Avsnitt

  • La mutagenèse somatique : le cancer dériverait d'une simple cellule dont l'ADN a muté ce qui la rendrait immortelle. On a dépensé des milliards pour arriver à isoler 100 « oncogenes » et un peu plus de 15 gênes suppresseur de tumeur. L'institut pour le cancer américain a un budget de 5,74 milliards de dollars (publics). Où est-ce que ces recherches nous ont emmené ? C'est une vrai question que je me pose lorsque je constate que la mortalité liée au cancer ne cesse d'augmenter.
    Serais-ce parce que nous aurions justement focalisé sur l'arbre qui nous empêche de voir la forêt ? Toutes nos cellules n'existent jamais en dehors de nos tissus !

    Toutes nos cellules sont issues d'un seul ovocyte fertilisé et donc partage exactement le même ADN. Ce ne serait donc pas la cellule qui est à l'origine de la différenciation cellulaire mais c'est ses tissus environnants, et c'est lié à des phénomènes de signaux hormonaux.

    La recherche actuelle focalise sur la cellule pour savoir quel gêne a muté. Mais alors comment se fait-il alors que toutes les cellules de notre corps ne deviennent pas cancéreuses ? C'est la graine ou le sol le problème ? Par analogie, la recherche médicale actuelle focalise sur la graine tandis que le vitalisme focalise sur le sol. Chaque cellule de notre corps peut devenir « cancéreuse » c'est donc la preuve que c'est une propriété innée de nos cellules. La graine du cancer est présente dans chacune de nos cellules, ce n'est donc pas la graine qui importe, mais le sol. Le sol s'apparente à notre environnement. Quel environnement favorise la multiplication des cellules a un niveau de mutation qui dépasse largement le niveau de mutation « normal » d'une cellule ?

    Exemple du Gleevec : c'est un médicament qui est présenté comme une avancée majeure dans la lutte contre le cancer. C'est un bloquant de la protéine kynase. Il vient affecter le sol (les signaux de croissance dans le corps) pas la graine ! Cela n'invalide pas toute la recherche génétique, cela montre juste que cela ne sert à rien pratiquement sinon à engloutir des quantités astronomiques de fonds publics. Le vivant EST son environnement.

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  • Le constat est terrifiant : de plus en plus d'enfants développent très tôt des cancers de nos jours.
    Les enfants arrivent avec un bagage lourd. La majorité de nos organismes sont empoisonnés aujourd'hui (nourriture industrielle transformée, additifs alimentaires, pesticides, perturbateurs endocriniens, pollution de l'air, pollution de l'eau, pollution des sols etc.) Il y a un lien entre la mère porteuse et le bébé qui hérite de l'héritage empoisonné des parents. La mère et le bébé sont en symbiose, ils sont connectés donc la mère transmet ce qu'elle a au bébé. Il y a même des études sur les enfants qui naissent accro à certaines drogues, sur les maladies dites « héréditaire » qui ne sont en fait que des maladies qui se transmettent à l’embryon fragile et vulnérable.

    Un enfant est le reflet de son milieu. Dans quel milieu arrive nos enfants ? Stress, pollution, peu de contact avec la nature, déminéralisation de la mère, épuisement de la mère sont tout un tas de facteurs qui participent au développement du cancer chez l'enfant.

    Ce que le cancer a de spécifique chez l'enfant : il est souvent foudroyant car la vitesse de réplication cellulaire est plus rapide. Cela est vu comme un grand danger, mais cela veut dire aussi que tout changement drastique de son mode de vie aura une influence beaucoup plus rapide sur sa guérison. Autre spécificité, un système nerveux en construction et un système éliminatif qui n'est pas terminé non plus. Si les réformes du mode de vie et la détoxification fonctionne pour les adultes pourquoi ça ne marcherait pas sur les enfants ? Nous devons prendre la mesure des changements radicaux dans notre hygiène de vie que nous impose le cancer.

