Avsnitt
-
Le 7 avril 2015, au Cannet, Suzanne Bailly, une octogénaire qui a vendu en viager son appartement, est prise d'un grave malaise après avoir bu quelques gorgées d'une bouteille d'eau minérale. L'enquête révèle qu'elle a été empoisonnée et les soupçons se portent immédiatement sur l'acheteur, Olivier Cappeleare
-
Ce qui s'est passé en mars 2017 dans la petite ville tranquille de Montluçon dans l'Allier, demeure exceptionnel : en 10 jours, dans un périmètre de moins de 100 mètres, situé au cœur du quartier de la Ville-Gozet, trois meurtres de retraités et un viol d'une extrême violence vont provoquer la stupeur de toute la région. Deux jeunes hommes de 17 et 19 ans seraient les auteurs de ces crimes affreux.
-
Saknas det avsnitt?
-
Ecoutez L'heure du crime : les archives de Jacques Pradel du 30 novembre 2023 avec Jacques Pradel.
-
Le 27 février 2004, le corps calciné et démembré d'Yves Bourgade a été découvert dans la forêt de Champcueil. Florence Federlé, son épouse, avait signalé sa disparition deux jours plus tôt. Ils venaient de se disputer. En mai 2008, malgré ses dénégations, Florence Féderlé a été condamnée à 15 ans de réclusion criminelle.
-
Bruno Joushomme 22 ans et sa femme Evelyne de 40 ans son ainé, sont victimes d'un accident de voiture un soir d'hiver 1985. Quelques jours avant le drame, Evelyne avait signé une donation au dernier vivant de sa fortune s'élevant à 4 millions de francs. La famille de la défunte dépose plainte pour meurtre. Bruno crie son innocence mais il est finalement condamné 13 ans plus tard à la réclusion criminelle à perpétuité.
-
A 25 ans, Graham Young est condamné à la perpétuité, à Londres. Après avoir tenté d'empoisonner son meilleur ami, et différends membres de sa famille, il s'était attaqué à ses collègues... Retour, dans l'Heure du Crime, sur le plus grand empoisonneur de tous les temps !
-
Trois affaires, un point commun : les médecins sont devenus les suspects. Ces derniers mois, de véritables scandales ont éclaté avec notamment l'affaire de Jonzac, dans laquelle un chirurgien, incarcéré depuis2017, est mis en cause pour avoir agressé sexuellement plus de 200 enfants.
Ou encore à Besançon, où un anesthésiste est actuellement mis en examen pour 24 tentatives d'empoisonnements ayant causé, entre 2008 et 2017 plusieurs morts chez ses patients. Des accusations qu'il nie catégoriquement, mais la justice est persuadée qu'il s'agit bien de meurtres avec préméditation. -
Le 8 décembre 1987, Evelyne Boucher, une lycéenne habitant à Villeneuve-lès-Avignon, est sauvagement agressée, violée et abattue d'une balle de 22 Long Riffle.
Aucune autre piste ne permet à l'enquête d'aboutir. Les enquêteurs soupçonneront quelques "stars" du crime, comme Roberto Succo, Michel Fourniret ou Émile Louis. Toujours sans succès.
En mai 2002 enfin, le fichier automatisé des empreintes génétiques, le FNAEG, est créé et l'ADN de toutes les personnes ayant affaire à la justice d'abord pour des agressions sexuelles puis pour tous les délits avec violence, est introduit dans la base de données.
Surprise ! 19 ans plus tard, la comparaison automatique signale la correspondance à plus de 99,9% de l'ADN de Greiner avec l'ADN prélevé sur le corps d'Évelyne. -
C'est une affaire qui a dépassé en horreur tout ce qu'on pouvait imaginer. Le 5 septembre 1994, on découvrait dans une maison de Thorigné-sur-Dué un véritable massacre : Christian Leprince, sa femme Brigitte et leurs deux fillettes, Audrey et Sandra, ont été sauvagement assassinés. Certaines des victimes ont reçu des coups qui évoquent l'usage d'une hachette, qu'on appelle une feuille de boucher. Seule la petite Solenne, deux ans et demi à l'époque, a échappé au massacre. Pour ces faits, le frère de Christian, Dany Leprince, a été condamné à la prison à perpétuité. Il se dit victime d'une erreur judiciaire. Après le refus de sa demande en révision, il est aujourd'hui libre, mais toujours considéré comme coupable par la justice.
