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  • Le 25 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.

    Noël : une fête chrétienne enracinée dans le solstice d’hiver

    La célébration de Noël au 25 décembre est un syncrétisme où le christianisme prolonge des traditions païennes en leur donnant une signification nouvelle. La Nativité supplante progressivement les Saturnales romaines, la fête de Yule germanique ou encore le culte de Mithra.

    En 274, l’empereur Aurélien instaure le Dies Natalis Solis Invicti, jour du Soleil invaincu, pour unifier les croyances autour d’un culte solaire. L’Église christianise cette date, élevant Jésus au rang de « Soleil de justice ». Ce choix facilite la transition des rituels païens vers la liturgie chrétienne, en préservant les symboles de lumière et de renouveau liés au solstice.

    Dès le IVᵉ siècle, la messe de minuit marque la naissance du Christ, pierre angulaire du calendrier liturgique. Bien qu’aucune source biblique ne précise la date exacte de sa naissance, les Évangiles évoquent des indices climatiques éloignés de l’hiver. Le choix stratégique du 25 décembre illustre la volonté de l’Église d’assurer une continuité avec les cultes païens tout en les surpassant.

    Les symboles de la crèche : spiritualité et cosmos

    La crèche incarne des symboles riches, empruntés à divers héritages culturels. Le bœuf et l’âne, absents des Évangiles, proviennent de la prophétie d’Isaïe : « Le bœuf connaît son propriétaire, et l’âne la mangeoire de son maître. » Ces animaux symbolisent la reconnaissance instinctive du divin. La mangeoire évoque à la fois la simplicité et le sacrifice, rappelant des divinités nées dans l’humilité, comme Mithra.

    Le cadre rural de la crèche illustre une religion accessible, dépassant les hiérarchies. Les bergers, premiers croyants, symbolisent l’humilité et la réceptivité à l’annonce divine. Ce décor mêle récits bibliques et mythologies locales, reflétant une tradition à la fois spirituelle et universelle.

    Les rois mages et le massacre des innocents : mythe et politique

    Les récits des rois mages et du massacre des innocents visent à affirmer l’universalité du Christ tout en dénonçant l’oppression. Les mages, venant d’Orient, incarnent les nations païennes reconnaissant Jésus comme roi des rois. Leur origine perse et leur astrologie montrent l’influence des traditions zoroastriennes et mithraïques, bien ancrées dans l’Empire romain.

    Quant au massacre des innocents, il s’agit d’une référence directe aux récits bibliques de l’Exode, où Pharaon ordonne la mort des nouveau-nés hébreux. En mettant en parallèle Hérode et Pharaon, l’Évangile de Matthieu condamne les tyrans tout en glorifiant la figure salvatrice de Jésus, nouveau Moïse.

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  • Le 25 décembre 2024, Fabien Bouglé était l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !

    Fabien Boulgé, est un expert en politique énergétique et auteur du livre « La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial« . Il décortique les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.

    La France détruit son modèle énergétique et plonge dans le chaos

    La France, autrefois pionnière avec un modèle énergétique performant basé sur le nucléaire, abandonne cette excellence pour adopter un système voué à l’échec. Avec une électricité décarbonée à 95 %, elle s’inflige un désastre en suivant les dogmes européens et l’échec allemand de l’Energiewende. En misant sur des énergies intermittentes comme l’éolien et le solaire, incapables de garantir une production stable, elle compromet sa sécurité énergétique. Dépendantes de la météo, ces énergies obligent à maintenir des centrales fossiles, augmentant les émissions de CO2. Pendant ce temps, l’Allemagne retourne au charbon pour éviter le blackout. Ce choix met en péril l’autonomie énergétique de la France et son avenir.

    Subventions colossales et explosion des prix de l’électricité

    Les énergies renouvelables coûtent cher aux finances publiques, avec des subventions massives enrichissant des multinationales étrangères. Ces équipements, majoritairement importés, n’ont généré aucun bénéfice concret. En 12 ans, les prix de l’électricité ont grimpé de 120 %, étranglant ménages et entreprises. L’industrie française, déjà affaiblie, est durement touchée. Le coût énergétique pousse à la délocalisation, aggravant la désindustrialisation. EDF, symbole de souveraineté nationale, est sacrifiée : ses centrales nucléaires sont ralenties pour laisser passer l’électricité intermittente, affaiblissant durablement sa production et ses finances.

    Ce modèle détruit la compétitivité, plonge les foyers dans la précarité et déstabilise le réseau électrique. Cette politique, loin d’être une transition énergétique, constitue une trahison nationale.

    Bruxelles orchestre la destruction énergétique de la France

    La France a perdu la maîtrise de son avenir énergétique. Bruxelles impose des directives favorisant les intérêts allemands et les lobbies pro-renouvelables. Ces diktats punissent le nucléaire français, pourtant exemplaire sur les plans écologique et performant. L’Union européenne agit sciemment contre les intérêts français.

    Des rapports de l’École de Guerre Économique révèlent une ingérence étrangère structurée pour affaiblir le nucléaire français. Financé par des puissances étrangères, ce sabotage infiltre l’administration française où des décideurs liés aux lobbies imposent des choix contraires à l’intérêt national. Parallèlement, des associations militantes, souvent subventionnées, mènent une campagne idéologique en faveur de ce modèle ruineux, sabotant les politiques régionales. Ainsi, la souveraineté française est méthodiquement sacrifiée au détriment des citoyens.

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  • Le 24 décembre 2024, Nicolas Stoquer analysait l'annonce du gouvernement Bayrou, sur Géopolitique Profonde.

    Le gouvernement Bayrou : la dernière danse de la Cinquième République

    Le Rassemblement National (RN) profite du chaos. Marine Le Pen, bien qu’en retrait, tire les ficelles. Macron, autrefois maître de l’arène politique, apparaît comme une marionnette entre les mains de Bayrou et des exigences populistes du RN. Ce gouvernement pourrait bien sceller la fin d’un régime incapable de relever les défis contemporains.

    Valls, le retour du mal-aimé

    Manuel Valls revient sur la scène française après ses échecs en Catalogne et une série de revers personnels. Sa gestion passée de crises, notamment lors des attaques terroristes, et ses décisions autoritaires continuent de hanter son image. Ses prises de position controversées et alliances opportunistes ternissent sa crédibilité.

    Un remaniement pour la survie politique

    François Bayrou orchestre un remaniement de survie. Élisabeth Borne à l’Éducation nationale apaise les syndicats sans réformes de fond. Gérald Darmanin étend son contrôle à la justice, illustrant une inquiétante concentration des pouvoirs. Éric Lombard, à Bercy, demeure un gestionnaire discret face à la dette.

    Sur les postes secondaires, Rachida Dati et Aurore Bergé naviguent dans une souplesse idéologique confondante. Sophie Primas devient porte-parole, apportant peu de substance. Le duo Lecornu-Barrot, fidèle à Macron, poursuit une ligne belliciste, éloignant la France de son rôle de médiateur international.

    Une République en fin de vie

    Ce gouvernement reflète un système politique à l’agonie. Fondée pour gérer les crises de son époque, la Cinquième République échoue à s’adapter. Bayrou pourrait en signer le dernier acte, miné par l’opportunisme et l’incapacité chronique à réformer.

