Avsnitt

  • La chirurgie bariatrique ou chirurgie de l'obésité a pour but de modifier la façon dont les aliments sont absorbés par le système digestif et rassemble plusieurs opérations en lien avec l'obésité. L'obésité est une souffrance physique et morale, doublé d'un sentiment d'impuissance. Les régimes amaigrissants ne marchent pas bien sur le long terme. On nous propose maintenant la chirurgie bariatrique.

    Il existe trois grandes opérations en chirurgie bariatrique :
    - Le bypass gastrique (court circuit du système digestif) : la partie haute de l’estomac est sectionnée par un agrafage, ce qui crée une petite poche. Sur cette dernière est raccordée une anse de l’intestin grêle sectionnée à 1m ou 1,5m après l’antre pylorique.
    -La sleeve gastrectomie : elle consiste à enlever une grande partie de l’estomac pour former un tube étroit, calibré à l’aide d’une sonde durant l’intervention. La partie de l’estomac en excès est définitivement retirée.
    - L’anneau gastrique (gastroplastie) : il est gonflable et ajustable. Il est relié par une tubulure à un boîtier d’injection qui se situe sous la peau de la paroi abdominale que le chirurgien ponctionne pour y introduire un liquide spécifique.

    Le problème avec ces chirurgies est que la liste des effets secondaires est longue comme le bras. A titre d'exemple, on vous demande même de signer une décharge en cas de mort.

    Toutes ces opérations permettent de diminuer la quantité d'aliment que nous pouvons avaler ou digérer. Autrement dit, elles nous mettent en état de quasi jeûne. Pourquoi opter pour une chirurgie qui rapporte 1000€ par intervention, alors que le jeûne est efficace et gratuit ?

    La prise de poids ne s’explique pas que par des apports excessifs mais s'explique aussi par une dérégulation complète du métabolisme, du système de régulation de la prise alimentaire et du stockage. Le jeûne peut permettre au corps de remettre tout cela en ordre.

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • Les symptômes du SOPK (Syndrome des Ovaires PolyKystiques) : règles irrégulières, acné, gain poids, hirsutisme, infertilité, pigmentation (mélanocytes). Tous ces symptômes semblent traduire d'un dérèglement hormonal. SOPK est un signe général de surcharge et d'épuisement.

    Des kystes se développent sur les ovaires. Qu'est ce qu'un kyste ? C'est une cavité qui contient un liquide ou une substance semi-solide qui se forme dans un organe ou dans un tissu. De quel liquide s'agit-il ? De la lymphe.

    Toutes les SOPK sont corrélées avec une forte résistance à l'insuline :

    Résistance à l'insuline = excès d'insuline
    Excès d'insuline = trop d'aliments

    On retrouve la résistance à l'insuline dans toutes les grandes pathologies : cancer, atteintes dégénératives, etc. C'est logique. L'insuline et la MTor sont deux facteurs anaboliques de croissance. L'insuline augmente avec alimentation sucrée et protéinée, et MTor augmente avec une alimentation protéinée et sucrée principalement. Les facteurs de croissance sont bienvenus pendant l'enfance, et malvenus à l'âge adulte.

    SOPK et la testostérone : on constate toujours un excès de testosterone et d'hormone de croissance qui traduisent d'un dérèglement hormonal général. Les hauts niveaux de mélatonine sont corrélés à des hauts niveaux de testostérone, d'insuline etc.

    Hauts niveaux hormonaux = résistance hormonale généralisée = hauts niveaux de cortisol = stress généralisé

    - Comment baisser l'insuline et MTor ? : le jeûne et la réforme alimentaire !
    - Comment désencombrer la lymphe et permettre que le liquide lymphatique s'épure ? Le jeûne , le repos, l'alimentation physiologique.
    - Comment diminuer les niveaux circulants de cortisol ? Respiration, massage, limiter les sollicitations.

    Endométriose : présence de muqueuse de l'utérus en dehors de la cavité utérine.

