyen, incarne cette dérive : alignement sur l’OTAN, agressivité diplomatique et soumission aux néoconservateurs américains.
Macron, l’agent d’un coup d’État euro-fasciste
Pour Asselineau, Macron applique un agenda autoritaire dissimulé sous des crises successives : pandémie, climat, menace russe. Ces prétextes servent à imposer un régime de peur, effaçant les souverainetés nationales et piétinant la démocratie.
Véritable relais de l’OTAN et de la Commission européenne, Macron mène la France vers la guerre en Ukraine, sans consultation populaire. Son alignement sur les intérêts américains et son mépris des Français en font un facteur de déstabilisation. Asselineau appelle à rompre avec cette dérive, allant jusqu’à envisager la destitution du président.
L’UPR, dernier rempart contre la soumission à Bruxelles
Depuis 18 ans, l’UPR maintient une position constante : seule la souveraineté permet la paix et la démocratie. Face aux élites mondialistes, François Asselineau incarne une voix de rupture, prônant la sortie immédiate de l’UE et de l’OTAN.
Loin des compromis politiques, il appelle à reprendre le contrôle du destin national. Pour lui, seule une rupture nette peut éviter à la France une catastrophe historique, entraînée dans un conflit qui ne sert que les intérêts d’une oligarchie déconnectée.
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Le 21 mars 2025, Maître Fabrice Di Vizio était l’invité de Mike Borowski, pour un sujet d'actualité brûlant, sur Géopolitique Profonde.
Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître en tant que fervent défenseur des libertés individuelles et opposant aux mesures sanitaires durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.
Hanouna bascule dans le système
Cyril Hanouna s’est toujours présenté comme un électron libre, un trublion médiatique en marge des élites. Pourtant, l’officialisation de sa relation avec Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, change radicalement la donne. Ce rapprochement avec la famille présidentielle brise l’image d’indépendance qu’il a cultivée auprès du public. Une simple histoire d’amour ? Difficile d’y croire quand Paris Match, un journal appartenant à Bernard Arnault, publie en une une photo parfaitement cadrée, loin d’une simple paparazzade.
Cette médiatisation soudaine pose une question cruciale : Hanouna a-t-il toujours été une opposition contrôlée ? Son rôle de faux rebelle, toléré par le pouvoir, se révèle peut-être au grand jour. Ce qui apparaissait comme une critique des élites n’était-il en réalité qu’un exutoire sous contrôle, destiné à canaliser la contestation populaire sans jamais dépasser certaines lignes rouges ?
Le bashing contre Hanouna, un contre-feu organisé
L’affaire C8, avec les attaques répétées contre Hanouna et ses démêlés avec l’Arcom, semblait donner une image de résistance face au système. Mais ce battage médiatique ne serait-il pas un écran de fumée ? Pendant que l’attention se focalisait sur son bras de fer avec le régulateur de l’audiovisuel, son rapprochement avec la sphère macroniste se préparait en coulisses.
Les critiques envers Hanouna ont pu donner l’illusion d’un homme assiégé par le pouvoir, renforçant ainsi son image d’outsider. Mais cette tempête médiatique aurait aussi pu servir à légitimer son rôle dans l’arène politique, avant qu’il ne s’aligne définitivement sur les intérêts du système. L’annonce de sa relation avec Tiphaine Auzière apparaît alors comme la suite logique d’un plan bien orchestré.
Pour qui roule réellement Hanouna ?
La question essentielle reste : à qui profite ce rapprochement ? L’animateur, autrefois vu comme un allié des voix dissidentes, semble désormais intégré au cercle restreint du pouvoir. Son influence sur une large frange de la population, notamment les jeunes et les classes populaires, pourrait être utilisée pour redorer l’image du macronisme.
Avec ce basculement, Hanouna ne menace plus l’ordre établi. Il le renforce, en se positionnant comme une courroie de transmission entre le pouvoir et les masses. Son rôle pourrait désormais être de neutraliser la colère populaire en l’orientant dans des impasses médiatiques, plutôt que de la laisser exploser dans une contestation réelle. L’officialisation de son couple n’est peut-être pas un simple fait divers, mais le symbole d’un ralliement total au système.
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Le 21 mars 2025, Marc-Gabriel Draghi, Thierry Meyssan et Jean-Michel Jacquemin-Raffestin étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc Gabriel Draghi, juriste spécialisé dans l’histoire du droit, est l’auteur de plusieurs ouvrages dont, Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration : Vers la mort des Nations.