    Le RN, en embuscade, attend son heure, tandis que Macron s’accroche désespérément à un pouvoir qui lui échappe. La France, elle, reste en suspens, coincée entre un passé figé et un avenir incertain.

    Conclusion : vers une nouvelle ère politique ?

    Le gouvernement Bayrou annonce la fin d’une époque. Les tensions accumulées, l’inaction face aux véritables défis et les manœuvres désespérées des élites accélèrent le basculement de la France vers une nouvelle ère.

    La question n’est plus de savoir si le changement aura lieu, mais quand et sous quelle forme.

    Découvrez les dessous de cette implosion politique et les scénarios pour l’avenir de la France grâce a votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 24 décembre 2024, Claude Janvier, Alexandre Juving-Brunet et Aram Mardirossian, étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Alexandre Juving-Brunet, ancien capitaine de gendarmerie devenu une figure pour la souveraineté nationale et la défense des valeurs chrétiennes. Patriote convaincu, il fonde les Comités du Salut du Peuple et la Foncière Financière Libre comme outils de résistance face aux crises actuelles. Catholique converti, il dénonce la franc-maçonnerie et les attaques contre les traditions chrétiennes. Pour lui, préserver Noël et nos racines chrétiennes est essentiel à la survie de la civilisation française.

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .

    Aram Mardirossian, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est un historien et juriste franco-arménien. Il est reconnu pour ses travaux sur le génocide arménien et la protection des chrétiens d’Orient. En tant que défenseur des droits de l’homme, il critique la négligence de l’État laïque français envers la christianophobie croissante. Son engagement s’étend à la défense du patrimoine religieux et des croyances chrétiennes, notamment face aux crimes haineux et aux profanations.

    Noël : la naissance du Christ, fondement de notre civilisation

    Pour les chrétiens, Noël marque la naissance de Jésus-Christ, porteur d’espoir et de valeurs fondamentales pour notre civilisation. Fêter Noël, c’est se souvenir de nos racines spirituelles et transmettre cet héritage à nos enfants. C’est également un moment de rapprochement familial, à l’écart des dérives consuméristes.

    La laïcité détruit nos traditions chrétiennes

    La laïcité française efface nos racines chrétiennes. À Beaucaire, le tribunal administratif a imposé le retrait d’une crèche de Noël, symbole de notre héritage culturel. Derrière de telles décisions se cache une idéologie mondialiste visant à effacer nos repères spirituels et identitaires.

    La crèche, loin d’être un simple décor, incarne notre patrimoine. La laïcité, autrefois garante des libertés, devient un outil de destruction culturelle. Les fêtes chrétiennes sont reléguées au folklore, tandis que des revendications communautaristes sont tolérées.

    Reprendre le combat pour notre identité

    Sans mémoire, nous devenons vulnérables à toute idéologie. Il faut agir : soutenir les maires défendant nos traditions, préserver nos églises, transmettre à nos enfants la fierté d’appartenir à une civilisation chrétienne. Noël, aujourd’hui, est un acte de résistance face à une laïcité dévoyée.

    Noël, un symbole de résistance

    Célébrer Noël aujourd’hui est un acte de résistance. C’est affirmer haut et fort que notre histoire, nos traditions et notre foi ne sont pas négociables. La crèche de Beaucaire n’est pas qu’une affaire locale : elle symbolise une bataille qui concerne tous les Français.

    L’attaque récente sur le marché de Noël de Magdebourg, en Allemagne, où une voiture a foncé dans la foule, faisant plusieurs morts et des dizaines de blessés, illustre la menace croissante contre les chrétiens.

    Approfondissez votre compréhension des enjeux spirituels et sociétaux en recevant votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 23 décembre 2024, Florent Bastide était l’invité de l’émission Un Soir avec Lara, animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.

    Florent Bastide, directeur de Culture Populaire et militant engagé et ancien membre de Génération Identitaire est désormais membre d’Égalité & Réconciliation.

    La droite internationaliste et la gauche nationaliste : une inversion oubliée

    Au lendemain de la Révolution française, la droite aristocratique domine le paysage politique, internationaliste et appuyée par des réseaux transnationaux d’élites et de monarchies européennes. À l’opposé, la gauche révolutionnaire incarne une force nationaliste et populaire, revendiquant une souveraineté farouche contre toute influence extérieure. Ce clivage historique bascule à la fin du XIXᵉ siècle avec l’affaire Dreyfus.

    Ce scandale modifie les alliances idéologiques. La gauche, en soutenant Dreyfus et l’idée de justice universelle, devient le camp de l’internationalisme, bientôt associé au marxisme. La droite, elle, s’enracine dans un patriotisme militant, soutenant l’armée, l’Église catholique, et une vision conservatrice de la nation. Ce tournant structure une droite opposée aux influences étrangères, notamment juives, dans les institutions.

    Souverainisme et mondialisme : des frontières redessinées

    Au XXᵉ siècle, un nouveau clivage émerge entre souverainisme et mondialisme, transcendant les traditionnels axes droite-gauche. Le souverainisme, incarné par des figures comme De Gaulle, défend une France indépendante des influences extérieures, qu’elles soient européennes, américaines ou économiques. Cette posture dépasse les partis, attachée à l’idée d’un État-nation fort.

    En parallèle, la gauche, autrefois ancrée dans la défense des classes populaires, s’oriente vers le mondialisme. Sous François Mitterrand, l’intégration européenne s’intensifie et atteint son apogée sous Emmanuel Macron. Le macronisme incarne une gauche acquise à la globalisation au nom de la modernité et du progrès économique.

    Les repères idéologiques se brouillent : des souverainistes de gauche côtoient des nationalistes de droite, tandis que les mondialistes s’unissent autour de l’élite technocratique.

    Une confusion totale dans les alliances idéologiques

    Les contradictions actuelles sont frappantes. À gauche, l’alliance entre militants LGBT et partisans d’un islam rigoriste défie toute logique. Ces groupes aux valeurs souvent opposées trouvent pourtant un terrain commun dans le rejet des conservateurs. À droite, des patriotes traditionnellement hostiles à Israël et à l’interventionnisme étranger soutiennent désormais l’État hébreu et la résistance ukrainienne, au nom de la lutte contre le mondialisme.

    Cette confusion illustre une fracture idéologique profonde en France. Les repères traditionnels ont éclaté, et les alliances évoluent selon des enjeux souvent contradictoires.

    Les prochains clivages

    Le paysage politique français continue de muter. À l’horizon, plusieurs fractures se dessinent. Le souverainisme pourrait devenir une force transpartisane majeure, rassemblant ceux qui rejettent la mondialisation pour défendre une France indépendante. En face, le camp mondialiste, soutenu par les élites économiques et culturelles, pourrait se radicaliser dans sa vision d’un monde sans frontières.

    Ces transformations influenceront non seulement les partis politiques, mais aussi la société civile et les rapports idéologiques.

    Plongez dans les analyses exclusives en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 23 Décembre 2024, Jean-Luc Robert et Myriam Palomba étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.

    Myriam Palomba est une journaliste et directrice de rédaction française, connue pour son travail dans la presse people. Elle a occupé des postes clés dans des magazines tels que Public et est également active dans la production de contenu digital. Myriam Palomba se distingue par son franc-parler et son regard critique sur les médias et la politique.