    Il s'agit encore de croissance anarchique. Tout ce que l'on a dit précédemment s'applique parfaitement : résistance hormonale généralisée + facteurs de croissance en excès.

    Généralement on isole deux facteurs prédisposants à cette endométriose : la présence d'un reflux de sang menstruel dans la cavité péritonéale (le sang menstruel peut ne pas totalement s'écouler par le vagin : une partie de ce sang peut refluer vers les trompes et inonder la cavité péritonéale. Ce sang contient naturellement des cellules endométriales vivantes qui peuvent se greffer sur le tissu péritonéal ou sur d'autres organes) et la présence de macrophages inefficaces (non-immuno-incompétents ou dépassés par les quantités à résorber).

    1/ Le sang joue un rôle émonctoriel
    2/ Hypertension, anévrisme, épuisement
    3/ Epuisement et immuno déficience
    4/ Dérèglement hormonale

    Résistance insuline, insuline élevé, MTor élevé , testostérone élevée , facteurs de croissance tissulaire élevés → prolifération anarchique

    Au final, système surchargé, congestionné, épuisé et déminéralisé. Et le jeûne dans tout ça ? C'est toujours la même chose bien que la manifestation soit différente , une cause unique pour des milliers de maladies !

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • Saknas det avsnitt?

    Klicka här för att uppdatera flödet manuellt.

  • 1/LE SYNDROME PRÉMENSTRUEL
    Les douleurs pré-menstruelles semblent de plus en plus corrélées à une hyper sensibilité des récepteurs aux hormones féminines plus qu'aux hormones elles-mêmes. Les résultats sont assez disparates avec pour pas mal de jeunes filles des améliorations avec le jeûne, pour d'autres une stagnation ou une aggravation. C'est individuel, il faut donc expérimenter dans la limite de la sagesse individuelle.

    GnRH: LH et FSH : sperme et testostérone chez les hommes, ovulation et progestérone chez les femmes. Précurseur du GnRH: Kisspeptine (neuropeptide : peptide produit par un neurone)
    - Les femmes produisent beaucoup plus de kisspeptine que les hommes

    La kisspeptine est trés sensible aux hormones de la faim : ghreline, insuline, leptine, ce qui veut dire qu'en jeûne la kisspeptine s'effondre et donc la GnRH aussi. La variation de kisspeptine chez les femmes est plus forte que chez les hommes

    2/LES RÈGLES
    Les menstrues correspondent à l'évacuation de la couche superficielle de la muqueuse de l'utérus : l'endomètre. Les résultats avec le jeûne sont assez paradoxaux aussi : jeûner juste avant les règles à tendance à hâter les règles, le jeûne long peut induire (perte de masse grasse, long temps passé avec GnRH bas ) une disparition ponctuelle des règles.

    - Does Ramadan fasting has any effects on menstrual cycles ?
    - Short-term fasting in normal women: absence of effects on gonadotrophin secretion and the menstrual cycle
    - Les effets sont plus marqués chez les femmes minces


    3/LA FERTILITÉ : EFFONDREMENT DE LA GNRH DURANT LE JEÛNE
    En jeûne la fertilité de la femme baisse et corollairement elle explose en sortie de jeûne : LH et FSH s'effondrent en jeûne mais la sensibilité augmente.

    Le jeûne étend la période de fertilité féminine
    C'est un modèle animal certes mais cela rejoint toutes les observations empiriques chez les humains

    4/ syndrome des ovaires polykystiques , première cause d'infertilité
    dérèglement par excès d’androgènes produits dans l’ovaire

    C'est un tableau complet de dérèglement hormonal
    corrélation forte entre résistance à l'insuline ( surcharge pondérale, diabète , etc...) et PCOS

    5/ LA GROSSESSE ET LE JEÛNE
    Attention avec le jeûne pendant la grossesse, je recommande de faire plutôt attention à l'alimentation.