Thierry Meyssan, écrivain et journaliste est le Président-fondateur de Réseau Voltaire. Il a acquis une notoriété internationale avec la publication de L’Effroyable Imposture , ouvrage dans lequel il remet en question la version officielle des événements de 9/11.
Jean-Michel Jacquemin Raffestin est un essayiste spécialisé dans les enjeux de société et de géopolitique. Dans son dernier ouvrage, Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font – Volume 3, il poursuit sa critique des élites et des structures de pouvoir.
Trump impose son tempo mais fait face aux exigences russes
Le dollar a longtemps été l’arme absolue des États-Unis. Mais les sanctions contre l’Iran et la Russie ont poussé plusieurs pays à diversifier leurs échanges monétaires. La Chine et l’Arabie saoudite réduisent leurs réserves en dollars et favorisent le yuan et l’or, tandis que les BRICS développent un système de paiement alternatif.
Cette dédollarisation fragilise Washington. L’économie américaine repose sur une dette colossale, dont seuls 30 % sont détenus par des créanciers étrangers. Un retrait de la Chine ou de l’Arabie saoudite pourrait provoquer une crise financière mondiale.
Les guerres commerciales et pressions sur les alliés de Trump visent à maintenir le dollar dominant, mais cette stratégie ne fera que retarder l’inévitable.
Un Empire en déclin, un président en gestion de crise
Trump pourrait être le dernier à maintenir l’illusion d’une Amérique tout-puissante, à l’image de Gorbatchev face à la chute de l’URSS. Loin des discours optimistes de Biden, le pays accumule une dette incontrôlable, une industrie stagnante et des alliances fragilisées.
L’Amérique ne peut plus financer son déficit commercial en imprimant des dollars dévalorisés. Protectionnisme et relocalisation ne suffiront pas à enrayer ce déclin.
L’Europe et la France : spectateurs ou complices ?
L’Europe oscille entre soumission à Washington et velléités d’indépendance. Macron et les dirigeants européens affichent des ambitions stratégiques, mais restent dépendants du dollar et des intérêts américains.
L’Allemagne se rapproche de la Chine, la France tente une diplomatie plus autonome, mais tant que Bruxelles suivra la politique monétaire et les sanctions dictées par Washington, l’émancipation restera illusoire.
Le conflit avec l’Iran illustre cette dépendance. Washington pourrait embraser la région pour masquer son déclin.
Vers un chaos géopolitique inévitable ?
L’Empire américain vacille. Sa dette explose, son hégémonie militaire est contestée, son influence financière s’effrite. Si Trump revient au pouvoir, il devra gérer un empire en fin de course.
L’Europe suivra-t-elle Washington dans sa chute ou saisira-t-elle l’opportunité d’un monde multipolaire ?
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Le 20 mars 2025, Jacques Cheminade, Sylvain Baron et Franck Layré-Cassou étaient les invités de La Grande Émission de Géopolitique Profonde, animée par Mike Borowski, !
Jacques Cheminade, homme politique et essayiste franco-argentin, est le fondateur du parti politique Solidarité et progrès, connu pour ses positions souverainistes et son engagement contre la prédation financière. Candidat à plusieurs élections présidentielles françaises, il est connu pour son approche critique de l’oligarchie financière et son plaidoyer pour une politique de paix.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.
Franck Layré-Cassou est un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Ancien candidat de Reconquête! , il est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.
Trump impose son tempo mais fait face aux exigences russes
Donald Trump a initié des négociations pour une trêve en Ukraine, misant sur un cessez-le-feu de 30 jours. Son objectif : stabiliser la situation et ouvrir la voie à un règlement diplomatique. Il a directement contacté Vladimir Poutine pour poser les bases d’un accord, se positionnant en médiateur.
Le Kremlin exige l’arrêt de l’aide militaire occidentale pendant la trêve. Trump, pragmatique, a reconnu la nécessité de discuter cette exigence mais ne l’a pas validée immédiatement.
Concernant la reconnaissance des territoires sous contrôle russe, Moscou veut officialiser la situation actuelle, tandis que Trump cherche un compromis évitant toute escalade. Aucun accord n’a été trouvé, mais les discussions ont permis d’établir un cadre pour de futures négociations.
Une négociation à deux, sans Zelensky
Un élément clé de ces pourparlers est l’absence de Volodymyr Zelensky. Trump a choisi de traiter directement avec Poutine, considérant que les grandes lignes devaient être fixées avant d’intégrer Kiev. Certains y voient une volonté de contourner Zelensky, d’autres une méthode pour accélérer le processus.
Pour Moscou, cette configuration correspond à sa vision du conflit : les grandes puissances négocient avant d’impliquer les acteurs locaux. De son côté, Trump veut fixer un cadre global avant de l’imposer à l’Ukraine.