    Révélations glaçantes dans le show-business

    Le monde du show-business est secoué par des accusations graves. Jay-Z, icône du rap, est impliqué dans une affaire de viol sur une adolescente de 13 ans, en présence de personnalités comme Beyoncé et Jennifer Lopez. Ces révélations dévoilent la face sombre d’une industrie idéalisée.

    P. Diddy, autre titan de la musique, fait face à des accusations de tentative de meurtre et de trafic sexuel, portées par Jamie Foxx et Larry Johnson. Jamie Foxx affirme même que P. Diddy aurait tenté de l’empoisonner. Ces affaires mettent en lumière des réseaux abusifs protégés par des alliances puissantes et des intérêts financiers.

    Une culture du silence autour de la pédocriminalité

    Aux États-Unis, 500 000 enfants disparaissent chaque année, un chiffre alarmant amplifié sous l’administration Biden. Des enquêtes pointent des réseaux liés aux élites culturelles et politiques.

    En France, l’affaire Olivier Duhamel a choqué l’opinion publique. Accusé d’abus sur mineure, il a bénéficié du silence de son entourage. Claude François déclarait : « Je les aime jusqu’à 17-18 ans, après je commence à me méfier. » Une citation révélatrice d’une banalisation de la pédocriminalité dans les sphères de pouvoir et du divertissement.

    Impunité et contrôle de l’opinion publique

    Les stars semblent protégées par des connexions influentes. Peu d’entre elles font face à la justice, malgré des accusations graves. Cette impunité repose sur des juristes, communicants et complicités médiatiques capables d’étouffer les scandales.

    Le grand public, distrait par des polémiques superficielles, reste souvent mal informé. Cette stratégie du silence permet à ces pratiques de perdurer, ancrant un système d’impunité profond.

    Les mécanismes de l’impunité

    L’impunité du show-business s’appuie sur des alliances puissantes et un contrôle médiatique. Les célébrités s’entourent de réseaux protecteurs pour éviter la justice. La culture du divertissement agit comme une distraction, détournant l’attention des vérités dérangeantes.

    Les accusations contre Jay-Z et P. Diddy ne sont que la partie visible d’un iceberg révélant un système profondément corrompu.

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  • Le 23 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour analyser la couverture 2025 de The Economist, qui s’impose comme un signal d’alarme global.

    Avec ses images cryptiques et ses symboles frappants, elle semble prédire des bouleversements massifs. Les enjeux géopolitiques, technologiques et environnementaux y sont exposés sous une forme inquiétante, plaçant l’humanité face à ses plus grandes crises.

    Les signes d’un chaos imminent

    La palette rouge et noire évoque une ambiance apocalyptique. En son centre, Donald Trump est flanqué d’un champignon nucléaire et d’une métropole suffocante. Cette juxtaposition symbolise une tension mondiale où guerre nucléaire et effondrement écologique convergent.

    En arrière-plan, Saturne, planète associée à la destruction dans le tarot, domine la scène, rappelant l’effondrement des civilisations avant des révolutions majeures. Une horloge-sablier semble indiquer que le temps est compté, laissant présager des bouleversements sans précédent.

    Xi Jinping et Vladimir Poutine incarnent les tensions entre grandes puissances. L’atome associé à Poutine suggère une refonte de la doctrine nucléaire russe. Ursula von der Leyen, symbolisée par un pictogramme radioactif, représente une Europe confrontée à une crise énergétique.

    Une intelligence artificielle hors de contrôle

    Un robot imposant occupe un quart de l’image, soulignant l’influence croissante de l’IA dans les conflits et la gouvernance. Ce n’est plus un simple outil, mais un acteur majeur de scénarios apocalyptiques.

    Elon Musk, connu pour son lien avec l’IA, semble planer au-dessus des dynamiques politiques et technologiques, suggérant qu’il pourrait devenir un leader d’un monde en mutation.

    L’effondrement des démocraties et des économies

    Des symboles économiques renforcent le pessimisme. Une urne brisée illustre l’érosion des démocraties. Une flèche descendante à côté du yen japonais suggère un effondrement asiatique avec des répercussions mondiales.

    Un œil, rappelant le symbole maçonnique du dollar, incarne une surveillance mondiale accrue. Une batterie vide symbolise la crise énergétique européenne. Le dollar américain, représenté par des signes brisés autour de Trump, semble perdre son statut de monnaie de réserve face à la montée des BRICS, incarnée par un mur de briques et des flèches ascendantes vers l’Est.

    Guerre, pandémie et fin d’un cycle
    Une seringue évoque une pandémie imm
    inente ou les séquelles du COVID-19. Un missile balistique du côté chinois rappelle les tensions militaires croissantes en Asie.

    Une métropole désolée s’étend sous Saturne, tandis qu’une flèche brisée indique que les puissances occidentales cèdent face aux forces émergentes.

    Une œuvre cryptique ou un avertissement ?

    Les couvertures de The Economist ne sont jamais anodines. Celle de 2025 propose un compte à rebours pour des événements historiques. Elle évoque un basculement géopolitique où conflits, technologie et désastres naturels convergent.

    Face à ces défis, le monde doit choisir entre résignation et action. Si cette vision s’avère juste, 2025 marquera la fin d’un cycle, le début d’une ère où rien ne sera comme avant.

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  • Le 23 décembre 2024, François Martin et Finn Andreen étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.

    Un bouleversement mondial en préparation

    Le 20 janvier, après une victoire électorale écrasante, Donald Trump reprendra les rênes des États-Unis, avec une équipe aguerrie. Les néoconservateurs, malgré leurs manœuvres, n’ont pas réussi à enrayer son ascension.

    Son programme économique relancera les marchés, attirant massivement les investisseurs et ses décisions géopolitiques redéfiniront potentiellement l’ordre mondial, marginalisant l’Europe et ouvrant la voie à une alliance stratégique avec Vladimir Poutine.

    Une économie en plein essor et des adversaires silencieux

    La politique fiscale compétitive de Trump attire des capitaux étrangers, entraînant une explosion des marchés. Les grandes puissances observent prudemment, mais Trump ambitionne d’aller au-delà, en redessinant la géopolitique internationale.

    L’Europe mise à l’écart

    La crise ukrainienne pourrait être « réglée » par des négociations directes entre Trump et Poutine, écartant l’Ukraine et marginalisant l’Europe. Macron et Scholz se trouvent spectateurs d’un déclassement historique, tandis que la Russie consolide son influence à l’Est et que Trump renforce le leadership américain.

    Recompositions au Proche-Orient

    Dans cette région stratégique, un triangle Russie-Turquie-Iran se dessine. Trump privilégie une approche pragmatique, rompant avec les alliances traditionnelles, et pourrait exploiter les rivalités locales pour renforcer la position américaine. L’Arabie saoudite, alliée clé, observe avec inquiétude cette recomposition rapide.

    Un nouvel ordre mondial

    Trump et Poutine imposent un rythme inédit. Les institutions internationales, comme l’OTAN et l’UE, perdent de leur influence. La France et l’Allemagne, en crise interne, peinent à peser face à cette alliance russo-américaine. L’Europe s’efface dans ce nouvel ordre où seules les puissances majeures influencent les décisions.