    6/ L'ALLAITEMENT ET LE JEÛNE
    Il est souvent dit que plus de 24h de jeûne à fortiori sec, interrompt la lactation. C'est faux. Une fois l’allaitement bien mis en place (au bout de 6 mois), le corps sait fabriquer le lait à la demande, et la source ne risque pas de tarir. À moins d’être dénutrie, la maman peut techniquement jeûner sans risquer d'interrompre son allaitement.

    Mais n'y a-t-il pas un danger que la détoxification induite par le jeûne empoisonne le lait ? C'est une question très pertinente à laquelle personne n'a de réponse claire actuellement. D'un côté on te dit que nombre de toxines sont liposolubles et vont donc passer dans le lait. D'un autre côté toute l'étude de la biologie de la femme enceinte et allaitante prouve que les fonctionnements biologiques sont là pour favoriser le bébé au détriment de la mère. En plus, il faut remarquer que de toutes façons le corps de la mère se nettoie en permanence alors avec ou sans jeûne si cette hypothèse est valable, le bébé recevrait dans tous les cas le lait empoisonné. Conclusion : ne partez pas trop fort, trop vite et allez-y progressivement mais rien ne s'oppose au jeûne en allaitant.

    7/ LA FAIM ET LE JEÛNE
    Les femmes sont beaucoup plus sensibles à la faim et il y a une plus grande résistance à la perte de masse grasse. Je vous invite à jeûner quand vous le sentez, parfois c'est facile alors allez-y et parfois c'est très dur et le volontarisme masculin se casse le nez sur la réalité hormonale.

    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • Fasting or caloric restriction for Healthy Aging
    Organe par organe , espèce par espèce, plus de 12 études
    Promoting Health and Longevity through Diet: from Model Organisms to Humans

    Vers de terre qui rajeunissent , augmentation de la durée de vie de 40%

    Dans toutes les études réalisées , il semblerait que deux facteurs agissent trés favorablement sur la longévité et la durée de vie en pleine santé :
    Le jeûne ( durée quotidienne d’abstinence totale de nourriture)
    la restriction calorique
    Daily Fasting Improves Health and Survival in Male Mice Independent of Diet Composition and calories

    «Eating patterns rather than diet composition influence longevity regulation »
    Deux groupes de souris : une avec nourriture de basse qualité, l'autre nourriture haute qualité
    chaque groupe séparé en trois : nourriture dispo toute la journée, restriction calorique de 30% et un seul repas par jour
    le fait d'allonger le temps de jeûne quotidien améliore notoirement la qualité et l'espérance de vie et ce en dehors de toute considération diététique .

    Mais...pourquoi et comment ? Qu'est ce qui fait que le jeûne serait ainsi promoteur de longévité … ?

    on reparle de l'autophagie , le corps élimine ainsi les déchets et favorise le renouvellement . On va consacrer une vidéo à l'autophagie ...

    mais les recherches les plus modernes s'intéressent surtout au fonctionnement de la mitochondrie :

    la mitochondrie : centrale de production d'énergie de la cellule humaine

    Mitochondria are required for pro‐ageing features of the senescent phenotype

    Dans cette étude , l’équipe du Dr Joao Passos a réussi à montrer que le ralentissement du processus de d'homéostasie mitochondriale (mitophagie) était responsable du vieillissement cellulaire .
    En d'autres termes : en supprimant des cellules « âgées » les mitochondries abimées ils se sont rendus compte que les cellules étaient littéralement rajeunies … Le niveau de marqueurs inflammatoires, les radicaux libres et tous les marqueurs du vieillissement avaient été réduits …

    Dietary Restriction and AMPK Increase Lifespan via Mitochondrial Network and Peroxisome Remodeling

