Avsnitt

  • Southampton, 1929 Cette affaire dĂ©bute dans un garage, un garage avec une enseigne reconnaissable entre toutes : une tĂȘte de loup peinte en rouge, celle de la « Wolf’s Head Oil Company ». Un froid matin de janvier 1929, au milieu des boites d’huiles Ă©parpillĂ©es, on retrouve un corps
 un cadavre dans un Ă©tat de dĂ©composition avancé  celui du gĂ©rant du garage. Il n’avait pas donnĂ© de signe de vie depuis un moment, alors on est venu prendre des nouvelles sur place
 AppelĂ©s sur les lieux de cette dĂ©couverte macabre, les experts de Scotland Yard estiment que la mort remonterait Ă  deux mois environ. Non loin du corps, les enquĂȘteurs mettent la main sur un marteau, qui pourrait bien ĂȘtre l’arme du crime
 Mais ce n’est pas tout : de nombreux papiers et des lettres jonchent le sol du garage
 Comme si on avait fouillĂ© la piĂšce, pour y dĂ©rober quelque chose
 un butin par exemple
 ou y soustraire quelque chose de compromettant peut-ĂȘtre.

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Pays de Galles, 1914 Cette histoire nous emmĂšne loin de l’agitation londonienne. Bienvenue dans la verte campagne du Pays de Galles, dans le petit village de Hay-on-Wye. Herbert Armstrong s’est installĂ© Ă  Hay depuis quelques annĂ©es. Comme sollicitor, dans l’un des deux cabinets d’avocats du village. Mais la vie bien rangĂ©e des Armstrong va ĂȘtre bouleversĂ©e par la maladie, puis la mort de l’épouse, Katherine. En plus d’avoir perdu son Ă©pouse, Armstrong va bientĂŽt faire face Ă  autre chose. Il pensait rester le seul sollicitor du village. Mais un nouveau sollicitor s’installe... Il s’appelle Oswald Martin. C’est un homme jeune. La vie aurait repris son cours tranquille si Oswald Martin n’était pas brusquement tombĂ© malade. Et s’il n’avait pas dĂ©veloppĂ© les mĂȘmes symptĂŽmes que
 ceux de Mrs Armstrong. Des symptĂŽmes qui rappellent, selon le pharmacien du village, les effets de l’arsenic
 Scotland Yard intervient, et dĂ©cide de faire exhumer le corps de Mrs Armstrong. Il ne faut pas laisser planer le doute parmi les habitants de ce petit village si paisible


      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Saknas det avsnitt?

    Klicka här för att uppdatera flödet manuellt.

  • Entre Paris et Londres, 1913 Nous voici rue de Provence, Ă  Paris, au cƓur du quartier des nĂ©gociants en joaillerie. Cette histoire va nous plonger dans l’univers des nĂ©gociants en pierre et en perles, dans les « coulisses » de la grande joaillerie. Comme Ă  son habitude, Henri Salomons empaquĂšte un bijou suivant une procĂ©dure qu’il maitrise bien. Et pour une destination qu’il connaĂźt bien : Ă  Londres, chez Max Mayer, l’un des plus grands nĂ©gociants en joaillerie de la capitale anglaise. VoilĂ  20 ans que les deux hommes travaillent ensemble. Mais ce mardi 15 juillet 1913 n’est pas une journĂ©e comme les autres
 Le bijou dont s’occupe Henri Salomon est d’une beautĂ© et d’une valeur exceptionnelles
 Il s’agit d’un collier composĂ© de 61 perles roses. C’est un objet unique et rare. Mais ce jour est aussi diffĂ©rent des autres car, pour une fois, le colis n’arrive pas Ă  bon port
 Le paquet est bien parvenu Ă  Londres, Ă  Hatton Gardens, dans le quartiers des joailliers de la capitale anglaise. Mais Max Mayer a l’Ɠil, et il remarque tout de suite que le paquet a une allure lĂ©gĂšrement inhabituelle. Alors il se dĂ©pĂȘche de briser les cachets, dĂ©chirer le papier bleu qui entoure la boite qui doit contenir l’écrin avec le collier. Mais la boite est fendue
 et l’écrin est
 vide ! Enfin, pas tout Ă  fait vide : il y a des morceaux de sucre. Max Mayer contacte sa compagnie d’assurance : la Lloyd’s
 et puis
 Scotland Yard. Le vol d’un collier aussi exceptionnel nĂ©cessite l’expertise des plus fins limiers d’Angleterre. Bien entendu, la presse en fait ses gros titres. Que ce soit en Angleterre ou en France. Le vol du collier de perle devient, dans les pages des journaux français, “ L’affaire du collier ”. Mais la valeur de l’objet volĂ©, et son caractĂšre unique, vont embarrasser les auteurs du vol.