    Comprendre les enjeux

    Les actions de Trump et Poutine annoncent une ère où pragmatisme et résultats concrets dominent, reléguant les compromis idéologiques. Ces changements rapides redessinent les trajectoires économiques, géopolitiques et militaires pour les décennies à venir.

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  • Le 22 décembre 2024, Sylvain Durain était l’invité de La Grande Émission animée Raphaël Besliu en direct sur Géopolitique Profonde.

    Auteur, réalisateur de documentaire et éditeur aux Éditions du Verbe Haut, Sylvain Durain est spécialisé dans les thématiques du patriarcat et du matriarcat, des systèmes familiaux, politiques et religieux, et du retour du sacrifice humain dans nos sociétés modernes. Son ouvrage le plus récent René Girard, du désir à la violence publié aux éditions du Verbe Haut, nous plonge dans l’œuvre fascinante de René Girard.
    Ce penseur a révolutionné notre compréhension des mécanismes de la violence humaine, des crises sociales et du rôle du religieux dans l’histoire de l’humanité.

    Le désir mimétique : une force omniprésente

    Le désir humain repose sur l’imitation : nous désirons ce que l’autre désire. Ce mécanisme alimente des rivalités entre individus et groupes, phénomène appelé rivalité mimétique. Quand deux entités convoitent un même objet, les tensions augmentent jusqu’à provoquer des conflits destructeurs. Ce processus est universel, visible à toutes les échelles sociales.

    Le sacrifice : une solution archaïque

    Pour contenir ces rivalités, les sociétés ont adopté le sacrifice. La désignation d’une victime expiatoire permet de canaliser la violence collective et de rétablir temporairement l’ordre. Ce mécanisme du bouc émissaire traverse les cultures, des rituels anciens aux mythes fondateurs. Brutal mais efficace, le sacrifice a structuré les sociétés humaines en offrant une solution aux conflits internes.

    Le bouleversement chrétien

    Le christianisme rompt avec cette logique. En s’offrant comme victime innocente, le Christ dévoile la cruauté du mécanisme sacrificiel et propose une alternative basée sur le pardon et l’amour. Les sacrifices sanglants cèdent la place à des rites symboliques, marquant une rupture historique. Cette transformation offre une voie pour dépasser les cycles de rivalité et de vengeance.

    Le retour des sacrifices modernes

    Dans les sociétés contemporaines, où les repères religieux traditionnels s’estompent, les mécanismes sacrificiels réapparaissent sous des formes inédites. Guerres, idéologies divisantes ou progrès scientifiques controversés reflètent cette logique archaïque. Sans transcendance, les tensions mimétiques s’intensifient, recréant des boucs émissaires aux conséquences graves. Le recul de la spiritualité universelle ravive un cycle de violence, les individus et groupes se désignant mutuellement comme responsables des crises.

    L’imitation : un choix déterminant

    L’imitation, moteur de rivalité mais aussi d’émulation, peut être orientée. Repenser nos modèles d’imitation pour favoriser coopération et amour est un enjeu crucial. René Girard invite à dépasser la logique sacrificielle pour transformer les sociétés.

    Sylvain Durain, à travers son exploration de l’œuvre girardienne, propose des outils pour comprendre les crises actuelles et éviter une régression vers des mécanismes violents. Dans un monde en quête de sens et de stabilité, ce retour à une réflexion profonde sur l’Homme devient essentiel.

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  • Le 22 décembre 2024, Mickaël a parcouru les rues d’Amiens au micro de GPTV Investigation, pour sonder les habitants sur l’état de la France avec Emmanuel Macron aux commandes.

    Un bilan accablant

    À Amiens, la ville qui a vu naître Emmanuel Macron, le bilan du président est jugé catastrophique. À travers un micro-trottoir, les habitants ont dénoncé les conséquences dramatiques de sa politique sur l’économie, les services publics et le tissu social. La colère gronde, et les critiques dressent un portrait accablant d’un pays qui sombre.

    Une dette record et une inflation galopante

    En 2023, la dette publique a dépassé 6 000 milliards d’euros, plaçant la France parmi les plus endettés d’Europe. L’inflation a explosé en 2024, avec des hausses de prix atteignant 12 % sur les denrées alimentaires, rendant les fins de mois impossibles pour beaucoup. Emmanuel Macron est accusé d’inaction face à cette crise.

    Des révoltes populaires en série

    Dans un contexte d’appauvrissement généralisé, les révoltes populaires se sont intensifiées. Les agriculteurs, en première ligne, crient leur désespoir. La montée des charges et la concurrence déloyale étranglent ce secteur stratégique. Sans parler du Mercosur qui achèvera les paysans.

    Ces dernières années, les manifestations se sont multipliées, des gilets jaunes aux grèves contre la réforme des retraites. Les habitants d’Amiens rappellent que ces mouvements traduisent un ras-le-bol généralisé.

    Une destruction méthodique des services publics

    Emmanuel Macron est accusé de mener une véritable politique de démolition. Les services publics, autrefois pilier de la société française, sont aujourd’hui à genoux. Les fermeture de classes et le manque de personnel hospitalier sont régulièrement dénoncés.

    Dans les hôpitaux, la situation est tout aussi alarmante, avec des délais d’attente interminables et un personnel soignant épuisé.

    À cela s’ajoute la désindustrialisation massive du pays, imputable aux choix économiques d’Emmanuel Macron. Sous son mandat, la fermeture d’usines stratégiques, comme celle de Bridgestone à Béthune ou la perte de compétences industrielles dans des secteurs clés, a laissé des milliers de familles sur le carreau.

    La centralisation excessive et les coupes budgétaires orchestrées sous Macron n’ont fait qu’aggraver la crise. La France n’est plus un État protecteur, mais une machine à broyer son propre peuple.

    Un président au service des élites

    Emmanuel Macron est considéré comme le président des riches. Sa politique économique, marquée par des allègements fiscaux en faveur des grandes fortunes et des multinationales, laisse les classes populaires sur le bord du chemin. Cette fracture entre les élites et le peuple alimente un sentiment d’injustice qui ne cesse de croître.

    Pour les habitants d’Amiens, la gestion d’Emmanuel Macron symbolise la destruction de la France à vitesse grand V. Industrie délocalisée, dépendance énergétique accrue, et fractures territoriales illustrent l’échec d’un président incapable de redresser le pays.

    Les témoignages reflètent un constat unanime : la France va plus mal qu’il y a six ans. Alors que l’écart entre les promesses de campagne et la réalité s’élargit, nombreux sont ceux qui réclament un changement radical.

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  • Le 22 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour évoquer la condamnation du sénateur Alain Houpert !

    Alain Houpert : une sanction qui musèle la liberté d’expression parlementaire

    Le sénateur Alain Houpert, critique des politiques sanitaires liées à la crise du COVID-19, a vu son interdiction d’exercer comme médecin confirmée par le Conseil de l’Ordre. Radiologue de profession, il avait dénoncé la stratégie vaccinale depuis le Sénat. Suspendu six mois, il doit aussi verser 1 500 euros à trois plaignants. Cette sanction symbolique pose la question de la liberté d’expression parlementaire face à la répression des voix dissidentes.