    En parallèle, nous devons avoir connaissance du caractère cytotoxique de la chimiothérapie prouvé par des études scientifiques. Il y a un grave problème dans notre société : nos enfants ne nous appartiennent pas, ils appartiennent à l'Etat car on peut nous retirer la garde si nous n'acceptons pas les protocoles de chimiothérapie et de radiothérapie. Qu'est-ce qui fragilisent les enfants présentant un cancer ? En bonne partie la chimiothérapie par leur caractère cytotoxique ! Mais nos médecins ne peuvent pas l'affirmer ou le dénoncer sans risquer d'être radiés. Dictature et omerta dans le système médical actuel et des enfants innocents en payent le prix.

    75% des enfants sont morts d'une infection durant la soit disante rémission après chimiothérapie.

    Les effets secondaires de la chimiothérapie

    La toxicité rénale et la chimiothérapie chez les enfants atteints de cancer

    The toxicity of chemotherapy is a common cause of morbidity and mortality in cancer patients as well as a frequent source of sequelae at mid-long term. These adverse effects are often the consequence of direct toxicity in healthy tissue, as a result of the low specificity displayed by these drugs. Furthermore, and regardless of their specificity, these compounds may also exacerbate complications derived from the tumor growth, as it is the case of pancytopenia or the Tumor Lysis Syndrome

    Et qu'est-ce qui est promis ? 80% survivent à 5 ans, mais dans quel état ? Des effets indésirables qui se mesurent à l'âge adulte

    Quelles sont les alternatives ? Une réforme du mode de vie : réformes alimentaire, des niveaux de stress, grandir dans un environnement sain. On peut s'aider de l'huile cannabis, de la vitamine C, des cataplasmes, de l'huile de ricin, de l'argile, de l'hyperthermie localisée, des plantes etc.

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  • Michel a découvert lors d'un examen de routine une tumeur hépatique en stade terminal (stade 4), un cancer très aggresif. Le traitement a commencé classiquement par une chimiothérapie, mais son état s'est dégradé rapidement alors il a choisi avec sa famille de changer complètement de façon d'agir. Il s'est alors tourné vers les méthodes naturelles, avec une réforme complète de l'hygiène de vie qui active les capacité d'auto-régénération du corps. Merci à Lora et Lary (ses enfants) pour leur soutien.

    Disclaimer : ce témoignage relate une histoire personnelle, les informations diffusées sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des recommandations à caractère médical. Les témoignages ne se substituent pas à des consultations, traitements ou diagnostics émanant des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires. Les témoignages ne font la promotion d'aucun régime en particulier, mais illustre simplement la capacité d'auto-guérison du corps lorsque l'on répond à ses besoins vitaux et physiologiques.

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  • 1/ RÉDUIRE LES NIVEAUX DE STRESS

    La première chose importante est de cesser l'hypercatabolisme. L'anabolisme, le repos, va permettre le nettoyage de l'organisme. Il existe pleins d'outils pour favoriser le repos et la détente : méditation , sophrologie, respiration, sport , détente, massage , etc...

    2/ BIEN S'ALIMENTER

    A) ALIMENTER LE CORPS EN MICRO NUTRIMENTS

    On constate que les cancéreux ont des déficiences nutritionnelles.

    B) LIMITER LES PICS GLYCÉMIQUES

    L'insuline favorise la croissance de tous les tissus et la division cellulaire.

    C- FAVORISER UNE ALIMENTATION SANS PRODUITS TOXIQUES

    Attentions aux produits cancérigènes, aux additifs alimentaires et aux neurotoxiques issus de la (sur)cuisson. Amines hétérocycliques, hydrocarbures polycycliques aromatiques, la carboxyméthyllysine, l'acrylamide.

    D) FAVORISER UNE ALIMENTATION RICHE EN PRINCIPES NUTRITIFS

    Les principes nutritifs dits « anti cancer » comme les fruits, les légumes, antioxydants, composés phytochimiques divers. Il n'y a pas vraiment de super aliment quand on conçoit l'approche comme holistique.