    Dans cette étude il est démontré que le réseau mitochondrial demande à être renouvelé par un processus homéostatique constant de fusion et fission entre mitochondries.
    Le vieillissement est associé de manière systématique avec un ralentissement de ce processus homéostatique
    l'AMPK (AMP adenosine monophosphate-activated protein kinase) est le facteur principal du maintient de cette fonction homéostatique à l'échelle de tout le corps
    l'AMPK est a son pic en état de jeûne ( la ghréline stimule la prod de AMPK...). AMP K détecte la baisse du nombre de molécules d'ATP ( adenosine triphosphate – source d'énergie cellulaire) . Quand l'ATP baisse alors AMPK explose ...
    il est « amusant » de constater que l'hypoxie augmente considérablement la production de AMPK...hormèse,hormése...
    AMPK at the Nexus of Energetics and Aging

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • Cela paraît contradictoire, pourtant c'est totalement rationnel si on s'intéresse à la loi de l'Hormèse. Que désire-t-on en s'entrainant : diminuer la masse grasse et augmenter la masse maigre musculaire ? Nous allons voir comment le jeûne peut nous y aider.

    Le jeûne est un stress physiologique pour l'organisme. Ensuite, lors de la phase de réalimentation, on recueille tous les bénéfices de l'entrainement. C'est le principe de la loi de l'hormèse pure : court stress suivie d'une phase d'intégration longue.

    Lors de la phase de stress (système nerveux sympathique antagoniste avec la digestion et l'assimilation) l'énergie est dérivée vers les viscères plutôt que vers les muscles. Il y a un relâchement des vaisseaux sanguins. La phase de repos/anabolique (système nerveux parasympathique) est favorable à la construction, la digestion et l'assimilation.

    1/ FAIRE DU SPORT À JEUN

    On dit généralement que s'entraîner à jeun permet d'épuiser plus rapidement ses réserves de sucre et conduit à puiser plus rapidement dans les graisses, mais c'est plus complexe que ça. Production de catécholamines : cortisol (brûle graisse), adrénaline (afflux de sang dans les muscles ) testostérone et GH.

    L'adrénaline amène une constriction de vos vaisseaux sanguins qui permet d'envoyer plus de sang dans les zones périphériques (muscles). Cortisol : on brûle plus de graisse et particulièrement avec de l'exercice aérobie

    Aprés six semaines d'entrainement en état de jeûne, il y a une augmentation importante de protéines de liaison aux acides gras : le corps apprend a mieux utiliser ses graisses pendant l'exercice

    Ces protéines participent au transport des graisses depuis le milieu intra cellulaire vers le milieu extra cellulaire.

    Plus encore ! Les graisses intra myocellulaires : des petites gouttes de graisse au sein de nos cellules musculaires

    Cette étude montre que en s'entrainant en état de jeûne on mobilise jusqu'à 60% de plus ces graisses et que en s'entrainant à jeûn on apprend au corps à stocker plus de glycogène.

    Et surtout la consommation de sucre entre les deux groupes reste la même, la théorie selon laquelle on consomme les sucres avant de consommer les graisses ne tient pas la route

    Non, on ne perd pas de muscle en jeûnant car la GH augmente et préserve la masse musculaire !

    Le jeûne booste la production de GH et l'exercice booste la production de Gh, c'est un effet positif cumululatif.

    Se charger en nourriture et particulièrement en sucre avant l'entrainement amène à une forte diminution des catécholamines. On part avec un handicap.

    2/ ATTENDRE LA FIN DU JEÛNE POUR S'ENTRAINER

    Attendre la fin du jeûne pour s'entrainer si tu veux construire un max de muscle (rupture du jeûne aprés l'entrainement). Le mTor et l'insuline ( hormone anabolique ) contrôlent la croissance et la multiplication cellulaire et musculaire , donc si le mTor et linsuline restent bas ( en jeûne-) on ne pourra pas construire du muscle, au mieux préserver sa masse musculaire avec la GH

    En jeûne on assiste a une augmentation de la sensibilité à l'insuline ce qui veut dire que quand on se remet à manger on a un pic d'insuline et de mTor comme jamais.