    Une sanction exemplaire pour intimider

    Le Conseil de l’Ordre entend faire de Houpert un exemple pour les médecins critiques. Ses positions au Sénat dénonçant des mesures sanitaires disproportionnées lui valent une condamnation professionnelle. Même son immunité parlementaire n’a pas suffi à le protéger, l’Ordre intervenant ainsi dans le débat démocratique pour étouffer toute opposition publique.

    Médias et diabolisation

    Les grands médias, en qualifiant Houpert de « sénateur complotiste », cherchent à le discréditer et à éviter tout débat sur ses arguments. Cette marginalisation vise à occulter les failles de la gestion de la crise et à maintenir l’illusion d’une politique sanitaire irréprochable.

    Leçons internationales ignorées

    À l’étranger, des audits révèlent des erreurs graves dans la gestion de la pandémie. En France, ces analyses sont ignorées, et les professionnels de santé qui osent alerter subissent sanctions et radiations. Pendant ce temps, des responsables impliqués dans des scandales sanitaires passés restent intouchables, comme Laurent Fabius, désormais président du Conseil constitutionnel. Une ironie amère où les lanceurs d’alerte sont réprimés tandis que les fauteurs d’erreurs prospèrent.

    Une injustice qui divise

    La sanction infligée à Houpert illustre une justice à deux vitesses, creusant la défiance entre citoyens et autorités. Les Français constatent que critiquer les abus expose à des représailles, et que le débat démocratique s’efface au profit d’un autoritarisme croissant. Cette gestion de la crise sanitaire, marquée par la répression et l’aveuglement, a laissé des cicatrices profondes, alimentant colère et perte de confiance.

    Découvrez la vérité derrière les scandales sanitaires et politiques, en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 22 Décembre 2024, Serge Federbusch était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer.

    Serge Federbusch, essayiste et homme politique français, est connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il critique vivement les élites politiques et la gestion publique. Il présentera son dernier livre, Le Sabre et l’Esprit.

    L’instabilité politique sous Macron : Bayrou, dernier espoir ou signal de l’effondrement ?

    En moins d’un an, la France a vu défiler quatre Premiers ministres : Élisabeth Borne, Gabriel Attal, Michel Barnier et François Bayrou. Ce chaos illustre une crise profonde qui mine les institutions de la Cinquième République, conçues pour garantir la stabilité de l’exécutif.

    François Bayrou, nommé dans un contexte explosif, est une tentative désespérée de maintenir à flot un gouvernement fragilisé. Emmanuel Macron, affaibli, a cédé sous pression politique. Mais ce compromis pourrait précipiter la chute du régime plutôt que d’apaiser les tensions.

    La Cinquième République à bout de souffle

    L’idée d’une stabilité durable sous la Cinquième République semble révolue. En un an, la succession de quatre Premiers ministres illustre une impasse institutionnelle où aucune majorité parlementaire ne soutient pleinement le président. François Bayrou, figure centriste historique, prend ses fonctions dans un contexte où Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon dominent l’espace public. Avec des oppositions fortes, chaque décision sera scrutée et contestée, rendant toute réforme impossible.

    Macron, de plus en plus isolé, voit son autorité reposer davantage sur le cadre légal que sur une véritable légitimité populaire. L’instabilité politique menace de paralyser encore davantage les institutions.

    Bayrou : un catalyseur de crise ?

    L’arrivée de Bayrou pourrait accélérer l’effondrement du système. Sans majorité et face à une défiance généralisée, il devra gérer une situation ingérable. En cas d’échec, les conséquences pourraient être majeures : démission, dissolution de l’Assemblée nationale ou crise constitutionnelle.

    Une Sixième République, autrefois inconcevable, devient une hypothèse crédible. Les pressions populaires pour une refonte des institutions s’intensifient, et le système, conçu pour résister aux crises, semble dépassé par ses propres contradictions.

    Les oppositions se préparent à l’affrontement final

    Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen, figures de proue des oppositions, captent une colère populaire croissante. Mélenchon, partisan d’une rupture avec la Cinquième République, y voit une opportunité historique, tandis que Le Pen, portée par une dynamique électorale favorable, mobilise ses partisans pour une confrontation avec le pouvoir.

    Face à une institution incapable de répondre aux attentes, l’idée d’une transformation radicale s’enracine. Pendant ce temps, Emmanuel Macron semble déconnecté des réalités sociales et politiques du pays.

    Une crise de régime inévitable ?

    Si François Bayrou échoue, une crise de régime paraît inévitable. Une dissolution de l’Assemblée nationale entraînerait des élections législatives anticipées, mais sans garantie de majorité claire. Emmanuel Macron pourrait être contraint à démissionner, ouvrant une période d’incertitude totale.

    Pour approfondir votre compréhension et vous armer face aux crises à venir, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 21 décembre 2024, Alexis Tarrade, Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Thomas Thomasovitch vous donnaient rendez-vous pour votre nouvel épisode de Divergence, sur Géopolitique Profonde !

    Alexis Tarrade est une figure active des relations franco-russes et a été président de la section Russie et Biélorussie des Républicains jusqu’en 2020. Ancien dirigeant de l’UFE en Russie, il intervient sur les relations internationales, notamment dans l’émission « Ici Moscou ».Xavier Moreau, analyste et ancien officier parachutiste diplômé de Saint-Cyr, réside en Russie depuis 24 ans. Fondateur de Stratpol, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la Russie, dont “Pourquoi la Russie a gagné ?”.Fabrice Sorlin, nationaliste catholique et vice-président du Mouvement international russophile, est engagé dans les débats géopolitiques sur la Russie.Thomas Thomasovitch, créateur de la chaîne « Thomasovitch », dirige l’agence de voyages Aventurusse, partageant son quotidien en Russie.

    La Géorgie : un nouveau front des révolutions de couleur

    La Géorgie devient un champ de bataille géopolitique. Après des élections controversées, des ONG liées à des réseaux occidentaux, comme celui de George Soros, cherchent à faire basculer le pays dans l’orbite euro-atlantiste. Si les élites urbaines soutiennent ce mouvement, les zones rurales et conservatrices restent loyales au gouvernement. Cette polarisation reflète des fractures similaires en Europe, où des voix contestataires redéfinissent les priorités nationales face aux pressions internationales.

    Bayrou, la Russie et l’Ukraine : une vision isolée

    Dans un contexte tendu, François Bayrou prône une initiative de paix en Ukraine, s'inspirant d’appels au dialogue de figures comme Donald Trump. Toutefois, cette stratégie entre en conflit avec la ligne atlantiste d’Emmanuel Macron, qui soutient une politique militaire alignée sur l’OTAN. Bayrou, isolé au sein du gouvernement, risque de faire face à une forte opposition interne et internationale, mettant en lumière les tensions croissantes au sommet de l’État.

    Bayrou et Macron : des fractures au sommet de l’État

    À peine nommé Premier ministre, Bayrou se heurte à Macron sur des dossiers clés : réforme des retraites, transition énergétique et crise sociale. Bayrou prône un humanisme politique, en opposition à la gestion technocratique du président. Ces divergences affaiblissent un exécutif déjà fragilisé par une contestation populaire. Si ces tensions persistent, elles pourraient provoquer une crise majeure : dissolution de l’Assemblée nationale ou démission de Macron.