Cela ne signifie pas que Kiev est exclu à long terme. La Maison-Blanche assure que Zelensky sera consulté une fois un projet concret établi.
Poutine et Trump, deux stratégies qui s’affrontent
Poutine et Trump avancent avec des stratégies distinctes. Poutine veut sécuriser les positions russes et empêcher l’Ukraine de se réarmer sous couvert d’un cessez-le-feu. Trump cherche un succès diplomatique rapide pour asseoir son autorité internationale.
Le Kremlin sait que Trump veut éviter un enlisement et obtenir des résultats visibles. Poutine, entend maximiser les bénéfices pour la Russie en maintenant la pression. Cette confrontation pourrait mener à un compromis, chacun cherchant à protéger ses intérêts sans risquer une escalade incontrôlable.
Si un accord est trouvé, il reposera sur la reconnaissance mutuelle des lignes rouges de chaque camp et une volonté commune de stabiliser la situation.
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Le 20 mars 2025, Nicolas Stoquer révélait comment JFK a été éliminé par une alliance entre la CIA et le Mossad, visant à protéger le programme nucléaire israélien, sur GPTV !
Une alliance secrète entre la CIA et le Mossad dès les années 50
Dès les années 1950, la CIA et le Mossad établissent une relation stratégique sous l’impulsion de James Angleton, chef du contre-espionnage américain. Il contrôle toutes les informations concernant Israël et empêche toute enquête du FBI sur les opérations israéliennes aux États-Unis. Grâce à ce réseau d’influence, le Mossad agit en toute impunité.
Lorsque Kennedy remet en cause cette relation et exige un contrôle sur le programme nucléaire israélien, il devient une menace pour cet équilibre. Son projet de réduire le pouvoir de la CIA et d’empêcher la prolifération nucléaire place le président en opposition directe avec des cercles influents aux États-Unis et en Israël.
JFK, cible pour son opposition au programme nucléaire israélien et à la CIA
Kennedy refuse la prolifération nucléaire au Moyen-Orient et exige des inspections strictes de la centrale de Dimona, soupçonnée de produire des armes nucléaires. Cette opposition l’oppose au Premier ministre israélien David Ben Gourion, qui finit par démissionner en 1963.
Dans le même temps, la CIA voit d’un mauvais œil la politique étrangère du président, notamment ses tentatives de rapprochement avec l’URSS et son refus d’engager les États-Unis dans des conflits inutiles. L’agence, favorable à une politique interventionniste, considère ces choix comme une menace pour sa stratégie mondiale.
Après l’assassinat de Kennedy, son successeur Lyndon B. Johnson abandonne immédiatement la pression sur Israël. Dimona n’est plus un sujet à la Maison-Blanche et Israël poursuit librement son programme nucléaire. Ce revirement suggère que la disparition de JFK était une nécessité stratégique pour la CIA et les cercles pro-israéliens.
Jack Ruby, Lyndon Johnson et les réseaux d’influence israéliens aux États-Unis
L’assassinat de JFK s’appuie sur un réseau d’influence lié à Israël. Jack Ruby, qui tue Oswald en direct, est proche des cercles sionistes américains. Ancien trafiquant d’armes, il a collaboré avec l’Irgoun, un groupe terroriste israélien actif avant la création de l’État d’Israël.
Lyndon B. Johnson, quant à lui, profite immédiatement de la disparition de JFK. Sa proximité avec les milieux sionistes influence profondément sa politique. Son administration ne remet jamais en cause le programme nucléaire israélien, ferme les yeux sur l’espionnage israélien aux États-Unis et renforce l’alignement stratégique avec Tel-Aviv.
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Le 20 mars 2025, Florian Philippot, Oskar Freysinger et le Colonel Jacques Baud étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !
Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les européennes 2024, défend la souveraineté nationale et prône le Frexit, qu’il souhaite soumettre à référendum. Ancien eurodéputé, il a fondé son parti après avoir quitté le Front National.
Oskar Freysinger, ancien vice-président de l’UDC suisse et ex-parlementaire, est aujourd’hui écrivain et chroniqueur. Son dernier ouvrage, Animalia (Éditions Serena), explore la condition humaine à travers une fable politique.
Jacques Baud, ex-colonel de l’armée suisse, est un expert en renseignement et en terrorisme. Formé par les services américains et britanniques, il a participé à plusieurs missions de l’ONU en Afrique et au Soudan.