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Londres, 1910 Cette histoire dĂ©bute au quatriĂšme Ă©tage d’un bel immeuble victorien. Nous sommes en plein cƓur de Londres, Ă  deux pas du cĂ©lĂšbre Leicester Square. C’est jeudi, et le jeudi, c’est le traditionnel rendez-vous de la « Ligue des femmes artistes de Music Hall ». Seulement aujourd’hui, la salle bruisse de murmures inhabituels
 et la rĂ©union tarde Ă  commencer C’est qu’on attend l’une de ses membres les plus importantes, Mrs Crippen, la trĂ©soriĂšre de la Ligue. On la connaĂźt aussi sous le pseudonyme de Belle-Elmore, son nom de scĂšne. C’est une actrice d’origine amĂ©ricaine, installĂ©e Ă  Londres avec son mari depuis cinq ans. Et ce n’est pas dans ses habitudes d’ĂȘtre tellement en retard
 Une lettre de la trĂ©soriĂšre finit par arriver : Belle-Elmore a dĂ» partir en urgence au chevet d’un membre de sa famille, en Californie. Seulement voilĂ , la lettre n’est pas signĂ©e par la trĂ©soriĂšre elle-mĂȘme
 mais par son mari, le Docteur Crippen. Et ce dĂ©tail retient l’attention de Mrs Smythson, la prĂ©sidente de la Ligue. Mrs Smythson est d’autant plus intriguĂ©e que les jours passent, et qu’elle ne reçoit toujours aucune nouvelle de Belle-Elmore. Alors, la prĂ©sidente de la Ligue dĂ©cide de mettre son nez dans les affaires des Ă©poux Crippen


      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Londres, quartier de Deptford - 1905 Un matin de mars 1905, un jeune employĂ© dĂ©couvre le corps sans vie du gĂ©rant de Chapman Oil Store, une boutique de l’est londonien - du cĂŽtĂ© de Greenwich. La gĂ©rante, elle, vit encore mais son Ă©tat prĂ©occupant nĂ©cessite des soins urgents. En procĂ©dant Ă  l’examen de la scĂšne de crime, les dĂ©tectives de Scotland Yard retrouvent sur le sol le tiroir-caisse du magasin, vide. Ils songent Ă  un Ă©niĂšme vol qui a dĂ» mal tourner
 Mais ils ne relĂšvent pas grand-chose d’autre, malgrĂ© une inspection minutieusement menĂ©e
 Alors, sans indice concret, et pour ne pas perdre un temps prĂ©cieux dans l’attente du tĂ©moignage de la gĂ©rante, Scotland Yard dĂ©cide d’utiliser l’une de ses mĂ©thodes habituelles, qui a souvent fait ses preuves : elle lance un appel au public, avec rĂ©compense Ă  la clĂ©. Et un signalement finit par parvenir au Yard, celui de deux hommes qui auraient Ă©tĂ© aperçus alors qu’ils sortaient de la boutique. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est une piste Ă  ne pas nĂ©gliger. Les deux suspects sont finalement arrĂȘtĂ©s. Mais rien n’est encore jouĂ© pour Scotland Yard. MalgrĂ© les tĂ©moignages rĂ©coltĂ©s, les enquĂȘteurs peine Ă  dĂ©montrer la culpabilitĂ© des deux individus
 Pourtant, les inspecteurs ont remarquĂ© des empreintes de doigts sur le tiroir-caisse du magasin. Mais cette nouvelle technique n’est pas encore tout Ă  fait au point. Et il semblerait que les experts peinent Ă  identifier les empreintes. Ces empreintes digitales, et leur rĂŽle dans l’enquĂȘte, finissent par avoir une importance capitale. Au-delĂ  du crime de Deptford lui-mĂȘme. Dans les faits, le dossier de Deptford n’est pas l’un de ces crimes extraordinaires, l’une de ces affaires macabres qui dĂ©frayent la chronique. Et pourtant, c’est l’une des plus importantes affaires de l’histoire de Scotland Yard


      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Londres, quartier de Lambeth - 1891 Cet Ă©pisode nous ramĂšne dans le cƓur de la capitale, le long de la Tamise, juste en face de Westminster. C’est un quartier connu de beaucoup d’auditrices et d’auditeurs : il est bordĂ© par l’un des symboles de la ville, le « London Eye »  la plus grande roue du monde. Mais en 1891, Lambeth offre un tout autre visage : celui de la pauvretĂ© et de la saletĂ©, celui des ravages causĂ©s par l’alcool et la prostitution. Un dĂ©cor digne des sombres rĂ©cits de Jack l’Eventreur, dans lequel il ne fait pas bon se promener Ă  la nuit tombĂ©e. Une nuit froide d’octobre, en rentrant du pub, un passant tombe sur une jeune fille prise de violentes convulsions. Ses tentatives pour la soigner sont vaines, alors il la fait conduire Ă  l’hĂŽpital
 Malheureusement, elle n’aura pas le temps d’y arriver, seulement celui de livrer un rapide signalement de son agresseur. Le mĂ©decin qui l’examine ensuite est formel : cette fille a Ă©tĂ© empoisonnĂ©e. Et en effet, l’autopsie rĂ©vĂšle une grande quantitĂ© de poison dans son estomac. Il s’agit d’un poison « trĂšs en vogue » au cours de cette pĂ©riode.