    Marine Le Pen et le RN : une illusion de changement

    Marine Le Pen et le Rassemblement National promettent une rupture, mais cette ambition semble illusoire. Les contraintes imposées par l’Union Européenne limiteraient leur marge de manœuvre. Malgré son discours souverainiste, Marine Le Pen, en cas de victoire, resterait contrainte par les cadres économiques et sociaux de l’UE, perpétuant les frustrations actuelles. Ainsi, comme en Géorgie ou en France, les pressions extérieures rendent difficile un changement structurel durable.

    Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 21 décembre 2024, Bernard Wicht et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.

    Le Professeur Bernard Wicht, expert en stratégie militaire et privat-docent à l’Université de Lausanne, est un spécialiste des guerres asymétriques et de la transformation des conflits modernes. Auteur de nombreux ouvrages, il analyse les enjeux de souveraineté et de défense à l’ère de la mondialisation. Son enseignement et ses travaux font de lui une figure clé en géopolitique et stratégie.

    Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques de notre époque, avec une approche rigoureuse et documentée et examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.

    La Russie surclasse l’Occident dans la guerre moderne

    La Russie impose une nouvelle donne stratégique dans les conflits modernes. Depuis le début de la guerre en Ukraine, Moscou démontre une capacité redoutable à innover, à surprendre et à s’adapter.

    Les enseignements tirés de ce conflit de haute intensité propulsent la Russie au sommet des puissances militaires. Missiles hypersoniques, drones autonomes, brouillage électronique : ces technologies, associées à une vision stratégique unique, transforment profondément l’art de la guerre.

    Les armes innovantes russes changent les règles du jeu

    Les missiles hypersoniques russes, tels que l’Avangard ou le Zircon, représentent une avancée technologique sans équivalent. Capables d’atteindre des vitesses dépassant Mach 10 tout en manœuvrant pour déjouer les défenses ennemies, ces armes rendent obsolètes les systèmes antimissiles occidentaux. Leur précision et leur pouvoir destructeur permettent de frapper des cibles stratégiques en un temps record, donnant à la Russie un avantage potentiellement décisif.

    Les drones, tels que le Lancet, jouent également un rôle central dans cette révolution militaire. Légers, autonomes et bon marché, ils se révèlent particulièrement efficaces contre des équipements coûteux comme les chars ou les systèmes de défense aérienne. Moscou déploie ces drones par milliers, saturant les défenses adverses tout en minimisant les pertes humaines. En parallèle, la Russie développe des drones sous-marins capables de frapper en profondeur, ouvrant un nouveau front dans la guerre navale.

    Le brouillage électronique paralyse les adversaires

    Les dispositifs comme Krasukha-4 neutralisent communications, radars et drones ennemis. Déjà éprouvés en Syrie, ces systèmes jouent un rôle crucial en Ukraine, désorganisant les forces modernes de l’OTAN en paralysant leurs technologies de communication.

    L’art opératif russe redéfinit la stratégie

    Cette doctrine, héritée des stratèges soviétiques, combine stratégie, tactique et logistique pour frapper l’ennemi sur plusieurs fronts. En Ukraine, des offensives coordonnées associent frappes aériennes, drones et logistique fluide, exploitant chaque faille ennemie. L’Occident est souvent dépassé.

    Flexibilité intellectuelle et innovation

    L’armée russe se distingue par sa créativité et sa capacité d’adaptation. Cette approche, illustrée par le développement des missiles hypersoniques, défie la suprématie militaire américaine. Pensée stratégique et innovation rapide positionnent Moscou comme un acteur militaire incontournable.

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  • Le 21 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour analyser le scandale du remplacement des vitraux de Notre Dame, sur Géopolitique Profonde.

    Les vitraux historiques de Notre-Dame sacrifiés : un saccage du patrimoine orchestré par l’élite

    En 2019, l’incendie de Notre-Dame de Paris bouleverse le monde. Si toiture et flèche s’effondrent, les vitraux médiévaux échappent aux flammes. Pourtant, ces chefs-d’œuvre, classés monuments historiques, seront remplacés. Claire Tabouret, artiste progressiste basée aux États-Unis, a été choisie par l’archevêché et validée par l’Élysée pour réinventer ces trésors. Cette décision, imposée sans consultation publique malgré une pétition, suscite une indignation légitime : que deviendront les vitraux originaux ? Pourquoi ce mépris pour l’histoire de France ?

    Une destruction volontaire de notre patrimoine

    Les vitraux, conçus entre le XIIIe et le XIXe siècle, témoignent d’un savoir-faire unique, alliant symbolisme religieux et artisanat d’excellence. Épargnés par l’incendie, ils ne seront pourtant ni restaurés ni réinstallés. À leur place, Claire Tabouret créera des œuvres contemporaines, alignées avec une vision progressiste de l’art. Diplômée de la Cooper Union de New York, Tabouret, connue pour ses peintures de migrants et symboles occultes, incarne une idéologie étrangère aux racines spirituelles et esthétiques de Notre-Dame. Peut-on confier cette cathédrale médiévale à une vision artistique détachée de son essence ?

    Une décision opaque

    Ce bouleversement a été décidé par un cercle restreint. L’archevêché et l’Élysée, incarné par Emmanuel Macron, ont tranché sans consulter les fidèles ni les citoyens. Le patrimoine national devient le jouet d’une élite. Dès 2019, Macron promet une reconstruction en cinq ans, mais insiste sur une « vision moderne », confirmée par l’archevêché, plus soucieux d’une réforme culturelle que de préserver les traditions catholiques.

    Une protestantisation du catholicisme français ?

    Claire Tabouret explore aussi des thèmes ésotériques comme le tarot, inspirés de Pamela Colman Smith, occultiste du XXe siècle. Ces symboles éloignés de la théologie chrétienne pourraient refléter une tentative de désacralisation de l’Église, déjà affaiblie par des scandales et un déclin de la pratique religieuse. Derrière ce choix, on voit l’influence anglo-saxonne visant à transformer le catholicisme français en une version universelle. Notre-Dame devient un laboratoire idéologique, sous prétexte d’ouverture et de modernité.

    Où iront les vitraux originaux ?

    Leur avenir reste flou. Entreposés dans des caves ? Dispersés dans des musées ? Vendus aux enchères pour financer d’autres projets ? Ce silence alimente l’inquiétude : après la destruction physique de la flèche, assistons-nous à une destruction symbolique orchestrée ? Cette tendance s’inscrit dans une politique où des lieux historiques sont rénovés au mépris du passé.

    Un effacement de l’histoire collective

    Ce projet dépasse l’art : il incarne une politique d’effacement des repères historiques et spirituels de la France. Alors que des millions visitent Notre-Dame pour son authenticité, cette refonte semble conçue pour plaire à une minorité élitiste.

    Les Français sont dépossédés de leur patrimoine, tout comme ils l’ont été dans d’autres débats sociétaux récents.

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  • Le 21 décembre 2024, Vincent Pavan était l’invité de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Vincent Pavan, mathématicien et maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, est spécialisé en topologie et en théorie des graphes. Il est également connu pour ses prises de position critiques à l’égard des politiques sanitaires, en particulier lors de la crise du Covid-19, dénonçant certaines décisions scientifiquement infondées.