-
Entre 1980 et 1983, quatre jeunes femmes sont retrouvées mortes, non loin de la nationale 20 dans l'Essonne. Les victimes sont nues et ont été étranglées. Elles ont vraisemblablement été tuées ailleurs, puis transportées ensuite sur les lieux où on les a découvertes par hasard. À ce jour, le criminel est toujours en liberté.
-
L'affaire Martin Dumollard est la toute première histoire de tueur en série répertoriée en France au 19ème siècle dans la région lyonnaise. Faute de moyens à l'époque, "l'assassin des bonnes" a sévi pendant 10 ans. Il sera finalement condamné pour 12 agressions dont trois assassinats. Un chiffre certainement en dessous de la réalité, au regard des 648 vêtements et objets saisis à son domicile.
-
"Enterrés sous X" est le terme employé pour parler de ces morts inconnus, au moins un millier chaque année en France, qui sont enterrés de façon anonyme, alors que de nombreuses familles de disparus restent sans nouvelles de leurs proches. Ces dernières réclament la mise en place d'un fichier national des "enterrés sous x", car un simple prélèvement ADN pourrait résoudre de nombreuses affaires de disparitions mystérieuses.
-
Dans la nuit du 31 janvier 1980, Joseph Fontanet, une figure de la démocratie chrétienne de la Cinquième République, est abattu d'une balle en plein cœur de Paris. Aucun témoin direct lors du drame, pas de piste crédible pour la police. Seule certitude, le tireur était à bord d'une voiture qui a aussitôt pris la fuite sans pouvoir être intercepté par la police. Aucune hypothèse n'a jamais pu expliquer qui pouvait en vouloir à cet homme dont l'intégrité était unanimement reconnue.
-
Jeanine Bonaggiunta et Nathalie Tomasini sont deux avocates qui pensent que la loi doit changer et intégrer dans le code pénal la notion de " légitime défense différée", pour obtenir sinon l'acquittement, du moins des peines beaucoup plus légères pour des femmes qui n'ont vu qu'une solution pour sauver leur peau et mettre un terme à des années de souffrances : tuer leur bourreau.
-
Le 7 avril 1994, le conseiller de François Mitterrand est retrouvé mort par son garde du corps. Il tient encore à la main un 357 Magnum, l'arme, avec laquelle il s'est tiré une balle dans la tête. Des faits "étranges" ont été rapportés, qui a posteriori peuvent semer le doute et faire penser à un assassinat déguisé.
-
Le 1er mai 1993, l'ancien premier ministre socialiste Pierre Bérégovoy se suicide à Nevers, la ville dont il est maire depuis 10 ans. Aucun doute pour les autorités, celui qui a dirigé le gouvernement a mis fin à ses jours en se tirant une balle de révolver dans la tête. L'explication officielle ne va satisfaire personne, ni la veuve de la victime qui va affirmer qu'il s'agit d'un assassinat, ni certains enquêteurs qui, au fil des années posent des questions.
-
Le 24 décembre 1975, le prince Jean de Broglie, député de l'Eure et ancien secrétaire d'État des gouvernements Pompidou est assassiné en pleine rue à Paris. Les policiers arrivés sur place pensent immédiatement à un règlement de compte. Ils excluent une tentative de vol qui aurait mal tourné. La victime possède toujours son portefeuille et son argent liquide. En apparence, rien ne lui a été volé. Les enquêteurs ignorent alors qu'il manque une serviette en cuir.
- Visa fler