Devant la mort te voilà démuni : tu ne peux sauver tes propres parents, tu ne peux sauver tes enfants, tu ne peux sauver tes chefs vénérés, si bien guidés sur la voie de la religion. Ils mourront tous devant toi tandis que tu les contempleras impuissant. S’il n’est aucun pouvoir suprême régissant ta destinée et que tu dis vrai lorsque tu prétends que tu es tout dans l’univers et qu’il n’y a pas de Dieu, alors pourquoi ne restitues-tu donc pas la vie aux morts ? Aussi vrai que tu es impuissant dans cette situation, il ne t’appartient pas d’empêcher Allâh d’appeler les hommes à rendre des comptes et de les rétribuer ou les châtier. Que tu le croies ou non, toute personne qui meurt connaîtra avec certitude sa propre fin après la mort. Si elle fait partie des rapprochés, elle verra la fin heureuse qui leur est réservée. Si elle fait partie des justes, elle verra le sort réservé aux justes. Et, si elle est de ceux qui renient la vérité, elle verra la fin réservée aux criminels. Voici trois belles conférences de notre frère bien-aimé Soufiane Abou Ayyoub qui par des paroles exaltantes nous fait vivre les versets de cette sourate magnifique.