    Une jeunesse sacrifiée et des familles déchirées

    La crise du Covid-19 a laissé des séquelles profondes sur une génération déjà vulnérable. Isolement, culpabilisation et confrontation précoce à des problématiques adultes ont offert une opportunité inédite à des acteurs tels que Big Pharma. Ce dernier capitalise sur la détresse psychologique pour promouvoir ses solutions médicalisées. Par ailleurs, des institutions comme l’ASE (Aide sociale à l’enfance) et les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) tirent profit de dossiers souvent obtenus facilement, alourdissant le fardeau des familles.

    Dans des contextes familiaux fragilisés par des séparations, ces mécanismes accentuent les tensions. Les désaccords parentaux, notamment sur la santé mentale ou les traitements médicaux des enfants, sont exploités par ces institutions, exposant les familles à des décisions judiciaires radicales. Le parent refusant une médicalisation jugée excessive risque de perdre la garde, renforçant ainsi une logique qui favorise les recommandations médicales.

    ASE, MDPH et influence médicale : une machine à broyer les familles

    L’ASE justifie son intervention par la protection des enfants, mais ses motivations financières sont évidentes. Chaque enfant placé ou chaque dossier MDPH ouvert rapporte des revenus supplémentaires. Un diagnostic comme la dyslexie suffit à déclencher des aides, alors que les MDPH, débordées, voient leurs délais d’attente exploser.

    Parallèlement, Big Pharma bénéficie des désaccords parentaux. Les décisions judiciaires favorisent souvent les prescriptions médicales, y compris des antidépresseurs pour des mineurs. Vincent Pavan en a fait les frais : opposé à l’administration d’antidépresseurs à sa fille, il a perdu sa garde au profit du parent soutenant le traitement, sous l’influence d’une psychiatre et de l’ASE.

    Un système qui refuse de se remettre en question

    Ce système allie pressions médicales, jugements biaisés et marchandisation de l’enfance. Les familles fragilisées par des conflits subissent des processus qui avantagent laboratoires et institutions, au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant.

    Plutôt que d’admettre ses failles, le système français persiste dans une logique destructrice, sacrifiant la santé mentale et la stabilité des enfants. Ce refus d’évaluer l’efficacité des institutions – éducation, ASE ou justice – perpétue une dynamique qui broie des familles entières.

    L’intérêt de l’enfant, pourtant primordial, est ignoré, plongeant les générations dans une souffrance durable. La question reste : combien de générations faudra-t-il sacrifier avant une réforme profonde et nécessaire ?

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  • Le 20 décembre 2024, Dimitri de Kochko était l’invité de l’émission Un Soir avec Lara animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.

    Dimitri de Kochko est journaliste, réalisateur et militant associatif. Il est un acteur incontournable des relations franco-russes. Président de Stop Russophobie et fondateur de l’association France-Oural, il est également à l’origine de plusieurs initiatives culturelles majeures, comme le Prix Russophonie et les Journées du Livre Russe. Son expertise sur la Russie et ses implications géopolitiques sera précieuse pour décrypter le récent désengagement de Moscou en Syrie.

    Poutine impose sa vision dans un monde polarisé

    Le 19 décembre 2024, Vladimir Poutine a tenu sa traditionnelle conférence de presse annuelle, un marathon de communication suivi par des millions de téléspectateurs en Russie et à travers le monde.

    Cet exercice, qui dure généralement plusieurs heures, est une démonstration de force politique et un outil stratégique pour affirmer la ligne directrice du Kremlin. Entre posture offensive et messages soigneusement calibrés, cette édition a abordé les grands défis géopolitiques actuels.


    Sur l’Ukraine, une fermeté sans compromis

    « Nous finirons cette guerre à nos conditions », a déclaré Poutine. Il a critiqué les livraisons d’armes occidentales à Kiev, réitérant les objectifs russes de « dénazification » et « démilitarisation » de l’Ukraine. Refusant des pourparlers immédiats, il a accusé l’Ukraine d’agresser le Donbass. Ce discours vise à rassurer son électorat sur le contrôle des opérations militaires et à projeter l’image d’une Russie résiliente.

    Une économie mise à l’épreuve, mais résistante

    Face aux sanctions occidentales, Poutine a présenté une image de stabilité économique. « La Russie a démontré sa capacité à s’adapter, malgré les tentatives des pays hostiles de nous isoler », a-t-il affirmé. Il a évoqué une croissance de 3,5 % pour l’année 2024, attribuant ce chiffre à une diversification accrue des échanges commerciaux, notamment avec les pays asiatiques, et à la montée en puissance du commerce parallèle.

    Cependant, il a reconnu les défis persistants, notamment une inflation élevée, estimée à 8,5 %, et des difficultés d’accès aux technologies occidentales essentielles. « Nous avons des problèmes, c’est indéniable, mais nous les surmontons avec nos propres forces et avec l’aide de nos partenaires stratégiques comme la Chine et l’Inde », a-t-il ajouté. Ce discours vise à rassurer une population russe de plus en plus confrontée à une baisse de son pouvoir d’achat.

    Relations internationales : entre confrontation et ouverture

    Poutine s’est montré ouvert à des discussions avec les États-Unis, soulignant cependant qu’une pression sur la Russie entraînera une réponse ferme. Sur la Syrie, il a salué les succès russes, tout en appelant à des alliances renforcées avec l’Amérique latine et l’Afrique, dans un monde multipolaire.

    Une démonstration de leadership national

    Au-delà des messages adressés à la communauté internationale, cette conférence de presse a également servi à renforcer la stature de Vladimir Poutine auprès de son électorat.

    En insistant sur la résilience du pays et sa capacité à tenir tête à l’Occident, il se pose en garant de la souveraineté russe face à une « guerre hybride » menée par ses adversaires. « Ils nous sous-estiment constamment, mais la Russie ne fait que se renforcer dans l’adversité », a-t-il conclu avec emphase.

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  • Le 20 décembre 2024, Éric Dénécé et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Grande Émission animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.

    Éric Denécé, Docteur en science politique, dirige le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) et sa société de conseil en Risk Management (CF2R SERVICES). Ancien officier-analyste et spécialiste en intelligence économique, il a occupé des postes stratégiques dans la défense et la communication internationale, tout en menant des missions sensibles au Cambodge, en Birmanie et dans les pays des « révolutions » arabes. Parallèlement, il a enseigné dans de prestigieuses institutions et publié de nombreux ouvrages sur le renseignement, l’intelligence économique et le terrorisme, récompensés par plusieurs distinctions.

    Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.

    Poutine hausse le ton contre Israël et l’Occident

    Lors de sa conférence annuelle, Vladimir Poutine a vivement critiqué les interventions israéliennes en Syrie, qualifiant leur présence de « violation flagrante de la souveraineté syrienne ». Selon lui, Israël exploite le chaos syrien pour des gains stratégiques, avec le soutien indirect des États-Unis. La Russie, déjà engagée militairement depuis 2015, refuse désormais de tolérer ces manœuvres. Poutine cherche à repositionner Moscou comme acteur central dans une région stratégique en dénonçant l’escalade israélienne.

