Avsnitt
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"C’était un couple de quadras comme on en croise des dizaines dans les cinémas d’art et d’essai. Elle portait un collier en argent et un bracelet d’ambre. Lui, une corde de cuir fermée par un symbole d’infini. Il était grand et fin, elle était pulpeuse et très jolie. Monsieur et Madame Bobo Parisien. Avec un zeste de piment.Cela faisait plusieurs samedis que j’observais leur manège..."
Texte original "La bibliothécaire" par Charlotte Cocci, auteur du blog https://charlottecocci.wordpress.com
Trame sonore par Samuel Mazzotti (https://linktr.ee/samazzotti) preneur de son, mixeur, podcasteur et créateur de sons. Special Guests: Charlotte Cocci and Samuel Mazzotti. -
Je travaille sur un site industriel d’environ 300 personnes et nous avons sur place un service médical du travail. Petit à petit, une complicité s’est nouée entre moi et l’infirmière du service. Mais je dois reconnaître que j'étais loin d'imaginer ce qui allait en germer.
Collaboration: trame sonore par Samuel Mazzotti, preneur de son, mixeur, podcasteur et créateur de sons. Special Guest: Samuel Mazzotti. -
Saknas det avsnitt?
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Cette passion était là, naissante, grandissante, dévorante. Le moindre regard, le moindre toucher, ces doigts qui s’effleurent sur un geste anodin, ou juste une odeur qui titille... Tout était amplifié, on savait que le moindre mot finira bien par nous faire plonger vers l’interdit.
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On avait peaufiné une sorte de parcours sensuel, avec des plaisirs à recevoir et à offrir. Ce n'était pas une routine, à proprement parler. Rien à voir avec le missionnaire-en-guise-de-somnifère du vendredi soir. Rien à voir non plus avec la petite pipe vite bâclée du dimanche matin, dont se contentent la plupart des couples coincés au pays du désir tiède. Non, pour nous, tout ce qu'on faisait au lit c'était notre façon de réellement jouer avec le plaisir.
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Je crois qu'au début, tu aimais surtout ma façon de tenir debout toute seule. Intuitivement, tu as dû sentir que je n'allais pas t'encombrer. Que je n'allais pas trop te demander. Puisque je n'avais besoin de personne en Harley Davidson. Tu te souviens? J'avais ta queue dans ma bouche, ton téléphone a sonné. Tu as répondu, c'était la mère de ton fils. Rien d'important, rien d'urgent, mais comme la plupart des femmes, des êtres intuitifs, elle avait ressenti le besoin de t'appeler. Juste à ce moment-là. Et tu avais décroché par peur, ou par réflexe. Je n'ai rien dit, car "on ne parle pas la bouche pleine"...
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Tout ça est un jeu, c'est un poker menteur. Je mets une photo, et la moitié des mecs bavent dessus. Mais en vrai, jamais ils ne sortiraient avec moi. Si je leur donnais rendez-vous dans un café, ils feraient demi-tour avant de me parler. Sauf que... derrière un écran, je leur plais. Ils se donnent probablement bonne conscience d'avoir remonté le moral à une pauvre meuf que personne ne voudrait baiser. Trop grosse, trop flasque, trop molle. C'est leur bonne action de la journée.
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Giulia l'observait: il était à l'aise, pourtant il avait bien senti le regard appuyé, mais il se laissait faire, tel un chat qui se laisse caresser. Elle aimait cette façon qu'il avait d'affirmer sa virilité là, naturellement, de façon simple, sans gaucherie feinte et sans extravagance inutile. Un mec prêt à perdre pied, par choix, par désir.
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Je ne réfléchis plus, je veux jouer, un jeu risqué mais c’est justement le risque qui m’excite tant. Je suis prête à m’offrir, à répondre à ses demandes. Je vais être sa chose. Je me mets à sa disposition mais je garde le contrôle: je peux dire "stop" à chaque instant. A vrai dire, plus rien ne me retient, je monte les escaliers, j’enfile le masque et je ferme les yeux. Oui, j'accepte de ne rien voir.
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Ce samedi matin, elle était en retard pour son rendez-vous avec Gio. Il fallait la voir, belle, nue, bronzée, charnue, en train de courir dans tous les sens: à la salle de bain, pour faire couler son bain, à la cuisine pour lancer le café, puis au dressing pour choisir sa robe, et enfin à l'entrée pour chercher ses sandales...