L’Ukraine : un échec cuisant pour l’Occident
L’Occident a vendu l’illusion d’une Russie affaiblie et d’une Ukraine résistante. En réalité, Kiev recule, ses forces sont à bout et la mobilisation forcée devient un sacrifice inutile. Les armes occidentales n’ont rien changé : la Russie détruit chaque convoi et les mercenaires étrangers fuient un champ de bataille perdu d’avance.
Malgré cet échec, Macron et ses alliés refusent tout cessez-le-feu et envisagent même l’envoi de troupes de l’OTAN, risquant l’escalade avec une puissance nucléaire. L’objectif n’est plus de défendre l’Ukraine mais de sauver l’image d’une élite ayant misé sur une guerre perdue.
Une militarisation suicidaire pour la France
Macron accélère la militarisation du pays alors que l’économie s’effondre. Avec un budget de la Défense dépassant 400 milliards d’euros, la France finance les exigences de l’OTAN plutôt que les besoins des Français, déjà frappés par l’inflation et la crise sociale.
Toute critique est muselée : dénoncer l’engagement occidental en Ukraine est assimilé à de la « désinformation prorusse ». Les médias verrouillent le débat, faisant de la Russie une menace inexistante pour justifier une guerre impopulaire.
L’Europe bascule dans l’autoritarisme
L’Union européenne glisse vers un régime totalitaire sous couvert de démocratie. L’Ukraine annule ses élections, la Roumanie interdit un candidat de l’opposition et la Moldavie enchaîne les fraudes.
Ces dérives ne s’arrêteront pas là. Macron et l’UE testent les limites de ce que les peuples acceptent. La censure s’intensifie, la répression s’accélère, et la propagande prépare les esprits à une soumission généralisée.
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Le 19 mars 2025, Thierry Marignac, Pascal Mas et Thomas Ciolczyk étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Thierry Marignac est un écrivain, traducteur et journaliste français, spécialiste du monde post-soviétique et des conflits clandestins. Il a exploré les rouages des guerres de l’information et des réseaux de pouvoir souterrains.
Il présente L’Interprète, ouvrage dévoilant les mécanismes des réseaux anti-russes occidentaux et leur rôle dans la propagande. Il évoquera aussi La Guerre avant la Guerre, où il analyse l’influence des gangs ukrainiens sur la classe politique, y compris Volodymyr Zelensky.
Pascal Mas est un expert des dynamiques de pouvoir entre grandes puissances. Il s’intéresse à la résilience des nations face aux pressions extérieures et considère la Russie comme un modèle de résistance. Fondateur de Sto Russophobie, initiative visant à dénoncer la propagande anti-russe, il lutte contre la désinformation et la propagande anti-russe.
Thomas Ciolczyk est le co-fondateur du mouvement souverainiste La Concorde , une organisation engagée dans la défense des valeurs de souveraineté nationale et d’indépendance face aux influences extérieures.
La guerre de l’information orchestrée par les services britanniques
Les services secrets britanniques ont mis en place une guerre psychologique pour diaboliser la Russie et justifier le soutien occidental à l’Ukraine. Un réseau d’influence, composé de journalistes, d’ONG et d’organisations prétendant défendre les droits humains, façonne l’opinion publique en imposant une vision simpliste du conflit : une Ukraine « démocratique » assiégée face à une Russie présentée comme la menace absolue.
Cette opération repose sur des manipulations médiatiques, falsifications de rapports et récits émotionnels visant à bloquer toute remise en question. Derrière cette façade humanitaire, il s’agit d’une guerre cognitive alignant les opinions sur les intérêts anglo-américains.
L’Ukraine, un État sous contrôle des gangs mafieux
Loin du récit officiel, l’Ukraine est gangrenée par des organisations criminelles contrôlant son appareil politique. Issues des milieux mafieux post-soviétiques, ces structures dictent les décisions du gouvernement. Chaque politicien ukrainien, y compris Volodymyr Zelensky, est sous leur emprise en échange de protection.
Le soutien occidental à Kiev repose sur des intérêts économiques et géopolitiques. Loin de défendre la démocratie, les élites exploitent ce chaos pour imposer leur agenda, transformant l’Ukraine en avant-poste d’une confrontation avec la Russie. Cette réalité, occultée par les médias, révèle la duplicité des discours sur la défense des valeurs démocratiques.
Du trafic de drogue à la guerre : les racines d’un système toxique
L’enquête révèle les liens entre criminalité et géopolitique. Dès 2004, l’auteur observait la montée de la toxicomanie en Ukraine et l’emprise des réseaux mafieux sur la société. Depuis, ces groupes ont accru leur pouvoir grâce au conflit, infiltrant les institutions et influençant la politique nationale.
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