    Israël, qui bombarde régulièrement des positions militaires syriennes, justifie ses actions par sa lutte contre l’Iran. Pour Moscou, il s’agit d’une ligne rouge susceptible de déclencher une réponse ferme.

    Le chaos syrien, miroir des ambitions néoconservatrices

    Le conflit syrien illustre le cynisme des puissances occidentales et de leurs alliés, notamment les États-Unis, dans leur quête de domination géopolitique. Les interventions étrangères visent à fragmenter les États arabo-musulmans, notamment par des guerres par procuration et des sanctions économiques. La Syrie, bastion de résistance face à Israël, subit cette stratégie qui maintient un chaos permanent. Moscou, en s’opposant à ces manœuvres, perturbe les plans occidentaux et renforce son influence au Moyen-Orient.

    La Turquie, acteur opportuniste

    Ankara exploite aussi l’instabilité syrienne. Obsédé par la question kurde, Recep Tayyip Erdoğan mène une politique agressive dans le nord de la Syrie, sous prétexte de sécuriser ses frontières. Si la Turquie coopère parfois avec Moscou, leurs objectifs divergent. La posture dure de la Russie contre Israël pourrait également compliquer les ambitions turques, rendant les alliances plus imprévisibles.

    Un Proche-Orient en crise

    Au centre de cette lutte d’influence, la Syrie est le théâtre d’affrontements entre grandes puissances et acteurs régionaux. Vladimir Poutine agit pour galvaniser les partenaires arabes de la Russie et contrer les stratégies occidentales. Cependant, le risque d’un embrasement général reste élevé. Plus qu’un conflit local, cette crise redéfinit les rapports de force mondiaux.

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  • Le 20 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour analyser l’affaire Pélicot à Mazan et la condamnation de Dominique Pélicot.

    Un crime abject et un système organisé

    Dominique Pélicot, condamné pour avoir drogué, violé et livré sa femme à des inconnus, incarne l’horreur des réseaux de criminalité sexuelle. Ses crimes révèlent un système bien plus vaste, structuré et protégé par le silence et l’inaction. Pendant des années, Pélicot a méthodiquement planifié ces actes, utilisant des substances chimiques pour priver sa femme de conscience et la soumettre à des viols collectifs.

    Les inconnus impliqués ne sont pas de simples participants : ils s’inscrivent dans un réseau structuré, où des corps sont marchandisés et où des vidéos compromettantes circulent. Pourtant, ces preuves, qui pourraient exposer des complices et des acheteurs, restent inexploitées par la justice. Pourquoi ces pistes ne sont-elles pas suivies ? La question d’une protection active ou passive se pose.

    Un bouc émissaire pour un réseau bien plus vaste ?

    Si Dominique Pélicot est justement condamné pour ses crimes monstrueux, sa condamnation soulève une interrogation : ne sert-il pas de bouc émissaire pour détourner l’attention d’un réseau plus large ? Les vidéos produites et diffusées, ainsi que la participation d’inconnus, laissent supposer l’existence d’un système organisé. Cependant, les enquêtes semblent avoir volontairement ignoré ces éléments.

    Ce mécanisme, où un individu est présenté comme le seul responsable, permet d’apaiser l’opinion publique tout en protégeant les véritables architectes du système. Pélicot pourrait n’être que la partie visible d’un réseau criminel complexe, masqué par des complicités et des intérêts puissants.

    Une inversion des valeurs et une société en déclin

    L’affaire Pélicot illustre une inversion totale des repères moraux dans la société moderne. La banalisation des crimes sexuels, l’impunité des complices et l’inaction face aux réseaux pédocriminels révèlent une déchéance accélérée. La justice ne semble qu’apporter des réponses superficielles à des pathologies systémiques.

    Certains comparent cette période à une ère apocalyptique, où le mal est organisé et les institutions ne sont que des façades, masquant l’injustice. La condamnation de Pélicot, bien qu’importante, est loin d’éradiquer une criminalité profondément enracinée dans des structures protégées.

    Une ère sombre et des questions essentielles

    Ces crimes symbolisent une époque marquée par la corruption et l’exploitation des innocents. L’inaction des autorités face à ces réseaux soulève des interrogations : quels intérêts ou quelles complicités protègent ces systèmes ? Pourquoi la justice ne poursuit-elle pas ces pistes ?

    Pour comprendre les enjeux derrière les dérives de la société moderne, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 20 décembre 2024, Marc-Gabriel Draghi, Bruno Gollnisch, et Charles Emmanuel de Bourbon Parme étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration : Vers la mort des Nations, où il dénonce notamment les dangers du projet du Forum économique mondial.

    Bruno Gollnisch Bruno Gollnisch, député de 1986 à 1988 et cadre du Front National, a par la suite été député européen, mandat qu’il a exercé de 1989 à 2019. Au sein du Front National, il a occupé les postes de secrétaire général, délégué général et vice-président. Il a également dirigé la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2002.

    Charles Emmanuel de Bourbon Parme, prince capétien, est un descendant direct de Louis XIV. Il s’engage politiquement avec son ouvrage Le bon sens au pouvoir : Pour que la France retrouve sa place au soleil (Éditions Lacour-Ollé), où il milite pour une réinvention de la France sur la scène internationale, en s’appuyant sur une vision monarchiste et conservatrice des institutions.

    La République face à une crise existentielle

    L’échec d’une dissolution parlementaire met en lumière les failles profondes des institutions françaises. Fragmentée, la classe politique est incapable de gouverner efficacement, reflétant une perte de confiance massive des citoyens. Aujourd’hui, plus de la moitié des Français se disent désillusionnés par une élite qu’ils perçoivent comme déconnectée et inefficace face aux défis contemporains.

    La fin de la bipolarisation politique a laissé un paysage éclaté où trois blocs principaux s’affrontent sans parvenir à proposer des solutions cohérentes. Cette situation, aggravée par des directives européennes jugées envahissantes, renforce l'affaiblissement d’une République incapable de défendre la souveraineté du pays.

    Redonner sens au politique : le bien commun comme alternative

    Pour sortir de cette impasse, il est urgent de dépasser le concept d’intérêt général, trop souvent dévoyé par des compromis opportunistes. L’idée du bien commun, en revanche, peut servir de socle pour refonder le lien entre les citoyens et leurs institutions. Le bien commun cherche à unir autour de valeurs partagées, de traditions et d’un avenir collectif, là où l’intérêt général divise.

    Cette vision implique un rejet du mondialisme destructeur et une défense des fondements culturels, identitaires et spirituels de la communauté politique. Cela nécessite une approche fondée sur la solidarité, éloignée de l’individualisme contractuel du droit romain. Cette refondation serait une réponse essentielle aux défis posés par la mondialisation.

    Une refondation urgente pour l’avenir

    La République française est à un tournant. Sa capacité à relever les défis sociaux, économiques et culturels est remise en cause par une crise profonde de ses institutions. Le bien commun pourrait être l’outil nécessaire pour réconcilier les citoyens avec une vision politique à long terme. Ce projet requiert courage, rupture avec la technocratie et ambition pour démontrer qu’une communauté politique peut encore se relever dans un monde en mutation.

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