Gio était déjà en bas, et elle était encore toute nue, il lui fallait se décider, et vite... Pour finir, elle le fit monter, en lui criant: 2e étage gauche! Puis elle laissa la porte de l'appartement entrouverte, avant de courir à la salle de bain. Eh, bon... son bain était prêt, elle plongea dedans, en se disant, "je vais faire vite, très vite." -
J'ai 45 ans et j'avoue que jusqu'à présent, je n'ai connu qu une seule panne. A mes yeux, la sensualité et le désir sont les choses les plus importantes, pour une sexualité aboutie. Par contre, je peux toujours avoir une érection comme un gamin devant une image, une scène ou une personne qui me donne envie, peu importe où je me trouve. A vrai dire, il y a plus de détails qui me font bander que débander.
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Longtemps, j'ai eu une gêne visible dans mon maintien, ma conversation. Une gêne qui se nourrissait d'elle-même, en fait. Progressivement, ces choses se sont estompées, notamment avec un déniaisage plutôt tardif, à mes 22 ans. L’autre jour, j’ai fait du "floating" dans un caisson d’isolation sensorielle. En me connectant à mes sensations, j’ai ressenti beaucoup de bonheur et de gratitude envers mon corps. La fois d’après, j’ai même eu une érection dans le caisson par le simple plaisir de... respirer.
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André regarde comment Fred caresse mon intimité. Je me suis livrée à ces deux hommes d’apparence très anodine. Les caresses me font jouir intensément, je crie de plaisir. André pense que Fred devrait s’arrêter mais il répond: "- Encore un peu… Elle va mouiller, elle va gicler partout, attends!" Et je mouille partout, je coule, je fonds de plaisir. Lentement il se retire, j’ai soif, je bois plusieurs verres d’eau. Je me sens bien, vivante, belle.
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Ce jour-là, j’étais nue sous ma robe, excitée comme une adolescente. Dans mon bas-ventre, la boule de désir me brûlait littéralement. Je mouillais et je regrettais de ne pas avoir enfilé une culotte.
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Alors, mes premiers émois corporels? J'étais pré-pubère, je devais avoir 10 ou 11 ans je crois, lorsque j'ai trouvé un jour une culotte d'une amie de ma mère. La culotte n'avait rien d'extraordinaire, elle était marron clair, avec une bordure en dentelle. Allez savoir pourquoi je me souviens de ces détails après toutes ces décennies.
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Je savais que deux rues plus loin, il y avait un "love hôtel". J'ai demandé une chambre pour l'après-midi. Une fois la porte refermé derrière nous, je l'ai juste laissé faire: il m'a baisée dans tous les sens, pendant plusieurs heures. D'abord, il m'a fait descendre à genoux devant lui, sûrement un fantasme inassouvi. Il l'a fait maladroitement, avec impatience, en appuyant ses mains sur mes épaules. Mon envie de le sucer et la gravité terrestre ont fait le reste.
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Si je devais changer quelque chose? Je ne changerais rien à ce que mon corps est devenu. Je ne suis pas du genre à suivre des modes vestimentaires, ni du genre à vouloir confier mon corps à la science dans le but de l’embellir, ni du genre à vouloir à tout prix ressembler à quelqu’un! Non, je suis moi et c’est très bien comme ça!
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Je n’ai pour l’instant jamais eu de problème d’érection. Quand je n'ai pas bandé, c’est que nous étions en crise avec ma partenaire. Et même dans ces cas-là, c’est extrêmement rare. Le simple fait de toucher sa peau m’électrise. La sensualité a une part primordiale pour moi dans l’amour et le sexe.
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Ses jambes qui dépassent de son peignoir blanc sont luisantes, fraîchement épilées, les ongles de ses pieds soigneusement vernis d’un rouge écarlate. D'ordinaire, je ne suis pas particulièrement fétichiste. Elle avance son pied droit sur la pointe pour mieux me le faire admirer, sa voûte se cambre, je veux le prendre dans mes mains.
"- C’est vrai qu’elle a bien travaillé..." fit-elle d’une moue satisfaite.
C’est alors que j’aperçois un détail qui m’avait échappé de prime abord... -
Encouragée et désirée, elle finissait par s'arrêter au centre. La bouche bien au-dessus de la verge, à quelque centimètres seulement. Son souffle caressait tendrement la peau fine. S'il avait pu, le gland aurait attrapé la chair de poule. A vrai dire, elle aimait sucer, longuement, sans but. D'abord, pour son plaisir à elle. Parfois, elle ressentait la fierté de faire grandir le pénis dans sa bouche.
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Je fais partie d'une génération où le corps sexualisé de la femme, voire la nudité féminine, étaient partout. Dans les émissions TV, dans les séries et bien sûr dans les films. "Alerte à Malibu", "Basic Instinct", "9 semaines et demi". Même dans certaines publicités, les femmes prenaient leur douche seins nus. Le mercredi début d'après-midi était réservé pour regarder un épisode d'Alerte à Malibu, avoir une érection avant d'aller au sport.
- Visa fler