    Plus généralement, la privation de nourriture va faire que une fois que tu te re-nourris le corps va mieux digérer , assimiler et utiliser les nutriments que tu vas lui apporter
    meilleur anabolisme !

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • L'autophagie est un phénomène de recyclage, de nettoyage cellulaire, déclenché par un manque d'apport de nourriture. Il y a trois formes d'autophagie : la macro autophagie, la micro autophagie et l'autophagie médiatée par les protéines chaperons.

    L'autophagie est déclenchée par :
    - Augmentation AMPK AMP "activated protein kinase", qui est une enzyme intervenant dans le métabolisme énergétique
    - Diminution de l'insuline
    - Diminution de MTor cible de la rapamycine chez les mammifères, qui est une enzyme de la famille des sérine/thréonine kinases qui régule la prolifération cellulaire, la croissance cellulaire, la mobilité cellulaire, la survie cellulaire.

    Cétose : état dans lequel on retrouve de nombreux corps cétoniques dans le sang. Les corps cétoniques servent de substrat énergétique quand les réserves de sucre sont épuisées et sont produits par la dégradation des lipides au niveau du foie. On assiste a une baisse de l'insuline, de mTor et augmentation de AMPK dans la mesure ou la réponse insulinémique est plus faible avec les graisses que le sucre.

    Cétose et autophagie ne sont pas équivalents mais il y a quand même des corrélations. Lorsque l'on jeûne, dès que les réserves de sucre et glycogène sont épuisées alors on passe en cétose. Ces corps cétoniques en circulation favorisent énormément de processus de détoxification du corps.

    En cétose le niveau d'insuline et de mTor sont diminués, cela favorise l'autophagie.
    - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2...
    - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1...

    Alors quoi manger avant le jeûne ? Ça dépend. Avant le jeûne l'idéal est de favoriser une baisse des niveaux d'insuline qui va faire en sorte que l'on passera plus rapidement en autophagie, favoriser la cétose en diminuant fortement les sucres dans les deux ou trois jours précédents. Et quoi consommer après le jeûne ? Tout dépend de votre but. Pour sortir plus vite de l'état de jeûne alors il est préférable de consommer du sucre pour faire remonter les niveaux d'insuline. Pour maintenir un max de temps l'autophagie et la lipolyse alors un régime pauvre en sucre et riche en graisses pour diminuer la réponse insulinémique.

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.

  • Pourquoi le jeûne sec est beaucoup plus efficace et plus puissant ? Ce n'est pas une opinion, ce sont des faits. Attention, beaucoup plus efficace ne veut pas dire « meilleur ». Pourquoi ? Quand on prive le corps de nourriture il s'en suit un forme de stress. Si ce stress reste dans le cadre du stress hormétique, il aura pour résultante une meilleure adaptation de l'organisme Le système adaptatif n'est pas spécifique à une fonction. Lorsqu'il n'y a pas d'eau, cela demande plus de stress au corps.

    Pour le jeûne sec, on l'apprendre comme un jeûne moins long et plus « puissant ». Il y a une production d'eau métabolique par catabolisme accru (six fois plus) des graisses, les tissus graisseux de l'organisme étant la zone de stockage privilégié des polluants en particulier polluants environnementaux. Par expérience plus on augmente l'intensité et on réduit le temps, et meilleure est la réponse de l'organisme. Plus intense est la sollicitation et plus intense est la réponse.

    Attention, pour les personnes épuisées, je vous invite à miser sur la durée plutôt que sur l'intensité. On choisit le type de jeûne en fonction de chaque personne. Le jeûne sec n'est donc pas à recommander pour tout le monde.

    This podcast is published by H/M Collection, a reinformation channel aiming to collect and provide multiple media content of different creators in topics of Society & Culture, News & Politics, Religion & Eschatology.
    Support the show on https://www.patreon.com/hmcollection for as little as 1€ a month.