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Richmond - faubourgs de Londres, 1879 Cette histoire criminelle dĂ©bute dans ce qu’on appelle aujourd’hui « le Grand Londres ». Nous sommes plus exactement Ă  Barnes, dans le district de Richmond, au sud-ouest de la capitale anglaise. Ici, de grandes maisons bourgeoises s’alignent le long de la Tamise. La quiĂ©tude des lieux va ĂȘtre interrompue par une sinistre dĂ©couverte
 Un matin de mars 1879, alors qu’il entame sa tournĂ©e habituelle, un livreur de charbon aperçoit une caisse en bois Ă©chouĂ©e sur les bords du fleuve. Sa curiositĂ© est plus forte que tout : il se dĂ©cide Ă  l’ouvrir. Ah
 il ne s’attendait sĂ»rement pas Ă  tomber sur des morceaux de
 corps humain ! La police locale est avertie, et fait examiner le corps par un mĂ©decin-lĂ©giste. On songe d’abord Ă  un coup d’étudiants en mĂ©decine, qui auraient jetĂ© le cadavre dans le fleuve aprĂšs une sĂ©ance d’anatomie 
 Cette hypothĂšse est vite Ă©cartĂ©e...

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Village de Road Sud-ouest de l’Angleterre, 1860 Nous voici sortis de l’agitation londonienne, dans la quiĂ©tude de la campagne anglaise, non loin de la ville thermale de Bath, oĂč se rend la bonne sociĂ©tĂ©. A Road, il y a les Kent, une famille de la bourgeoisie rurale, qui vit dans une grande demeure patricienne, connue dans les environs sous le nom de
 Road Hill House. L’ambiance, dans l’apparente douceur de la campagne, oĂč le temps semble s’ĂȘtre arrĂȘtĂ©, rappelle celle des romans de Jane Austen. Mais un matin de juin 1860, le petit Francis Kent, ĂągĂ© de 4 ans, est portĂ© disparu. Et voilĂ  que le village de Road est frappĂ© d’horreur : on retrouve le corps sans vie du petit Francis, abandonnĂ© dans la fosse d’aisance, au fond du jardin. La police locale commence son enquĂȘte. Il n’y a aucune trace d’effraction, il n’y eu ni bruit, ni cri pendant la nuit. Aucun tĂ©moin. Est-ce que la solution, l’auteur du crime, ne doit pas ĂȘtre cherchĂ©e
 dans la maison ? La police va donc rechercher le coupable parmi les habitants de Road Hill House.

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Londres et Paris, 1855 C’est Ă  l’époque de la naissance des grandes expositions universelles que nous plonge cet Ă©pisode. Un temps oĂč Londres et Paris se revendiquaient comme des vitrines de la prospĂ©ritĂ© industrielle et des innovations techniques. Au milieu du 19Ăšme siĂšcle, le dĂ©veloppement industriel et les progrĂšs techniques de l’Angleterre sont Ă©clatants. L’empire britannique fait Ă©talage de sa prospĂ©ritĂ© et de sa puissance. Et les Anglais sont fiers de ce nouveau moyen de transport dĂ©veloppĂ© depuis les annĂ©es 1830 : le chemin de fer. Une invention majeure, qui va ĂȘtre d’une importance capitale dans La Grande attaque du train d’or


      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprĂ©ciĂ© ce podcast, n'hĂ©sitez pas Ă  nous donner des Ă©toiles ou des commentaires, cela nous aide Ă  le faire connaĂźtre plus largement.    

  • Londres, 1840 Notre sĂ©rie dĂ©bute dans l’un des quartiers les plus Ă©lĂ©gants de la capitale : Mayfair, Ă  deux pas de Hyde Park. Dans une petite rue Ă©lĂ©gante qui s’appelle Norfolk Street. Une rue bordĂ©e de belles demeures, dans laquelle on se sent bien. Et pour cause : il y a des rondes de police toute la nuit. Il ne se passe pas 5 minutes sans qu’un policier passe devant votre maison, ou sur le trottoir d’en face. Alors, il y a de quoi se sentir en sĂ©curitĂ©. Oui mais voilĂ , par un beau matin de 1840, la dĂ©couverte du corps Ă©gorgĂ© de Lord Russel vient perturber le calme de cette petite sphĂšre bourgeoise. Lord William Russell, ce n’est pas n’importe qui. C’est le rejeton de l’une des familles les plus en vue en Angleterre : c’est le dernier fils du duc de Bedford. Alors, il va falloir que l’assassin paye.

      

    Merci pour votre Ă©coute  

    Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be 

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaßtre plus largement.