    3/ FAVORISER L'ÉLIMINATION

    La majorité des personnes présentant un cancer ont aussi un déficit émonctoriel : déficience rénale, constipation, peau engorgée.

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  • Attention : "Le cancer n'est pas une maladie" ne signifie pas que nous sommes dans le déni de ce qui se passe. C'est plutôt une volonté de CORRIGER UNE ERREUR DE LANGAGE qui nous induit en erreur dans notre manière de nous soigner. Je parlerai plutôt de "mécanisme adaptatif" du corps en réponse à un ou plusieurs éléments qui ne respectent pas notre corps et le vivant.

    Ainsi, le cancer est un signal pour nous indiquer que nous faisons du mal à la vie, non pas une maladie qui s'abat sur nous aléatoirement. Le cancer ne se développerai pas par hasard. La bonne nouvelle : nous avons un contrôle absolu sur son développement par les choix que nous allons effectuer au cours de notre vie.

    La biologie de l’évolution la plus moderne nous montre que nous devrions maintenant parler d’un « oncobiote » ( cf travaux de Frédéric Thomas ) au sens où nous devons considérer que nous avons tous des cellules pré-cancéreuses intrinsèquement dans notre corps, depuis notre naissance, tous autant que nous sommes. Le développement de ces cellules pour former des tumeurs va dépendre des conditions épigénétiques, donc de notre environnement et de nos circonstances de vie. Ainsi on "n’attrape" pas un cancer, on se retrouve dans les conditions qui favorisent le développement de ces cellules « pré-cancéreuses » que nous possédons tous.

    Le phénomène de tumeur doit être considéré comme un mécanisme adaptatif « normal » qui apparaît dans le corps dans des circonstances particulières. Supprimer une tumeur ou la réduire à l’aide d’une chimiothérapie c’est ne pas comprendre l'intelligence du corps, c'est interpréter la physiologie comme si le corps était con (corps intelligent vs corps con). C'est l'ignorance de la puissance du vivant en nous qui cherche tout le temps à s’adapter à l'environnement.

    Le développement d’une tumeur serait donc une solution développée par l’organisme, une solution qu’il possède en lui à l’état dormant depuis sa naissance et qui ne se retrouve activé que si les circonstances s’y prêtent. C'est une solution prévue dès l'origine de l'organisme .

    Donc, au lieu d’essayer de bombarder des tumeurs avec des traitements hautement toxiques qui ne font qu'aggraver la situation, ne vaudrait-il pas mieux comprendre quelles sont les circonstances qui font que la tumeur se développe et ainsi changer ces circonstances afin de changer la manifestation tumorale ?

    Une grande majorité pense que la chimiothérapie soigne le cancer parce qu'ils confondent DISPARITION DU SYMPTOME et GUERISON DU CORPS. Disparition n'est pas synonyme automatiquement de guérison.

    C'est toute l'illusion de l'allopathie : elle s'évertue uniquement à faire disparaitre le symptôme sans régler la cause. Tout ce qui baigne dans un liquide hautement acide et anti-vie, comme c'est le cas des produits de chimiothérapie dont le ph tourne autour de 2,5 / 3, détruit toute la vie sur son passage dont les cellules saines et cancéreuses. La personne n'est pas guérie, au contraire elle ressort encore plus abîmée, même si plus aucunes cellules cancéreuses n'est détectables. C'est la raison pour laquelle, il y a un grand nombre de décès suite à la chimio, ou un pourcentage élevé de récidives. Alors que lorsque l'on guérit la cause, non seulement on fait disparaitre le symptôme mais les chances de récidives sont réduites à néant.

    La guérison ne vient jamais de l'extérieur, elle vient de l'intérieur car le corps a une capacité d'auto-guérison qu'on apprend pas en école de médecine. L'auto-guérison ne survient jamais en acidifiant davantage le corps avec des poisons. C'est en respectant notre corps, en lui donnant ce dont il a intrinsèquement besoin, que nous pourrons activer cette auto-guérison.

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